L’un des meilleurs ouvrages de Duplessis-Mornay. Précieux exemplaire d’une grande pureté conservé dans son vélin à recouvrement de l’époque. Paris, Claude Micard, 1583.In-8 de (16) ff., 603 pp., (2) pp. Dernière garde blanche couverte d’annotations manuscrites. Relié en plein vélin souple à recouvrement, dos lisse portant le titre manuscrit. Reliure de l’époque. 169 x 112 mm.
Seconde édition parisienne, entièrement revue par l'auteur, de «ce traité qui passe pour un des meilleurs ouvrages du célèbre auteur protestant» (Morgand et Fatout, n°11426). Brunet, III, 1911. L'originale avait paru à Anvers chez Plantin en 1581. Philippe de Mornay, sieur du Plessis-Marly (1549-1623), fut l’un des plus illustres représentants de la réforme en France. Les témoignages des historiens sont unanimes sur le compte de ce grand homme d’Etat qui fut aussi un homme religieux et un caractère comme il s’en rencontre peu. Les Catholiques eux-mêmes ont rendu justice au «Pape des Huguenots». Homme d'action autant que d'une grande érudition, il fut un proche conseiller d'Henri IV, pour lequel il effectua de nombreuses et importantes missions diplomatiques en France et à l'étranger. Si le roi se détacha progressivement de lui après son abjuration, Mornay contribua néanmoins activement à la préparation de l'Edit de Nantes (1593). Son traité De la vérité de la religion chrétienne décrit les principaux fondements de la foi chrétienne en conformité avec les préceptes protestants. «Dans ce traité, qui passe pour un de ses meilleurs ouvrages, Mornay, présupposant l’existence de Dieu et la religion naturelle, en déduit, par une suite de raisonnements très solides, les doctrines de la création du monde, de la Providence et de l’immortalité de l’âme; mais il n’est pas toujours aussi heureux. Lorsqu’il essaie, par exemple, d’appuyer le dogme de la Trinité sur des preuves tirées de la raison et sur le témoignage des païens, ou de prouver la chute de l’homme par la religion naturelle, on reconnait sans peine qu’il a entrepris une tâche impossible. Son plan d’ailleurs est simple et méthodique, et l’érudition qu’il déploie très vaste». (E. Haag, La France protestante ou vie des protestants français..., p. 538) Précieux exemplaire d’une grande pureté, conservé dans sa reliure en vélin souple de l’époque à recouvrement.
Plon, 1949, pt in-8°, 364 pp, 2 gravures hors texte et 2 cartes, broché, bon état
Jean du Plessis de Grenédan est un officier de marine, né à Rennes le 15 janvier 1892, décédé le 21 ou 22 décembre 1923 dans le ciel de Sicile. Pilote de ballon dirigeable breveté en 1917, il s'est rendu célèbre en commandant le Dixmude, l'un des deux zeppelins français, et surtout en établissant des records mondiaux à son bord. Sa disparition en mer Méditerranée, à bord du Dixmude, le 21 ou 22 décembre 1923, a donné lieu à une formidable polémique. Le dirigeable LZ-114 (ex-L-72) a été construit en 1917. Il s'agit, à l'époque, du plus grand dirigeable au monde. Ses caractéristiques sont les suivantes : longueur 226 m, volume de 68.500 m3 d'hydrogène, diamètre 24 m, hauteur totale 28 m, poids total 85 tonnes, charge utile 55 tonnes, 7 moteurs Maybach à essence de 260 chevaux, 6 hélices propulsives, vitesse maximale de 80 km/h, vitesse de croisière maximale 60 km/h. En 1920, en conséquence de l'armistice, le dirigeable est livré par les Allemands aux autorités françaises à Maubeuge. Jean du Plessis (lieutenant de vaisseau) le baptise Dixmude en souvenir des fusiliers-marins morts en défendant la ville belge de Dixmude. Le 10 août 1920, il est en état de marche. Il arrive le 11 août en 3 h sur Paris, survole la Concorde et les Champs-Élysées, et part vers le centre aéronautique de Cuers-Pierrefeu (près de Toulon). Dans la nuit du 21 au 22 décembre 1923, revenant de Tunisie, le dirigeable 21-12L-72 disparaît dans un orage avec 50 hommes à bord (équipage : 43, passagers : 7). Le 26 décembre, des pêcheurs de Sciacca (Sicile) remontent dans leur filet le corps de Jean du Plessis. Ce drame marqua la fin de l'usage à titre militaire de dirigeables. Jean du Plessis eut droit à des obsèques nationales célébrées à Toulon le 5 janvier 1924...
