Paris, Firmin Didot, 1886. In-12, IX, 503 pp., toile brune (reliure modeste).
Société des Amis du Vieil Annecy, 1963. In-8, 155 pp., broché.
Illustrations.
Société des Amis du Vieil Annecy, 1963. In-8, 155 pp., broché.
Illustrations. Un des 200 exemplaires sur Vélin à grains, seul grand papier, comportant en hors-texte un bois gravé original de Marie BIENNIER.
Société des Amis du Vieil Annecy, 1958. In-8, 110 pp., broché.
Illustrations.
Société des Amis du Vieil Annecy, 1958. In-8, 110 pp., broché.
Illustrations. Un des 100 exemplaires sur Vélin à grains, seul grand papier, comportant en hors-texte une eau-forte originale de Joanny DREVET ainsi qu'une suite des illustrations.
Paris, Renaissance du livre, 1927. Petit in-8, 227 pp., broché.
Marcel AUBERT, J. BANCHEREAU, H. BESNARD, Raymond CHEVALLIER, DESHOULIERES, marquis de FAYOLLE, abbé MARBOUTIN, Etienne MICHON, du RANQUET, chanoine ROUX, SAINTENOY, Paul VITRY.
Reference : 110328
Paris, Picard, 1928 . In-8, 445, XCIV pp., broché. Figures dans le texte.
P., Crès, 1921 (Le Livre Catholique). Petit in-8, 234 pp. broché.
Exemplaire sur vélin de Rives. Petites taches à la couverture et au dos.
Lyon, Rusand, 1816. Petit in-8, 139 pp., broché, couverture papier moderne.
Ce discours avait remporté le prix double d'éloquence décerné en 1816 par l'Académie des Jeux floraux.
Paris, Maloine, 1908. In-8, (2) ff., 461 pp. broché, dos cassé.
Criminalité acquisitive ; Crimes contre l'enfance ; Actes de vengeance contre les maîtres ; Crimes passionnels ; Crimes politiques ; Empoisonnements ; Prostitution ; Alcoolisme ; Suicide ; etc... L'exemplaire se débroche.
Grenoble, Arthaud, 1975. In-8, 335 pp., cartonnage toile éditeur, jaquette.
Avec 155 illustrations dont 12 en couleurs.
Chambéry, Gorrin, an X - 1801. In-12, 54 pp. débroché.
Chambéry, Gorrin, 1803. In-12, 44 pp. broché.
Paris, Editions du Scorpion, 1947. In-12, 144 pp., broché.
Portrait en frontispice de Joseph Rivière. Edition originale, exemplaire numéroté sur alfa. Exemplaire très frais.
Paris, Champion, 1933. In-8, XVI, 241 pp., demi chagrin vert, dos à nerfs avec filets dorés, plats de couverture conservés.
« Souvenirs pleins desprit et dune qualité réelle » (Fierro, 525).
Paris, Flammarion, 1947. In-12, 138 pp., modeste demi percale brune.
P., Horizons de France, 1929 (Collection Types et Coutumes). In-4, 137 pp., broché.Illustré de planches et de vignettes en couleurs ou en camaïeu d'après les dessins originaux de Clément SERVEAU.
Tokyo, Antonin Raymond Seisho-Kwan 4-Chome Ginza, 1938. 4to (300 x 240 mm). In the original cloth covered board with spiral spine. With white title paper label to front board. Front board with a few stains. Previous owner’s stamp (Arkitekt Georg Fischer) to upper inner margin of front free end-paper. Both author’s printed signatures including a list of names from his staff and pupils to title-page. Internally fine. 116 pp. Printed in 1000 copies.
First edition of Antonin’s famous work published the same year he ended his Japanese period and returned to USA. Antonin played a pivotal role in the dissemination of modern architecture in the Japan. His initial work with American architects Cass Gilbert and Frank Lloyd Wright gave him an insight into the use of concrete that he would refine throughout his career, taking these innovations with him to Tokyo where he explored it’s use and integration with traditional Japanese building techniques. Antonin Raymond (1888-1976) was a prominent Czech-American architect now primarily known for his significant contributions to modern architecture in Japan.In 1919, Raymond relocated to Tokyo, Japan, where he would spend the majority of his career and make a lasting impact on the architectural landscape of the country. He was invited by the Japanese government to work as a consultant and advisor on contemporary architecture. Along with his wife, Noémi Pernessin Raymond, who was also an architect, Raymond established an architectural firm called ""Raymond and Raymond.""One of Raymond's most notable projects is the iconic Imperial Hotel in Tokyo, completed in 1923. The hotel showcased his ability to merge Western architectural techniques with traditional Japanese craftsmanship, resulting in a groundbreaking design that successfully withstood the devastating 1923 Great Kanto Earthquake. The Imperial Hotel became a symbol of Raymond's architectural prowess and innovation. After World War II, Raymond returned to the United States but maintained connections with Japan. He continued his architectural practice and also worked as a professor at the University of Hawaii. Raymond received numerous accolades for his contributions to architecture, including the Order of the Sacred Treasure, a prestigious honor bestowed upon him by the Japanese government in recognition of his significant achievements.
