PARIS. SANS NOM. 52 NUMEROS IN-FOLIO DE 8 PAGES CHACUN, FORMANT L'ANNEE 1861 COMPLETE, RELIES EN UN VOLUME (43 X 31 X 3 CENTIMETRES ENVIRON), RELIURE D'EPOQUE 1/2 BASANE VERTE, DOS LISSE ORNE DE FILETS DORES, TITRE DORE. DU NUMERO 262 DU 5 JANVIER 1861 AU NUMERO 313 DU 28 DECEMBRE 1861. ILLUSTRATIONS DE BARIC, BELIN, DAMOURETTE, DARJOU, GUSTAVE DONJEAN, GREVIN, CARLO GRIPP, LEDRAD, EUSTACHE LORSAY, MARCELIN, E. MOREL, MICHEL NOEL, NADAR, OULEVAY, PELCOQ, PENOVILLE, RANDON, EDOUARD RIOU, OCTAVIE ROSSIGNON, STOP, WATTS PHILIPS. PETITES TRACES D'USURE EXTERIEURE SANS GRAVITE, SINON BEL EXEMPLAIRE.
PARIS. CHEZ AUBERT ET CIE. SANS DATE. (1842). IN-4 (25,5 X 33 CENTIMETRES ENVIRON) DE (4) + 192 ET 14 PAGES (CATALOGUE) RELIURE D'EPOQUE 1/2 CHAGRIN ROUGE A COINS, DOS A 4 FAUX NERFS, TITRE DORE. BIEN COMPLET DES 24 PREMIERES LIVRAISONS FORMANT L'ANNEE 1842. EDITION ORIGINALE DE CE RECUEIL INITIALEMENT PREVU EN 100 LIVRAISONS, MAIS DONT LA PUBLICATION S'ARRETA EN 1843 APRES LA 48°. (VICAIRE. V. 1232-1234). PETIT MANQUE DE CUIR SUR UN COIN, SINON BEL EXEMPLAIRE POUR CETTE PREMIERE ANNEE D'UN DES PLUS RARES RECUEILS DE CARICATURES DU XIX° SIECLE.
Charles Philipon.Charles Philipon (1800-1862), dessinateur et journaliste
Reference : 25209
(1832)
1832 Planche numérotée 162 publiée dans le journal La caricature N°81, le 1er août 1832,Hauteur: 27.8cm x Largeur: 36.3cm - Dimensions : Hauteur: 28.5cm x Largeur: 43.5cmTitre en bas au centre : « Les Armes // du Roi et du Peuple. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal.) // (N°81.) », en ht à dte : « Pl. 162. » Dans la lettre : « Lith. de Becquet rue Childebert n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Composées le 1er Août 1832 par le Citoyen Ch. Philipon aujourd’hui condamné par trois jugemens [jugements], après 20 saisies, // à 4200f d’amande [amende], au 10me pour enregistrement, aux frais et à 13 mois de prison pour injure à la personne du Roi Citoyen. » [Charles Philipon, auteur du modèle et dessinateur]Inscription - Au-dessus de chaque blason, en un arc de cercle, les dates des Trois Glorieuses : « 27. 28. 29. » ; Sur le blason du roi, à gche : « TRES PETITE LISTE CIVILE. // PLUS DE COUR NI DE COURTISANS. // LIBERTÉ INDIVIDUELLE, LIBERTÉ D’ECRIRE // PLUS DE SINECURISTES. // PLUS DE TRAITEMENS [TRAITEMENTS] SCANDALEUX. // REPUBLICO-MONARCHIE. // PLUS DE MONOPOLES. // GOUVERNEMENT A BON MARCHE. // ETC. ETC. ETC. » ; sur la bannière tricolore dessous : « LA CHARTE SERA UNE VERITE. » (phrase prononcée par Louis-Philippe au moment de sa montée sur le trône) ; sur les pots de confiture et de beurre autour du blason du peuple : « Abricots », « Groseilles », « BEURRE de BRETA […] [BRETAGNE] » ; étiquette fichée dans un récipient indiquant : « PAté de // Foies Gras » ; sur la bannière dessous : « VIVRE EN TRAVAILLANT. »
à gauche, les armes du roi : un écu posé sur des pavés, surmonté d'un chapeau haut de forme portant la cocarde tricolore. Derrière, un parapluie et une canne entrecroisés, ainsi que des branches de chêne. Série d’inscriptions ironiques sur le blason. Portrait du juste-milieu. « L’écu royal immortalisera la simplicité auguste du souverain qui remplace si dignement son parent, son bienfaiteur » (in explication)A droite, les armes du peuple : un blason tricolore présentant trois brioches est surmonté d’un plat contenant un gâteau dans lequel est fichée une pique présentant à son sommet un bonnet phrygien. Autour prennent place des alouettes rôties, des pots de confiture et de beurre, des faisans, des dindons et des coqs plumés, ainsi que des pains. « Les armes du peuple témoigneront, par trois belles brioches et toutes ces alouettes rôties, de la prospérité à venir du pays » (in explication)
