Paris, Alexis Eymery, 1815. In-12 de (6)-VIII-272 pp., frontispice, demi-basane fauve, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Édition originale ornée d'un frontispice. Par l'auteur du Mémoire sur un moyen facile et infaillible de faire renaître le Patriotisme en France, Antoine-Joseph Raup de Baptestin de Moulières (1747-1827). Coiffes et dos frottés, mors partiellement fendus. Tourneux I, 539.
Paris, chez Alexis Eymery, impr. Imprimerie de Poulet, à Paris 1815 In-16 17 x 10 cm. Reliure de l’époque demi-basane havane, dos lisse orné de roulettes dorées, frontispice gravé, VIII-272 pp., résultat des votes pour le jugement de Louis XVI, récapitulation morale des 749 conventionnels dont on vient de voir les portraits, conventionnels qui ont péri sur l’échafaud. Ex-libris Monteynard. Dos légèrement frotté, intérieur assez frais.
Bon état d’occasion
Paris, Alexis Eymery et Delaunay 1816 In-12 17,5 x 10 cm. Reliure de l’époque demi-basane fauve à petis coins, dos lisse orné de filets dorés et à froid, XVIII-310 pp., gravure en frontispice. Ex-libris marquis de Monteynard. Mors fendillé en tête, intérieur frais.
Bon état d’occasion
PARIS. ALEXIS EYMERY, LIBRAIRE, ET DELAUNAY, LIBRAIRE. 1816. IN-12 (11 X 17,5 X 2,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE 310 PAGES, RELIURE POSTERIEURE 1/2 CHAGRIN A COINS HAVANE, SOULIGNEE D’UNE ROULETTE DOREE, DOS A QUATRE NERFS, TITRE DORE. ILLUSTRE D’UN FRONTISPICE GRAVE INTITULE: «TABLETTES CHRONOLOGIQUES». QUELQUES TRACES D’HUMIDITE ANCIENNE, DERNIERE PAGE UN PEU SALIE, SINON BON EXEMPLAIRE.
RAUP DE BAPTESTIN DE MOULIERES (Antoine-Joseph) publiciste français (1747-1827)
Reference : 104C23
A propos de 3 tableaux que le comte a commandé à un jeune artiste, élève du peintre Nicolas Guy Brenet. « J’ai examiné avec le plus grand soin les deux qui sont finis, celui qui est relatif à l’éducation et à la charité ; et l’adoration des trois rois. Et j’ai été surpris de leur exécution, au point de croire, en entrant dans l’atelier de M. Brenet qu’ils étaient de lui. Mais j’ai été bien plus surpris, Monsieur le Comte, ce que vous étiés (sic) convenu de payer les trois tableaux. Il n’y a aucun peintre de l’académie qui les ont faits pour 50 Louis chacun ; Et à cet égard, M.Brenet s’est joint au S. Boyer pour me faire observer que l’inexpérience de ce dernier lui avait fait acquiescer au prix convenu sans savoir les frais à déboursés qu’il aurait à faire ; et en effet, chaque toile lui revient à plus de 4 louis, et près de 5. Ajoutés à cela leur monture, les couleurs et autres menus frais, et vous sentirez aisément, Monsieur le Comte que l’ouvrage n’est pas payé à sa juste valeur… ». Il poursuit en lui indiquant qu’il voit en cet artiste un talent très prometteur. «…je pense que nous le verrons un jour au rang des bons maitres de l’école française. Quant au prix, lorsque vous aurez, Monsieur le Comte, reçu les tableaux, j’espère que vous lui accorderez une gratification proportionnée à la satisfaction que vous en aurez… ».