Cadex 1996 14 6x0 8x20 8cm. 1996. Broché.
couverture légèrement défraîchie tranches légèrement fânées intérieur propre bonne tenue
Achevé d'imprimer sur les presses à bras d'artistes à Vernon en octobre 2003, 1 volume de 6 pages, plié en accordéon, livré dans un étui à CD de 125x145 mm environ. Exemplaire N° 15/30, signé les deux auteurs, avec 2 gravures de Michel Roncerel, texte de René Pons. L'Edition originale de cet ouvrage a été typographiée au plomb mobile en Vendôme par Monique Roncerel et tirée sur Vélin Somerset 300g. Deux petites fentes sur le dernier plat de l'étui, sinon parfait état.
René Pons, né le 21 juin 1932 à Castelnau-le-Lez, est un écrivain, romancier, traducteur et poète français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Fata Morgna, 1971. In-8 étroit en feuilles. Un des 150 ex. num. sur Alfa comportant une photo de Lucien Clergue sur papier glacé. E.O.
Fata Morgana, (Noël 1970) 01/1971. Plaquette grand in-8, (15 x 25,7 cm), format oblong, en feuilles, couverture rempliée.
Edition originale tirée à 200 exemplaires. Un des 150 ex numérotés sur Alfa comportant une photo de Lucien Clergue sur papier glacé. Bel exemplaire. Photos sur demande.
1989 Editions Marval, Paris, 1989. Couverture Souple a rabats non paginé Illustrée. Ouvrage publié dans la collection " Sur la photographie " .Avec une introduction de René Pons suivie de 39 clichés de Denise Colomb. ; parfait état
Remoulins-sur-Gardon Jacques Brémond 1997 1 vol. broché in-12 carré, broché, couverture illustrée, 62 pp., frontispice de Daniel Dezeuze. Bandeau de l'éditeur conservé. Excellent état.
BESSIL (Jean Raymond) - SEFERIS (Georges) - DURRELL (Lawrence) - MIGUEL (André) - FOUCHER (J.-P.) - CORKE (Hilary) - BICHSEL (Peter) - CLANCIER (Georges-Emmanuel) - GILSON (Paul) - KUNERT (Gunter) - PONS (René) - DUNE (Edmond) - PUEL (Gaston) - AUBRAY (Thérèse) - CAMPROUX (Charles) - BRAUQUIER (Louis) - GABRIEL (Pierre) -
Reference : 45112
Montpellier : Directrice : Odette de Marquez. Rédaction : Frédéric-Jacques Temple. Un volume 16,5x23cm broché, (52) pages sur papier fort, teintées, illustrées de hors texte par Jean-Raymond Bessil - bon état -
Montpellier, Fata Morgana, collection Poésie nouvelle, 1970. In-8 de [32] pages en feuilles, couverture à rabats.
Illustré d'une photographie de Lucien Clergue. Édition originale tirée à 200 exemplaires, celui-ci un des 150 numérotés sur Alfa (108). Couverture insolée et ancienne étiquette de prix.
Sainte-Croix-Vallée Française : L’Attentive (Collection « à la main »), 2001. Un volume 17,5x22cm, sous emboitage, de (20) pages en feuilles, manuscrites, avec cinq peintures originales d’Anne Slacik. Compte 17 exemplaires. Edition originale signée par l’auteur avec un envoi autographe signé d’Anne Slacik. Bon état.
1986 1986, in-8 broché de 109 pages, couverture rempliée orange, photographies noir et blanc, préfaces de Fernand Lombard et Edouard Pommier. Ouvrage réalisé à l'occasion de l'exposition du 11 avril au 11 mai 1986. Oeuvres en particulier de Claude Viallat. | Etat : Bon état général (Ref.: J5970)
GALLIMARD .. 1965.. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 146 pages. Couverture rempliée.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Roman. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Le bruit des autres. 2000. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 217 pages.. . . . Classification Dewey : 440-Langues romanes. Français
Classification Dewey : 440-Langues romanes. Français
Editions Jacques Brémond, 1991 Editions Jacques Brémond, 1991. Grand in-8 broché, covuerture à rabats de 120 pages non coupées. Tirage limité. Très bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Paris, Gallimard, coll. 'Le chemin', 1962. In-8° broché. Edition originale.
Exemplaire non coupé.
Actes Sud, 1985 In-8° broché, couverture illustrée, 143 pages, parfait état
Paris NRF Gallimard 1965 In-12 broché, couverture crème rempliée, 146 pp. Edition originale, pas de grand papier.
Exempl. SP (service de presse), état neuf.