Philipon, Charles (Lyon, 19–04–1800 - Paris, 25–01–1862), dessinateur-lithographe
Reference : 25186
(1832)
1832 Planche numérotée 162 publiée dans le journal La caricature N°81, le 1er août 1832 - Lithographie, Colorié - Hauteur: 27.8c-Largeur: 36.3cm
parue pour regler une amende - censure
Philipon, Charles (Lyon, 19–04–1800 - Paris, 25–01–1862),Edouard Wattier, illustrateur ?
Reference : 25222
Planche quadruple (double en largeur et hauteur,pliée en 4) HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 17 octobre 1833 (n°322-323)- Hauteur: 64cmx Largeur: 47.5cm - Image : Hauteur: 44cm x Largeur: 38cm - Titre sur la poire en ht de l’image : QUATRE // ANS // de // RÈGNE » ; légende en bas au centre : « COMPOSÉ // par M. M. Pépin de la poire, Pourrie ect. [etc] ect. historiographes de la meilleure des républiques » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°154. », en ht à dte : « Pl. 322. 323. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue de Furstemberg 6. » [imprimeur], « Ch. P. int. » [Charles Philipon, inventeur du modèle], « W. delt. » [Edouard Wattier, illustrateur ?]L’explication (p. 1227) est très sommaire, estimant que le dessin parle de lui-même. De manière ironique, elle précise : « C’est l’histoire au crayon des principales douceurs dont la France a joui jusqu’à présent sous le règne vraiment paternel du Juste-milieu ». La légende est elle aussi ironique et fait référence aux paroles que La Fayette aurait prononcées (mais qu’il a toujours nié avoir prononcées) : « la monarchie constitutionnelle est la meilleure des républiques », lors de son entrevue avec Louis-Philippe le 1er août 1830 au Palais-Royal au moment de lui remettre les pouvoirs de lieutenant général du royaume Sur fond de rayons de soleil, mais ternes, gris, prennent place dix vignettes de forme ronde contenant des saynètes : « les scènes les plus remarquables de cette triste farce » (in explication): 1e vignette : « Patriotes au carcan » : représente deux hommes pendus. 2e vignette : « Affaire du pont d’Arcole » : un pont. 3e vignette : « Transfert des patriotes à Bicêtre » : une charrette transporte des détenus dans une prison. 4e vignette : « Exploits des Sergents de ville » : deux policiers frappent deux citoyens dans une rue (une boutique « EPICIER » à gche). 5e vignette : « Le gérant de la Glaneuse de Lyon » : le gérant du journal lyonnais d’opposition est tenu par des chaînes par deux policiers. 6e vignette : « Mont-St-Michel » : la prison. 7e vignette : « Bonias et Raspail conduits comme des voleurs ». 8e vignette : « Bureaux de la Tribune saccagés » : des policiers détruisent le mobilier du bureau la rédaction du journal La Tribune. 9e vignette : Le Canon dans les rues de Paris. ». 