London, Lockyer Davis, 1772, 1775, 1776 & 1783. 4to. In recent marbled paper wrappers. Extracted from ""Philosophical Transactions"". Including title-page of volume. Most leaves reinforced in margin. Light offsetting from folded plates as usual. Plate depicting the full telescope with professional repair to lower right corner. Pp. (4), 147-264, 383-394, 225-248, 397-434.
First edition of Priestley's landmark paper on pneumatic chemistry. In this present work, which marked an new epoch in the history of chemistry, he announced the discovery of hydrochloric acid and nitric oxide, as well as the discovery that plants restored air that had been vitiated by combustion, putrefaction, and respiration. Priestley's 'contribution to the knowledge of gases were crucial. He improved the technique for studying them by collecting them over mercury instead of water, so that many more gases could be observed.His many chemical discoveries contributed to the ""chemical revolution""' (PMM)""The paper here, for which the Royal Society awarded Priestley the Copley medal announced the discovery of hydrochloric acid and nitric oxide and the use of the latter in measuring the purity of air, which led through the work of Cavendish, Fontana and others to exact eudiometry. Priestley also observed that plants consume carbon dioxide and gave out oxygen, thereby purifying air which has been vitiated by combustion, respiration and putrefaction, and that this action takes place only under daylight."" (Printing and the Mind of Man No. 217).""In this paper he also announced two new gases that he had obtained - nitrous oxide and carbonic oxide"" these won him the Royal Society's Copley medal. Two years later his experiments in heating red oxide of mercury produced ""dephlogisticated air"" which was announced in 1775 and identified by Lavoisier as oxygen."" (Dibner Heralds of Science No. 40).The work contains a proposal to saturate water with carbonic acid under either atmospheric or increased pressure, which led to the creation of the mineral-water industry.The Centenary of the discovery of oxygen was celebrated at Priestley's American home at Northumberland, Pennsylvania, and was followed in 1876 by the foundation of the American Chemical Society. (PMM). PMM 217. Honeyman No. 2535 - Barchas 1718. Dibner 40 Norman 1749
Le superbe exemplaire – en édition originale –relié en maroquin de l’époque aux armes du Comte d’Artois, futur Charles X, alors âgé de 14 ans. Paris, Chez Herissant le fils, 1771. 3 volumes in-12 de: I/ xlvi pp., (1) f. d’errata et d’Avis au relieur, 432 pp.; II/ (2) ff., 531 pp., (1) p. d’errata, 1 planche dépliante hors-texte; III/ (2) ff., 474 pp., (3) ff., 8 planches dépliantes hors-texte. Maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, fleurs-de-lys aux angles, armoiries au centre, dos à nerfs ornés de fleurs-de-lys, pièces de titre et de tomaison de maroquin vert, tranches dorées. Reliure de l’époque. 166 x 95 mm.
Edition originale française très appréciée, ornée de neuf planches gravées repliées. Connu pour ses travaux dechimisteet dephysicien, on attribue à Joseph Priestley la découverte de l’oxygènequ’il a isolé dans son étatgazeux. C’est en 1774 que Priestley produisit pour la première fois de l’oxygène. Cependant, en tant que partisan de la théoriephlogistique, il nomma ce nouveau gaz «air déphlogistiqué», et ne se rendit pas compte de l’importance de sa découverte.Carl Wilhelm Scheele, lui aussi partisan duphlogistique, revendiqua la découverte de l’«oxygène», mais il devait revenir au chimiste françaisAntoine Lavoisier, père de la chimie moderne et démystificateur de la théorie duphlogistique, d’identifier le nouveau gaz par son poids spécifique et de donner à l’oxygène son nom. De son vivant, la réputation scientifique de Priestley résulte de sa «découverte» de l’eau gazeuse, de ses traités sur l’électricitéet de ses études sur les différents «airs» (gaz), le plus connu étant celui qu’il baptise «l’air déphlogistiqué» (oxygène). L’Abbé Nollet est parmi les invités des salons littéraires deSceauxet des fêtes desGrandes Nuits de Sceaux, que donne laduchesse du Maine, dans le cercle desChevaliers de la Mouche à Miel, auchâteau de Sceaux. De 1730 à 1732, il est associé aux recherches dusurintendant du Fay, spécialiste de l’électricité, l’un des deux plus grands électriciens du début duXVIIIesiècle avec l’AnglaisStephen Gray. Prenant connaissance des observations de Maimbray en 1747 - expérience princeps d’électroculture, Nollet, qui étudiait alors la capillarité, se décide à étudier l’effet de l’électricité sur la végétation. Nollet, qui, en outre, avait découvert l’osmoseen 1748, se heurte d’abord àThomas-François Dalibard, puis àBenjamin Franklinsur la théorie de l’électricité et surtout sur la paternité de la découverte de l’origine électrique de la foudre. A partir de 1758, il prend le titre et la fonction de maître de physique desEnfants de France, ce qui a pour effet d’installer définitivement la physique expérimentale à la cour de France. Mort le 24 avril 1770, cette «Histoire de l’électricité» publiée quelques mois après sa mort sera l’une de ses toutes dernières œuvres scientifiques. Très bel exemplaire relié en maroquin de l’époque aux armes de Charles Philippe de France, Comte d’Artois, futur Charles X (1757-1836) (avec son rare premier fer: écartelé de France et d’Artois, portant, aux 2 & 3, d’azur semé de fleurs de lys d’or, au lambel de gueules (Olivier, 2540)), alors âgé de 14 ans. De la bibliothèque A. de Grateloup, avec ex-libris manuscrits en pages de garde.