René Pons, Paysages inexistants, poèmes en prose, deux grands dessins originaux sur double page de Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières —Sète, mars 2008, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 10 double f., 24,2x16,7cm + emboîtage éditeur. XV exemplaires. Exemplaire 6/15 signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 643e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien, le 9e de Daniel Dezeuze et le 2e avec René Pons. 16 poèmes en prose de René Pons et deux grands dessins originaux à double-page sur canson noir. Extrait du poème "Arcadie" : "Ici, il y a des monastères déserts, dominés de tours creuses dans lesquelles on monte, un seul à la fois, par des échelles hasardeuses. On monte, et l’on ne peut accéder à la terrasse de la tour que par une étroite ouverture qui vous écorche les épaules. Angoisse de rester coincé là. Mais quel paysage, une véritable Arcadie, lorsque passé le sas, le cercle du regard embrasse tant de paix ! Toutefois, quand on veut redescendre, les échelles ont disparu. Il ne reste donc plus qu’à sauter, ou à mourir de faim en contemplant l’inaccessible." L’écrivain René Pons est né près de Montpellier en 1932. Après deux années d’étude de Médecine et deux licences de Lettres, il enseigne dans le secondaire puis, ami de longue date des peintres du groupe Supports-Surfaces et de quelques autres, il enseigne pendant une quinzaine d'années à l'Ecole des Beaux arts de Nîmes. Il a écrit plus d’une quarantaine d’ouvrages et de nombreux livres d’artistes dont une soixantaine pour les Éditions de Rivières. Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. De toute rareté.
René Pons, À Wang Wei (701-761) poème, dessin original sur double-page Canson noir de Daniel Dezeuze, Rivières — Sète — Gajan, septembre 2008, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 7 double f., 17,7x13,5cm + emboîtage éditeur. XV exemplaires. Exemplaire 13/XV signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 786e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien. Magnifique hommage poétique de René Pons, écrit à Gajan le 24 mars 2005, et plastique de Daniel Dezeuze, inspiré de la calligraphie extrême-orientaliste, à l’art du poète, peintre et musicien chinois de la période Tang : Wang Wei (701-761). On disait de lui qu'il était habité par le Tao et que, délivré de toute conscience et de toutes limitations, il était en mesure de rendre à la nature sa beauté invisible perceptible aux sens. Extrait : "Temps et distance N'existent plus Depuis l'Orient extrême Wang Wei me tend la main La pluie boudeuse Depuis longtemps Est enfin là Les oiseaux migrateurs arrivent Matin et soir le jardin Est un parterre de cris Et l'aube sent l'herbe mouillée [...]" L’écrivain René Pons est né près de Montpellier en 1932. Après deux années d’étude de Médecine et deux licences de Lettres, il enseigne dans le secondaire puis, ami de longue date des peintres du groupe Supports-Surfaces et de quelques autres, il enseigne pendant une quinzaine d'années à l'Ecole des Beaux arts de Nîmes. Il a écrit plus d’une quarantaine d’ouvrages et de nombreux livres d’artistes dont une soixantaine pour les Éditions de Rivières. Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
René Pons, À Hiroshige (1797-1858), poème, illustré de six collages peints de Daniel Dezeuze, Rivières — Gajan — Sète, janvier 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 9 double f., 12,5x12cm + emboîtage éditeur. XII exemplaires. Exemplaire 11/12 signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Papier d’Arches. Édition originale. Il s'agit du 370e livre imprimé par les Éditions de Rivières initiées en 2002 par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, dans la continuité de la philosophie éditoriale de l'artiste alésien. Magnifique hommage poétique de René Pons, écrit à Gajan le 24 mars 2005, et plastique de Daniel Dezeuze, inspiré de la calligraphie extrême-orientaliste, à l’art du peintre et graveur japonais Utawaga Hiroshige (1797-1858), représentant avec Hokusaï de l’ukiyo-e. Extrait : "Comme Hiroshige ne garder que l'essentiel Entourer de ses mots le vide L'esquisse ouvre l'infini fulguration d'un éclair d'encre [...]" L’écrivain René Pons est né près de Montpellier en 1932. Après deux années d’étude de Médecine et deux licences de Lettres, il enseigne dans le secondaire puis, ami de longue date des peintres du groupe Supports-Surfaces et de quelques autres, il enseigne pendant une quinzaine d'années à l'Ecole des