Philippe Gille (1831-1901), journaliste, écrivain. L.A.S., 1er mars 1894, 2p in-8 (35 lignes). Belle lettre de remerciements pour un article dans L'Echo de Paris du matin. « Ce que vous avez écrit m'a fait d'autant plus de plaisir que Jules Simon, dans son discours de réception de Meilhac, parlant de Labiche a dit » que Gille était plus qu'une ombre. Avec les collaborateurs de Labiche, « il y a de quoi faire toute une académie ». [125]
Philippe Gille (1831-1901), journaliste, écrivain. L.A.S., sd, 1p in-8 (13 lignes). Il attend une occasion pour donner un petit acte, « mais où le donner ? ». Il va le remanier et attendre une occasion. [125]
Philippe Gille (1831-1901), journaliste, écrivain. C.A., sd, 7 lignes. « Merci, cher ami, je sais que vous êtes vrai et votre compliment me fait un grand plaisir. De G.. m'a raconté votre petit bout de dialogue avec [Emile] Blavet, à la librairie nouvelle, c'est charmant et je vous en remercie ». [125]
Philippe Gille (1831-1901), journaliste, écrivain. L.A.S., sd [1877], 1p in-8 (13 lignes). En-tête du Figaro. Il remercie Scholl au nom de ses Charbonniers, titre de son opérette sur une musique de Jules Costé. Il le remercie d'autant plus que Scholl est en froid avec le théâtre où l'opérette était jouée, le Théâtre des Variétés. [125]