Paris : sans mention d'édition, 1848 - un volume in-12 (10,5x16 cm), demi-percaline avec pièce de titre en long dorée, 162 pages - bel exemplaire -
283 notices de descriptions de journaux de la révolution de 1848 avec les commentaires de l'auteur. Anonyme attribué à Marc Petit de Baroncourt, historien républicain -
Paris, Guiraudet et Jouaust, 1846 in-8, [2]-29 pp., demi-veau vert, dos lisse orné de filets dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Dos insolé.
Les frères Ratchis et Aistolf, issus des ducs de Frioul, régnèrent sur les Lombards de 744 à 756 : Aistolf fut ce prince désireux d'unifier la Péninsule, qui se heurta à la papauté et aux interventions de Pépin le Bref dans les affaires italiennes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
PARIS. CHAMEROT, LIBRAIRE-EDITEUR. 1843. IN-8 (13,5 X 22 X 3,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (8) + 640 PAGES, RELIURE D’EPOQUE 1/2 VEAU HAVANE, DOS LISSE ORNE DE FILETS ET DE FLEURONS DORES, TITRE DORE. HISTOIRE DU MOYEN-AGE DEPUIS LE 4° SIECLE JUSQU’A LA CHUTE DE CONSTANTINOPLE EN 1453. PETITES TACHES D’ENCRE SUR QUELQUES PAGES, PETITS DEFAUTS EXTERIEURS SANS GRAVITE, SINON BON EXEMPLAIRE.
P., Chamerot, 1841, in-8°, xii-455 pp, généalogie des trois dynasties et des principales maisons féodales (pp. 427-444), reliure demi-basane noire, dos lisse avec titre (“Histoire de France”) et quadruples filets dorés (rel. de l'époque), dos frotté et lég. épidermé, coiffe sup. abîmée, sinon bon état. Edition originale. Peu courant
L'ouvrage traite des Gaulois à 1789. L'auteur était professeur agrégé d'histoire au Collège royal de Bourbon. — Extrait : « Le massacre se propage de ville en ville, à Orléans, à Rouen, à Lyon, à Toulouse, comme les vêpres siciliennes. Plusieurs gouverneurs sauvent les calvinistes en empêchant l'insurrection. Mais il n'y eut point de messages royaux ; et la lettre de Charles IX au vicomte d'Orthez est évidemment apocryphe. Il en est de même des coups d'arquebuse que le roi aurait tirés par une fenêtre du Louvre : la fenêtre n'était pas bâtie. Ces bruits, propagés par les passions, ne se trouvent même pas dans les récits des calvinistes. C'est Brantôme qui a entendu dire que le roi arquebusait ses sujets ; mais cet écrivain est dépouvu de toute autorité ; il se trouvait à Angoulême au moment du massacre. Le jeune Sully, qui y fut compromis, n'en dit pas un mot dans ses Mémoires. » (pp. 286-287)