Beaux arts de Nîmes. Il a écrit plus d’une quarantaine d’ouvrages et de nombreux livres d’artistes dont une soixantaine pour les Éditions de Rivières. Né en 1942 à Alès, dans le Gard, Daniel Dezeuze passe sa jeunesse à Montpellier où il étudie à l’école des Beaux-Arts. Entre 1961 et 1967, il voyage au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis où il découvre les œuvres des peintres abstraits de l’après-guerre ainsi que les cultures indienne et nomade. De retour en France, il s’installe à Paris et démarre alors sa véritable carrière artistique avec la série des Châssis, qui témoigne d’une recherche commune aux démarches plastiques de l’époque, à savoir la déconstruction des supports et des matériaux traditionnels de la peinture. À partir de 1968, il est l’un des fondateurs du groupe Supports/Surfaces et il crée l’année suivante avec Vincent Bioulès, Louis Cane et Marc Devade la revue Peinture, Cahiers théoriques, revue de référence pour les membres du groupe et le débat critique de ce temps. Tous travaillent à la « déconstruction » du tableau, appréhendé en tant qu’objet. Ils mettent en avant le matérialisme des œuvres, l’importance du processus de création et remettent en cause l’idéalisme pictural. Les oeuvres de Dezeuze, comme en témoigne son intervention dans le livre de PAB, L’espace à l’avant, que nous présentons ici, sont composées de matériaux pauvres, hétéroclites et parfois inattendus : treillages, filets à papillons, valises, trombones ici, évacuant la figure. Daniel Dezeuze a réalisé vingt livres d’artiste pour les Éditions de Rivières sur des textes originaux de sa composition, de PAB, René Pons, Gaston Puel, Francine Marc, Claude Minière et Bernard Teulon-Nouailles. Tous sont présentés dans notre catalogue et témoignent du foisonnement de ses recherches plastiques. De toute rareté.
René Pons, Haute Lisse, compositions d'Alain Clément, Rivières — Gajan — Nîmes, janvier 2006, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 29x18cm + emboîtage éditeur gris. IX exemplaires, tous uniques. Exemplaire I/IX justifié et signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Belle impression sur Arches. Édition originale. Ce poème en prose original de René Pons convoquant les personnages antiques de Pénélope, Ulysse et Télémaque, et un tableau d’Alexandre Cabanel du Musée Fabre de Montpellier, a été enluminé de grandes peintures originales et collages d’Alain Clément. Il s'agit du 383e livre imprimé par les Éditions de Rivières de Jean-Paul Martin, petit cousin de PAB, et 1er avec des compositions d'Alain Clément, ici 9 compositions à pleine page et 1 à double-page. Extrait : « A travers la fenêtre de sa chambre, Pénélope regarde la mer. Elle étincelle, fragmentée en minuscules diamants fugaces qui roulent comme si une main invisible les agitait dans un coffre. Quand un nuage passe, l’eau mousse dans le ressac en prenant une couleur vineuse, et Pénélope se remémore de très lointaines vendanges quand, jambes nues, Ulysse foulait les grappes. Elle regarde la mer et croit voir s’approcher des voiles, mais la mer est vide et Pénélope tord et retord machinalement les fils de son tissage. » L’écrivain René Pons est né près de Montpellier en 1932. Après deux années d’étude de Médecine et deux licences de Lettres, il enseigne dans le secondaire puis, ami de longue date des peintres du groupe Supports-Surfaces et de quelques autres, il enseigne pendant une quinzaine d'années à l'Ecole des Beaux arts de Nîmes. Il a écrit plus d’une quarantaine d’ouvrages et de nombreux livres d’artistes dont une soixantaine pour les Éditions de Rivières. Alain Clément est né à Neuilly-sur-Seine en 1941. Il vit et travaille à Nîmes, Paris et Berlin. A partir de 1970 il enseigne à l'école des Beaux-arts de Montpellier, qu'il quitte ensuite pour celle de Nîmes dont il prend la direction en 1985. L'artiste développe depuis près de quarante ans une oeuvre abstraite située entre l'expression et une recherche de la composition. Ses peintures, sculptures et gravures réunissent plaisir optique, sensibilité et force de construction. Valeurs, traits, lignes, rubans et trames travaillent l'espace, le nient, le forcent, le creusent, dans une œuvre profuse, dépassant les problématiques formalistes et affirmant le pouvoir expressif et polysémique de la peinture. Alain Clément a réalisé quatre livres aux Éditions de Rivières sur des textes originaux de Pierre André Benoit, Bernard Teulon Nouailles, René Pons et Jacques Frédéric Temple. Tous sont présentés dans ce catalogue.
