Paris, Fischbacher, 1885 in-8, XII-413 pp., broché.
Edition originale. Le pasteur libéral Albert Réville (1826-1906) fut le premier titulaire de la chaire d'histoire des religions du Collège de France, et le fondateur de la Revue de l'histoire des religions. Il ne doit pas être confondu avec son petit-fils, également Albert-Etienne Réville (1883-1949), qui fut maire de Reims. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
M.-T. Génin impr. Jouve Broché D'occasion état correct 01/01/1961 127 pages
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 6 MARS 1880. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 837 à 860. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Sommaire :LA BELGIQUE ET LA HOLLANDE VIS-A-VIS DE L'ALLEMAGNE PAR PAUL LARGILIERE, L'HISTOIRE DES RELIGIONS PAR ALBERT REVILLE, LE MOUVEMENT LITTERAIRE A L'ETRANGER PAR ARVEDE BARINE, HISTOIRE DU DROIT D'ASSOCIATION PAR PAUL LAFFITTE Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 4 JUIL 1885. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 32. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Sommaire : LE CONFLIT ECONOMIQUE AVEC LA ROUMANIE, LE MANUSCRIT DU SOUS-LIEUTENANT PAR LEON BARRACAND, UNE HISTOIRE DES RELIGIONS PAR JEAN REVILLE, LE COLLEGE SAINTE-BARBE PAR A. MEZIERES, MME DE SEVIGNE HISTORIEN PAR A. DE TREVERRET, LORD SALISBURY DANS SA FAMILLE PAR F. COPPINI Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
GOBLAIN / REVILLE ..//.. Goblain, dessinateur./ Jean-Baptiste Réville, graveur (1767-1825).
Reference : 8719
(1815)
Paris, Ostervald l'ainé, sd (vers 1815), document, 12,5 cm x 21,5 cm. Lithographie, marge supérieure recoupée, petit manque à l'angle supérieur droit.
Il existe plusieurs illustrateurs, tous de la même famille, du nom de Goblain. Très bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Ernest Leroux, 1909. Un vol. au format in-12 (188 x 123 mm) de vi - 246 pp. Reliure de l'époque de demi-cartonnage lie-de-vin à l'imitation de cuir de Russie, dos lisse orné de doubles filets dorés, filets en pointillés dorés, titre doré, palette dorée en tête et queue, tranches mouchetées.
Edition originale. ''Malgré la précision et le nombre des faits, des analyses d'oeuvres, des jugements critiques qu'on trouvera ici, il faudrait se garder de ne voir dans ce livre qu'un manuel d'historiographie religieuse ; Jean Réville donne ici l'analyse impartiale et aussi la philosophie, ou tout du moins le bilan de leur conquête propre dans le progrès humain''. Petit défaut affectant chacune des coiffes. Rares rousseurs dans le texte. Du reste, belle condition.
In-12, demi-chagrin bordeaux de l'époque, dos à 5 nerfs orné de filets à froid et dorés, titre doré, (2) f., 330 p., (1) f. d'errata. Paris, C. Reinwald et J. Cherbuliez, 1865.
Edition originale. Historien et théologien, dans la mouvance du protestantisme libéral, Albert Reville fut nommé professeur au Collège de France en 1880 à la première chaire d'histoire des religions. Il fut lors de sa création en 1886, le premier Président de la section des sciences religieuses de l'Ecole Pratique des Hautes Etudes et le fondateur de la "Revue de l'Histoire des Religions".Très bon exemplaire, bien relié à l'époque.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 13 NOV 1880. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 457 à 480. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 4 DEC 1880. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 529 à 552. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 18 NOV 1882. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 641 à 672. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Sommaire : LE MINISTERE ET LA CHAMBRE PAR JOSEPH REINACH, LA LIGUE DU MAL PUBLIC PAR FREDERIC THOMAS, LE REGARD VOLE PAR EDMOND TEXIER ET CAMILLE LE SENNE, LE TABOU ET LE TATOUAGE EN POLYNESIE PAR ALBERT REVILLE, L'AMOUR A LA CAMPAGNE PAR GABRIEL VICAIRE Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 5 MARS 1887. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 289 à 320. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Didot, Paris 1803, 40x54cm, une feuille.
