Paris, Société francaise d'imprimerie et de librairie, s.d. (vers 1907); in-8, 463 pp., br. Broché en bon état ptes usures envoi a son fils(signé)Société Française d'Imprimerie et de Librairie, 1907. 464 pp, biblio, index, broché, bon état. Edition originale Remarquable étude. — "Le chancelier du Vair a passé pour l'homme le plus éloquent de son temps. Sous ce rapport, il a soigné sa renommée car il fut un des premiers à imprimer et à répandre ses discours et ses écrits, à les revoir, à les corriger même selon l'effet obtenu, si l'on en croit ses contemporains. Il a donc laissé la matière d'une jolie étude. Elle convenait particulièrement à un jeune professeur, qui en a fait le sujet d'une thèse de doctorat ès lettres, brillamment soutenue en Sorbonne. Après une jeunesse passée soit à étudier en Italie, soit à intriguer avec le duc d'Anjou dans les Pays-Bas, Guillaume du Vair rentre dans la vraie vocation parlementaire de sa famille, et vient à Paris, où tout en remplissant sa charge de magistrat, il se lie avec les beaux esprits de l'époque : Turnèbe, Jean Morel, du Belloy, de Thou. Arrive la Ligue, et il se lance dans ce que nous appellerions aujourd'hui la politique. Partagé entre des tendances diverses, il déteste la tyrannie, surtout quand elle est exercée par un roi aussi faible et aussi méprisable que Henri III ; mais il est attaché aux traditions catholiques et monarchiques. De là des hésitations, qui furent celles du tiers-parti sous la Ligue. Elles s'accusent dans les oeuvres successives que M. Radouant a analysées avec beaucoup de soin : l'oraison funèbre de Marie Stuart, le discours des Barricades, la supplication au roi, le traité de la « constance, » l'exhortation à la paix, et surtout le discours pour la loi salique à la veille de ce fameux arrêt du Parlement de Paris, qui fit plus pour la cause de Henri IV qu'une armée. Guillaume du Vair vécut vingt-cinq ans encore ; mais il ne semble pas que la fin de sa carrière ait été aussi brillante que le début. Au reste, l'auteur nous a bien fait connaître l'homme et l'écrivain et son livre est plein de recherches érudites." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1908).
Broché en bon état ptes usures envoi a son fils(signé)Société Française d'Imprimerie et de Librairie, 1907. 464 pp, biblio, index, broché, bon état. Edition originale Remarquable étude. — "Le chancelier du Vair a passé pour l'homme le plus éloquent de son temps. Sous ce rapport, il a soigné sa renommée car il fut un des premiers à imprimer et à répandre ses discours et ses écrits, à les revoir, à les corriger même selon l'effet obtenu, si l'on en croit ses contemporains. Il a donc laissé la matière d'une jolie étude. Elle convenait particulièrement à un jeune professeur, qui en a fait le sujet d'une thèse de doctorat ès lettres, brillamment soutenue en Sorbonne. Après une jeunesse passée soit à étudier en Italie, soit à intriguer avec le duc d'Anjou dans les Pays-Bas, Guillaume du Vair rentre dans la vraie vocation parlementaire de sa famille, et vient à Paris, où tout en remplissant sa charge de magistrat, il se lie avec les beaux esprits de l'époque : Turnèbe, Jean Morel, du Belloy, de Thou. Arrive la Ligue, et il se lance dans ce que nous appellerions aujourd'hui la politique. Partagé entre des tendances diverses, il déteste la tyrannie, surtout quand elle est exercée par un roi aussi faible et aussi méprisable que Henri III ; mais il est attaché aux traditions catholiques et monarchiques. De là des hésitations, qui furent celles du tiers-parti sous la Ligue. Elles s'accusent dans les oeuvres successives que M. Radouant a analysées avec beaucoup de soin : l'oraison funèbre de Marie Stuart, le discours des Barricades, la supplication au roi, le traité de la « constance, » l'exhortation à la paix, et surtout le discours pour la loi salique à la veille de ce fameux arrêt du Parlement de Paris, qui fit plus pour la cause de Henri IV qu'une armée. Guillaume du Vair vécut vingt-cinq ans encore ; mais il ne semble pas que la fin de sa carrière ait été aussi brillante que le début. Au reste, l'auteur nous a bien fait connaître l'homme et l'écrivain et son livre est plein de recherches érudites." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1908).
Paris, Hachette, 1966; in-12, 573 pp., cartonnage de l'éditeur. Nouvelle édition par R. Radouant.
Nouvelle édition par R. Radouant.
A. HATIER. 1934. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. partiel. décollorée, Dos fané, Intérieur frais. 464 pages. Frontispice, lettrines et quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Tampons de bibliothèque. Quelques pages non coupées.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
HATIER A.. 1930. In-12. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. XII + 464 pages - Lettrines - frontispice en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 809-Histoire, littérature
Classification Dewey : 809-Histoire, littérature
Librairie Hatier. 1914. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos frotté, Intérieur acceptable. 464 pages. Reproduction en noir et blanc en frontispice. Illustré de nombreuses reproductions en noir et blanc. Bandeaux, lettrines et culs-de-lampe ornés en noir et blanc. Titres dorés sur le dos et le 1er plat. Etiquette de code sur le dos. Tampons de bibliothèque en page de titre. Quelques annotations dans le texte.. . . . Classification Dewey : 840.03-XVI ème siècle
'Collection d'auteurs français', sous la dir. de Ch.-M. Des Granges. Avec Intro., Bibliog., Notes, Grammaire, Lexique et Illustrations doc. par René Radouant (Lycée Henri IV). Classification Dewey : 840.03-XVI ème siècle
Société Française d'Imprimerie et de Librairie, Paris. Non daté. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 463 pages. Papier muet encollé sur le dos, le consolidant. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons et annotations de bibliothèque. Plats tachés et abîmés, avec des manques sur les bords. Quelques annotations au crayon dans le texte.. . . . Classification Dewey : 928-Ecrivains
(Rare) Par René Radouant, Docteur ès-Lettres, Prof. agrégé au Lycée Henri IV. Classification Dewey : 928-Ecrivains
LIBRAIRIE HATIER. 1914. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. IX + 464 pages - Frontispice en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 0-GENERALITES
Classification Dewey : 0-GENERALITES
Hatier. 1921. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 64 pages. Plats se détachant.. . . . Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle
'Les Classiques Pour Tous', N° 25. Extrait des Oeuvres de La Bruyère, par R. Radouant (Des Granges). Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle
Couverture rigide. Cartonnage de l'éditeur. 464 pages. Rousseurs.