10e vignette : « Assomeurs [assommeurs]. » : des hommes frappent un homme de leurs gourdins. La pl. dénonce ces hommes de main employés par le régime pour violenter les citoyens. Toutes ces vignettes ont pour ambition de dénoncer les mesures de répression exercées par le gouvernement, bafouant en cela la liberté d’expression. En haut, une poire avec le titre de la pl. (« l’image symbolique de cet agréable Système » in explication). Au centre, un pêle-mêle de papiers portant des écritures : il s’agit des « pages les plus brillantes [des] annales [de la monarchie de juillet] » (in explication). De ht en bas : les almanachs des années de règne de Louis-Philippe : celui de 1830 « Une Visi […] [visite domiciliaire par jour ?] », de 1831, de 1832 « Une saisie par jour », de 1833 « Une condamnation par Jour » et de 1834 « […] rrestation par […] [une arrestation par jour] », et divers papiers. Le premier concerne les mesures judiciaires jugées injustes : « Etat de Siège de Paris le lendemain de la révolte // Renvoi des Journalistes devant des conseils de guerre // Révoltés jugés par des tribunaux extraordinaires // Ô rare d’arrestation contre des députés du peuple // Fonctionnaires destitués pour leurs vôtes [votes] législatifs // Des hommes de Juillet mis au carcan. // Tortures et infamies du Mont-St-Michel. // La Duchesse de Berry traitée avec égards dans // une forteresse et renvoyée sans jugement. // Pas une seule amnistie en quatre ans // Jacobeus assassiné à Ste Pélagie // […] meurs [assommeurs] embrigadés et soldés // [ ?] rostitué au premier venu. », le deuxième concerne les affaires diplomatiques, les relations de la France avec les autres pays européens : « Abandon de la Pologne dont la nationalité // ne devait pas périr // L’Italie exitée [excitée] et abandonnée // L’Espagne de même // Insultes des princillons impunies // Traités honteux de 1815 respectés // Rapports de police, dénonciations aux // puissances Etrangères », le troisième concerne les limites de la liberté de la presse : « Poursuites acharnées contre la presse. // Loi [lois] sur la presse plus fiscales et plus dures // que celles de la restauration // Journaliste condamné à 5 ans de prison // et à 22000 f d’amende pour un article // Journalistes traduits à la barre d’une chambre // qu’ils sont appelée prostituée et qui se venge // Les Magistrats se vengeant aussi de prétendues // injures et interdisant un Journal // Les arts sans encouragement. », le quatrième concerne les finances publiques : « Impots [impôts] doublés // […] ste [liste] civile écrasante // [ ?] scandaleux // [ ?] conservées // marchés honteux // [ ?] et di trésor // [ ?] iences verreuses // Journalistes // bourse », le cinquième contient diverses décisions prises par le gouvernement : « Coups de Bourse // Destitution de Laffayette [La Fayette] // Destitution des hommes de Juillet // Conservation et rétablissement // des ligimistes [légitimistes] dans les fonctions // publiques. // Saisies avant la publication. // la presse », et le dernier concerne, entre autres, le traitement réservé aux étrangers sur le sol français : « […] pulsion [expulsion] des Polonais réfugiés // Expulsion des Italiens. // [expulsion] des Espagnoles [Espagnols] // La contrebande sous le couvert des ambassades // La délation ordonnée aux Médecins par // un ordre de police. // La vénalité recommandée à la Tribune // comme moyen de gouvernement. // les tribunaux. » En partie inf., deux épées entrecroisées transperçant des papiers rougis de sang. Du sang coule des épées. Elles sont attachées l’une à l’autre par des chaînes de prison et des menottes. Chaque papier contient les inscriptions : « Gratification de police ».
Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 5 septembre 1833 (Planche n°309)- Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.5 cm- Image : Hauteur: 12cm x Largeur: 24cm- Titre en bas à gauche : « Grand crachat // de l’ordre si vil de la perruque. // (sous l’invocation de St Ignace) // Pour les ventrus, les vendus, les sauteurs politiques, // les charivarisés et tous les enthousiastes du désordre de chose. », et titre en bas à dte : « Légion d’horreur. // (sous l’invocation de St. Loup) // Pour décorer les Tamerlans, empoigneurs, assomeurs [assommeurs] // et serre-gens de ville et de campagne. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°148. », en ht à dte : « Pl. 309. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, au centre, signature : « CH » entouré (cachet) [Charles Philipon, auteur du modèle ?]
Description : La pl. présente les insignes décoratifs de deux institutions créées par "La Caricature" au nom du gouvernement (« la seule institution réalisée franchement par l’ordre de Chose », in explication). Tout d’abord, à gche, l’ordre civil de la perruque, dont l’insigne est composé de deux triangles superposés sur fond de rayons de soleil. Au sein d’un cercle sur lequel figure l’inscription de la devise « HONNI SOIT QUI MAL Y PENSE. », le centre est décoré d’une perruque (on reconnaît le toupet de Louis-Philippe) entourée d’une couronne de lauriers. Les pointes du premier triangle sont décorées d’un aigle posé sur un parapluie, une bourse contenant les « 1800000 » (18 millions) de liste civile, ainsi qu’un chapeau retourné décoré de la cocarde tricolore. Le second triangle porte sur les pointes une poire à face humaine, une truelle (en référence au maçon auquel est assimilé le roi), et une poignée de mains. Une petite poire se trouve en haut de la pointe sup. Jeu de mots dans le titre entre « si vile et « civil ». L’explication indique que cet ordre a pour grands cordons Pasquier, Sémonville et Dubois. Ensuite, à dte, l’ordre de la légion d’horreur : pendant au bout d’un ruban rouge, cet insigne prend la forme d’une étoile à cinq branches (au bout desquelles se trouvent des petites poires), représentant, sur fond de motif à forme de poire, une scène d’arrestation d’un homme par deux sergents de ville. La pointe sup. de l’étoile représente un œil ouvert, tandis que les autres présentent des motifs d’armes. La mention « DESORDRE PUBLIC. » apparaît. Enfin, l’étoile se détache sur une chaine de prisonniers au bout de laquelle se trouvent des menottes. Jeu de mots dans le titre entre « serre-gens » et « sergents ». Dénonciation de la politique de répression du gouvernement. L’explication indique que cet ordre a pour grands cordons Persil, Gisquet et Vidocq.
PHILIPON Charles ( Lyon 19 avril 1800 - Paris 26 janvier 1862), caricaturiste, lithographe, journaliste, éditeur.Fondateur de "La Caricature", du "Charivari" et de la maison d'édition Aubert.
Reference : 11247
Lettre autographe signée Ch.Philipon, à l'entête de “Ch. Philipon, Directeur. Journal amusant (Journal pour rire). Musée français. Petit journal pour rire. Modes parisiennes. Toilette de Paris. Musée de Costumes. Papier peint comique, 20 rue Bergère“, 3 pages in-8°, adresse sur le pli, timbre et cachet postal.Philipon écrit à “ Mon cher Ami“ et lui explique pourquoi il a reçu un rappel d facture “Gambu (notre teneur de livres) t'a écrit comme il écrit tous les ans aux divers débiteurs de la maison“. Il regrette de ne pas l'avoir su car il aurait joint un mot “pour expliquer les usages de notre maison et que tu n'avais pas en t'en tourmenter“, il espère que cela n'a pas mis Ratier dans l'embarras et donne des nouvelles de sa santé, de celles de sa femme et de son fils, “ mon fils est encore jeune par conséquent il ne jouit pas de nos infirmités de vieillards, …“. Victor Ratier, né à Paris en 1807, Imprimeur lithographe, fabricant, auteur, libraire, collabora au Journal du Cher, au Bon Sens, fonda La Silhouette.
