Ch. Delagrave 1897 in8. 1897. Relié.
bords un peu frottés coins émoussés certaines gravures ont été coloriée quelques rousseurs à l'intérieur
"P. LETHIELLEUX. 1899. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos fané, Intérieur frais. 240 pages. Ex Bibliotheca ""Hnerici Sauvé"". Léger manque au dos.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Alfred mame et fils 1931 in8. 1931. Broché.
couverture frottée livre jauni intérieur globalement propre qques rousseurs
Rue bayard 1912 125 pages in8. 1912. Broché. 125 pages.
Etat Correct coiffes frottés
Mame et fils 142 pages in12. Sans date. Relié. 142 pages.
Etat Correct bords assez frottés
XXX 1912
in8, broche, bon etat d'usage, petit manque au bas du dos, contours premiere et quatrieme de couverture insoles, dechirure sans manque en quatrieme de couverture (scotchee), coll. de Romans Populaires N°24, 1912, 128p
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune).
Reference : 013967
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune). L.A.S., Paris, 12 septembre 1755, 3p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux. « Monsieur, Si pour mériter l'honneur de votre confiance l'exactitude et la diligence peuvent être de quelque considération, la première preuve qu'il soit en moi de vous donner quant à présent est de vous répondre à celle que vous avez pris la peine de m'écrire à l'instant que je crois le faire vraiment pour vous assure que j'agirai de même pour la suite. Je me flatte que M. le Président Général qui me recommande une grande expédition de ce que vous désirez en cela dans les termes les plus forts voudra bien être auprès de vous ma caution à cet égard. Je ne crois point trop m'engager Monsieur en vous promettant que vos provisions peuvent être scellées bien avant la St Martin [11 novembre] à moins de quelques difficultés absolument surprenantes qui ne se rencontrent pas volontiers. C'est tous quand il est question de la résignation d'un père à son fils. Cependant, à commencer de samedi prochain, n'ayant toute apparence que le sceau ne se donnera que de quinzaine en quinzaine, je vous observerai qu'il n'y a pas de temps à perdre pour m'envoyer les pièces nécessaires, et me mettre en état d'aller en avant. Je vous annoncerai que si cet envoi tardait, je me trouverais embarrassé pour l'enregistrement des provisions à la chambre des comptes qui n'entre point dans la quinzaine d'avant la St Martin, qu'à dix jours bien interrompus et rares. Comme vous avez déjà obtenu de premières provisions, vous me marquez au juste les pièces dont j'ai besoin qui sont les provisions de M. votre père : sa résignation, les vôtres personnelles, votre extrait baptistaire, et un certificat de non parentés et alliances avec Mrs du Parlement. Vous savez, Monsieur, que M le Chancelier n'accord son agrément qu'autant que M le Premier président lui en a écrit. Ainsi il faut que vous preniez d'aller voir M Le Berthon pour qu'il remplisse ce cérémonial, l'agrément en question étant le préalable de toutes choses. Je me persuade même qu'il vous faudra au moins une dispense d'âge et ces lettres demandent toujours plus de temps que lorsqu'il s'agit d'avoir simplement des provisions, par la nécessité, [mot illisible] qu'elles sont sous scellées, de les envoyer et les retirer de la signature du ministre. Le droit de survivance étant de 5571 livres et celui de marc d'or de 2626 livres, l'on provisionne sans aucune dépense, point d'argent ni de pièce, seront une dépense au moins de 8400 livres sans y comprendre même l'enregistrement de la chambre des comptes mais elle vous coûteront toujours bien moins qu'au dernier revu de Mrs les présidents à mortier qui a été obligé de payer depuis peu caution. 18000 livres pour son seul droit de survivance acquis au triple et sur lequel il n'a pu obtenir aucune modération. Je suis bien respectueusement, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur Gallois ». Le « président général » est certainement le premier président du parlement de Bordeaux, à savoir André-Benoît-François-Hyacinthe Le Berthon (1713-1800) au moment de ce courrier. Son père Pierre-Emmanuel Casaux (1687-1759) s'apprête donc à lui laisser sa place de président à mortier au parlement de Bordeaux. D'ailleurs, l'adresse indique uniquement « conseiller au Parlement ». Il lui fallait une dispense d'âge car il fallait 40 ans révolus pour être président à mortier. Beau cachet de cire aux armes de Gallois au dos du document (cachet rompu en deux à l'ouverture de la lettre). [215]
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune).
