Moropolis, Librairie de Momus, 1735. Quatre parties en 3 volumes in-12 de 6 ff., et 192 pp.;156 pp.;161 pp.; 7 pp. de table; 35 pp. Ex libris au tampon: Bésangère. Veau marbré d'époque, triple filet doré sur les plats, dos à nerfs orné, mors fendus et coiffes arasées.
Très célèbre recueil de pièces satiriques, dont les éléments circulèrent d'abord sous forme manuscrite entre 1702 et 1725 : crée en 1702 par Phillipe-Emmanuel de la Place de Torsac et Etienne-Isidore-Théophile Aymon à partir d'une boutade (la calotte de plomb comme métaphore du mal de crâne qui rend fou), le "Régiment de la calotte" fonctionna comme une confrérie plus ou moins informelle, délivrant des brevets, et dont l'objet était de ridiculiser puissants et courtisans. Très active sous la Régence et le début du règne personnel de Louis XV, elle cessa petit à petit ses activités avec la montée en puissance de l'influence de la Pompadour. L'explication des armes fictives de la calotte n'est pas accompagnée d'une planche, comme dans l'édition de 1725. Notre édition est bien complète de sa Quatrième partie.
AUX ETATS CALOTINS, DE L'IMPRIMERIE CALOTINE. 1754. 2 PARTIES IN-12 (8,5 X 14,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (8) + 167 ET 152 PAGES, EN UN VOLUME, RELIURE D'EPOQUE PLEINE BASANE, DOS A QUATRE NERFS ORNE DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN ROUGE, TRANCHES ROUGES. ILLUSTRE DE 2 VIGNETTES. AVEC UN TABLEAU REPLIE. GUILLAUME PLANTAVIT DE LA PAUSE FUT AVEC L'ABBE DESFONTAINES LE PRINCIPAL AUTEUR DE CES MEMOIRES, RECUEIL DE PIECES SATIRIQUES DONT LES ELEMENTS CIRCULERENT SOUS FORME MANUSCRITE AVANT D'ETRE IMPRIMES. TITRE COMPOSITE, A PARTIR DES TITRES DES DEUX PARTIES (RESTAURATION ANCIENNE). SANS LA TABLE DE LA SIXIEME PARTIE. MENTIONS DE V° ET VI° PARTIES ANCIENNEMENT EFFACEES. DEFAUTS EXTERIEURS, DONT MANQUES DE CUIR. BON ETAT INTERIEUR, EXEMPLAIRE RESTANT CONVENABLE DE CET OUVRAGE RARE. (PETIT PRIX, COMPTE-TENU DES DEFAUTS SIGNALES).
AUX ETATS CALOTINS. DE L'IMPRIMERIE CALOTINE. 1752. 4 PARTIES IN-12, CHACUNE AVEC UN TITRE PROPRE (9 X 15 X 3,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (14) + 192, (4) + 162, (6) + 160 ET (4) + 31 PAGES, EN UN VOLUME, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, DOS LISSE ORNE D’UN GRAND DECOR GEOMETRIQUE DORE, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN ROUGE, TRANCHES ROUGES. GUILLAUME PLANTAVIT DE LA PAUSE FUT AVEC L'ABBE DESFONTAINES LE PRINCIPAL AUTEUR DE CES MEMOIRES, RECUEIL DE PIECES SATIRIQUES DONT LES ELEMENTS CIRCULERENT SOUS FORME MANUSCRITE AVANT D'ETRE IMPRIMES. PETITS DEFAUTS EXTERIEURS SANS AUCUNE GRAVITE, SINON BON EXEMPLAIRE.