1924 PARIS, Lib. Plon, Plon & Nourri & Cie - 1924 - Edition Originale - couverture conservée - In-12 - 1/2 reliure - Dos à nerfs & à caissons dorés - Titre doré - Plats & Gardes marbrés - tranche supérieure dorée - 350 pages - 2 planches photographiques + 2 cartes dépliantes - Bel exemplaire
Jean du Plessis de Grenédan est un officier de marine, né à Rennes le 15 janvier 1892, décédé le 21 ou 22 décembre 1923 dans le ciel de Sicile. Pilote de ballon dirigeable breveté en 1917, il s'est rendu célèbre en commandant le Dixmude, l'un des deux zeppelins français, et surtout en établissant des records mondiaux à son bord. Sa disparition en mer Méditerranée, à bord du Dixmude, le 21 ou 22 décembre 1923, a donné lieu à une formidable polémique. Le dirigeable LZ-114 (ex-L-72) a été construit en 1917. Il s'agit, à l'époque, du plus grand dirigeable au monde. Ses caractéristiques sont les suivantes : longueur 226 m, volume de 68.500 m3 d'hydrogène, diamètre 24 m, hauteur totale 28 m, poids total 85 tonnes, charge utile 55 tonnes, 7 moteurs Maybach à essence de 260 chevaux, 6 hélices propulsives, vitesse maximale de 80 km/h, vitesse de croisière maximale 60 km/h. En 1920, en conséquence de l'armistice, le dirigeable est livré par les Allemands aux autorités françaises à Maubeuge. Jean du Plessis (lieutenant de vaisseau) le baptise Dixmude en souvenir des fusiliers-marins morts en défendant la ville belge de Dixmude. Le 10 août 1920, il est en état de marche. Il arrive le 11 août en 3 h sur Paris, survole la Concorde et les Champs-Élysées, et part vers le centre aéronautique de Cuers-Pierrefeu (près de Toulon). Dans la nuit du 21 au 22 décembre 1923, revenant de Tunisie, au large de la Sicile, le dirigeable 21-12L-72 disparaît dans un orage avec 50 hommes à bord (équipage : 43, passagers : 7). Le 26 décembre, des pêcheurs de Sciacca (Sicile) remontent dans leur filet le corps de Jean du Plessis. Ce drame marqua la fin de l'usage à titre - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
[circa 1780]. 430 x 615 mm.
Belle carte manuscrite, encre et aquarelle, de la région comprenant les propriétés de la famille Roullé Du Coudray, située au nord-est de Meaux. La carte comprend les villages de Cuisy, Chambre-Fontaine, Plessis-l’Évêque, Plessis-aux-Bois, Iverny, et Monthyon, ainsi que quelques remises et fermes. Y sont figurés les parties cultivées, les rivières, les chemins, les prairies, les bois et les parcs des châteaux de Plessis-aux-Bois et de Monthyon. En 1736, la seigneurie du Plessis-aux-Bois, avec celles voisines d’Iverny et de Cuisy, passa par héritage à la famille Rouillé Du Coudray qui y résida. La carte a été exécutée soit pour Hilaire Rouillé Du Coudray (1716-1805), lieutenant général des armées du roi, soit pour son fils, également prénommé Hilaire (1765-1840), pair de France, mort au château du Plessis-aux-Bois (aujourd'hui détruit). Les armoiries, plusieurs mots du titre et la petite fleur de lis indiquant le nord sur la carte ont été grattés. Trace de pliure; déchirures anciennement doublée, rousseurs dans la parie droite de la carte.
[NANTES - CHANTENAY] GUILLAUME MARCEL SIEUR DE MAUPAS ET DU PLESSIS GAULTEROT (PLESSIS-GAUTRON)
Reference : 20417
(1605)
Nantes 1605 un acte notarié : sur parchemin, format : 29 X 37 cm de 4 feuillets (8 pages), manuscrit à l'encre brune, daté de 1605, contrat de vente de l'Escurie de la Belle y Maige (Belle Image) Sainte-Croix (Saint Saturnin)se limitant d'un coté aux murailles de la prison Royale du bouffay et de l'autre la tour du Palais Royal ,appartenant à Maistre Pierre Rouxeau Commis au greffe de la Prévôté de Nantes, à Guillaume Marcel, sieur de Maupas et du Plessis Gaulterot, Conseiller du Roy, Secrétaire et Auditeur en la Chambre des Comptes de Bretagne, et damoizelle Yvonne Jallier, sa femme, demourantz en cette ville de Nantes, parroisse de Saincte Croix, Nantes, le lundi 6 Juin 1605, signé Peignon Notaire Royal,
DOCUMENT ORIGINAL .....rare....En trés Bon Etat (very good condition).