- Étincelles de mon enclume. Seconde édition. Extraits de conférences et d'articles sélectionnés par Aia Bertrand. Paris, Éditions Akademia Raymond Duncan, 1957. Broché, bon état, complet du portrait de l’auteur. - L’amour à Paris. Conférence donnée le 22 janvier 1932 sténographiée par Aventine de Bourguesdon. Paris, Éditions Akademia Raymond Duncan, s.d. Broché, en bon état. - Prometheus (Les grands crucifiés). Conférence à l’Université philosophique Paris le 16 mars 1919. Imprimé à l’œuvre Raymond Duncan, s.d. Broché en mauvais état. Bois gravés de Menalkas Duncan. - Les moyens de grève. Conférence prononcée par Raymond Duncan à la Bourse du travail de Paris, le 5 mai 1912, sous la présidence de Georges Yvetot. Paris, imprimé à L'Akademia Raymond Duncan, 1914. Broché, mauvais état, débroché. - Les travaux d’Hèraklès. Conférence par Raymond Duncan à l'Université philosophique Paris 9 mars 1919. Imprimé à l'Oeuvre Raymond Duncan 21 rue Bonaparte Paris, s.d. Broché, sali, état moyen. Bois gravés de Menalkas Duncan. - Échos de mon atelier. Imprimé à la main par Raymond Ducan, 31 rue Bonaparte, Paris, 1919. Broché, sali et débroché. - Exposition des tableaux et des travaux de Raymond Duncan. Galerie La Boëtie, Paris mai-juin 1920. Broché, sali. Bois gravés de Menalkas Duncan. - La parole dans le désert. Genesis chantée par Raymond Duncan à la salle des Agriculteurs le 22 avril 1920. Broché, couverture salie.
Belle carte en noir et blanc du Studio Piaz, représentant Raymond Frau dit Raymond Dandy, au format 9 x 14 cm. Superbe état. Carte dédicacée par Raymond Frau dit Raymond Dandy qui fut Clown, acteur et chanteur.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
[Raymond Gid] - Tory, Geoffroy - Perrat, Charles (trad.) - Gid, Raymond (ill. et typographie)
Reference : 5122
(1959)
Montanthiaume Pour Charles Perrat, Raymond Gid, André Jammes, et leurs amis 1959 in-16 en feuilles Montanthiaume, Pour Charles Perrat, Raymond Gid, André Jammes, et leurs amis [imp. Raymond Gid], 1959. 14 x 11,5 cm, in-16, 2 ff. bl. - 11 ff. n. ch. - 3 ff. bl., 8 petites illustrations en noir dont une sur la couverture, texte bilingue latin-français, en feuilles sous couverture blanche à rabats illustrée.
Edition originale de la traduction, due à l'archiviste-paléographe Charles Perrat, Ce petit texte dû à l'auteur du Champ-Fleury, qui fut publié par Simon de Colines (Simonem Colinaeum) en 1530, ne pouvait qu'inspirer son lointain confrère Raymond Gid. Impression sur B.F.K. Rives. Quelques rousseurs. Bon
GUREME (Raymond), avec Isabelle Ligner.
Reference : 122899
(2011)
ISBN : 9782702142219
Calmann-Lévy, 2011, in-8°, 235 pp, broché, couv. illustrée, soulignures et marques au stylo en marges, sinon bon état
À 85 ans, Raymond Gurême est l’un des rares survivants d’une page occultée de l’histoire de France : celle de l’internement sur son sol de familles « nomades », de 1940 à 1946. Né en 1925 dans une caravane, comme ses ancêtres, Raymond a suivi leurs pas sur la piste du cirque familial dans lequel il était clown et acrobate ; ses parents étaient également à la tête d’un cinéma ambulant. Mais, dès 1940, sa famille est victime des persécutions de Vichy à l’égard des Tsiganes, considérés comme d’éternels « étrangers errants ». Raymond et ses proches seront tout d’abord enfermés dans des conditions terribles au camp de Darnétal, en Seine-Maritime, avant d’être transférés à Linas-Montlhéry dans l’Essonne. Là, ils vivent séparés du monde, sans nourriture, sans hygiène, sans chauffage. Raymond, digne descendant des Fils du vent, refuse de se laisser enfermer : il réussit toujours à s’échapper de maisons de redressement, de camps d’internement, en France et de camps de travail en Allemagne. Pour survivre, il met à profit ses talents d’acrobate pour se nachave (« s’évader » en romani), et son humour de clown lui évite de perdre espoir dans les pires situations. À 18 ans, il rejoint la Résistance et participe activement à la libération du pays. Cela ne lui vaudra aucune reconnaissance. Aujourd’hui, comme pour mieux témoigner de la souffrance des siens, Raymond, patriarche de 15 enfants et de 150 descendants sur trois générations, s’est ancré avec sa famille à seulement quelques kilomètres du camp de Linas-Montlhéry où des années plus tôt il vécut un véritable enfer. Son récit passionnant se lit comme un roman d’aventures, tant ce personnage haut en couleur a défié la mort à de multiples reprises. — Né dans une caravane, Raymond marche dans les pas de ses ancêtres sur la piste du cirque familial. Tout disparait brutalement lorsque sa famille est enfermée, sur ordre de la police française dans les camps de Darnétal, près de Rouen, puis de Linas-Monthéry, dans l'Essonne. Là, la famille Gurême vit coupée du monde, sans nourriture, sans hygiène, sans chauffage. Mais Raymond réussit à s'en échapper et entre dans la Résistance. Il ne retrouvera les siens que neuf ans plus tard. Aujourd'hui, ce patriarche d'une famille de 15 enfants et de 150 descendants brise soixante-dix ans de silence pour dénoncer les discriminations toujours vives à l'égard des nomades. Un témoignage exceptionnel pour comprendre la tragédie des tsiganes de France.