Livre. Editions Hatier, 1914.
Couverture rigide. Cartonnage de l'éditeur. 744 pages. Cachet sur la page de titre.
Livre. Avec introduction, bibliographie, notes, grammaire, lexique et illustrations documentaires par René Radouant. Editions Hatier, 1936.
Couverture rigide. Cartonnage de l'éditeur. 464 pages. Rousseurs.
Livre. Editions Hatier, 1930.
P., Société Française d'Imprimerie et de Librairie, 1907, gr. in-8°, 464 pp, biblio, index, reliure demi-chagrin bleu nuit, dos à 5 nerfs, tête dorée, bel exemplaire. Edition originale, envoi a.s.
Remarquable étude. — "Le chancelier du Vair a passé pour l'homme le plus éloquent de son temps. Sous ce rapport, il a soigné sa renommée car il fut un des premiers à imprimer et à répandre ses discours et ses écrits, à les revoir, à les corriger même selon l'effet obtenu, si l'on en croit ses contemporains. Il a donc laissé la matière d'une jolie étude. Elle convenait particulièrement à un jeune professeur, qui en a fait le sujet d'une thèse de doctorat ès lettres, brillamment soutenue en Sorbonne. Après une jeunesse passée soit à étudier en Italie, soit à intriguer avec le duc d'Anjou dans les Pays-Bas, Guillaume du Vair rentre dans la vraie vocation parlementaire de sa famille, et vient à Paris, où tout en remplissant sa charge de magistrat, il se lie avec les beaux esprits de l'époque : Turnèbe, Jean Morel, du Belloy, de Thou. Arrive la Ligue, et il se lance dans ce que nous appellerions aujourd'hui la politique. Partagé entre des tendances diverses, il déteste la tyrannie, surtout quand elle est exercée par un roi aussi faible et aussi méprisable que Henri III ; mais il est attaché aux traditions catholiques et monarchiques. De là des hésitations, qui furent celles du tiers-parti sous la Ligue. Elles s'accusent dans les oeuvres successives que M. Radouant a analysées avec beaucoup de soin : l'oraison funèbre de Marie Stuart, le discours des Barricades, la supplication au roi, le traité de la « constance, » l'exhortation à la paix, et surtout le discours pour la loi salique à la veille de ce fameux arrêt du Parlement de Paris, qui fit plus pour la cause de Henri IV qu'une armée. Guillaume du Vair vécut vingt-cinq ans encore ; mais il ne semble pas que la fin de sa carrière ait été aussi brillante que le début. Au reste, l'auteur nous a bien fait connaître l'homme et l'écrivain et son livre est plein de recherches érudites." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1908)
P., Société Française d'Imprimerie et de Librairie, 1907, gr. in-8°, 464 pp, biblio, index, broché, bon état. Edition originale
Remarquable étude. — "Le chancelier du Vair a passé pour l'homme le plus éloquent de son temps. Sous ce rapport, il a soigné sa renommée car il fut un des premiers à imprimer et à répandre ses discours et ses écrits, à les revoir, à les corriger même selon l'effet obtenu, si l'on en croit ses contemporains. Il a donc laissé la matière d'une jolie étude. Elle convenait particulièrement à un jeune professeur, qui en a fait le sujet d'une thèse de doctorat ès lettres, brillamment soutenue en Sorbonne. Après une jeunesse passée soit à étudier en Italie, soit à intriguer avec le duc d'Anjou dans les Pays-Bas, Guillaume du Vair rentre dans la vraie vocation parlementaire de sa famille, et vient à Paris, où tout en remplissant sa charge de magistrat, il se lie avec les beaux esprits de l'époque : Turnèbe, Jean Morel, du Belloy, de Thou. Arrive la Ligue, et il se lance dans ce que nous appellerions aujourd'hui la politique. Partagé entre des tendances diverses, il déteste la tyrannie, surtout quand elle est exercée par un roi aussi faible et aussi méprisable que Henri III ; mais il est attaché aux traditions catholiques et monarchiques. De là des hésitations, qui furent celles du tiers-parti sous la Ligue. Elles s'accusent dans les oeuvres successives que M. Radouant a analysées avec beaucoup de soin : l'oraison funèbre de Marie Stuart, le discours des Barricades, la supplication au roi, le traité de la « constance, » l'exhortation à la paix, et surtout le discours pour la loi salique à la veille de ce fameux arrêt du Parlement de Paris, qui fit plus pour la cause de Henri IV qu'une armée. Guillaume du Vair vécut vingt-cinq ans encore ; mais il ne semble pas que la fin de sa carrière ait été aussi brillante que le début. Au reste, l'auteur nous a bien fait connaître l'homme et l'écrivain et son livre est plein de recherches érudites." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1908)
Hachette reliure Rigide Paris 1922 295 pages en format 11 - 17 cm - reliure rigide en percaline Livre personnalisé
Bon État