Gravure originale in folio non rognée, extraite du Voyage dans la Basse et la Haute Egypte de Vivant Denon. Planche composée de 2 vues ainsi décrites par l'auteur : N° 1. Vue du portique du temple de Latopolis à Esnê, prise telle que nous l'avons trouvé la premiere fois que nous sommes arrivés à Esnê, c'est-à-dire encombré d'ordures, et des plus méchantes fabriques, qui sembloient être là pour rehausser la magnificence de cet édifice, que je crois le plus parfait de proportion, et le plus pur d'exécution de tous les temples d'Égypte, un des plus beaux monuments de l'antiquité (voyez le plan et la vue géométrale, planche LIV, n° 2 et 3). Pour donner le type de l'architecture égyptienne il faudroit mesurer avec la plus grande exactitude toutes les parties de ce temple, leur rapport, l'appareil des pierres, et les détails des ornements dont elles sont toutes couvertes, les variétés des chapiteaux, la beauté de leur exécution, tous les tableaux scientifiques et mystérieux qui tapissent l'extérieur et l'intérieur de ce monument : toutes les fois que les circonstances m'ont amené à Esnê, j'ai occupé tout le temps que l'armée y a séjourné , à dessiner quelques parties de ce seul reste de l'antique Latopolis (voyez divers chapiteaux, planche LIX, n° 1, 5, 7, 8, 9, 10, 11, 12, et nombre d'hiéroglyphes, que l'on trouvera à leur article). Ce beau portique décore actuellement la principale place d'Esnê : cet embellissement, dû aux soins du général Belliard, est peut-être le seul monument que nous aurons laissé dans la haute Égypte ; et il s'est opéré en déblayant ce fragment des masures qui le couvroient et le masquoient, et en construisant de droite et de gauche des boutiques qui forment un beau bazard : j'ai vu les habitants, charmés de ce projet, contribuer avec plaisir à la dépense de son exécution. N° 2. Contra-Latopolis. Vue de la ruine d'un temple bâti vis-à-vis Latopolis , à la rive orientale du Nil ; c'est un des monuments les plus frustes de l'Égypte, c'est le seul portique où j'ai vu ensemble des chapiteaux à tête d'Isis, comme à Tintyra, et des chapiteaux évasés. Quelques rousseurs principalement marginales, un accroc marginal discrètement restauré à l'aide d'un morceau de filmoplast, sinon bel état de conservation. Publié pour la première fois en deux volumes, dont un atlas de gravures, chez Didot, en 1802, le 'Voyage dans la Basse et la Haute Égypte' connut un tel succès qu'il fut traduit dès 1803 en Anglais et en Allemand, puis quelques années plus tard en Hollandais et en Italien, notamment. Presque toutes les planches sont dessinées par Denon, qui en a aussi gravé lui-même un petit nombre, notamment des portraits d'habitants d'Egypte, qui ont encore gardée toute la fraîcheur d'esquisses prises sur le vif (nos 104-111). Une bonne vingtaine de graveurs ont également collaboré à la création des eaux-fortes dont Baltard, Galien, Réville et d'autres.Dominique Vivant, baron Denon, dit Vivant Denon, né à Givry le 4 janvier 1747 et mort à Paris le 27 avril 1825, est un graveur, écrivain, diplomate et administrateur français. A l'invitation de Bonaparte, il se joint à l'expédition d'Egypte en embarquant dès le 14 mai 1798 sur la frégate " La Junon ". Protégé par les troupes françaises, il a l'opportunité de parcourir le pays dans tous les sens, afin de rassembler le matériau qui servit de base à son travail artistique et littéraire le plus important. Il accompagne en particulier le général Desaix en Haute Egypte, dont il rapporte de très nombreux croquis, lavis à l'encre et autres dessins à la plume, à la pierre noire, ou à la sanguine. Il dessine sans relâche, le plus souvent sur son genou, debout ou même à cheval, et parfois jusque sous le feu de l'ennemi. A l'issue d'un voyage de 13 mois durant lesquels il dessine plusieurs milliers de croquis, Vivant Denon rentre en France avec Bonaparte, et devient le premier artiste à publier le récit de cette expédition. Les 141 planches qui accompagnent son Journal retracent l'ensemble de son voyage, depuis les côtes de la Corse jusqu'aux monuments pharaoniques de la Haute Egypte. Bonaparte le nomme ensuite directeur général du musée central de la République, qui devient le musée Napoléon, puis le musée royal du Louvre et administrateur des arts. En 1805, Vivant Denon relance le projet de la colonne Vendôme, qui avait été suspendu en 1803. Il organise ensuite des expéditions dans toute l'Europe impériale pour amasser les objets d'art, qui sont pillés pour être emportés au Louvre. En 1814, Louis XVIII le confirme à la tête du Louvre, dont une aile porte encore son nom aujourd'hui. Il est considéré comme un grand précurseur de la muséologie, de l'histoire de l'art et de l'égyptologie. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Didot, Paris 1803, 40,5x54cm, une feuille.