S.l., 1777-1786 7 pièces in-4, en feuilles.
Très intéressant dossier qui comprend plusieurs pièces de différentes mains et d'inégale importance sur le problème récurrent du mouvement perpétuel :I. DESCRIPTION.1. Doutes à éclaircir sur la possibilité du mouvement perpétuel méchanique, et propositions d'une machine dont l'effet sembleroit décider la question en faveur de ce problême (1777) : 36 pp., avec une planche manuscrite "in fine" (vis d'Archimède). Portant le nom de l'auteur au dernier feuillet ("M. Barbot, secrétaire du Roi à Orléans"), ce mémoire est certainement attribuable à Denis-Charles Barbot du Plessis (1731-1814), qui était précisément secrétaire du Roi et greffier en chef des Eaux & Forêts du Duché d'Orléans, membre de la Société des sciences d'Orléans, et qui travailla toute sa vie en amateur sur différents problèmes de physique et de mathématiques.Présenté en mai 1777 à l'Académie royale des Sciences, il fut examiné par l'abbé François Rozier (1734-1793), qui rédigea et signa une brève souscription très éclairante sur le cas que la savante compagnie fit du travail d'un obscur confrère de province : "Renvoyé le 18 iuin 1778". Deux autres annotations en début du texte explicitent ces réserves: une première, développée, signée du même abbé Rozier (Le fond de ce mémoire a pour principe une erreur avancée dans les leçons de physique de M. l'abbé Nollet, sçavoir que la vis d'Archimède est en équilibre sur ses pivots, ce que j'ai cru momentanément, sur la réputation du physicien, sans examen ; ainsi l'ouvrage porte à faux comme son principe) ; une seconde, laconique et inscrite au crayon de bois en haut du premier feuillet (Ce mémoire me paroît contenir des parallogismes; je les examinerai).2. Extrait des registres de l'Académie royale des sciences, du 12 mars 1781: in-4 de 3 pp. n. ch.Sur l'examen d'un autre mémoire de Barbot du Plessis : Pendule, ou Echelle hydraulique [non joint]. Portant les noms de Vandermonde et Bossut, le texte conclut négativement encore : Nous ne croyons pas que cette machine soit propre à produire de grands effets.3. Extrait des registres de la Société de physique, d'histoire naturelle et des arts d'Orléans (30 mai 1783) : un bifeuillet in-4 écrit sur 3 pp. Sur l'examen d'une machine à oscillations croissantes - toujours proposée par Barbot du Plessis -. L'avis est signé de Charles-Nicolas Beauvais de Préau (1745-1794), qui venait juste [23 avril 1783] d'être nommé secrétaire perpétuel de la Société de physique d'Orléans (il devait cependant quitter la ville dès l'année suivante).4. L.A.S. du marquis de Condorcet en date du 4 juin 1785, adressée à Barbot : un bifeuillet petit in-4 écrit sur une moitié de page. La concision du texte ne laisse pas de doute sur l'existence de deux catégories de savants dans l'esprit du noble marquis : "A mon retour de la campagne, Monsieur, j'ai trouvé la lettre que vous m'avez fait l'honneur de m'écrire relativement à ce qui a été décidé par l'Académie [des sciences] sur le mouvement perpétuel. Vous trouverez dans le volume de cette compagnie année 1775 les éclaircissemens que vous désirez." En d'autres termes : il suffit de lire, et de ne pas importuner les sommités.5. L.A. de Barbot à Condorcet, en date du 21 mars 1786 : un bifeuillet petit in-4 écrit sur 3 pp. Nullement découragé par les multiples rebuffades, le brave Barbot repart au front sur la question qui lui tient à coeur : Je n'ai pu résister, Monsieur, au désir d'examiner si la prétention formelle de l'Académie des Sciences contre la possibilité du mouvement perpétuel, étoit aussi démontrée que cette illustre compagnie, dont vous êtes un des principaux ornemens, suppose par son arrêté de 1775. Je ne me détermine qu'en tremblant à vous proposer mes réflections à ce sujet (...). Il ne semble cependant guère nourrir d'illusions sur l'intérêt qu'il suscite dans l'Olympe, comme en attestent les dernières lignes : Je laisserai écouler un tems suffisant dans l'espérance d'obtenir l'honneur d'une réponse (...). Comme c'est élégamment avouer son peu de poids ...6. [Sans date] Entretiens de Robin Acadème et Barbot philomathe : [6] ff. in-4 paginés 1-6, puis 35-40, ce qui laisse supposer la perte des pp. 7-34 (de fait, il n'y a aucune cohérence entre la fin de la page 6 et le début de la page 35, qui commence abruptement par "moyen revient au même"). Il s'agit d'une tentative de vulgarisation sous forme de dialogue sur le même problème que celui des pièces précédentes. C'est l'Acadème qui ouvre les hostilités sous la forme pateline propre aux érudits en place : On m'a dit, mon cher Barbot, une chose si singulière sur votre compte que je n'ai pu me déterminer à la croire, on prétend que vous cherchez le mouvement perpétuel [= C'est une blague, détrompez-moi]. Aucune trace en tout cas d'une impression de ce dialogue fictif.7. Deux exemplaires d'une planche imprimée (sans doute extraite de l'Encyclopédie méthodique).II. Sur le fond, le mouvement perpétuel est une bouteille à l'encre de la physique et de la mécanique depuis la Renaissance, opposant régulièrement théoriciens d'un côté, inventeurs de l'autre, autour de la possibilité de fabriquer une machine capable de produire un mouvement indéfini sans apport extérieur d'énergie ou de matière, et de produire ainsi sa propre énergie sans la recevoir. Le contexte qui forme l'arrière-plan de tout ce dossier est la décision de l'Académie royale des Sciences de Paris de ne plus examiner à l'avenir de machines reposant sur ce principe, afin ne plus gaspiller les talents, la fortune et l'inventivité "de trop de mécaniciens ingénieux". Datant de 1775, et prise à l'initiative de Laplace, elle suscita frustrations et réclamations de moult physiciens amateurs, qui tenaient à cette possibilité comme les alchimistes à la transmutation : c'est bien ce qu'exprime tout au long de ses textes le brave Barbot du Plessis. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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S.l. [Orléans], s.d. (1845) 4 pièces in-folio, couvertes d'une écriture fine et assez lisible (environ 40 à 45 lignes par page), biffures et ratures, en feuilles, cousus.
Sous un titre agrémenté des réminiscences de l'Antiquité classique, comme les aimaient les savants de l'époque, Barbot du Plessis, membre de la Société royale des sciences, belles-lettres et arts d'Orléans, a voulu traiter la question de l'existence éventuelle d'une atmosphère au fond des Océans. Son approche est purement physique et aprioristique : il se fonde sur les principes de la mécanique admis en son temps, tout en suggérant des expériences destinées à corroborer ses déductions.Notre dossier se compose donc de quatre pièces manuscrites :1. Une version unique du Premier mémoire (présenté à la Société royale le 21 novembre 1845) et intitulé seulement Possibilité d'une atmosphère sous-océanique ([10] ff. n. ch.).2. Une première version du Second mémoire (présenté en 1846), partant du principe que l'atmosphère sous-océanique existe et portant spécfifiquement sur la conséquence de ce postulat : L'objet de ce second mémoire est de savoir si l'atmosphère sous-océanique, sans faire éruption en masse, ne viendra pas à s'échapper à travers les pores de l'eau. Elle se présente sous la forme d'un cahier de 22 pp., chiffrées de façon erratique.3. Une deuxième version du Second mémoire : [9] ff. n. ch., nombreuses biffures, corrections et ajouts (certains à l'encre rouge).4. Une troisième version du Second mémoire : [10] ff. n. ch.On joint : deux exemplaires des rares versions imprimées des deux Mémoires, le premier regroupant les deux, le second ne contenant que le deuxième. Elles se présentent sous la forme de deux opuscules in-8, respectivement de 11-24 pp., et de 24 pp., avec une planche dépliante pour la seconde partie. Les deux furent imprimés à l'adresse d'Orléans, Imprimerie de Guyot aîné, en 1845, puis 1846 (au CCF, seules la BnF et la Médiathèque d'Orléans signalent leur existence). Leur présence permet de vérifier qu'ils ne forment que de tout petits abrégés du texte originel. En effet, ne furent retenues pour la publication que les parties les plus générales de la démonstration, en laissant de côté les raisonnements mathématiques et physiques, ainsi que les notes très développées.Précisons enfin que, en raison des dates de ces études et de leur présentation au monde savant, il est hautement improbable que le Barbot du Plessis qui les signe soit le même que Denis-Charles Barbot du Plessis (1731-1814), également mathématicien, et correspondant de Condorcet. Sans doute son fils, dont la mention apparaît sur plusieurs documents. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
