Write to the booksellers10 books for « rette adolphe 1863 ... »Edit
Du Diable à Dieu. Histoire d'une conversion. Préface de François Coppé.
Paris, Léon Vanier, A. Messein successeur, 1907 ; in-16 (187 mm), broché ; VIII, 208 pp., couverture jaune paille.
Edition originale, mention fictive de "dixième édition".Très jeune, il sera influencé par son grand-père maternel, Adolphe Borgnet, assez anticlérical et libertaire ; il deviendra anarchiste et préconise un retour à la nature. En 1906, il se convertit au catholicisme.Exemplaire en bel état.
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Lettre autographe signée à Achille Ségard
Adolphe Retté (1863-1930), poète symboliste, anarchiste. L.A.S., 20 janvier 1897, 1p in-8. A Achille Ségard (1872-1936), écrivain, journaliste. Il a reçu la publication de Ségard, dans laquelle il devait y avoir des vers de Retté, avec des coquilles. Il demande qu'à l'avenir il reçoive des épreuves à corriger. [253]
Lettre autographe signée à Achille Ségard
Adolphe Retté (1863-1930), poète symboliste, anarchiste. L.A.S., 4 septembre 1896, 1p in-8. A Achille Ségard (1872-1936), écrivain, journaliste. Il rappelle Ségard à ses engagements et réclame de nouveaux 4 volumes qui lui appartiennent. [253]
Lettre autographe signée à Achille Ségard
Adolphe Retté (1863-1930), poète symboliste, anarchiste. L.A.S., 9 décembre 1896, 1p in-8. A Achille Ségard (1872-1936), écrivain, journaliste. Il sera de passage à Paris dimanche 13 et souhaite s'inviter à dîner chez Ségard. [253]
Lettre autographe signée à Achille Ségard
Adolphe Retté (1863-1930), poète symboliste, anarchiste. L.A.S., 3 mai 1896, 1p in-8. A Achille Ségard (1872-1936), écrivain, journaliste. Il souhaite que l'article de Ségard paraisse le 1er juin. Probablement dans le journal La Plume. [253]
Lettre autographe signée à Achille Ségard
Adolphe Retté (1863-1930), poète symboliste, anarchiste. L.A.S., 31 mai 1895, 1p in-8. A Achille Ségard (1872-1936), écrivain, journaliste. Il lui indique comment se rendre chez lui, à Guermantes, le dimanche suivant. [253]
Lettre autographe signée à Achille Ségard
Adolphe Retté (1863-1930), poète symboliste, anarchiste. L.A.S., 28 juin 1895, 1p in-8. A Achille Ségard (1872-1936), écrivain, journaliste. Il demande 20 francs « sur le prix d'un portrait » et les livres qu'il lui a prêtés. [253]
Lettre autographe signée à Achille Ségard
Adolphe Retté (1863-1930), poète symboliste, anarchiste. L.A.S., [8 septembre 1896 ?], 1pŒ in-8. A Achille Ségard (1872-1936), écrivain, journaliste. Mouillée en bordure, quelques lignes difficiles à lire. Il raconte des voyages récents, n'a pas reçu le livre de Ségard, peut-être conservé par Léon Deschamps ne le sachant pas de retour. Il indique à qui d'autre l'envoyer : Charles Merki du Mercure de France, Roland de Marès de L'Ermitage (mais pas le fondateur Henri Mazel avec qui il est en froid), à Lucien Muhlfeld de La Revue Blanche, à Pujo, Linet. Double feuillet presque détaché. [253]
Lettre autographe signée à son « cher Valette », (Alfred Valette, homme de lettres et éditeur français, fondateur du mercure de France). Paris, 5 Février 1901. 1 pp. gd in-8.
A propos d’un article du critique littéraire d’André Beaunier, « Les Parnassiens et les Symbolistes, publié dans le dernier N° du Mercure de France ». Le poète est perturbé par un des points de l’article et l’exprime à son confrère : « Monsieur Beaunier, qui ne s’est voué, je crois, que depuis peu à l’apologie du symbolisme, ignore peut-être que j’écrivais en 1892 dans l’Ermitage que " La manière d’art adoptée par le symbolisme consistait essentiellement à remplacer l’impression directe par la suggestion ". Si je tiens à signaler cette rencontre avec un esprit aussi distingué que M. Beaunier, c’est parce qu’ayant joué – on le sait, bien qu’on ne le dise pas toujours - un rôle assez considérable dans l’évolution de l’école symboliste, j’ai quelques droits à revendiquer la priorité pour une définition qui me parut, à l’époque résumer assez bien l’une des tendances du mouvement ».
Lettre autographe signée à son « cher Valette », (Alfred Valette, homme de lettres et éditeur français, fondateur du mercure de France). Paris, 5 Février 1901. 1 pp. gd in-8.
A propos d’un article du critique littéraire d’André Beaunier, « Les Parnassiens et les Symbolistes, publié dans le dernier N° du Mercure de France ». Le poète est perturbé par un des points de l’article et l’exprime à son confrère : « Monsieur Beaunier, qui ne s’est voué, je crois, que depuis peu à l’apologie du symbolisme, ignore peut-être que j’écrivais en 1892 dans l’Ermitage que " La manière d’art adoptée par le symbolisme consistait essentiellement à remplacer l’impression directe par la suggestion ". Si je tiens à signaler cette rencontre avec un esprit aussi distingué que M. Beaunier, c’est parce qu’ayant joué – on le sait, bien qu’on ne le dise pas toujours - un rôle assez considérable dans l’évolution de l’école symboliste, j’ai quelques droits à revendiquer la priorité pour une définition qui me parut, à l’époque résumer assez bien l’une des tendances du mouvement ».