Gravure originale in folio non rognée, extraite du Voyage dans la Basse et la Haute Egypte de Vivant Denon.Planche composée de 3 vues ainsi décrites par l'auteur : N° 1. Ruine d'un temple à Syene ; il est situé sur une hauteur qui dominoit la ville antique au nord, et les ruines de la ville arabe ; il est enfoui, comme on le voit, jusqu'au chapiteau de ses colonnes, qui soutenoient une galerie ajoutée postérieurement au sanctuaire du temple ; les pierres renversées, que l'on voit entassées, étoient celles d'un portique tout à fait détruit ; derriere on appercoit le Nil, l'isle Éléphantine ; et sur le dernier plan, la chaîne libyque. N° 2. Le plan du temple de Cneph ou Chnuphis à Éléphantine ; un sanctuaire décoré en beaux bas-reliefs, représentant dedans et dehors des sacrifices offerts par un héros ; la seconde piece a été ajoutée postérieurement, et n'est point ornée de sculpture dans son intérieur ; la galerie et les deux portiques ont été ajoutés aussi postérieurement, et sont revêtus d'hiéroglyphes en relief, dont on peut voir le dessin planche CXXVIII. N° 3. Ruines d'un des temples d'Eléphantine, dont le plan est le n° 2. Ce monument est d'un grand intérêt par sa célébrité, par sa conservation, par la beauté de ses sculptures intérieures (voyez planche CXXVIII) ; il occupoit le centre de l'isle Éléphantine, consacré à la sagesse sous le nom de Cneph ; conservé presque en entier au milieu des décombres des monuments dont il étoit entouré, il n'a de dégradé qu'un angle de sa galerie : les deux fragments paralleles que l'on appercoit derriere sont deux chambranles d'une porte en granit, qu'on peut voir planche LXV, n° 1 : la statue qui est sur le second plan est celle d'un dieu, d'un prêtre ou d'un initié ; elle est trop fruste pour en distinguer les attributs ; elle est en granit et de 10 pieds de proportion : les pierres en avant sont les décombres d'un édifice dont les substructions vont rejoindre la fabrique du temple, et en dépendoient suivant toute apparence : cent toises en avant de cette vue et jusque sur le bord du Nil tout l'espace est couvert de débris de fabriques dégradées et presque sans formes. Légères rousseurs, une discrète trace marginale, sinon bel état de conservation. Publié pour la première fois en deux volumes, dont un atlas de gravures, chez Didot, en 1802, le 'Voyage dans la Basse et la Haute Égypte' connut un tel succès qu'il fut traduit dès 1803 en Anglais et en Allemand, puis quelques années plus tard en Hollandais et en Italien, notamment. Presque toutes les planches sont dessinées par Denon, qui en a aussi gravé lui-même un petit nombre, notamment des portraits d'habitants d'Egypte, qui ont encore gardée toute la fraîcheur d'esquisses prises sur le vif (nos 104-111). Une bonne vingtaine de graveurs ont également collaboré à la création des eaux-fortes dont Baltard, Galien, Réville et d'autres. Dominique Vivant, baron Denon, dit Vivant Denon, né à Givry le 4 janvier 1747 et mort à Paris le 27 avril 1825, est un graveur, écrivain, diplomate et administrateur français. A l'invitation de Bonaparte, il se joint à l'expédition d'Egypte en embarquant dès le 14 mai 1798 sur la frégate " La Junon ". Protégé par les troupes françaises, il a l'opportunité de parcourir le pays dans tous les sens, afin de rassembler le matériau qui servit de base à son travail artistique et littéraire le plus important. Il accompagne en particulier le général Desaix en Haute Egypte, dont il rapporte de très nombreux croquis, lavis à l'encre et autres dessins à la plume, à la pierre noire, ou à la sanguine. Il dessine sans relâche, le plus souvent sur son genou, debout ou même à cheval, et parfois jusque sous le feu de l'ennemi. A l'issue d'un voyage de 13 mois durant lesquels il dessine plusieurs milliers de croquis, Vivant Denon rentre en France avec Bonaparte, et devient le premier artiste à publier le récit de cette expédition. Les 141 planches qui accompagnent son Journal retracent l'ensemble