Reference : 013968
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune). L.A.S., Paris, 26 septembre 1755, 3p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux. « Monsieur, Le courrier par vous chargé de me remettre le paquet que vous venez de m'adresser a été tellement exact à me le délivrer qu'il m'est parvenu deux heures avant votre lettrer d'avis. J'y ai trouvé toutes les pièces qui me sont nécessaires et même plus qu'il ne m'en faut comme vous me faites l'honneur de me l'observer, mais ne les déliant pas, je compte qu'elles vous reviendront dans le même ordre, sans cependant vous promettre que la cire qui composte les anciens sceaux, quelque proprement et soigneusement qu'ils aient été gardés, soient de la partie car ces actes passent en tant de mains qu'à peine faut-il compter sur la cire des expéditions que l'on fait sceller et qui n'en sont que moins en forme. Vous m'auriez fait plaisir, Monsieur, de m'envoyer en même temps les fonds. Malgré cela, voulant profiter du sceau indiqué au quatre du mois prochain autant qu'il sera en moi et que le bon tant de l'agrément que de la dispense d'âge me sera aussi promptement envoyé que je l'espère. J'ai payé ce matin les 5500 livres de [levée?] Du droit de survivance, vu qu'il faudra retarder le paiement de quatre [mot illisible]. Seulement vos expéditions que je compte faire sceller demain en huit en jours n'auraient pu l'être qu'au sceau subséquent qui ne sera certainement pas donné avant le 19 ou le 20 du mois prochain. De la manière dont je m'y prends, je tacherai de faire l'enregistrement de vos provisions à la chambre des comptes pendant que j'enverrai votre dispense d'âge scellée à la signature du ministre. Ainsi il y aurait bien des contretemps imprévus si dans le 18 ou l e25 octobre au plus tard je n'était pas en état de vous faire mon envoi de tout. Mais s'il s'agissait de vous faire passer les paquets autrement que par la messagerie à l'ordinaire et nous en donner avis, je vous prie de vouloir bien me le marquer. Je suis respectueusement, Monsieur, Votre très humble et très obéissant serviteur, Gallois ». Beau cachet de cire aux armes de Gallois au dos du document (petits manques en bordure). [215]
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune).
Reference : 013969
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune). L.A.S., Paris, 1er octobre 1755, 2p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux. « Monsieur, J'ai reçu samedi dernier celle que vous avez pris la peine de m'écrire avec le mandement de neuf mille livres auquel il a été fait honneur hier matin attendu que la veille était ici la fête de St Mathieu. Comme j'avais mis toutes choses en règle concernant vos expéditions, ce paiement m'a remboursé de mes avances et je serais surpris qu'il y eût sujet de vous demander un supplément. Je suis toujours, Monsieur, dans l'espérance que nos provisions de la dispense d'âge, qui vous est nécessaire quoique pour bien peu de temps, seront scellées samedi prochain à Fontainebleau car je compte qu'avant ce temps, M le Chancelier me fera passer votre agrément et le bon de la dispense. Indépendamment du placet par moi donné il y a huit jours, j'en ai encore écrit dimanche dernier au premier secrétaire, et M Trouvé est venu au logis lundi dernier s'étant offert de lui écrire de nouveau. Comme le connaissant, je l'ai prié de le faire, car je ne suis point dans l'usage de refuser du secours pour que rien ne manque. C'est au reste la seule personne qui me soit venue ou ait envoyé de votre part et je n'ai eu aucune nouvelle de M de Ségur, nouvellement prévôt de notre ville. Je me flatte que mon attention, et ma vigilance, pourront me donner quelque part dans l'honneur de votre confiance que je chercherai toujours à mériter étant avec un respectueux attachement, Monsieur, Votre très humble et très obéissant serviteur, Gallois ». Beau cachet de cire aux armes de Gallois au dos du document (petits manques en bordure). [215]
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune).
Reference : 013970
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune). L.A.S., 8 octobre 1755, 2p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux. « Monsieur, Au sceau de samedi dernier tenu à Fontainebleu ont été scellées en ma présence vos provisions et la dispense qui vous était nécessaire comme cette dernière lettre doit être signée de M de St Florentin, et qu'il y a quelquefois du retard dans leur renvoi, j'ai volontier accepté l'offre que m'a faite M Trouvé de s'en charger pour les faire plus promptement signer et je les lui ai remises lundi au soir à cet effet avec leur minute. D'un autre côté, Monsieur, en attendant cette signature, je travaille à faire enregistrer vos provisions en la chambre des comptes, au moyen de quoi j'espère vous adresser incessamment vos provisions, avec les lettres de dispense par le même canal de M Trouvé suivant qu'il s'y est offert et que vous les recevrez encore plus tôt que vous ne les demandiez. Je vous supplie de crois que j'userai toujours de la même exactitude pour tout ce qui vous concernera ou pour les personnes auxquelles vous voudrez bien vous intéresser, et qui pourraient avoir besoin de mon ministère, m'y livrant uniquement, aimant l'occupation, et ne la refusant point quand elle se présente. Je suis avec bien du respect, Monsieur, Votre très humble et très obéissant serviteur, Gallois ». Beau cachet de cire aux armes de Gallois au dos du document (petits manques en bordure). [215]
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune).