René Pons, L’éternité, photographie de Lucien Clergue, Rivières — Arles — Gajan, juin 2007, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f. [24 p.], 25,2x18cm + emboîtage éditeur rouge. XXIV exemplaires. Signé par l’auteur et l’artiste au colophon. Édition originale. Le poème L’éternité interroge le caractère éphémère de l’existence, notre « dérisoire présence au monde » et le moment de la mort, « avant la nuit définitive », « cette cécité de grand fond » où « la bouche d’ombre reste muette / face au jour qui s’éteint », dans une intertextualité dantienne décrivant « de cercle en cercle » le voyage du défunt qui « s’enfonce vers le feu central / où le silence devient lave ». Pour l’accompagner, un tirage argentique moderne d’une grande profondeur et suggestivité de Lucien Clergue, tiré dans son atelier spécialement pour ce livre, de sa série « algues et mousse de sel », à Beauduc, en 1965, et soigneusement contrecollé sur beau papier. L’écrivain René Pons est né près de Montpellier en 1932. Après deux années d’étude de Médecine et deux licences de Lettres, il enseigne dans le secondaire puis, ami de longue date des peintres du groupe Supports-Surfaces et de quelques autres, il enseigne pendant une quinzaine d'années à l'Ecole des Beaux arts de Nîmes. Il a écrit plus d’une quarantaine d’ouvrages et de nombreux livres d’artistes dont une soixantaine pour les Éditions de Rivières. Photographe mondialement connu, né à Arles à 1934 et décédé à Nîmes en 2014, Lucien Clergue fut le 1er photographe élu à l’Académie des Beaux Arts et le créateur des incontournables Rencontres de la photographie d’Arles. Si son nom est souvent associé à ceux de Picasso, de Cocteau et d’Eluard, et même s’il n’a jamais réalisé de livre aux éditions PAB, Lucien Clergue et Pierre André Benoit étaient néanmoins proches. C’est à Lucien Clergue que nous devons l’ornementation du dernier recueil de PAB, paru l'année de sa disparition, aux Éditions Fata Morgana. Intitulé Dans un désert et constituant une sorte de testament artistique de PAB, le livre est illustré de quatre photographies de l’auteur « en mémoire de PAB l'ami des livres dans sa maison de Rivières, maison des poètes et des arts » (Lucien Clergue). Après la mort de PAB, en 1993, le photographe réalise sept livres d’artistes, avec Jean-Paul Martin, le cousin de Pierre André Benoit, pour les Éditions de Rivières, sur des textes de PAB, René Pons, Patricia Dupuy, Gaston Puel, Michel Butor et Jacques Outin. Tous sont présentés dans notre catalogue EBAY. Tirage d'une très grande rareté car un nombre infime d'exemplaires a circulé. Ouvrage en parfait état de conservation.
René Pons & Julius Baltazar L'Envers noir du masque Rivières — Vitry — Gajan, Éditions de Rivières, 2008 Édition originale. Exemplaire unique. 1 beau volume sous papier crystal, couvertures imprimées à rabats, 7 double feuillets, 18,7x14,2 cm. Imprimé en janvier 2008 par Jean-Paul Martin des Éditions de Rivières sur beau papier d’Arches, ce pénétrant essai de René Pons sur la littérature, la condition de l’écrivain et la réception de son oeuvre, rédigé sous la forme d’une lettre adressée à un ami, a été enluminé d'une oeuvre peinte à pleine page par l’artiste Julius Baltazar. Il a été tiré de cet ouvrage XV exemplaires tous signés par l’auteur et l’artiste.Cet exemplaire est justifié 11/15 à la mine de plomb. Extrait : « L’écriture est une perpétuelle trahison. Non seulement le lecteur, à travers les textes que nous lui proposons, se fait de nous une idée fausse, mais l’incapacité des mots à traduire les plus infimes nuances de l’être, la dose d’illusions sur nous-mêmes, impossible à complètement diluer, que contient notre esprit, font de nous des individus perpétuellement en train de feindra, comme l’a si bien exprimé Pessoa » * ** Né près de Montpellier en 1932, René Pons a vécu sa prime enfance à Paris jusqu'à ce que la guerre lui fasse reprendre la direction du Sud. Après deux ans de médecine et deux licences de lettres, il enseigne dans le secondaire. Ami de longue date des peintres du groupe Support-Surface et de quelques autres, il enseigne pendant une quinzaine d'années à l'Ecole des Beaux arts de Nîmes. Il a écrit plus d’une quarantaine d’ouvrages publiés chez Gallimard, Actes Sud, Fata Morgana, et de nombreux livres d’artistes. * ** Le peintre, graveur et lithographe Julius Baltazar, de son vrai nom Hervé Lambion, est né à Paris en 1949. Encore