de son voyage, depuis les côtes de la Corse jusqu'aux monuments pharaoniques de la Haute Egypte. Bonaparte le nomme ensuite directeur général du musée central de la République, qui devient le musée Napoléon, puis le musée royal du Louvre et administrateur des arts. En 1805, Vivant Denon relance le projet de la colonne Vendôme, qui avait été suspendu en 1803. Il organise ensuite des expéditions dans toute l'Europe impériale pour amasser les objets d'art, qui sont pillés pour être emportés au Louvre. En 1814, Louis XVIII le confirme à la tête du Louvre, dont une aile porte encore son nom aujourd'hui. Il est considéré comme un grand précurseur de la muséologie, de l'histoire de l'art et de l'égyptologie. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Didot, Paris 1803, 40x54cm, une feuille.
Gravure originale in folio, extraite du Voyage dans la Basse et la Haute Egypte de Vivant Denon. Planche composée de 4 vues ainsi décrites par l'auteur : N° 1. Tombeaux dans les carrieres de Silsilis : ces carrieres, prolongées dans la masse du rocher de grès, conservoient sur le rivage une espece de façade percée de portes, qui servent d'ouvertures à passer les matériaux tirés de l'intérieur pour les embarquer sur le Nil ; cette espece de façade étoit décorée de petits portiques pris à même dans la masse et sculptés avec soin, sans ragréer autrement les rochers dans lesquels ils étoient pris, comme on peut le voir à droite de l'estampe ; au milieu, où sont les quatre personnages avec des piques, est l'entrée d'une des rues de ces carrieres ; à gauche une inscription décorée d'un couronnement couvert d'emblêmes sacrés ; et ce qu'il y a d'étrange dans ce monument, c'est que les lignes paralleles entre elles ne sont pas perpendiculaires ; l'espece de champignon qui est à gauche a servi sans doute de témoin pour aider au calcul de l'exploitation de la carriere, comme nous en conservons de nos jours pour les déblaiements des terres ou le nivellement d'un sol ; l'erreur que l'imagination enfante, et que l'amour du merveilleux propage, seroit le plus souvent détruite, si l'on vouloit de bonne foi observer et se rendre compte du physique des choses, et ne pas leur prêter une maniere d'être qu'elles n'ont pas. Les voyageurs ont toujours vu ce morceaux de rocher comme une des colonnes qui servoient à attacher une chaîne, que l'on croit qui devoit fermer le Nil à ce point, où ce fleuve est resserré par les montagnes ; cependant il auroit fallu que cette chaîne eût été ou de corde ou de fer : si elle eût été de fer, son poids eût entraîné une colonne douze fois plus grosse que celle-ci ; si elle eût été de chanvre, on verroit encore les marques de l'endroit où elle auroit été attachée ; elle auroit d'ailleurs bien vite dégradé par le frottement une pierre tendre ; et puis, quelle auroit été la machine qui eût pu tendre une corde qui auroit traversé ce grand fleuve ? La meilleure preuve que ce n'étoit point là la colonne de la chaîne, c'est qu'une chaîne ne pouvoit être attachée à cette colonne, et que, si la chaîne a existé, c'est par d'autres moyens qu'elle a été attachée et tendue. N° 2, 3, et 4. Figures dans les tombeaux, sur le devant des carrieres de Silsilis. Ces figures, de grandeur naturelle, sculptées à même dans la masse du rocher, étoient le plus souvent à peine ébauchées : chaque chambre de ces tombeaux, de 7 sur 10, et de 8 sur 11 pieds, est constamment revêtue en stuc avec des peintures, et contient une, deux, trois, ou quatre figures. Rousseurs, sinon bel état de conservation. Publié pour la première fois en deux volumes, dont un atlas de gravures, chez Didot, en 1802, le 'Voyage dans la Basse et la Haute Égypte' connut un tel succès qu'il fut traduit dès 1803 en Anglais et en Allemand, puis quelques années plus tard en Hollandais et en Italien, notamment. Presque toutes les planches sont dessinées par Denon, qui en a aussi gravé lui-même un petit nombre, notamment des portraits d'habitants d'Egypte, qui ont