Reference : 013971
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune). L.A.S., Paris, 15 octobtre 1755, 4p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux. « Monsieur, Vos intentions ont été pleinement exécutées car n'ayant pas perdu un seul moment sur ce qui vous concernait, j'ai mis hier de relevée entre les mains de M Trouvé le paquet de papier tel que vous me l'avez adressé augmenté de vos provisions et dispenses mais les anciens sceaux ont disparu aussi n'avais-je pas espérance de les revoir. Il doit comme il s'y est offert de lui-même et me l'a promis faire contresigner ce paquet, comme je l'aurais pu faire s'il n'y avait point eu de sceaux, et vous l'adresser par le présent ordinaire en l'avis que j'ai l'honneur de vous en donner ici donc dans la règle vous parvenir en même temps. Comme je n'ai eu, Monsieur, aucune occasion de remercier M l'ancien Président Général de m'avoir mis en état de vous être de quelque petite utilité, j'ai pris la liberté d'enfermer dans votre paquet une lettre pour lui et je vous serai redevable de vouloir bien la lui faire remettre. Je forme ici l'état en état de ma dépense que vous trouverez au dessous de la recette de 423 livres 10 sous et seulement de 416 livres et vous juger à propos d'admettre les 7 livres 10 sous pour les courses du commis qui ont été assez réitérés. Ainsi que, Monsieur, vous pouvez disposer de l'une de ces sommes en les tirant[?] sur moi ou me marquant à qui je pourrai la délivrer à moins que vous ou M le président général n'eussiez besoin de quelque légère provision du sceau pour un orateur auquel vous vous intéresseriez. Je serai bien charmé d'apprendre que vous êtes satisfait de mes petites opérations, et que ce me fût un grade pour mériter l'honneur de votre [mot illisible] sachant la juste considération que vous vous êtes acquise dans la compagnie dont vous devenez un des chefs. S'il s'en présentait quelque occasion, je vous supplie d'être persuadé que je la saisirais de manière à vous donner des témoignages du respectueux dévouement avec lequel je suis, Monsieur, Votre très humble et très obéissant serviteur, Gallois. Je n'ai eu, Monsieur, aucunes nouvelles de M le Prévôt de cette ville ». Il est joint le décompte des sommes versées et le restant dû à Casaux, reprenant notamment la somme proposé pour les courses du commis. [215]
[Racle, Coudert] - Anonyme ; LATAPY, Hyacinthe ; PIERRUGUES, Pierre ; TRANCHERE DE CHATEAU-NEUF, M.
Reference : 64266
(1815)
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane verte,contient : De l’administration financière des communes de France, avec quelques applications à la ville de Bordeaux. Bordeaux, A. Racle, 1816. 114 p., 4 tableaux dépliants. ; Récit de la conduite des maréchaux de France à l’égard du Vicomte de Noé, Maire de Bordeaux, fait en Parlement, les Chambres assemblées, le Mardi 6 juillet 1784, 20 p. ; Observations sur l’ouvrage de M. Poussielgue, inspecteur-général des finances (...) de la Gironde, Par Hyacinthe Latapy, Bordeaux, P. Coudert, 1818, 68 p. et 1 tableau dépliant ; Coup d’oeil sur les avantages de la nouvelle Grande Route projetée au travers de la Palu de Cénon-Labastide, et devant servir d’avenue au pont de Bordeaux, De l'Imprimerie de A. Brossier, Bordeaux, 1818, 15 pp. ; De quelques Monumens qui existent, et des Travaux Publics qui s'exécutent dans le Département de la Gironde, par M. Tranchère de Chateau-Neuf, De l'Imprimerie de A. Brossier, Bordeaux, 1828, 48 pp. ; Mémoire explicatif des projets d'alignement et d’embellissement proposés pour la ville de Bordeaux en exécution de la loi du 11 septembre, par Pierre Pierrugues, 1807, Bordeaux, Racle, 1815, 111 p.
