Londres, G. Owen et Cadell, Londres, G. Owen et Cadell1776 ; 2 tomes en 1 vol. in-12, basane fauve marbrée, tranches marbrées. (Reliure de l’époque) 6 ff. n. ch., 211 pp. - 163 pp.Ces lettres ont eu une grande vogue. On les a attribuées à Crébillon fils. “C’était lui faire beaucoup d’honneur, car ces lettres sont pleines de décence et semées d’anecdotes très piquantes (...) On regarde ces lettres, avec bien plus de raison, comme l’ouvrage de la jeunesse d’un de nos magistrats les plus distingués, de M. le marquis de Barbé-Marbois.” Quérard. Supercheries littéraires III, 204-205. Ces lettres ont paru pour la première fois chez Owen en 1771 (85 lettres seulement), l’édition de 1776 en contient 162.Relié à la suite :1) [DU COUDRAY (Alex. Jacques)]. Anecdotes intéressantes et historiques de l’illustre voyageur [Joseph II] pendant son séjour à Paris. Dédiées à la Reine. Troisième édition corrigée et augmentée. Paris, Ruault, 1777 ; 108 pp.2) [SELIS (Nicolas Joseph)]. Maladie, confession, mort de M. de Voltaire, et ce qui s’ensuivit, par moi Joseph DUBOIS. Genève, 1777 ; 68 pp. Cette plaisanterie, jugée fine par La Harpe, est une imitation facétieuse de la Relation de la mort du P. Berthier, par Voltaire. Sélis (1737 - 1802) était professeur d’éloquence au collège Louis-le-Grand. Elle a paru pour la première fois en 1761.3) [VOLTAIRE]. Dernier testament de M. de Voltaire, contenant ses sentiments à la fin de sa vie et ses volontés après sa mort. Genève, Cramer, 1777 ; 44 pp.