A Paris, de l'imprimerie de Firmin Didot, 1816. 351 pages. (22,5x15 Cm). Demi-veau. Dos lisse orné. Coins et coiffes émoussés. Plats et dos frottés. Ouvrage de l'écrivain et philologue d'origine provençale François Raynouard. Après une carrière littéraire honorable, Raynouard abandonna le théâtre afin de se consacrer à la philologie et à l'étude des langues du Moyen Âge. Cette grammaire constitue l'une des premières pierres d'un important édifice théorique consacré à l'étude des langues romanes, en particulier au vieux provençal et la production littéraire des Troubadours. Divisé en huit chapitres dédiés aux principaux syntagmes, cette grammaire formelle est richement illustrée de citations originales d'auteurs occitans célèbres. Bon exemplaire de cet ouvrage imprimé dans les ateliers de Firmin Didot. Taches et rousseurs éparses.
1805 A Paris, chez Giguet et Michaud, imprimeurs-libraires, rue des Bons-Enfants, no 6, an XIII, 1805. Un volume in-8° (130 x 203 mm) de LXXXII+118pages, portrait-frontispice gravé de Jacques de Molay signé Buquoy. Reliure de la fin du XIXe siècle en demi-basane verte, dos lissse orné, tranches jaunes.
Edition originale de cette pièce dont Napoléon Ier ordonna la représentation. La notice historique, également due à Raynouard, est une vibrante apologie des Templiers (Caillet, 9174).
Illustrations hors-texte. Préface de Maurice Mignon. Toulon. Sté Nlle des Imprimeries Toulonnaises. 1939. In-8 (158 x 240mm) broché, couverture orange imprimée, 69 pages, 11 planches d'illustrations hors texte, bien complet du feuillet d'errata, 3 coupures de journaux concernant Raynouard, ajoutées. Bon exemplaire.
1815 De limprimerie dAdrien Egron. Paris, Mame Frères, impr.-libraires, rue du Pot-de-Fer, no 14; Batilliot jeune, libraire, rue du Battoir, no 13; Delaunay, libraire, Palais-Royal, Galerie de bois, 1815. Un volume in-8° (133x198 mm) de [2]+V-140pages, portrait-frontispice gravé signé Lecerf. Reliure de lépoque en demi-basane racinée, dos lissse orné, tranches jaunes; plats restaurés.
Nouvelle édition de cette pièce «représentée pour la première fois sur le théâtre Français par les Comédiens ordinaires de lEmpereur, le 24 Floréal an XIII (14 mai 1805)» et imprimée la même année.
Paris : Mame, 1814 In-8, frontispice, 360 pages. Broché, couverture muette (un peu défraîchie).
Dos cassé ; quelques petites rousseurs. Dernière pièce de Raynouard à être représentée, elle fut jouée à Saint-Cloud le 22 juin 1810, devant Napoléon, qui la goûta peu et la fit interdire.