Théâtre Raymond Duncan, Paris s.d. (1922), 12,5x12,5cm, une feuille.
Rare carton d'invitation pour assister à l'exposition des tuniques créées par Raymond Duncan, dans le théâtre-galerie qu'il fonda au 34, rue du Colisée, du 25 Avril au 1er Juin 1922. Bel et rare exemplaire. Raymond Duncan, frère de la célèbre danseuse Isadora Duncan, installa en 1911 à Paris une académie sur le modèle de Platon : «Raymond Duncan était fasciné par la Grèce antique depuis son enfance : l'esthétique et le mode de vie qu'il promouvait à l'Akademia étaient empreint de cette influence. La presse de l'époque glosait notamment sur les vêtements portés par Raymond Duncan et ses disciples : des tuniques « à la grecque » qu'il / qu'elle.s fabriquaient eux-mêmes. Derrière le ridicule supposé de cet accoutrement, ces tuniques unisexes était une manière d'abolir les différences de sexes et de classes sociales. Raymond Duncan aurait adopté cette tenue après que son cocher se soit vu refuser l'accès à une plage à cause de sa livrée qui trahissait son statut social. La vie de l'Akademia s'organisait autour de nombreuses activités : danse, musique, tissage, gymnastique, artisanat, filage, chant orphique, langue et philosophie grecques. Ces cours regroupaient des élèves extérieur.e.s - qui payaient selon leurs possibilités - et les membres de la communauté vivant entre ses murs pour quelques jours, quelques mois ou quelques années. Logé.e.s et nourri.e.s - selon le régime végétarien promu par Duncan -, ces dernier.ère.s, en contrepartie, participaient à l'économie de la communauté en fabriquant des sandales, en filant la laine, en tissant des tuniques sur des métiers primitifs. Ces artefacts étaient ensuite vendus - à des prix élevés - dans la boutique de l'Akademia situé rue du Faubourg Saint-Honoré.» (Journal de l'exposition Akademia: Performing Lifeà la Villa Vassilieff, 2018) - Photos sur www.Edition-originale.com -
Akadémia Raymond Duncan, Paris s.d. (1922), 12,5x12,5cm, une feuille.
Rare carton d'invitation pour assister à la représentation des danses d'Orient créées par Jeanne Ronsay et Toshi Komori, à l'Akadémia de Raymond Duncan le 20 Février 1922. Bel et rare exemplaire comportant une modification de la date de la représentation initialement prévue le 6 Février. Ces danses furent interprétées par Dara Manda, Souka Hati, Carola Perrier, La petite Jeanine, Charrat et le danseur Tranki. Raymond Duncan, frère de la célèbre danseuse Isadora Duncan, installa en 1911 à Paris une académie sur le modèle de Platon : «Raymond Duncan était fasciné par la Grèce antique depuis son enfance : l'esthétique et le mode de vie qu'il promouvait à l'Akademia étaient empreint de cette influence. La presse de l'époque glosait notamment sur les vêtements portés par Raymond Duncan et ses disciples : des tuniques « à la grecque » qu'il / qu'elle.s fabriquaient eux-mêmes. Derrière le ridicule supposé de cet accoutrement, ces tuniques unisexes était une manière d'abolir les différences de sexes et de classes sociales. Raymond Duncan aurait adopté cette tenue après que son cocher se soit vu refuser l'accès à une plage à cause de sa livrée qui trahissait son statut social. La vie de l'Akademia s'organisait autour de nombreuses activités : danse, musique, tissage, gymnastique, artisanat, filage, chant orphique, langue et philosophie grecques. Ces cours regroupaient des élèves extérieur.e.s - qui payaient selon leurs possibilités - et les membres de la communauté vivant entre ses murs pour quelques jours, quelques mois ou quelques années. Logé.e.s et nourri.e.s - selon le régime végétarien promu par Duncan -, ces dernier.ère.s, en contrepartie, participaient à l'économie de la communauté en fabriquant des sandales, en filant la laine, en tissant des tuniques sur des métiers primitifs. Ces artefacts étaient ensuite vendus - à des prix élevés - dans la boutique de l'Akademia situé rue du Faubourg Saint-Honoré.» (Journal de l'exposition Akademia: Performing Lifeà la Villa Vassilieff, 2018) - Photos sur www.Edition-originale.com -