encore gardée toute la fraîcheur d'esquisses prises sur le vif (nos 104-111). Une bonne vingtaine de graveurs ont également collaboré à la création des eaux-fortes dont Baltard, Galien, Réville et d'autres. Dominique Vivant, baron Denon, dit Vivant Denon, né à Givry le 4 janvier 1747 et mort à Paris le 27 avril 1825, est un graveur, écrivain, diplomate et administrateur français. A l'invitation de Bonaparte, il se joint à l'expédition d'Egypte en embarquant dès le 14 mai 1798 sur la frégate " La Junon ". Protégé par les troupes françaises, il a l'opportunité de parcourir le pays dans tous les sens, afin de rassembler le matériau qui servit de base à son travail artistique et littéraire le plus important. Il accompagne en particulier le général Desaix en Haute Egypte, dont il rapporte de très nombreux croquis, lavis à l'encre et autres dessins à la plume, à la pierre noire, ou à la sanguine. Il dessine sans relâche, le plus souvent sur son genou, debout ou même à cheval, et parfois jusque sous le feu de l'ennemi. A l'issue d'un voyage de 13 mois durant lesquels il dessine plusieurs milliers de croquis, Vivant Denon rentre en France avec Bonaparte, et devient le premier artiste à publier le récit de cette expédition. Les 141 planches qui accompagnent son Journal retracent l'ensemble de son voyage, depuis les côtes de la Corse jusqu'aux monuments pharaoniques de la Haute Egypte. Bonaparte le nomme ensuite directeur général du musée central de la République, qui devient le musée Napoléon, puis le musée royal du Louvre et administrateur des arts. En 1805, Vivant Denon relance le projet de la colonne Vendôme, qui avait été suspendu en 1803. Il organise ensuite des expéditions dans toute l'Europe impériale pour amasser les objets d'art, qui sont pillés pour être emportés au Louvre. En 1814, Louis XVIII le confirme à la tête du Louvre, dont une aile porte encore son nom aujourd'hui. Il est considéré comme un grand précurseur de la muséologie, de l'histoire de l'art et de l'égyptologie. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Didot, Paris 1803, 40x54cm, une feuille.
Gravure originale in folio, extraite du Voyage dans la Basse et la Haute Egypte de Vivant Denon. Planche composée de 3 vues ainsi décrites par l'auteur :N° 1. Un trait géométral du couronnement d'une porte d'Apollinopolis parva, aujourd'hui Qouss, dont le n° 3 est la vue pittoresque. Ce fragment se trouvant à portée, j'en ai mesuré avec exactitude toutes les courbures et les dimensions de ses détails: le plan et l'échelle sont au bas de la figure. N° 2. Inscription qui est sur le listel du couronnement de la porte de Qouss à sa partie sud, qui étoit sans doute l'entrée du temple dont cette porte faisoit partie : cette dédicace, postérieurement faite du temps des Ptolomées, est actuellement dans l'état où je la donne ; le citoyen Parquoi, avec l'attention et le soin dont il est capable, et avec les lumieres qu'une longue étude lui ont acquises, a fait aux lettres fragmentées les restitutions ponctuées que l'on voit à la troisieme et à la quatrieme ligne, et la traduction qui suit.Il m'a accordé les mêmes bontés pour l'inscription, que j'ai rapportée de Tintyra, que l'on peut voir dans le journal, tome II, page 212. N° 3. Vue pittoresque du village de Qouss, et du monument que l'on voit au milieu de la place, le seul reste de la ville antique d'Apollinopolis parva ; le contraste de la gravité de ce seul fragment avec tous les édifices arabes dont il est environné est encore plus frappant dans la vérité que dans la gravure : si l'on fouilloit en avant de cette ruine, on trouveroit sûrement les restes du temple dont cette porte faisoit partie ; l'exhaussement de cette place a été la suite des constructions, ruines, et reconstructions de méchantes barraques arabes faites sur les combles des antiques édifices, pour se loger d'une maniere plus assurée. Ce que l'on voit au-dessus du listel de cette porte est encore un reste de mur de ces especes