BERWICK Jacques Fitz-James - PLANTAVIT DE LA PAUSE, Guillaume
Reference : 23403
(1737)
La Haye P. Paupie 1737 in-12 plein-veau 2 volumes, reliure plein veau havane brun moucheté in-douze (binding full calfskin duodecimo) (17 x 9,7 cm), dos 5 nerfs (spine with raised bands), décoration "or" et à froid (gilt and blind stamping decoration), titre frappé "or", pièce de titre sur fond bordeaux avec filet et roulette "or" en encadrement, tomaison frappée "or" dans un encadrement d'un filet et d'une roulette "or" avec rinceaux "or" aux angles, entre-nerfs à fleuron "or" dans un encadrement de filet et roulette "or" avec rinceaux "or" aux angles, roulette large "or" en pied, roulette "or" en place des nerfs avec un filet à froid de part et d'autre des nerfs (dos frotté avec trés léger manque de dorure), les coiffes supérieures manquent, plats légèrement épidermés, toutes tranches lisses jaspées rouges (red edges), Double Ex-libris collés au dos du premier plat : un de la Bibliothèque du Chateau de LUMIGNY (ayant appartenu à Helvétius, où il écrivit "De L'Esprit" et ensuite à la famille De Mun, jusqu'à la veille de la seconde guerre mondiale), et un bel-ex libris gravé de la bibliothèque et aux Armes du DUC D.D. Francisci de Bournonville, titre imprimé en rouge et noir, "....hoc opus sine auctore permitii à So oficio 13 septembris 1738 Jacoby Dom SOC JESU..." (oeuvre sans auteur ayant la permission du Saint Office, le 13 septembre 1738 (signé) dom Jacoby de la société de Jésus) manuscrit à l'encre brune au dos de la page de titre, sans illustrations (no illustrations), (339) + (327) Pages, 1737 La Haye P. Paupie Editeur,
Note : Par G. Plantavit de La Pause, abbé de Margon, d'après le P. Lelong et Barbier......EDITION ORIGINALE.......RARE.....Beaux Exemplaires en bon état malgré les légers défauts signalés (good condition in spite of the light defects indicated). bon état
PLANTAVIT DE LA PAUSE Guillaume & DESFONTAINES Pierre François Guyot
Reference : 50725
(1732)
Chez le libraire de Momus , à Moropolis 1732, Pet. in-12 (7,5x13,3cm), (12) 192, 156, 161p. (7) et (8) 167pp. (1) ; (6) 152pp., 6 parties en 2 volumes reliés.
Seconde édition, augmentée d'une troisième partie, de cet ouvrage qui parut pour la première fois à Bâle en 1725. Le deuxième volume contient les cinquième et sixième parties en originale, Aux États Calotins (1754), De l'imprimerie Calotine. Ces Mémoires furent publiés plusieurs fois jusqu'en 1754. Cette édition a été publiée quelque part en Hollande. Les deux volumes ne contiennent pas la quatrième partie, car elle ne parut pas à part, mais fut intégrée à l'édition de 1735. Reliures en plein veau blond d'époque. Dos lisses joliment ornés, roulettes en queue et tête. Pièce de titre en maroquin rouge et de tomaisons en maroquin beige. Menus frottements en coiffes et coins. Un coin émoussé. Bel exemplaire. L'autre nom du régiment de la Calotte fut celui de la Confrérie des fous, société littéraire secrète à l'origine militaire qui fut formée sous Louis XIV, ses principaux collaborateurs, en guerre contre la corruption des murs et l'Académie française, furent l'abbé Guyot-Desfontaine, Piron, Grécourt, Plantavit de la Pause, Gacon, l'abbé Macon, etc. La meilleure définition qu'on peut en trouver est donné par Picart dans son ouvrage : Cérémonies et coutumes religieuses de tous les peuples du monde ; voici ce qu'il en dit : « Le régiment de la Calotte doit sa naissance à quelques beaux esprits de la Cour, qui formèrent il y a quelques années une société. Ils se proposèrent pour but de corriger les moeurs, de réformer le style à la mode en le tournant en ridicule, et d'ériger un tribunal opposé à celui de l'Académie française. Les membres de cette nouvelle compagnie ayant prévu qu'on ne manquerait de les accuser de légèreté sur la difficulté de leur entreprise, jugèrent à propos de prendre une calotte de plomb, et le nom de Régiment de la Calotte. Voici quelle en fut l'occasion : vers la fin du règne de Louis XIV, M. de Torsac, exempt des gardes-du-corps, M. Aymon, porte-manteau du roi, et divers autres officiers, ayant un jour fait mille plaisanteries sur un mal de tête dont l'un d'entre eux souffrait extrêmement, proposèrent une calotte de plomb au malade. La conversation s'étant échauffée, ils s'avisèrent de créer un régiment composé uniquement de personnes distinguées par l'extravagance de leurs discours ou de leurs actions. Ils le nommèrent le régiment de la Calotte, en faveur de la calotte de plomb ; et d'un consentement unanime le sieur Aymon en fut aussitôt élu général [...] Plusieurs personnes de distinction se rangèrent sous les étendards du régiment, et chacun se faisait une occupation sérieuse de relever par des traits de raillerie les défauts des gens les plus considérables, et les fautes qui leur échappaient. » Ex-libris aux armes de Joseph Justine Pinseau de la Ménardière. - Photos sur www.Edition-originale.com -
PLANTAVIT de LA PAUSE (Guillaume), DESFONTAINES (Pierre-François-Guillaume)
Reference : 15061
(1725)
1725 Basle, chez les héritiers de Brandmyller, 1725, 2 parties en 1 vol. in 12 de (28)pp. (titre en rouge et noir compris, avec vignette gravée représentant les armes de la calotte)-194 pp. (les 2 dernières pages sont chiffrées par erreur 139 et 140)-176 pp. (fx-titre et titre compris), rel. d'ép plein veau brun foncé, dos à nerfs orné de fers dorés, pièce de titre de maroquin rouge, la coiffe sup. manque, sans la planche de musique, sinon bon ex.
