Plon, 1928, in-12, v-282 pp, 2 gravures hors texte, cart. bleu-nuit de l'éditeur, titres dorés au 1er plat et au dos, bon état
"On ne se souvient guère aujourd’hui de Madame de La Ferté-Imbault, marquise d’Étampes, née à Paris en 1715 – l’année où disparut Louis XIV – et morte, toujours à Paris, en 1791, à la veille de l’exécution de Louis XVI. Personnalité importante de la société mondaine de son temps, Madame de La Ferté-Imbault n’apparaît pas seulement dans les mémoires et les correspondances de ses contemporains; elle a laissé un témoignage direct de sa vie et de son monde dans divers Mémoires, Anecdotes, Lettres, Portraits aujourd’hui encore inédits. C’est à partir de ces manuscrits que les deux plus grands spécialistes de notre comtesse, le marquis de Ségur et Constantin Photiadès, ont élaboré leurs biographies." (Benedetta Craveri, Revue d'histoire littéraire de la France, 2005) — "Un livre bien fait, bien écrit, qui, par le fond et la forme, contraste avec ces biographies bâclées dont est encombré en ce moment le marché littéraire... Cette fois, on n'a pas ravaudé en hâte des pages ramassées au hasard, on n'a pas démarqué de compilations périmées ; M. Constantin Photiadès a cherché les éléments de vérité à des sources inédites, il les a découverts dans les Archives nationales et dans les archives privées, notamment dans les papiers conservés par le marquis d'Estampes et par le comte Wladimir d'Ormesson. Son livre a amplement bénéficié de cette consciencieuse information ; c'est avec une très vivante précision qu'il évoque la figure du personnage auquel il, est consacré et le milieu où fut goûtée la fantaisie calculée de “La Reine des Lanturelus”. La marquise de La Ferté-Imbault avait l'esprit robuste et profond; son éducation et son penchant naturel l'attiraient vers les livres sérieux, les méditations graves ; il y avait en elle l'étoffe d'un moraliste. Elle était belle et bien faite, sa brune beauté lui valait de nombreux hommages, et au premier rang de ses admirateurs elle compta un roi, le bon Stanislas Leczinski. Mais de bonne heure les déboires et les tristesses ne manquèrent pas à sa vie ; veuve prématurément d'un mari léger et futile, elle vit mourir sa fille alors que celle-ci entrait. à peine dans l'adolescence ; et un peu plus tard elle eut la douleur de perdre sa nièce par alliance, morte en donnant le jour à une fille qui devait devenir la vicomtesse de Bourdeilles. Mais, pour ne pas entrer constamment en conflit avec sa mère si impérieuse, si jalouse de sa royauté salonnière, Marie-Thérèse s'était de longue date entraînée à la contrainte. Elle avait pris le parti de cacher tous les côtés graves et réfléchis de sa nature. Elle dissimulait sa réelle valeur sous les dehors du caprice et de l'étourderie. Elle babillait, elle ironisait, tout lui était prétexte à plaisanterie, et à folle plaisanterie bref, pour parler comme elle, « sa raison se déguisait sous un domino de déraison ». Ainsi allait, dans le bal masqué que lui semblait le monde, cette jeune femme qui était vertueuse et pieuse et qui, aux heures de solitude, avait les plus graves lectures, faisait sa compagnie préférée des Pères de l'Eglise, des prédicateurs chrétiens, des moralistes du seizième et du dix-septième siècle de ceux qu'elle appelait « ses vieux amis morts ». On ne voyait, on ne voulut voir longtemps en elle qu'une personne aimable, gaie, fantasque, dont la verve folle déridait les plus moroses – bref, le boute-en-train des Lanturelus. Le « Sublime Ordre des Lanturelus » avait été fondé au cours de l'hiver 1771. A l'instar des confréries occultes qui pullulaient alors, des sociétés badines se constituaient et prenaient figure de sociétés secrètes. Un secret qui était bientôt celui de Polichinelle ! On parlait des Lanturelus dans toutes les cours d'Europe. On savait que le baron de Grimm était « doyen de l'Ordre », le cardinal de Bernis « grand protecteur », le duc de La Trémoïlle « grand fauconnier », Le Pelletier de Saint-Fargeau « chancelier », etc. Marie-Thérèse avait débuté comme « grande-maîtresse », mais, de par la volonté de ses sujets, elle était devenue « Sa Très Extravagante Majesté Lanturelienne, fondatrice de l'Ordre et autocrate 'de toutes les Folies »... Il y a là un aspect de la vie mondaine du dix-huitième siècle qui méritait d'être fixé. (...) Il faut savoir beaucoup de gré à M. Constantin Photiadès de nous avoir fait mieux connaître cette femme d'esprit qui fut une femme de tête, une femme de coeur et une honnête femme." (Raymond Lécuyer, Le Gaulois, 15 mars 1928)
Plon, 1928, in-12, v-282 pp, 2 gravures hors texte, broché, couv. illustrée, état correct