Déchirure due au cachet de cire présent, sans manque, et petit manque de papier angulaire perte de quelques lettres ( en bout de 3 lignes). (ClBe1)
Philipon, Charles (Lyon, 19–04–1800 - Paris, 25–01–1862), auteur du modèle
Reference : 25253
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 28 mars 1833 (Planche n°259) - Œuvre : Hauteur: 27.3cm x Largeur: 35.8cm - Image : Hauteur: 18.5cmx Largeur: 27.5cm - Titre en bas au centre : « A ton nez d’Arg... ! à ton œil Bartholo ! à vous tous, Ventrus !! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°259. », en ht à dte : « Pl. 125. » (intervertion entre n° pl. et numéro du journal) - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur]; dans l’image, sur une feuille de papier, signature : « Ch. Invt. AD scul » [Charles Philipon, inventeur du modèle, et Auguste Desperet, dessinateur]
iconographie:Le bouffon de "La Caricature" décoche des crayons lithographiques, tels des flèches, avec son arc dans les nombreuses têtes de l’hydre de Lerne dont le corps se cache derrière des colonnes et dont on n’aperçoit qu’une patte griffue. Ces têtes ont les traits des membres du gouvernement : Persil, reconnaissable à son nez en forme de scie et son chapeau de magistrat, Soult juste derrière lui, Barthe, ayant reçu une flèche en plein œil, d’Argout atteint au nez, Dupin, ayant reçu une flèche dans la bouche, Louis-Philippe au fond dont on ne devine que le toupet et les favoris. Enfin, Lobau en bas, et Guizot, touché en plein front. La patte est posée sur des pièces d’or et des feuilles portant les titres « Edit de // 1666 » (il s’agit de lois d’Ancien Régime, tels ces édits de 1666 restreignant les pouvoirs du Parlement et renforçant le contrôle du roi sur l’accès à la noblesse), « Etat […] [de] // Sièg […] [Siège] » (référence à l’état de siège de 1832). Un autre papier, situé sous la tête de Persil, porte une inscription illisible. Au pied du bouffon de "La Caricature" se trouvent des exemplaires des journaux « LA CARICATURE » et « Le Chariv […] [Charivari] ». La scène se déroule dans ce qui semble être la cour intérieure d’un palais, certainement le palais des Tuileries. La pl. se propose de mettre en imge la combat perpétuel que mène les journaux d’opposition La Caricature et Le Charivari contre ce qu’ils considèrent être des abus du gouvernement de la monarchie de Juillet.Personnages représentés :Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Guizot, François; Barthe, Félix; Mouton, Georges, comte de Lobau; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron
Philipon, Charles (Lyon, 19–04–1800 - Paris, 25–01–1862), dessinateur-lithographe - Desperet ou Desperret, Auguste, dessinateur-lithographe -TALLEYRAND
Reference : 25187
Planche double en noir ,numérotée 315-316 publiée dans le journal La caricature N°151, 28 septembre 1833 -Hauteur: 28.9cm x Largeur: 46.5cm
Paris. Aubert et Cie. S. d. Vers 1850. In-f°(268 x 342mm) dos lisse basane fauve entièrement ornée or, plats marbrés. Contient 24 livraisons de 8 pages chacune, non datées numérotées de 25e à 28e livraison puis de 5e à 24e livraison. Important recueil humoristique et satirique rassemblant nombre de dessinateurs et d'écrivains de l'époque, tels Cham surtout, mais aussi Ch. Jaques, Lorentz, Gavarni, Trimolet, Plattier, etc. Exemplaire taché essentiellement dans les marges, accrocs à qq. pages, une petite découpure en bas d'une page, qq. dessins maladroitement coloriés. Etat passable. Rare.