Réunion de 6 brochures aussi rares qu'intéressantes, publiées entre 1815 et 1828, relatives aux finances et aux travaux de Bordeaux sous la Restauration. On relèvera notamment cette brochure évoquant la "palu de Queyries" (les marais de Queyries, devenu quai de Queyries), "plaine autrefois fertile, susceptible d'une grande amélioration, et qui produit des vins si renommés", et le "plan présenté par M. le Directeur du Pont de Bordeaux, pour former une avenue depuis la rivière jusqu'à la côte de Cénon", qui "offre donc le double caractère, de la beauté dans l'exécution, et d'opérer dans la position topographique d'une grande commune, les changemens les plus avantageux". Cette avenue, dans le prolongement du Pont de Pierre (inauguré en ) est l'actuelle avenue Thiers. Etat satisfaisant (dos frotté avec importante fente partielle en mors, bon état par ailleurs).
Chez l'auteur, Paris 1988, 15,5x24cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Iconographie, agréable exemplaire. Bel envoi autographe signé de Pierre Chateau-Jobert, à pleine page, à Martine Lesoing. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Editions du Fuseau, 1964, pt in-8°, 157 pp, broché, couv. illustrée d'une photo de l'auteur, bon état. Edition originale (il n'est pas mentionné de grands papiers)
Un exposé des fondamentaux de l’ordre politique et social naturel, sur les bases de la doctrine catholique. Le colonel Chateau-Jobert entend proposer ici un manuel ayant pour objet « de rappeler la base doctrinale théorique qui doit être l’assise de l'action contrerévolutionnaire » où tous pourront puiser, avec profit, la marche à suivre. La Révolution a ses manuels, ses orateurs, ses doctrinaires, eh bien, la Contrerévolution doit aussi avoir ses manuels. Regrettant le fait qu'il soit nécessaire de consulter bon nombre d'ouvrages différents afin de balbutier sur la loi naturelle et l'ordre, Chateau-Jobert nous propose ici une somme de ses lectures. Le militant contrerévolutionnaire a maintenant son « bréviaire ». Table : I. Une doctrine politique et sociale ; II. Le fondement de l'ordre naturel face à la mystification marxiste ; III. Une doctrine universelle ; IV. La conclusion s'impose : un mouvement contrerévolutionnaire.
1775 À Londres et se trouve à Paris, Chez Ruault, Libraire, 1775. In-8°, veau, dos lisse orné (reliure de l'époque). Un titre gravé orné d'une vignette et une planche gravée par LAUNAY d'après EISEN. . Cohen, 86
Chiré-en-Montreuil, Diffusion de la Pensée Française, 1973, in-8°, 150 pp, 2e édition, broché, couv. à rabats illustrée d'une photo de l'auteur, bon état
Un exposé des fondamentaux de l’ordre politique et social naturel, sur les bases de la doctrine catholique. Le colonel Chateau-Jobert entend proposer ici un manuel ayant pour objet « de rappeler la base doctrinale théorique qui doit être l’assise de l'action contrerévolutionnaire » où tous pourront puiser, avec profit, la marche à suivre. La Révolution a ses manuels, ses orateurs, ses doctrinaires, eh bien, la Contrerévolution doit aussi avoir ses manuels. Regrettant le fait qu'il soit nécessaire de consulter bon nombre d'ouvrages différents afin de balbutier sur la loi naturelle et l'ordre, Chateau-Jobert nous propose ici une somme de ses lectures. Le militant contrerévolutionnaire a maintenant son « bréviaire ». Table : I. Une doctrine politique et sociale ; II. Le fondement de l'ordre naturel face à la mystification marxiste ; III. Une doctrine universelle ; IV. La conclusion s'impose : un mouvement contrerévolutionnaire.