Éd. orig. Le Régiment de la Calotte fut fondé vers la fin du règne de Louis XIV par une société de joyeux officiers, qui n'avaient, à ce qu'il paraît, rien de mieux à faire que de se moquer de tout le monde, en commençant par eux-mêmes. Le hasard donna lieu à cette facétie, qui se prolongea plus d'un demi-siècle. Les fondateurs furent : Aymon, porte-manteau du roi, et de Torsac, exempt des gardes du corps. Ces messieurs s'entretenaient avec quelques amis, quand l'un d'eux se plaignit d'avoir mal à la tête, et dit qu'il avait une calotte de plomb. Le mot fut relevé ; il fit fortune : de là le nom du régiment de la calotte donné à leur réunion. Elle fit frapper des médailles, adopta un étendard et un sceau avec des armes parlantes, où se trouvaient réunies, dans toutes les règles de l'art héraldique, une calotte, une pleine lune, un rat, un drapeau, une marotte, deux singes habillés, bottés, avec l'épée au côté. La devise était : favet Momus, luna influit. Les associés se mirent à distribuer des brevets en vers à tous ceux qui faisaient quelque sottise éclatante : ministres, princes, maréchaux, courtisans, abbés, dames de la cour, financiers, hommes de lettres, artistes, comédiens, personne ne fut excepté. Le brevet de la calotte devint alors une véritable censure des travers et des ridicules. Plusieurs personnes du plus haut rang s'empressèrent de s'enrégimenter. (Arthur Dinaux, Les Sociétés badines bachiques littéraires et chantantes, leur histoire et leurs travaux. Paris, 1867).
PLANTAVIT de LA PAUSE (Guillaume); DESFONTAINES (Pierre-François-Guillaume):
Reference : 15435
(1725)
Basle, Chez les héritiers de Brandmyller, 1725. 2 parties en un volume in-12 de [28]-194-153-[1]-6-23 pages, plein veau brun, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges.
Page de titre illustrée du beau blason du Régiment, et grande partition dépliante de la Marche du Régiment de la Calotte. Edition originale. "Le Régiment de la Calotte fut fondé vers la fin du règne de Louis XIV par une société de joyeux officiers, qui n'avaient, à ce qu'il paraît, rien de mieux à faire que de se moquer de tout le monde, en commençant par eux-mêmes. Le hasard donna lieu à cette facétie, qui se prolongea plus d'un demi-siècle. Les fondateurs furent : Aymon, porte-manteau du roi, et de Torsac, exempt des gardes du corps. Ces messieurs s'entretenaient avec quelques amis, quand l'un d'eux se plaignit d'avoir mal à la tête, et dit qu'il avait une calotte de plomb. Le mot fut relevé ; il fit fortune : de là le nom du régiment de la calotte donné à leur réunion. Elle fit frapper des médailles, adopta un étendard et un sceau avec des armes parlantes, où se trouvaient réunies, dans toutes les règles de l'art héraldique, une calotte, une pleine lune, un rat, un drapeau, une marotte, deux singes habillés, bottés, avec l'épée au côté. La devise était : favet Momus, luna influit. Les associés se mirent à distribuer des brevets en vers à tous ceux qui faisaient quelque sottise éclatante : ministres, princes, maréchaux, courtisans, abbés, dames de la cour, financiers, hommes de lettres, artistes, comédiens, personne ne fut excepté. Le brevet de la calotte devint alors une véritable censure des travers et des ridicules. Plusieurs personnes du plus haut rang s'empressèrent de s'enrégimenter." in Arthur Dinaux, Les Sociétés badines bachiques littéraires et chantantes, leur histoire et leurs travaux. Paris, 1867. Illustré XXe
[PLANTAVIT de LA PAUSE (Guillaume) / GUYOT-DESFONTAINES (Pierre-François)]
Reference : 27362
A Moropolis [Paris], chez le libraire de Momus, à l'enseigne du Jésuite démasqué, 1732. 3 parties en 1 vol. in-16, veau brun, dos à nerfs orné de caissons dorés, pièce de titre en basane blonde, roulette dorée sur les coupes, tranches jaspées de rouge. Reliure de l'époque, accrocs aux coiffes, mors sup. fendu. (6) ff., 192 pp.; 156 pp.; 161 pp., (7) pp. Quelques annotations marginales à l'encre brune.
