Béziers. Editions du Gay Sçavoir. Gaston Vinas, directeur. 1929. In-8° broché. 136 pages. E.O. 1/500 du tirage de base. Avec une intéressante lettre manuscrite d'Albert Poujol sur papier à en-tête du journal " L'Indépendant " (agence de Lodève), dont Albert Poujol était directeur.
Bon état.
Le Gay Sçavoir, Gaston Vinas, Béziers. 1927. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 136 pages. Dessin rouge en page de titre. Dessin en noir et blanc en frontispice. Illustré de lettrines rouges. Etiquette de code sur le dos. Annotation et tampons de bibliothèque sur le 1er plat et en page de titre.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Couverture et dessins de Max Théron. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Béziers; Aux Éditions du Gay Sçavoir, tirage à 550 exemplaires numérotés (n°495), couverture et dessin de Max Théron, 137 pages, bon état. Frais de port en supplément.
Envoi en lettre suivie : + 4,80 euros
Res Universis / Le Livre d'Histoire, 1993, in-4 br. (20,5 x 29), 67 p. + 32 fnch, coll. "Trésors de la Picardie", 29 planches in-fine de A. Lemasson, carte, bon état.
Les Églises fortifiées de la Thiérache ne sont pas l'oeuvre d'une vie, mais la manifestation d'un "coup de coeur", écrit Robert Poujol, qui a bien voulu donner son accord pour la publication de l'étude qu'il rédigea en 1959. Situées sur un axe de tourisme international, à 170 km de Paris, les églises de la Thiérache demeurent encore aujourd'hui mal connues du public. Lieux de culte, à l'origine, elles se sont ornées de tours, de donjons et de mâchicoulis pour jouer un rôle militaire essentiel. Qui les a construites ? Pourquoi ont-elles été dotées de ces défenses ? C'est ce que tente d'expliquer l'auteur qui, alors sous-préfet de Vervins, visita ces étranges églises lors de ses traditionnelles tournées dans les mairies du terroir thiérachien. La partie spécifiquement religieuse des édifices remonte très souvent du XIIe au XVe siècle ; la partie militaire date, neuf fois sur dix, du XVIIe siècle. En cas d'alerte, les habitants de la commune se réfugiaient dans le fort, avec vivres armes et munitions. Les animaux pouvaient même y être protégés. Les usages profanes des parties non militaires seront nombreux jusqu'au XIXe voire jusqu'au XXe siècle. Voir le sommaire sur photos jointes.