de fabriques. Le squelette de chameau qui est en avant rappelle un usage établi en Orient de ne point traîner hors des villes et des villages les corps des animaux qui y meurent, d'en laisser infecter les habitations jusqu'à ce que les corbeaux, les vautours, ou les chiens, auxquels les habitants ne donnent aucune autre nourriture, les délivrent de l'odeur infecte de ces cadavres hideux. Rousseurs, sinon bel état de conservation. Publié pour la première fois en deux volumes, dont un atlas de gravures, chez Didot, en 1802, le 'Voyage dans la Basse et la Haute Égypte' connut un tel succès qu'il fut traduit dès 1803 en Anglais et en Allemand, puis quelques années plus tard en Hollandais et en Italien, notamment. Presque toutes les planches sont dessinées par Denon, qui en a aussi gravé lui-même un petit nombre, notamment des portraits d'habitants d'Egypte, qui ont encore gardée toute la fraîcheur d'esquisses prises sur le vif (nos 104-111). Une bonne vingtaine de graveurs ont également collaboré à la création des eaux-fortes dont Baltard, Galien, Réville et d'autres. Dominique Vivant, baron Denon, dit Vivant Denon, né à Givry le 4 janvier 1747 et mort à Paris le 27 avril 1825, est un graveur, écrivain, diplomate et administrateur français. A l'invitation de Bonaparte, il se joint à l'expédition d'Egypte en embarquant dès le 14 mai 1798 sur la frégate " La Junon ". Protégé par les troupes françaises, il a l'opportunité de parcourir le pays dans tous les sens, afin de rassembler le matériau qui servit de base à son travail artistique et littéraire le plus important. Il accompagne en particulier le général Desaix en Haute Egypte, dont il rapporte de très nombreux croquis, lavis à l'encre et autres dessins à la plume, à la pierre noire, ou à la sanguine. Il dessine sans relâche, le plus souvent sur son genou, debout ou même à cheval, et parfois jusque sous le feu de l'ennemi. A l'issue d'un voyage de 13 mois durant lesquels il dessine plusieurs milliers de croquis, Vivant Denon rentre en France avec Bonaparte, et devient le premier artiste à publier le récit de cette expédition. Les 141 planches qui accompagnent son Journal retracent l'ensemble de son voyage, depuis les côtes de la Corse jusqu'aux monuments pharaoniques de la Haute Egypte. Bonaparte le nomme ensuite directeur général du musée central de la République, qui devient le musée Napoléon, puis le musée royal du Louvre et administrateur des arts. En 1805, Vivant Denon relance le projet de la colonne Vendôme, qui avait été suspendu en 1803. Il organise ensuite des expéditions dans toute l'Europe impériale pour amasser les objets d'art, qui sont pillés pour être emportés au Louvre. En 1814, Louis XVIII le confirme à la tête du Louvre, dont une aile porte encore son nom aujourd'hui. Il est considéré comme un grand précurseur de la muséologie, de l'histoire de l'art et de l'égyptologie. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris, Picard et fils, 1898. In-8 broché de (4)-XVIII-346 pp. non coupé, table, 1 carte dépliante.
Édition originale de l'étude d'André Réville publiée avec une introduction historique par Charles Petit-Dutaillis pour la collection Mémoires et documents publiés par la Société de l'École des chartes (II). Bel exemplaire.
Paris, Fischbacher, 1898, in-8°, 2 ff. + IV + 324 p., pages brunis ex-libris ‘Jeanne Béguelin’, reliure en demi-cuir rouge, bel exemplaire.
Jean Réville, Pasteur, maître de conférences à la faculté de Théologie protestante de Paris. image disp.
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1874 Feuille 26.8x36.8 cm
Image disp.
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Paris Librairie Fischbacher 1885 in 8 (23x14,5) 1 volume reliure demi chagrin havane, dos à nerfs, XIII et 413 pages [1]. Ex-libris R. V. F. Histoire des religions, II. Bel exemplaire, bien relié ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide
Mulhouse, Editions du rhin, 1989; in-8, 302 pp., cartonnage de l'éditeur.