Seconde édition, augmentée de la troisième partie. Les deux premières avaient paru à l'adresse de Bâle en 1725. Ce recueil comprend de nombreuses pièces en vers et en prose, notamment les fameux "brevets" que le régiment de la Calotte distribuait à toutes les personnalités qui avaient manqué à la bienséance, au bon goût à la logique ou au bon sens. Cette société burlesque avait été "inventée par quelques hommes d'esprit à l'époque de la Régence" (Dinaux). Dinaux, Les Sociétés badines I, 134.
Phone number : 02 47 97 01 40
PLANTAVIT de LA PAUSE, (Guillaume, abbé de MARGON ), TOURVILLE (Maréchal de)
Reference : 10270
(1742)
1742 Amsterdam, François Girardi, 1742, 3 tomes en 3 vol. in 12 de (4)-375-(1) pp. ; (2)-383-(1) pp. ; (2)348 pp., rel. d'ép., plein veau brun moucheté, dos à nerfs ornés de fers dorés, pièces de titres et de tomaisons de mar. orange, petites fentes à 4 mors, manque la coiffe inférieure du tome 2 et petit manque à la coiffe supérieure du tome 3, habiles restaurations anciennes, agréable exemplaire.
Edition originale très rare de cet ouvrage apocryphe composé par l'abbé de Margon, d'après Quérard et Barbier.
A Amsterdam, chez Du Villard & Vhanguion, 1718. In-12 de XV-[33]-310 pages, plein cartonnage moucheté brun (début 19ème), dos lisse, pièce de titre bordeaux, anciennes étiquettes de cote de bibliothèque.
Jolie édition qui contient, entre l'avertissement et la première Lettre, un long catalogue - 33 pages - de l'éditeur pour les nouveautés "et autres" de 1718. Il est intéressant de lire les notes de l'Avertissement qui précise que l'édition de Londres ainsi que la traduction en français est une invention. La prétendue traduction imprimée en 1718 à Rotterdam chez les héritiers de Leers, est en fait la première édition publiée à Paris. La nôtre est la seconde édition.Brunet Imprimeurs imaginaires, p. 95, signale que l'ouvrage fut écrit à la demande du Régent pour justifier les prétentions de la branche d'Orléans à la couronne de France. Et Quérard, Supp. II, col. 43, et Querard, La France, V, 529 pour l'édition prétendument donnée à Rotterdam en 1718 (Paris et Rouen) développe ainsi: "C'est par ordre du duc d'Orléans, régent, que cet ouvrage fut composé. On y suppose deux entretiens entre Filtz.Moritz et différentes personnes sur la succession à la couronne de France, en cas que Louis XV mourût. Le droit de Philippe V, roi d'Espagne, y est défendu par un jésuite entre autres, mais sur de si mauvais principes que tout l'avantage de la dispute est pour le duc d'Orléans." Bon exemplaire. Illustré XXe
PLANTAVIT de La PAUSE Guillaume, DESFONTAINES Pierre-François GUYOT (Abbé), AYMON Jean, et autres
Reference : 91778
Aux Etats Calotins, de l'Imprimerie Calotine, 1752-1754. "8 x 14, 8 x 15, 2 volumes, vol. 1 : 12-192 + 2-162 + 4-160 + 2-31 pages, vol. 2 : 6-165 + 3-152 pages, bandeaux, lettrines et culs-de-lampe, vol. 1 : reliure d'époque plein cuir, dos : 1 pièce de titre, filets et 5 décors ornés d'une fleur en leur centre, chants décorés, tranches rougies, bon état (reliure usagée; pied, coiffe et coins abîmés; papier blanc quasi sans rousseurs); vol. 2 (de format légèrement plus petit) : reliure d'époque plein cuir, dos : 1 pièce de titre, filets et 4 décors ornés d'une fleur en leur centre, plats encadrés d'un triple filet, chants décorés, tranches rougies, bon état (état d'usage, papier blanc quasi sans rousseurs)."