TANGUY SAUVAGE BARON DE RAIS (RETZ) SEIGNEUR DE MACHECOUL ET DU PLESSIS GUERRY (MONNIERES) ET DAME YSABEAU D'AVAUGOUR SON ESPOUZE
Reference : 21787
(1521)
Nantes 1521 un grand parchemin sur vélin parcheminé manuscrit à l'encre brune, format : 61,5 x 62,5 cm, avec un gros cachet sec aux armes d'Anne de Bretagne (blason avec fleur de lys et hermines - sous françois 1er, la bretagne n'est pas encore rattachée définitivement à la France, ce sera fait en 1532), avec signature manuscrite de deux tabellions nantais sous l'autorité du procureur Nantais Guillaume de la SENARDIERE (GORGES), fait à Nantes, le 23 Novembre 1521,
Tanguy (Tanneguy) Sauvage, sieur du Plessis-Guerry, descendants tous deux de leur aïeul Guillaume Sauvage vivant en 1388. Ce dernier avait épousé Marie de Laval (fille de Foulque de Laval et de Jeanne Chabot dite La Folle). De ce fait il possédait certain droit à la sucession de la baronnie de Retz (ou Rais) .....Document Original ............UNIQUE...............en trés bon état (good condition). trés bon état
Jean du Plessis de Grenédan - Officier de marine français, Rennes, 15 janvier 1892, décédé le 21 ou 22 décembre 1923 dans le ciel de Sicile, en tant que lieutenant de vaisseau, commandant du dirigeable Dixmude - Oeuvres posthumes publiés par son Père J. du Plessis
Reference : 47216
(1925)
1925 PARIS, Plon - 1925 - In-8 - Couverture pleine toile - dos lisse, Pièce de titre en maroquin rouge, titre doré - Couverture conservée - XXVI-308 pages.
Une étude sur l'utilisation des dirigeables. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Plon, Paris, 1924; 348 pages, in-8, broché, photographies, 2 cartes.
Paris, Giffard, 1740. Deux volumes in-4 de (6)ff., 752 pp., (2)ff. ; (6)ff., 827 pp. Les 2 cartes sont réunies dans le premier volume (Carte dépliante du pays de Caux et du Vexin). Une 3ème planche se trouve en regard de la page 735 du tome II représentant le "Plan de l'Eglise Cathédrale de Rouen et de ses Autels", celle-ci n'est citée par aucune bibliographie et ne se trouve que très rarement. Intérieur frais. Minimes galeries de vers en marge inférieure sans atteinte au texte. Pleine basane marbrée, dos à nerfs orné, pièce de tomaison de maroquin rouge, tranches rouges. Légères éraflures, coins inf. usés, accrocs aux coiffes inf. avec petites fentes à 2 encoches de coiffes. Reliure de l'époque.
Edition originale de cet ouvrage incontournable pour l'histoire de la Normandie, bien complet de ses deux cartes. Ce fut M. de la Vergne de Tressan, archevêque de Rouen, qui engagea D. Toussaints du Plessis, religieux bénédictin de St-Germain-des-Prés de Paris, à écrire cette description du diocèse de Rouen. Du Plessis y travailla pendant six ans avant de détruire son travail déja bien avancé, suite à une discorde avec Mgr. de Saulx-Tavanes, successeur de Tressan. Il le recommença avec ardeur pour le publier peu de temps après. Frère.
Plon - Nourrit et Cie 12,5 x 19,5 Paris 1924 Petit in-8, reliure à la bradel de l'époque demi-toile percalinée grise, pièce de titre de cuir couleur prune, auteur et titre dorés, plats marbrés, 350 pp., couverture conservée, deux photos hors texte dont portait en frontispice, cartes dépliantes in fine. Le "Dixmude" est un dirigeable allemand remis à la France au titre de réparation de guerre. Remis en état, dirigé par l'officier de marine Jean du Plessis (1892-1923), il disparait au large du Sahara en décembre 1923 avec 50 hommes à bord. Très bonne condition, papier un peu jauni.