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Imprimerie Impériale, Paris 1809-1829, 53,5x70cm, une feuille.
Gravure originale à l'eau-forte in plano, non rognée, extraite de l'édition dite «Impériale» de la Description de l'Égypte ou Recueil des observations et recherches faites en Égypte pendant l'expédition française, publié par les ordres de Sa Majesté l'Empereur Napoléon le Grand. Réalisée entre février 1802 et 1829 sur ordre de Napoléon Bonaparte et publiée à partir de 1809 [en réalité 1810], elle fut tirée à 1000 exemplaires sur Vergé filigrané «Égypte ancienne et moderne» et offerte aux institutions. Rousseurs en bordure des marges supérieure et inférieure sans aucune atteinte à la gravure, légère décharge d'encre au dos, sinon excellent état de fraîcheur et de conservation. ARCHITECTURE ISLAMIQUE DU CAIRE : L'ensemble de gravures auquel cette planche appartient constitue une des premières études raisonnées des monuments de l'Egypte islamique au Caire, rassemblant plans, coupes et élévations de mosquées, de mausolées et de fortifications, depuis le IXe siècle tulunide jusqu'aux constructions mameloukes contemporaines de l'arrivée des troupes de Bonaparte. Par ailleurs, les architectes et ingénieurs de l'Institut d'Egypte ont réalisé une large série de planches consacrées aux habitations et constructions civiles, qu'elles soient de grande ou plus modeste facture, apportant de précieux témoignages sur la vie des Cairotes de la fin du XIXe siècle. Les quelques vestiges antiques restant dans la ville furent également immortalisés par les savants de l'Institut, qui avaient établi leurs quartiers dans la capitale. Volume ETAT MODERNE, I : Le génie des savants de l'Institut se révèle particulièrement à travers les planches de la section dite Egypte Moderne. Architecture, industrie, structures sociales, état sanitaire, régime des eaux, musique, artisanat, sont exposés avec une précision et une qualité graphique exceptionnelle. L'esprit de L'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert reste sous-jacent dans la démarche des dessinateurs de la Description de L'Egypte, qui accompagnent les volumes de textes de nombreuses planches détaillées, s'employant à dresser un portrait des populations empreint de beauté et de respect. Riches pachas ou simples artisans potiers sont représentés avec sensibilité, vaquant à leurs occupations au milieu de compositions esthétiques, sans pour autant tomber dans l'idéalisme ou la caricature. LA DESCRIPTION DE L'EGYPTE, édition IMPERIALE (1809-1829) : La Description de l'Egypte est un des chefs d'uvre de l'édition française et le point de départ d'une nouvelle science: l'égyptologie. Titanesque exposé de l'Egypte au temps des conquêtes de Bonaparte entre 1798 et 1799, elle est répartie en 23 volumes dont 13 volumes de gravures rassemblant près de 1000 planches en noir et 72 en couleur. Les 6 volumes de planches intitulées Antiquités sont consacrés aux splendeurs de l'Egypte pharaonique. L'Histoire naturelle est répartie en 3 volumes de gravures. Un volume est consacré aux Cartes géographiques et topographiques tandis que les 3 volumes : Etat Moderne dressent un portrait saisissant de l'Egypte copte et islamique telle qu'elle était vue par les armées d'Orient de Bonaparte. La «campagne d'Egypte», désastre militaire, dévoile à travers les gravures de la Description de l'Egypte la réussite scientifique qu'elle est devenue, grâce aux quelques 167 savants membres de la Commission des sciences et des arts de l'Institut d'Egypte qui suivaient l'armée de Napoléon. L'Institut a réuni en Egypte le mathématicien Monge, le chimiste Berthollet, le naturaliste Geoffroy Saint-Hilaire, ainsi que de nombreux artistes, ingénieurs, architectes, médecins... Ils eurent la charge de redécouvrir l'Egypte moderne et antique, d'en montrer les richesses naturelles, et le savoir-faire de ses habitants. L'édition originale, dite «Impériale», de la Description de l'Egypte fut réalisée sur quatre formats de grande taille, deux d'entre eux spécialement créés pour elle et baptisés formats «Moyen-Egypte» et «Grand-Egypte». On construisit une presse spécifique pour son impression, qui s'étala sur vingt ans, entre 1809 et 1829. L'édition Impériale s'avéra si populaire qu'une deuxième édition en 37 volumes entièrement en noir et sans le filigrane «Egypte ancienne et moderne», dite édition «Panckoucke», fut publiée à partir de 1821 par l'imprimerie C.