"Ouvrage complet de ses six parties (édition originale pour la 5e et 6e parties); grand tableau de la Campagne de 1744 (ordre de bataille de l'armée féminine en Flandres)."
PLANTAVIT DE LA PAUSE Guillaume, Abbé GUYOT DESFONTAINES, J. AYMON, etc.-
Reference : ORD-16512
Aux États Calotins. de l'Imprimerie Calotine. 1752. 2 volumes in-12 (84 x 144mm) pleine basane racinée, dos à 5 nerfs ornés, gardes peignées, tranches rouges. Première partie: 7ff., 192 pages, troisième et quatrième parties 3ff., 160 pages et 2ff., 31 pages. Sans la 2e partie que nous proposons dans une autre édition en fiche séparée. Reliures un peu usées mais assez bon exemplaire.
PLANTAVIT DE LA PAUSE Guillaume, Abbé GUYOT DESFONTAINES, J. AYMON, etc.-
Reference : ORD-16513
(Moropolis. Chez le libraire de Momus. 1732).- Petit in-12 (82 x 133mm) plein veau moucheté, dos à 5 nerfs, caissons et fleurons or, pièces de titre et de tomaison rouges, gardes peignées, 156 pages. Reliure un peu abîmée, très bon état intérieur. Seconde partie seule qui ne porte pas de page de titre. Nous présentons dans une autre fiche les 3 autres parties dans une autre édition.
Villars, Charles-Louis-Hector de - Plantavit de La Pause, Guillaume de.
Reference : DEZ-3275
(1735)
Amsterdam, aux dépens de la compagnie, 1735 pour le 1er tome; La Haye, Pierre Gosse, 1736 pour les tomes II et III. 3 volumes in-12, plein veau époque, dos à nerfs ornés de filets et de fleurons, dorés, titres dorés, toutes tranches rouges coupes ornées de roulettes dorées, titre, 454 pp; titre, 374 pp; titre, 356 pp. Ouvrage illustré d'un vignette sur la page de titre du tome I. Coiffe supérieure et mors supérieur du tome I restaurée, 2 feuillets détachés au tome I, trous de ver sans gravité sur les mors des tome I et II, rousseurs au tome II.
Les tome II et III de ces mémoires, parus ultérieurement chez un autre éditeur, ont été écrits par Guillaume de Plantavit de La Pause (1685-1760), théologien et historien.
PLANTAVIT DE LA PAUSE Guillaume, Abbé GUYOT DESFONTAINES, J. AYMON, etc.-
Reference : ORD-13203
(Moropolis. Chez le libraire de Momus. 1732).- Petit in-12 (82 x 133mm) plein veau moucheté, dos à 5 nerfs, caissons et fleurons or, pièces de titre et de tomaison rouges, gardes peignées, 156 pages. Reliure un peu abîmée, très bon état intérieur. Seconde partie seule qui ne porte pas de page de titre.
Aux Etats Calotins, 1752. Petit in-12 relié plein cuir, dos à nerfs, caissons ornés, 7 ff.-192 pp. Pièce de tomaison frottée, coins de la reliure frottés, sinon bon état. Tome 1 seul.
La Calotte est un ordre burlesque née d'une plaisanterie d'officiers qui s'ennuyaient à la fin du règne de Louis XIV. Barbier attribue l'ouvrage à G. Plantavit de la Pause, P. F. Guyot-Desfontaines, J. Aymon, Fr. Gacon et autres.