Levy frères Paris 1861-65 4 vol. 4 vol. in-8 de 2 ff.n.ch. 429 pp., 2 ff.n.ch. 525 pp., 2 ff.n.ch. 490 pp. et 2 ff.n.ch. 447 pp., demi-percaline fin XIXème, dos lisse, titre doré, couverture conservée.
Edition originale de ces mémoires importants sur la vie politique en France à cette période (Fierro 1189 - Tulard 1173 - Bertier de Sauvigny 819). Bon exemplaire malgré des rousseurs et une mouillure angulaire en marge du tome II.
Paris, Michel Lévy Frères, 1861-1865 4 vol. in-8, portrait-frontispice au tome I, demi-basane brune, dos à nerfs orné (reliure de l'époque). Dos passés. Rousseurs.
Édition originale.Quelques notes sur la fin de l'Ancien Régime et les États-Généraux, l'histoire de son mandat à la Convention Nationale et son action au Conseil des Cinq-Cents sous le Directoire composent les tomes I et II. Le tome III est consacré à l'Empire : Visite de l'Empereur à la préfecture de la Dyle et règlement du sort des émigrés, entrée de Pontécoulant au Sénat, mission à Constantinople avec Sébastiani, paix de Tilsitt, effet de la retraite de Russie sur l'opinion, la vie politique en 1813 et 1814, l'effondrement de l'Empire, la Première Restauration et Waterloo. Le tome IV, enfin, relate les circonstances politiques de la Seconde Restauration, l'entrée à la Chambre des Pairs (1819), le règne de Charles X et quelques notes sur la Monarchie de Juillet.Témoignage essentiel sur la vie politique en France de 1785 à 1848.Au tome IV, on trouve un lettre autographe contrecollée signée de M. Reisant (?) et adressée à M. Renard, ainsi qu'un envoi du même. Il lui adresse ce quatrième volume qui vient de sortir. Ex-libris Bibliothèque du Franc-Port.Fierro, 1189. Tulard, 1173. Bertier, 819. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Michel Lévy Frères, 1861-1865 4 vol. in-8, broché. Dos abîmés. Rousseurs.
Édition originale.Quelques notes sur la fin de l'Ancien Régime et les États-Généraux, l'histoire de son mandat à la Convention Nationale et son action au Conseil des Cinq-Cents sous le Directoire composent les tomes I et II. Le tome III est consacré à l'Empire : Visite de l'Empereur à la préfecture de la Dyle et règlement du sort des émigrés, entrée de Pontécoulant au Sénat, mission à Constantinople avec Sébastiani, paix de Tilsitt, effet de la retraite de Russie sur l'opinion, la vie politique en 1813 et 1814, l'effondrement de l'Empire, la Première Restauration et Waterloo. Le tome IV, enfin, relate les circonstances politiques de la Seconde Restauration, l'entrée à la Chambre des Pairs (1819), le règne de Charles X et quelques notes sur la Monarchie de Juillet.Témoignage essentiel sur la vie politique en France de 1785 à 1848.Fierro, 1189. Tulard, 1173. Bertier, 819. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Michel Lévy Frères, 1861-1865 4 vol. in-8 et 1 fasc. de supplément, demi-chagrin brun, dos à nerfs (reliure postérieure). Rousseurs, parfois plus soutenues, petits frottements, coins usés.
Édition originale.Quelques notes sur la fin de l'Ancien Régime et les États-Généraux, l'histoire de son mandat à la Convention Nationale et son action au Conseil des Cinq-Cents sous le Directoire composent les tomes I et II. Le tome III est consacré à l'Empire : Visite de l'Empereur à la préfecture de la Dyle et règlement du sort des émigrés, entrée de Pontécoulant au Sénat, mission à Constantinople avec Sébastiani, paix de Tilsitt, effet de la retraite de Russie sur l'opinion, la vie politique en 1813 et 1814, l'effondrement de l'Empire, la Première Restauration et Waterloo. Le tome IV, enfin, relate les circonstances politiques de la Seconde Restauration, l'entrée à la Chambre des Pairs (1819), le règne de Charles X et quelques notes sur la Monarchie de Juillet.Témoignage essentiel sur la vie politique en France de 1785 à 1848.Très rare complet de son supplément au T. III (Paris, A. Maulde, 1893, 27 pp.) contenant des renseignements inédits relatifs à la chouannerie dans le Calvados et à la mort du baron d'Aché, en 1809.Fierro, 1189. Tulard, 1173. Bertier, 819. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Michel Lévy Frères, 1861-1865 4 vol. in-8, portrait-frontispice au tome I, bradel demi-percaline grise, monogramme en pied des dos, couvertures conservées (reliure postérieure). Dos insolés. Rousseurs. Monogramme et cachet du Cercle de l'Union Artistique. Ex-libris Jacques Jourquin.