"On ne se souvient guère aujourd’hui de Madame de La Ferté-Imbault, marquise d’Étampes, née à Paris en 1715 – l’année où disparut Louis XIV – et morte, toujours à Paris, en 1791, à la veille de l’exécution de Louis XVI. Personnalité importante de la société mondaine de son temps, Madame de La Ferté-Imbault n’apparaît pas seulement dans les mémoires et les correspondances de ses contemporains; elle a laissé un témoignage direct de sa vie et de son monde dans divers Mémoires, Anecdotes, Lettres, Portraits aujourd’hui encore inédits. C’est à partir de ces manuscrits que les deux plus grands spécialistes de notre comtesse, le marquis de Ségur et Constantin Photiadès, ont élaboré leurs biographies." (Benedetta Craveri, Revue d'histoire littéraire de la France, 2005) — "Un livre bien fait, bien écrit, qui, par le fond et la forme, contraste avec ces biographies bâclées dont est encombré en ce moment le marché littéraire... Cette fois, on n'a pas ravaudé en hâte des pages ramassées au hasard, on n'a pas démarqué de compilations périmées ; M. Constantin Photiadès a cherché les éléments de vérité à des sources inédites, il les a découverts dans les Archives nationales et dans les archives privées, notamment dans les papiers conservés par le marquis d'Estampes et par le comte Wladimir d'Ormesson. Son livre a amplement bénéficié de cette consciencieuse information ; c'est avec une très vivante précision qu'il évoque la figure du personnage auquel il, est consacré et le milieu où fut goûtée la fantaisie calculée de “La Reine des Lanturelus”. La marquise de La Ferté-Imbault avait l'esprit robuste et profond; son éducation et son penchant naturel l'attiraient vers les livres sérieux, les méditations graves ; il y avait en elle l'étoffe d'un moraliste. Elle était belle et bien faite, sa brune beauté lui valait de nombreux hommages, et au premier rang de ses admirateurs elle compta un roi, le bon Stanislas Leczinski. Mais de bonne heure les déboires et les tristesses ne manquèrent pas à sa vie ; veuve prématurément d'un mari léger et futile, elle vit mourir sa fille alors que celle-ci entrait. à peine dans l'adolescence ; et un peu plus tard elle eut la douleur de perdre sa nièce par alliance, morte en donnant le jour à une fille qui devait devenir la vicomtesse de Bourdeilles. Mais, pour ne pas entrer constamment en conflit avec sa mère si impérieuse, si jalouse de sa royauté salonnière, Marie-Thérèse s'était de longue date entraînée à la contrainte. Elle avait pris le parti de cacher tous les côtés graves et réfléchis de sa nature. Elle dissimulait sa réelle valeur sous les dehors du caprice et de l'étourderie. Elle babillait, elle ironisait, tout lui était prétexte à plaisanterie, et à folle plaisanterie bref, pour parler comme elle, « sa raison se déguisait sous un domino de déraison ». Ainsi allait, dans le bal masqué que lui semblait le monde, cette jeune femme qui était vertueuse et pieuse et qui, aux heures de solitude, avait les plus graves lectures, faisait sa compagnie préférée des Pères de l'Eglise, des prédicateurs chrétiens, des moralistes du seizième et du dix-septième siècle de ceux qu'elle appelait « ses vieux amis morts ». On ne voyait, on ne voulut voir longtemps en elle qu'une personne aimable, gaie, fantasque, dont la verve folle déridait les plus moroses – bref, le boute-en-train des Lanturelus. Le « Sublime Ordre des Lanturelus » avait été fondé au cours de l'hiver 1771. A l'instar des confréries occultes qui pullulaient alors, des sociétés badines se constituaient et prenaient figure de sociétés secrètes. Un secret qui était bientôt celui de Polichinelle ! On parlait des Lanturelus dans toutes les cours d'Europe. On savait que le baron de Grimm était « doyen de l'Ordre », le cardinal de Bernis « grand protecteur », le duc de La Trémoïlle « grand fauconnier », Le Pelletier de Saint-Fargeau « chancelier », etc. Marie-Thérèse avait débuté comme « grande-maîtresse », mais, de par la volonté de ses sujets, elle était devenue « Sa Très Extravagante Majesté Lanturelienne, fondatrice de l'Ordre et autocrate 'de toutes les Folies »... Il y a là un aspect de la vie mondaine du dix-huitième siècle qui méritait d'être fixé. (...) Il faut savoir beaucoup de gré à M. Constantin Photiadès de nous avoir fait mieux connaître cette femme d'esprit qui fut une femme de tête, une femme de coeur et une honnête femme." (Raymond Lécuyer, Le Gaulois, 15 mars 1928)
Paris, Librairie Plon, 1925 - In 12°, 107 pp, broché, couverture crème imprimée, illustrée, non rogné (manques au dos)
Envoi Autographe Signé sur le fx-titre : A Bernard Grasset,/bien amical souvenir des temps/ héroïques de la rue Gay-Lussac/ Constantin Photiadès
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Paris, Bernard Grasset, 1908. In-8 carré, 173 pp. demi-maroquin à coins brun, dos à nerfs, chiffre G.V. doré en queue de dos, tête dorée sur témoins, couverture conservée (dos ternis, petites épidermures, coins émoussés).