Attard-Legrand Marie-Pierre Chateau-Larue Florence Larue Jean-Paul Chaulet Pierre Drevillon Valérie
Reference : 74196
(2014)
ISBN : 9782047330425
Bordas 2014 128 pages 27x20x2cm. 2014. Broché. 128 pages. Chaque maison cache un secret les murs ont des oreilles mais la bouche cousue. Il faut poser longtemps la joue contre leur sein comme un docteur fiévreux pour les entendre respirer. A Dun-le-Palestel dans la Creuse la maison de famille du narrateur en a si gros sur le c?ur et tant à dire qu'on va la confesser pièce après pièce l'écouter se raconter souvenirs dérangés vérités arrangées les choses et les gens tels qu'ils furent les échos et les ombres qu'il en reste. Elle finira bien par lâcher cequ'elle sait. Elle sait l'histoire d'un père qui lui avait choisi de se taire
French édition. Le livre présente des marques de stockage et/ou de lecture sur la couverture et/ou les pourtours mais reste en très bon état d'ensemble. Expédition soignée depuis la France
Paris, Chez l'auteur, sans lieu ni date, (1962-1963), 11x18cm, broché, 142p. Edition originale non datée de ce manifeste du Mouvement Français de Combat Contrerévolutionnaire (M.C.R.) qui sera repris par les Éditions du Fuseau en 1964. A cette époque Chateau-Joubert vit clandestinement et ne réapparaîtra en France qu'après l'armistice de juin 1968 qui annule sa condamnation à mort par contumace prononcée en 1965 pour sa participation à l'OAS et au putsch de 1961. JOINT sur feuille volante une note de l'auteur concernant les difficultés rencontrées pour la diffusion de l'ouvrage enjoignant les lecteurs à le faire circuler.
FLORIAN (Jean-Pierre CLARIS de). Écrivain français (Château de Florian, Gard, 1755 - Sceaux, 1794), petit-neveu de Voltaire
Reference : 000041
Une page (156 X 196) sur un double feuillet filigrané "Pro Patria"; adresse manuscrite à la quatrième page : "à monsieur, monsieur l'abbé Arnaud chez Me de Vimeux, chez Mr le Cte d'Argentat, au bas du pont Royal".
FLORIAN réclame à l'abbé Arnaud un service : " [...] j'ai lu mes vers à Mr de Buffévent, on prétend qu'il ne sont pas aisés à entendre, surtout le premier et qu'il faut mettre au lieu de "tu n'as point combattu", "tu n'as point concouru". Si ce changement est bon, comme je le crois, et que votre société le juge tel, je vous demande en grâce de retourner au journal le faire changer. Ce sera la millième obligation que vous aura votre ami. ". Le destinataire de Florian est très probablement l'abbé François Arnaud (Aubignan, 1720 - Paris, 1784), littérateur français qui entra en 1762 à l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres et à l'Académie française en 1771. Il écrivit le plus souvent en société avec Suard dans le Journal étranger, dans la Gazette de France, dans la Gazette littéraire de l'Europe (1764-1766). Après avoir combattu les philosophes, il les soutint ensuite avec ardeur, se montra gluckiste passionné et fit une guerre d'épigrammes a Marmontel et aux piccinistes. Il publia à cette occasion de remarquables articles sur la musique ancienne. Une des plus mordantes épigrammes qu'il ait décochées contre Marmontel est celle où il tourne en ridicule la prétention de son adversaire à posséder le secret des vers de Racine ; Jamais, écrivit-il, secret ne fut si bien gardé. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
( Contes ) - Pierre-Louis d’Aquin de Château-Lyon - Charles Eisen.
Reference : 30580
(1775)
A Londres et se trouve A Paris chez Ruault, Libraire rue de la Harpe, 1775. In-8 relié de 238 pages, au format 20,5 x 13 cm. Belle reliure plein veau marron, avec triple filet dorés aux bords. Dos rond à 5 nerfs avec titre, décorations et filets dorés. Page de garde en papier marbré. Petits frottis aux coins. Tête et tranches rouges. Signet. Intérieur frais. Magnifique vignette sur la page de titre et gravure pleine page en frontispice d’après Charles Eisen, gravé par N. Delaunay. Jolis culs-de-lampe. Cet auteur malgré qui se disait médecin, même si on doute qu'il ait été plus que bachelier ou qu'il ait exercé. Il fut un journaliste littéraire très actif, en relation avec Voltaire. Il a écrit de nombreux opuscules. Rare édition en reliure d'époque et en état superbe.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Couverture souple. Broché. 96 pages.
Livre. Paris - 5 rue Bayard. (Maison de la Bonne Presse) (Collection : Romans populaires N° 56), 1917.
Couverture rigide. Cartonnage. 12 x 20 cm. 95 pages.
Livre. (Sur Jacques Callot). Maison Alfred Mame et Fils. Tours, 1931.
Couverture souple. Broché. 96 pages. Papier bruni.
Livre. Paris - 5 rue Bayard. (Maison de la Bonne Presse) (Collection : Romans populaires N° 56), 1917.
Couverture souple. Broché. 156 pages.
Livre. Editions Hirt et Cie. Reims (Collection : Foyer-Romans. N° 171), 1930.