Paris, Chez la Veuve Lottin & J. H. Butard 1753 In-4, plein veau marbré, dos à nerfs, caissons ornés, pièce de titre en maroquin grenat, double filet sur les coupes reliure de l'époque, IV- 380 pp. Menus frottements. Très bon exemplaire.
Edition originale de cette chronique du haut Moyen-Âge. Cet ouvrage de Michel-Toussaint-Chrétien Du Plessis (1689-1767), bibliothécaire de l'abbaye de Saint-Germain, s'inscrit pleinement dans les recherches érudites menées au XVIIIe siècle par les bénédictins Très bon état d’occasion
1753 Paris, Veuve Lottin & J. H. Butard, 1753, in 4 de IV-380 pp., rel. d'ép. plein veau brun moucheté, dos à nerfs orné de fers dorés, encadrements de triple-filets sur les plats, pièce de titre de maroquin rouge, tranches rouges, dentelle intérieure, légères usures aux coiffes, bel ex.
Ed. orig. Du Plessis (1689-1767), Dominicain de l'Abbaye de Saint-Maur fut nommé bibliothécaire de l'abbaye de Saint-Germain. Nous lui devons cette chronique du Haut Moyen-Age qui s'inscrit dans les travaux des mauristes réputés pour leur sens critique et leur rigueur, remarquable étude sur les écoles de Paris sous le régne de Charlemagne. Très fouillé et minutieux appareil critique en français du poëme d'Abbon de Saint-Germain-des-Prés (850-922), principale source historique sur cette expédition guerrière des Vikings contre la capitale. (Dufour, 184).
A Paris, Chez la Veuve Lottin & J. H. Butard, 1753. In-4 de IV-380 pp. veau havane marbré, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin brun, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale. Bénédictin de la congrégation de Saint- Maur, Du Plessis (1689-1767) eu la charge de la bibliothèque publique d'Orléans puis fut nommé bibliothécaire de l'abbaye de Saint-Germain, il se retira dans l'abbaye de Saint-Denis ; cet chronique du Haut Moyen-Age s'inscrit pleinement dans les travaux des mauristes réputé pour leur sens critique et leur rigueur ; remarquable étude sur les écoles de Paris sous le règne de Charlemagne. Très fouillé et minutieux appareil critique en français du poëme d'Abbon de Saint-Germain-des-Prés (v. 850- v. 922), principale source historique sur cette expédition guerrière des Vikings contre la capital.Catalogue Bossuet, 137 ; Catalogue Dufour, 184. 1 mors et coins abimés.
Paris Plon-Nourrit et Cie 1924 In-12 Broché Satisfaisant
Couverture imprimée en rouge et noir, date sur le dos 1925 ; 350pp ; illustré de 2 photogravures HT (une en frontispice : portrait du lieutenant de vaisseau Jean du Plessis de Grenédan, commandant le croiseur aérien "Dixmude" et l'autre représentant le "Dixmude" au dessus du centre de Cuers) et 2 cartes en une planche dépliante HT ; Le dirigeable explosa en vol près de la Sicile après un périple en méditérannée (Corse, Algérie, Tunisie) ; intéressant récit
[Procès, Procédures - Emmanuel-Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d'Aiguillon]
Reference : 108207
Sans mention d'Editeur, 1770, 1 volume in-8 de 245x185x35 mm environ, 1f.blanc, faux-titre, titre, 407 pages, 5ff. (table), 1f.b, demi basane mouchetée fauve avec coins en parchemin crème, titre doré sur dos lisse. Relation du procès intenté au Duc d'Aiguillon par le Parlement de Rennes et le Procureur La Choletais. Rousseurs et pages brunies, petits frottement sur le cuir et le cartonnage.