(London, 1772). 4to. Bound in a fine recent brown hmorocco in old style, gilt back. In: Philosophical Transactions of The Royal Society pp. 147-264 (vol. 62) and 1 folded engraved plate (P.Basire Sc.). A fine large copy, broad margins, printed on good paper, clean and fine throughout.
First edition of this important tract, which marked an epoch in the history of chemistry. As it is Priestley's first extensive work on Gases, it foreshadowed his identification of Oxygen.""The paper here, for which the Royal Society awarded Priestley the Copley medal announced the discovery of hydrochloric acid and nitric oxide and the use of the latter in measuring the purity of air, which led through the work of Cavendish, Fontana and others to exact eudiometry. Priestley also observed that plants consume carbon dioxide and gave out oxygen, thereby purifying air which has been vitiated by combustion, respiration and putrefaction, and that this action takes place only under daylight."" (Printing and the Mind of Man No. 217).""In this paper he also announced two new gases that he had obtained - nitrous oxide and carbonic oxide"" these won him the Royal Society's Copley medal. Two years later his experiments in heating red oxide of mercury produced ""dephlogisticated air"" which was announced in 1775 and identified by Lavoisier as oxygen."" (Dibner Heralds of Science No. 40).The work contains a proposal to saturate water with carbonic acid under either atmospheric or increased pressure, which led to the creation of the mineral-water industry.The Centenary of the discovery of oxygen was celebrated at Priestley's American home at Northumberland, Pennsylvania, and was followed in 1876 by the foundation of the American Chemical Society. (PMM). Honeyman No. 2535 - The Barchas Collection No 1718.
Paris chez Herissant le fils 1771 3 vol. relié 3 vol. in-12, plein veau havane marbré, dos à nerfs orné de fleurons et encadrements dorés, pièces de titre et de tomaison, tranches rouges, XLVI + (2) + 432, (4) + 531 + (1) et (4) + 474 + (4) pp. (petites mouillures aux coins inférieurs en début et fin des trois volumes, épidermures aux coiffes des tomes II et III), 9 planches gravées dépliantes. Édition originale française de cette première histoire approfondie de la découverte et des théories de l'électricité. La traduction est attribuée par Barbier à Mathurin-Jacques Brisson. Bon exemplaire en reliure d'époque. Peu courant.
Chez Nyon, à Paris 1782, in-12 (10x17cm), xxiv, 282pp. 1pl. (6) et (4) 312pp., 2 volumes reliés.
Ouvrage traduit de l'anglois par M. Gibelin. Edition originale française. Un troisième tome paraîtra en 1783 et un 4e en 1787. L'exemplaire de la bibliothèque Sainte Geneviève compte bien 2 volumes à la date de 1782. Reliures en plein veau brun marbré. Dos lisse orné. Pièces de titres et de tomaisons en maroquin rouge. Frottements. Un accroc avec un petit manque en queue du tome II. Tranches rouges. Chimiste et théologien anglais, qui a isolé de nombreux gaz, tels que l'oxygène. Il est considéré comme l'un des fondateurs de la chimie moderne par ses contributions à l'expérimentation. Priestley (1733-1804), pasteur, théologien et chimiste, fut encouragé à publier son Histoire de l'électricité par le scientifique et homme d'État Benjamin Franklin, qu'il avait rencontré en 1766. Priestley découvrit entre autres que le charbon de bois conduit l'électricité. En 1767, il se rendit compte que l'électrisation des conducteurs reste superficielle. La même année, il devint pasteur à Leeds, dans le Yorkshire, où il commença à s'intéresser à la recherche dans le domaine des gaz. Grâce à son travail expérimental novateur, il fut élu à l'Académie des sciences en 1772, année où il publia ses Observations sur différentes espèces d'air. Sa plus grande contribution est l'isolement de l'oxygène en 1774. - Photos sur www.Edition-originale.com -
3 Bände. Paris, Herissant 1771. XLVI, 1 Bl., 432 S.; 2 Bl., 531 S. 1 S. Errata; 2 Bl., 474 S., 2 Bl. Mit 9 gefalteten Kupfern. Interimspappbände mit Kleisterpapierbezügen und handschriftlichen Rückenschildern.
Wheeler 453b. - Graesse V, 443. - Erste französische Ausgabe dieses bedeutenden physikalischen Werkes von J. Priestley (1733-1804), "possesor of a restless and universal mind. With help an encouragement from hist contemporaries, he reviewed the current theories of the nature of electricity, suggested lines of further investigation and described the electrical machines and allied apparatus." (Dibner, Early Electzrical Machines, S. 42). "This is the first extensive history of electrical discovery and theory, it is a storehouse of information ..." (Wheeler). - Papierbzug an den Einbänden berieben. Papier gleichmässig leicht gebräunt. - Unbeschnittenes Exemplar.
O.O., (um 1795). Kupferstich auf Papier von Thomas Holloway nach William Artaud. Bildgrösse: 34 x 25 cm.