Édition originale.Quelques notes sur la fin de l'Ancien Régime et les États-Généraux, l'histoire de son mandat à la Convention Nationale et son action au Conseil des Cinq-Cents sous le Directoire composent les tomes I et II. Le tome III est consacré à l'Empire : Visite de l'Empereur à la préfecture de la Dyle et règlement du sort des émigrés, entrée de Pontécoulant au Sénat, mission à Constantinople avec Sébastiani, paix de Tilsitt, effet de la retraite de Russie sur l'opinion, la vie politique en 1813 et 1814, l'effondrement de l'Empire, la Première Restauration et Waterloo. Le tome IV, enfin, relate les circonstances politiques de la Seconde Restauration, l'entrée à la Chambre des Pairs (1819), le règne de Charles X et quelques notes sur la Monarchie de Juillet.Témoignage essentiel sur la vie politique en France de 1785 à 1848.Très rare complet de son supplément au T. III (relié à la suite du tome III) contenant des renseignements inédits relatifs à la chouannerie dans le Calvados et à la mort du baron d'Aché, en 1809.Fierro, 1189. Tulard, 1173. Bertier, 819. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Librairie militaire J. Dumaine, 1866. In-8, (2) ff. [faux-titre/imprimeur, titre]-LV-(1)-491-(1)pp., demi-maroquin vieux rouge à grain long, dos à nerfs ornés, titre doré (reliure de l’époque ; petites traces de chocs sur le plat supérieur, quelques rares rousseurs ; assez bel exemplaire). L’AUTEUR : La Préface est signée G. de P.: Philippe-Gustave de Pontécoulant (Paris, 1796-Pontécoulant (Calvados), 1874), entré à Polytechnique en 1811, était Lieutenant de l’Artillerie à cheval de la Garde Impériale, en juin 1815 ; aide de camp du maréchal Gérard en 1832, il finira sa carrière comme colonel en 1849. Ce fut un éminent astronome. Son père, Louis-Gustave (Caen, 1764-Paris, 1853), militaire, puis surtout homme politique qui traversa, sans trop d’encombre, tous les régimes politiques de l’époque, de l’Ancien Régime à la Restauration : il connut quelques alertes sous la Révolution (exil en Suisse, membre des Cinq Cents : proscrit) ; tout rentra dan l’ordre après le 18 Brumaire : il sera fait comte en 1808 et , sous la Restauration, sénateur et Pair de France. Il a laissé des souvenirs. Confusion des prénoms ; certains attribuent au père l’ouvrage du fils : parmi la foule des reprints numériques, cette jolie perle ( in bookwagon, collection « Military History & Warfare », avec en sus , ce joli nom : Louis Gustave de Pont Coulant ! Cette marque de camembert n’est pas très connue…) .
LE LIVRE : Édition originale : Barbier (IV, col. 554), Quérard (Supercheries littéraires, II, 189), Tulard (1174), BNF (34081825, Gallica, sans les cartes), manque à la Médiathèque de Caen. Présentation « originale » : à la suite des textes préliminaires ( Pélerinage à Waterloo en 1865 - signé G. de P. -, et Avant-Propos ), on trouvera VI chapitres, suivis chacun, d’un Appendice , contenant des Pièces historiques ; in fine, Notes et Observations , dont un jugement sans appel , Le maréchal Ney et le maréchal Grouchy en 1815 (pp. 463-479). Exemplaire bien complet des trois cartes hors-texte à pleine page. COMMENTAIRE : ce texte est le fruit du sentiment d’injustice ressenti par l’auteur qui par trois fois avait foulé le sol belge : en 1815, il était dans la Garde ; en 1832, la topographie modifiée pour construire « l’énorme pyramide que couronne le ridicule lion belge » ; la troisième fois, ce sera son « Pèlerinage». RÉVISION : Pontécoulant, zélateur acharné de l’empereur, règle ses comptes avec les historiens, d’abord les amis, qui « n’ont voulu voir, de la campagne de 1815, que la terrible catastrophe qui la termina , occultant « la beauté du plan, l’audace du début, aux heureux succès, enfin, qui avaient couronné ses heureux commencements » : Gourgaud et Las Cases qui « néglige des détails honorables pour nos armes », bien que sa relation ait été dictée par Napoléon… Thiers, dont le texte « est un ouvrage d‘imagination plutôt qu’une œuvre historique », truffée « d’assertions hasardeuses quand elles ne sont pas absolument fausses ». Suivent les « écrivains honorables, Lamartine, Thibaudeau, Norvins, Vaudoncour », grâce à qui « cette dernière campagne fut aussi glorieuse