Emmanuel-Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d'Aiguillon, pair de France (1740), comte d'Agénois et de Condomois puis duc d'Agénois et duc d'Aiguillon, est un militaire et homme d'État français né à Paris le 31 juillet 1720 et mort à Paris le 1er septembre 1788.Maréchal de camp, commandant en chef de Bretagne, il s'y rend impopulaire par sa lutte contre La Chalotais et le Parlement de Bretagne. Il est rappelé à la cour. Plus tard secrétaire d'État des Affaires étrangères pendant trois ans et momentanément secrétaire d'État de la Guerre à la fin du règne de Louis XV, il est disgracié sous Louis XVI. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
MONSIEUR PLESSIS (AMI DE LOUIS ADMYRAULT NEGOCIANT ARMATEUR NEGRIER A LA ROCHELLE )
Reference : 23870
(1815)
paris 1815 une lettre (de 4 pages, une grande feuille pliée en deux) manuscrite à l'encre brune sur les 3 premières pages sur papier velin ligné filigrané, format : 20 centimètres de large x 25,5 centimètres de haut, adresse de la lettre au centre de la 4ème page à l'encre brune : à Mr Louis Admyraud à BEAULIEU par Mauzé (Charente-Inférieure), (lettre écrite par Mr Plessis), Paris LE 15 JUIN 1815,
courrier écrit la veille de la Bataille de Waterloo.... ".....en retour des bonnes nouvelles que vous me donnez sur la vendée, je vous en donnerai une autre qui le vaut bien, l'espoir que je crois fondé d'une Pacification, ou au moins d'une armistice qui se préparerait , en arretant l'effusion de sang français dans ce malheureux pays et dont on assure que les bases sont convenues.....l'empereur s'est rendu à son armée qui n'est peut être pas aussi nombreuse qu'on le dit, mais qui n'a jamais été plus belle ni meilleure, nous sommes dans l'attente de grands evenements, on dit que c'est sur Wellington que porteront les premiers coups, il parait certain qu'il se serait porté derrière l'Escaut, les gens du milieu, croient qu'il n'acceptera la bataille que sur la Meuse, cette manoeuvre qui retarderait les coups décisifs nous livrerait pourtant la Belgique et ce serait déjà un succès qui aurait son importance, ne fut ce que comme effet Moral, les Russes ne sont pas encore en Ligue, les Autrichiens attardés par les dissensions d'Italie n'y sont encore qu'en petit nombre......je suis tout prét de rompre mes relations du Marais[La Plaine ou le Marais est le nom donné au groupe le plus modéré, mais le plus nombreux (environ 400 députés) de la Convention nationale] et cela arrivera infailliblement si un ami que j'attends ne vienne promptement mettre fin a toutes ces tracasseries qui survenant chaque jour détruisent tout l'agrément que je trouvais dans cette société....."............RARISSIME............en bon état (good condition). bon état
MONSIEUR PLESSIS (AMI DE LOUIS ADMYRAULT NEGOCIANT ARMATEUR NEGRIER A LA ROCHELLE )
Reference : 23871
(1815)
paris 1815 une lettre (de 4 pages, une grande feuille pliée en deux) manuscrite à l'encre brune sur les 3 premières pages sur papier velin ligné filigrané, format : 20 centimètres de large x 25,5 centimètres de haut, adresse de la lettre au centre de la 4ème page à l'encre brune : à Mr Louis Admyraud à BEAULIEU par Mauzé (Charente-Inférieure), (lettre écrite par Mr Plessis), Paris LE 25 JUIN 1815,
courrier écrit aprés la Bataille de Waterloo.... "....NOUVELLE DES DESORDRES A PARIS APRES LA DEFAITE DE NAPOLEON A WATERLOO, L'EMPEREUR EST A LA MALMAISON EN ATTENDANT QUE LES PUISSANCES COALISEES DECIDENT DE SON SORT ET DE SA FAMILLE, ON CRAINT UNE NOUVELLE INVASION DE PARIS, LE ROI VA T'IL REVENIR ET A QUELLES CONDITIONS ........ LA PACIFICATION DE LA VENDEE, C'EST DANS LA BELGIQUE QU'ELLE A ETE DECIDEE...."............RARISSIME............en bon état (good condition). bon état
MONSIEUR PLESSIS (AMI DE LOUIS ADMYRAULT NEGOCIANT ARMATEUR NEGRIER A LA ROCHELLE )
Reference : 23872
(1815)