Édition originale de ce roman comportant un envoi autographe signé de l'auteur à Auguste Gilbert de Voisins. Un des exemplaire sur Hollande, à toutes marges. Une ancienne main a collé un article à propos du décès de l'auteur au premier f. blanc. Ex-libris gravé Lucien Allienne, reliure au chiffre G. des Voisins. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
PHOTIADES (Constantin) - [BALSAMO (Joseph, dit Comte de CAGLIOSTRO)].
Reference : 30478
(1932)
Paris, Bernard Grasset, (1932). Un vol. au format in-8 (208 x 166 mm) de 442 pp. Reliure de l'époque de demi-basane glacée carmin, double filet vertical à froid porté sur les plats, dos à nerfs orné de filets à froid, titre doré, couvertures conservées.
Edition originale (mention fictive d'édition portée au premier plat de la couverture papier originelle). Exemplaire revêtu d'une agréable reliure du temps. Belle impression sur papier au filigrane d'Alfa. La vie de Cagliostro est mal connue. Personnage mystérieux qui s'est rendu fameux au XVIIIème siècle, il naquit d'une famille obscure. Son véritable nom était Joseph Balsamo. Au cours de sa vie, il adopta divers pseudonymes (notamment Comte Pellegrini, Mélissa, Fenice, Hérat ou encore chevalier de la Sainte Croix) mais le nom qui a fait sa renommée est celui de Comte de Cagliostro. Né à Palerme en1743, il vécut dans une humble famille et prit l'habit des frères de la Miséricorde, religieux soignants, fut infirmier puis médecin. Chassé de sa communauté pour indélicatesses, accusé d'escroquerie, il fut obligé de bonne heure de quitter sa patrie et parcourut sous des noms différents la Grèce, l'Égypte, l'Arabie, la Perse, l'île de Malte, Naples, Rome, et presque toutes les villes de l'Europe; il acquit dans ses voyages la connaissance de quelques secrets alchimiques et médicinaux, et se fit une grande réputation par des cures merveilleuses. Il arriva en France en 1780, se fixa pendant quelque temps à Strasbourg, où il fut reçu avec enthousiasme, puis vint à Paris où il n'excita pas moins d'admiration, et fut quelque temps à la mode dans la haute société. Il se présenta au public aristocratique en thaumaturge et en initié sous le patronage d'un grand seigneur, le cardinal de Rohan, prince-évêque de Strasbourg, grand aumônier de France, spéculateur averti, qui avait pressenti le parti qu'il pourrait tirer du "mage". Cagliostro se prétendait le disciple du comte de Saint-Germain, aventurier mystérieux, qui, à Versailles, où il avait brillé vers 1750-1760, s'était déclaré immortel. Il disait aussi posséder une eau de jouvence, sérum de perpétuelle jeunesse qu'il vendait aux crédules. Il vendait à chers deniers différents élixirs, des pilules, faisait des tours de magie et de sorcellerie, et il prétendait avoir le pouvoir de faire apparaître les morts. Il importa en France la Franc-maçonnerie dite égyptienne (de Misraïm) dont le conseiller au Parlement Jean-Jacques Duval d'Eprémesnil et ses amis spéculateurs furent les zélateurs intéressés. Selon la Marquise de Créquy, il soutira quatre ou cinq cent mille francs à Madame d'Urfé pour une révélation sur le Grand Œuvre. Son succès, prodigieux dans la bonne société parisienne, s'explique par sa personnalité, parce que la franc-maçonnerie était à la mode mais surtout parce qu'il avait derrière lui une demi-douzaine de gentilshommes qui spéculaient sur les effets que ses pouvoirs produiraient sur une société aristocratique fortunée et blasée. En 1785, la carrière de ce sorcier de salon fut brisée par l'escroquerie connue sous le nom d'affaire du collier de la reine dans laquelle il se trouva entraîné par le cardinal de Rohan. Il fut incarcéré à la Bastille, mais, soutenu par Jacques Duval d'Eprémesnil, défendu par le brillant avocat Jean-Charles Thilorier, il fut bientôt expulsé de France (1786). Il se retira en Angleterre, puis alla en Suisse et enfin en Italie. Revenu en Italie, il erra dans diverses villes avant d'être arrêté par la Sainte Inquisition en 1789 comme suspect de pratiquer la franc-maçonnerie; il y fut jugé et condamné par la justice pontificale en 1791 à la peine de mort, peine qui fut commuée en une prison perpétuelle; il fut emprisonné jusqu'à sa mort. Il mourut en 1795, à la Rocca di San Leo, près d'Urbino dans la région des Marches (Italie). Infimes marques d'usage affectant la reliure. Rares rousseurs dans le texte. Du reste, belle condition.