pour sa renommée que ses plus belles victoires » !! Mais, hélas, « une nouvelle école s’est formée (…) fortement appuyée sur des influences de parti » qui ont entraîné « des relations malveillantes de la campagne de 1815 ». Ce sont les républicains: Edgar Quinet et, surtout, Jean-Baptiste -Adolphe Charras (1810-1865), auteur de l’Histoire de (…) Waterloo, Bruxelles, Méline 1858 : « on a vu un militaire jeune encore, sans nom dans l’armée, sans précédents, sans autorité, porté à un grade élevé par le malheur des révolutions (…) se poser en juge souverain du plus grand capitaine des temps anciens et des temps modernes » (p.XIV). D’où ce « précis rectifié de la campagne de 1815 ». S’agirait-il d’une vengeance post-mortem ? Charras, ardent républicain modéré vient de mourir en exil (en janvier 1865), Pontécoulant peut reprendre à son compte l’éloge funèbre prononcée par Napoleon III « C’est un grand débarras » ; l’amusant, dans cette histoire, c’est que ces deux-là se connaissaient très certainement : en juillet 1830, Charras était jeune officier d’ordonnance du Maréchal Gérard, deux ans avant Pontécoulant ; ce dernier, moins jeune, s’est-il fait un nom dans l’armée ? Alors, impartiale la révision ? la couleur est annoncée (p.XIX) : nous nous sommes « écarté quelquefois des règles d’une froide impartialité, lorsqu’il s’agira de raconter les habiles manœuvres ou les savantes conceptions de ce génie hors ligne (…). Cette partialité (…) ne serait que l’expression de notre profonde admiration pour les mérites transcendants de Napoléon ». Souvenirs militaires? Devoir de mémoire ? Non. Néanmoins, malgré les emportements hagiographiques de l’auteur ce livre propose de « Rares et intéressants mémoires » (Clavreuil/cat. 320, 1990, n°1109). Superbe exemplaire, agrémenté d’un ex-dono de l’auteur sur le faux-titre. BUR (C6)
Paris,J. Dumaine, 1866, 8, [4]-LV-[1]-491-[1] p., demi-toile verte postérieur à coins, dos lisse avec pièce de titre et date en pied, tête dorée , couverture conservée , étiquette de la librairie Clavreuil et de la bibliothèque de Chambly. Bon exemplaire.
Aide de camp du maréchal Gérard, Pontécoulant utilise ses souvenirs et surtout ce qui a été écrit sur les Cent-Jours pour faire l'apologie de Napoléon et le laver de toute critique (Tulard, 1174). Très rare. Philippe Gustave le Doulcet, comte de Pontécoulant, est un astronome français, Élève de l'École polytechnique, Gustave de Pontécoulant s'était pris d'une belle passion pour les sciences mathématiques. En 1829, à peine âgé par conséquent de 34 ans, il commença la publication de la Théorie analytique du système du Monde .qui parut en 4 volumes entre 1829 et 1836.P2-5B
Paris, Michel Lévy, 1861-1865. 4 tomes en 4 vol. in-8, rel. de l'époque en percaline chagrin rouge, dos titré et tome, faux nerfs formés d'un double filet doré, plats granités, tranches finement mouchetées, 1f.bl., [2]ff., 408, 1f. bl.; 1f.bl., [2]ff.,525, 1f.bl., 1f.bl., [2]ff., 490, 1f.bl., 1f.bl., [2]ff., 447pp, 1f. bl. édition originale.
Cet homme politique, député à la législature et à la Convention protesta contre les excès de 1793, fut décrété d'accusation avec les Girondins et réussit à se réfugier en Suisse. IL reparut à la Convention après le 9 Thermidor. Membre du comité de gouvernement et chargé des affaires aires; il fut un des premiers à deviner le génie de Bonaparte et l'attacha à ses bureaux. Préfet de la Dyle sous le Consulat, sénateur en 1905, il vota La déchéance de Napoléon en 1814 et doit partie du gouvernement provisoire. Nommé pair de France par Louis XVIII, il conserva ce titre pendant les Cent Jours et se rangea dans l'opposition libérale pendant la Restauration. Son regard sur tous ces evenements est très intéressant. Accroc à la coiffe de tête du TII., rousseurs sporadiques plus ou moins prononcées, bon ex. - Frais de port : -France 8,45 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
Edité à Paris chez Frédéric Henry , libraire-éditeur 1862 In 12° Demi reliure basane verte 328 pages Avec liste officielle des médailles et mentions honorables accordées par le jury de la XVI ème classe ( instruments de musique ) Rousseurs fréquentes assez fortes sur quelques pages sinon bon état Port en plus