-L.-F. Panckoucke (Paris). La réalisation de ce monument d'érudition doit beaucoup au baron Dominique Vivant Denon, illustrateur, diplomate, collectionneur et par la suite directeur du musée Napoléon du Louvre qui accompagna Napoléon en Egypte avec de nombreux autres savants mais décida seul de s'aventurer dans le Sud du pays, alors que les autres scientifiques conviés restaient confinés dans la région du Caire. Les fabuleux croquis rapportés par Denon lors de sa romanesque chevauchée donnèrent l'idée à Bonaparte d'y envoyer les autres membres de l'Institut et ainsi dresser un portrait fidèle et complet du territoire. A la suite de Denon, ce sont donc les plus grands scientifiques et artistes français qui s'aventurèrent le long du Nil jusqu'en Nubie. Parmi eux, le peintre au muséum d'histoire naturelle H.J. Redouté (frère de Pierre-Joseph Redouté, auteur des Roses), le minéralogiste Dolomieu, le dessinateur Joly, et les ingénieurs Fourier et Costaz, chargés de l'étude scientifique des vestiges antiques de Haute-Egypte. Sans doute pour la première fois réunie dans une telle expédition, l'élite scientifique et artistique française, composée de plus de 160 «savants» dont près de 50 artistes, étudie méthodiquement l'Egypte pendant trois ans. Ils réalisent alors, sous l'égide et à la gloire de Napoléon, la plus vaste analyse historique, géographique, scientifique, économique et ethnologique jamais réalisée sur un pays. Mais ce sont peut-être les gravures qui constituèrent le défi technique majeur de cette Description de l'Egypte, comme en témoigne Yves Laissus, commissaire de l'exposition organisée en 2009 par la RMN et le Musée de l'Arméeaux Invalides: «L'illustration, 836 planches dont une soixantaine en couleurs, gravées à l'eau forte et au burin dans des formats jusqu'alors inusités (le plus grand couvre près d'un mètre carré), a nécessité la construction de nouvelles formes et cuves pour la fabrication du papier, justifié l'invention, par Nicolas Conté, d'une machine destinée à alléger la besogne des graveurs, et exigé la réalisation de nouvelles presses capables d'imprimer ces images immenses. Certaines d'entre elles ont demandé deux années de travail. Près de 200 graveurs ont reproduit sur le cuivre les uvres de 62 dessinateurs dont 46 ont participé à l'expédition.» Rare et superbe gravure originale d'une exceptionnelle facture et qualité graphique, témoignage d'une des plus ambitieuses aventures éditoriales françaises. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris, C. Reinwald, J. Cherbuliez, 1865 in-12, [2] ff. n. ch., 330 pp., un f. n. ch. d'errata, demi-chagrin cerise, dos à nerfs orné de filets à froid, tranches mouchetées de bleu (reliure de l'époque). Infimes accrocs au dos.
Edition originale de cette petite biographie, qui connut des traductions anglaises la même année.Peu connu en France, Theodor Parker (1810-1860), théologien unitarien américain, inspira aussi bien Abraham Lincoln que Martin Luther King, par la résistance à la fois théorique et pratique qu'il mena à Boston contre le Fugitive slave act du 18 septembre 1850, compromis politique conçu pour apaiser les tensions entre Etats esclavagistes et non-esclavagistes, mais violemment pris à partie par les abolitionnistes. Grâce aux actions de Parker et de son Comité, de 1850 jusqu'au début de la Guerre de Sécession, seuls deux esclaves furent capturés à Boston et ramenés dans le Sud. À chaque fois, les Bostoniens organisèrent des manifestations afin de marquer leur désapprobationSabin, 70 290. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1869 . Libr. Baillière , In 12 relié 1/2 toile creme à la bradel.Couvertures conservées .XX ,184 pp.
Bon exemplaire .
1869 . Edit. Germer Baillière , In 12 relié 1/2 toile .Pièce de titre rouge .187 pp.
Bon exemplaire .
Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] s.d.(1866), 15,5x25cm, agrafé.
Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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