paris 1815 2 lettres (de 4 pages, une grande feuille pliée en deux) manuscrite à l'encre brune sur les 3 premières pages sur papier velin ligné filigrané, format : 20 centimètres de large x 25,5 centimètres de haut, adresse de la lettre au centre de la 4ème page à l'encre brune : à Mr Louis Admyraud à BEAULIEU par Mauzé (Charente-Inférieure), (lettre écrite par Mr Plessis), Paris le 1er juillet 1815 pour la première lettre et le 4 Juillet 1815 pour la 2ème lettre,
courrier écrit aprés la Bataille de Waterloo.... "LETTRE N°1 (du 1er Juillet 1815)- LES TROUPES PRUSSIENNES SONT A PARIS ET LES ANGLAIS ONT PASSE LA RIVE GAUCHE, IL Y A DES FUSILLADES AUX AVANT POSTES....ON NEGOCIE TOUJOURS, ON NE DEDAIGNE PAS D'OBTENIR UN ARMISTICE MAIS JE NE SUIS PAS AUSSI FERME QU'IL Y A 2 JOURS DANS L'OPINION QU'ON NE SE BATTRA PAS....LETTRE N°2 (du 4 juillet 1815) - C'EST DANS LA PLAINE DE GRENELLE QUE LES ARMEES SONT EN PRESENCE, PARIS EST PRIS D'ASSAUT...LA CAPITULATION A ETE SIGNEE....VOUS ME DONNEREZ DES NOUVELLES DE L'EMPEREUR NAPOLEON QU'ON SAIT A PRESENT A ROCHEFORT SUR UNE FREGATE, PENDANT QUE LE PEUPLE DE PARIS EST FERMEMENT PERSUADE QU'IL EST AU MILIEU DE SON ARMEE"............RARISSIME............en bon état (good condition). bon état
Collectif - Mgr GRY - Mgr LEGENDRE - Chanoine Ch; MARCHAND - Abbé J. PLESSIS - Comte J. du PLESSIS - P. FLEURIUOT de LANGLE - Abbé Ed. LAINE - F. CHARRON - P. FAUVEL - Abbé J. BIORTET - J. PENEAU - P. LAVALLEE - J. VALENTIN - MOREAU - VINET - LEMESLE - F. CHARRON
Reference : 8072
ANGERS, S.A. des Ed. de l'Ouest - 1925 - in-8 - broché - Couveture illustrée aux 1 & 4 plats - Frontispice & 1 photographie PP HT - figures dans le texte - 374 pages
- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
[Jacques MARTIN, François ALLOT, Michel ROUGE, André JUILLARD, François DERMAUT, J.Pierre DANARD, J.François HENRY, Michel PLESSIS,] - COLLECTIF - Préface de Charles LE QUINTREC - Illustrations de couverture de Jacques MARTIN et bandes dessinées de François ALLOT, Michel ROUGE, André JUILLARD, François DERMAUT, J.Pierre DANARD, J.François HENRY, Michel PLESSIS, etc...
Reference : 9019
PARIS, Ed. i.d.p. - 1983 - In-4 - Cartonnage éditeur illustrée en couleurs par Jacques Martin - Préface de Charles Le Quintrec - 15 parties d'histoire comprenant chacune des illustrations NB et une bande dessinée en couleurs - Bien complet de la reproduction de l'illustration en couleurs sur feuille volante de Jacques Martin - 71 pages - Bon exemplaire
Joint : publicité du Crédit Agricole lors de la sortie de l'ouvrage - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Plessis libraire Paris, Plessis libraire, 1905. In-8 broché, couverture à rabats, 284 pages. Bien complet des 8 planches en hors-texte. Les théâtres privés au XVIIIème siècle. Les artistes amateurs. La littérature dramatique clandestine. Le théâtre portatif de la Reine. Un Prince comédien (Duc d'Orléans). La comédie chez le Comte de Clermont. Le théâtre d'amour. Chez Madame de Rochefort. Les demoiselles Verrieres. Les trois Temples de Terpsichore. Comédie chez des comédiens. Quelques autres théâtres privés. Tirage limité et numéroté à 530 exemplaires ; celui-ci un des 10 exemplaires sur Japon Impérial, 1er grand papier. Dos un peu fragile néanmoins très bon exemplaire.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Paris, Giffard, 1740. Carte gravée en noir, 64 x 45 cm, trace de pliures.
Carte extraite de la Description géographique et historique de la Haute-Normandie, divisée en deux parties. Le Pays de Caux et le Vexin. Ce fut M. de la Vergne de Tressan, archevêque de Rouen, qui engagea D. Toussaints du Plessis, religieux bénédictin de St-Germain-des-Prés de Paris, à écrire cette description du diocèse de Rouen. Du Plessis y travailla pendant six ans avant de détruire son travail déja bien avancé, suite à une discorde avec Mgr. de Saulx-Tavanes, successeur de Tressan. Il le recommença avec ardeur pour le publier peu de temps après. Frère.
1924 in-12, 350pp., br. Paris Plon 1924,
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03