Plon 1928 in12. 1928. Broché.
couverture défraîchie quelques rousseurs note au crayon à papier sur la dernière page
1 volume in-8° relié pleine toile, dos lisse, pièce de titre. 442 p. Bel état.
Phone number : 06.31.29.75.65
Armand colin 1910 in12. 1910. Relié.
Très Bon Etat de conservation qq rousseurs sur tranche intérieur propre bonne tenue de la reliure
1932 Paris, Grasset, 1932, in 8 de de 442-(6) pp., rel. d'ép. demi-percaline havane à la Bradel, couvert. illustrée et dos cons., bel ex.
Éd. orig. du service de presse (sur alfax Navarre), il n'est pas mentionné de grands papiers. Envoi autographe de l'auteur au professeur Guillain.
Librairie Plon. 1928. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos plié, Papier jauni. 282 pages. Frontispice illustré en noir et blanc. Deux gravures monochromes hors texte. Papier non coupé.. . . . Classification Dewey : 929.2-Histoire des familles célèbres
Classification Dewey : 929.2-Histoire des familles célèbres
Paris, Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, imprimeurs-éditeurs, 8, rue Garancière - 6e Relié 1920 In-12 (11,5 x 18,8 cm), reliure demi-peau, dos lisse orné de pièces de titre, 247 pages ; quelques traces sur le cuir, papier bruni, par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
GRASSET.. 1932. In-8. Broché. Etat passable, Plats abîmés, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 442 pages. Couverture souple illustrée. L'un des ouvrages est livré sans couverture, l'autre sans le premier plat et le dernier sans le deuxième plat.. . . . Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
COLIN Armand. 1910. In-12. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 294 pages. Accompagné d'une lettre originale manuscrite, signée par l'auteur. Frontispice en noir et blanc, avec serpente. Quelques planches de phototypies, en noir et blanc, avec serpentes. Titre doré sur demi-chagrin noir. Couvertures brochées, conservées. Quelques légères épidermures.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Prix Furtado couronné par l'Académie Française. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
CALMANN-LEVY. 1905. In-12. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 317 pages. Reliure de bibliothèque : étiquette de code sur la coiffe en-tête, tampons sur la page de titre et dans quelques marges.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
PLON NOURRIT.. 1924. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 255 pages. Frontispice en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Librairie Armand Colin, Paris. 1910. In-12. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 294 pages. Photo-gravure en noir et blanc en frontispice (portrait). Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque. Manque important sur le dos.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Sa vie, Son imagination, Son art, Sa doctrine. Avec 2 phototypies hors texte. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Plon 1928 in12. 1928. Broché.
couverture défraîchie intérieur propre jauni
Paris, Librairie Plon, 1925. 12 x 17, 109 pp., broché, non coupé, bon état (couverture rempliée).
1928 Paris, Plon, 1928, in 12, broché, V-283 pages ; 2 gravures hors texte.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P., Grasset, 1932, in 8° broché, 443 pages ; couverture illustrée (minuscules taches).
Exemplaire sur Alfa Navarre. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P., Plon, 1920, in 12 broché, 249 pages ; couverture effrangée.
Illustré de huit gravures et trois cartes dépliantes. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Librairie Plon Paris 1925 In-12 ( 170 X 120 mm ) de 107 pages, broché sous couverture rempliée. Edition originale. Très bel exemplaire, non rogné, enrichi d'un envoi autographe signé de l'auteur.
Paris, Grasset, 1932, in-8 broché, 442 pp. Couverture en bon état, intérieur en très bon état.
Paris, Armand Colin, 1910. 11 x 19, 295 pp., reliure large dos toilé, couverture conservée, bon état (tranches salies).