3 books for « poupart de beaubourg j... »Edit

‎Le Pour et le contre. dans l'affaire qui fait tant de bruit, entre M. de Beaupoil-Saint-Aulaire & M. poupart de Beaubourg. Par un vieux militaire impartial, qui se nommeroit s'il étoit encore d'un âge à se donner en spectacle au public, mais qu'au besoin on devinera aisément‎

‎S.l., décembre 1788 in-8, 176 pp., demi-veau blond, dos à nerfs orné de filets dorés, pièce de titre cerise, tranches mouchetées (reliure du XIXe siècle). Dos insolé, mais bon exemplaire.‎

‎Très rare. Né à Lorient en 1755, Jean-Baptiste Poupart de Beaubourg avait obtenu le grade de capitaine de dragons et était entré, sur recommandation de son père, dans l'administration de la marine en qualité d'inspecteur. Il fit une carrière brouillonne d'espion en Angleterre, où il réussit à dérober des plans et dessins de machines de guerre, mais fut désavoué par le maréchal de Castries, avant de jouer un petit rôle dans la prise de la Bastille, d'échapper de justesse aux massacres de septembre, et de finir cependant sous la guillotine en 1794, victime d'un différend avec Fouquier-Tinville.C'est ce personnage remuant, peu sûr et affabulateur, qui composa plusieurs pamphlets contre le marquis Charles-Joseph Beaupoil de Sainte-Aulaire (1758-1829) à propos d'une dette prétendue de 2797 livres.Au CCF, exemplaires seulement à la BnF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Observations sur la réponse du Roi, à la Cour des Aides. du 25 août 1787. De la nécessité d'assembler les États Généraux, & de rappeler le Parlement de Paris‎

‎S.l., 1787 in-8, 32 pp., dérelié. ‎

‎Un des écrits pré-révolutionnaire de l'inspecteur de la marine Poupart de Beaubourg (1755-1794), malmené par les bureaux de son administration, et avide de revanche sociale. Fait figurer en regard les termes de la réponse royale (en corps moyen, laconiques et claires) et le commentaire des Observations (en petit corps, prolixe et diffus)."Ce n'est point à mes Cours de justice à me demander la convocation des États-Généraux. C'est à moi de juger si les circonstances l'exigent, & j'ai jugé qu'elles ne l'exigeoient pas. Vous n'auriez pas dû renouveler cette demande". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Le premier cri de la vérité aux représentants suprêmes du Peuple français, en leur présentant ma pétition.‎

‎Imprimé le 5 JUILLET 1789 Broché Très bon Paris 1789 1 plaquette in-4°‎