adolescent, il peint ses premières gouaches et aquarelles qui marquent déjà sa préférence pour le papier. A partir des années 60, il préfère à l’école la visite des galeries de Saint-Germain-des-Prés, son quartier familial, telle la Galerie du Dragon où il rencontre Jorge Camacho qui lui offre sa première boîte de peinture à l’huile, Agustin Cardenas, Cesare Peverelli ou Zao Wou-Ki. En 1965, il expose pour la première fois ses gouaches et ses huiles sur papier à la Galerie Transposition à Paris. Deux ans plus tard, il entre à l’école de la chambre syndicale de la bijouterie-joaillerie et travaillera (de 1969 à 1971) comme apprenti joaillier chez Arthus Bertrand. En 1967, il fait la connaissance de Salvador Dali qui le prend sous son aile et lui donne son nom d'artiste. Dali le présente plus tard à Fernando Arrabal pour lequel il réalise sa première gravure. C'est avec ce même Arrabal que Julius Baltazar fonde le mouvement « Infra-réaliste ». En 1972, Julius Baltazar est invité à séjourner et à exposer pour la première fois à Toronto. Son ami Pierre Dmitrienko le présente à l'éditeur Georges Visat qui lui achète plus d’une centaine d’aquarelles (le premier acquéreur en sera Max Ernst) et qui lui apprend les techniques de la taille-douce. II y rencontre Alain Piroir qui deviendra son taille-doucier. Cette même année, Julius Baltazar entre à la galerie André Biren. C’est le début d’une profonde amitié et d’une étroite collaboration. Il rencontre de nombreux peintres (André Marfaing, Jean Cortot, Olivier Debré, Antonio Saura, etc). En 1975, il publie son premier ouvrage de bibliophilie, édité par Georges Visat. En 1976, il séjourne dans les Pays du Nord, expose au Danemark, en Suède et en Finlande. De retour en France, il rencontre le critique d’art Guy Marester qui le présente au libraire-éditeur et collectionneur niçois Jacques Matarasso. L’année suivante, il se marie et installe son atelier au pied de Montmartre où il rencontre Raoul Ubac. Il expose à Liège. C'est au début des années 80 qu'il rencontre Michel Butor, avec qui il débute une intense collaboration. Il se lie également d’amitié avec Michel Déon. En 1983, il jette un nouveau regard sur son travail et décide de détruire une grande quantité de ses toiles et peintures sur papier. L'année 1984 voit ses premiers séjours et expositions à New-York et Toronto. Des universités et institutions nord-américaines font l’acquisition de ses livres d’artiste. Lors d’un deuxième séjour et d’une exposition à New York en 1985, paraît son texte « A l’ infini le sable », en hommage à Pierre Dmitrienko, illustré de deux empreintes d’ardoises de Raoul Ubac, publié aux Editions Adrien Maeght. En 1986, André Marfaing le fait entrer au Comité de la Jeune Gravure Contemporaine. La Bibliotheca Wittockiana de Bruxelles organise pour lui une première rétrospective de ses livres et manuscrits d’artistes. En 1988, il se fait construire un atelier en Corse, à Monticello, où sera réalisée la majorité de ses œuvres sur papier, puis un autre à Vitry-sur-Seine en 1989. Il réalise pour France Télécom et Alcatel, des projets de télécartes illustrées. En 1991, naissent ses premiers dessins sur pierre lithographique, à l’atelier Clot et Bramsen à Paris. Ses expositions se succèdent. Il reçoit, en 1994, commande d’une œuvre gigantesque pour commémorer le cinquantenaire anniversaire de la descente des Champs-Elysées par le général de Gaulle, le 26 août 1944. Baltazar occupe alors la chaussée depuis l’Arc de Triomphe jusqu’au rond-point des Champs-Elysées. Julius Baltazar, au cours de ces vingt dernières années, n'a cessé de créer, d'exposer, en France comme à l'étranger. De nombreuses rétrospectives de ses livres d'artiste, de ses peintures et gravures lui ont été consacrées (Médiathèque d’Issy-les-Moulineaux en 2007, Bibliothèque Louis Nucera de Nice en 2007, Bibliothèque Médiathèque de Nancy en 2009, Maison des Mémoires Joë Bousquet de Carcassonne en 2010, etc). Aujourd'hui, Julius Baltazar vit et travaille à Paris, en Corse et au Canada.
1990 : Marval, éditeur 1990. . In-4, VOLUME 2 . territoire suposé Broché (24 x 22 cm), couverture à rabats, non paginé (env. 80 pages). Magnifique livre de photographies noir et blanc. Excellent Etat, texte de René Pons. VOLUME 2 kurna . Marval, 1988. Broché (24 x 22 cm), couverture à rabats, non paginé (env. 80 pages). Magnifique livre de photographies noir et blanc.Excellent Etat, texte de René Pons