3 Bände. Paris, Méquignon, 1790. 8°. Gestochenes Porträt, 2 n.n. Bl., LXXXVI S., 1 n.n. S., 420 S. und 30 gestochene Tafeln; 2 n.n. Bl., 512 S. und 30 Tafeln; 2 n.n. Bl., 286 S., 1 S. und 30 gestochene Tafeln. Pappbände um 1840 mit roten goldgeprägten Rückenschildern.
Garrison-Morton 3357 und 3577 - Blake 345. Hirsch, IV, 543. - Dritte Ausgabe nach 1774 und 1783, posthum von einem seiner Schüler herausgegeben, jedoch in den letzten 12 Jahren seines Lebens von Petit zusammengetragen. - Jean Louis Petit (1674-1750), "der berühmteste französische Chirurg der 1. Hälfte des 18. Jahrhunderts. (...) Seit Ambroise Paré hat niemand so viel für die Fortschritte der Chirurgie getan". (Hirsch). - Die Tafeln zeigen chirurgische Instrumente, viele davon von Petit selbst entwickelt. Band III: Angebunden: Catalogue des ouvrages de fonds de la Librairie Médical de Béchet Jeune, décembre 1838. 35 S. in dem das vorliegenden Werke noch angeboten wird. - Einband an den Kanten berieben. Einige Tafeln im Innenrand mit Knickfalten und leicht fleckig. - Sonst sauberes, gut erhaltenes Exemplar.
Paris, imprimerie Georges Petit. 1894. 35,8x28 cm. 3 f., 160 p. Avec 1 eau-forte et 42 planches en héliogravure. Reliure demi-toile, titre doré au dos.
Avec un portrait inédit de Charles Jacque, eau-forte de Frédéric Jacque. - Catalogue avec 623 numéros. - Rousseurs sur les marges des planches.
Lemerre.1878.In-8,couvs.conservées.Ex.98/100 sur Hollande.Plein maroquin au dos orné de fleurs de lys et caractères dorés.Plat orné d'un personnage en maroquin en surimpression.Très bel exemplaire.Etui bordé avec feutrine.Reliure signée Rault.Gardes de soie illustrées en couleurs.
Paris, Laurent d'Houry, 1705. 12°. 10 n.n. Bl., 304 S. Mit 3 Holzschnitten im Text. Lederband der Zeit mit rotem goldgeprägtem Rückenschild und floraler Rückenvergoldung.
Garrison-M. 4300. - Blake 304. - Erste Ausgabe, einzige mit diesem Titel. Alle späteren Auflagen erschienen unter dem Titel "Traité des maladies des os". - Petit (1674-1750) war der erste Direktor der Académie de Chirurgie und der wichtigste französische Chirurg seiner Zeit. Die Abhandlung war seine wichtigste Veröffentlichung und erschien unter seinem Namen erweitert und ergänzt bis Ende des 18. Jahrhunderts. - Rückenkanten angeplatzt. Mit kleinen Fehlstellen an den Kapitalen. Ecken bestossen. Mit handschriftlichem Besitzvermerken und Nummern auf den Vorsätzen und Innendeckeln.
Paris, Editions Baudinière, [1934]. Petit in-8 br., couv. illustrée, 345 pp., qq. figures en noir.
Papier un peu bruni, bon ex. au demeurant. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Dentu.1871.In-12 demi-relié.140 p.Photos de l'époque sous serpente.Plan remplié en couleurs.Bel exemplaire avec initiales en queue.
Paris, Petit palais, 1961. In-8, br., 209p. Classification 1167 pièces. 120 Planches en noir et blanc. En frontispice le portrait du Chah d'Iran et au verso un portrait du Général de Gaulle.Bon état.
Les Belles Lettres.1959.In-8 demi-relié.97 p.B.Très nombreuses pages de garde en début et fin d'ouvrage.
Angers, éd. Rémy Jacques Petit, 1987. In-8 broché, couv. ill., 146 pp., blasons in t., tables des noms de lieux et de personnes, tableau dépliant des armoiries de la famille Le Noir inclu in fine.
Les familles Le Noir ou Lenoir répertoriées (avec références bibliographiques) sont les suivantes: de Becquincourt, Bellesagne, Bourcieu, Cambon, Carlan, Chanteloup, Cindre, Crevain, Espinasse, Coazquelen, Jouy, La Brosse, La Cochetière, La Thorillière, Mézières, Montreuil, Pasdeloup, Rouvray, Ardonnes, Vaux, Varennes, Verneuil, du Breuil, Martelet, Montet… Toutes sont porteuses d'armoiries. Bonne condition - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Emile Larose.1922Petit in-8 br.Couv.ill.144 p.Carte dépliante.Eat correct.
Imprimé à Rouen, R. Lallemand, & se vend à Paris, Chez la Veuve Blanchard, 1686. In-12 rel. plein veau brun de l'époque, dos à 5 nerfs, caissons ornés, titre doré, roulette dorée sur les coupes, [9] ff.-125 pp.-[1] ff. (errata), bandeau, lettrine et culs-de-lampe gravés. Edition originale.
Par Louis Petit d'après l'épître dédicatoire. Rare volume, dont l'auteur a été brûlé et pendu en place de Grève, contenant 12 satires précédées d'une lettre en vers à monseigneur le duc de Montausier et terminé par une lettre morale en vers et des stances satiriques contre les mensonges et les extravagances des poètes. (Buletin du bibliophile, janvier 1855, notice n°307). Coiffes arasées, mors fendus et lacunaires en tête et queue, coins usés, 1 ff. déchiré sans manque, le reste frais, bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Baillère et Fils.1952.In-4,couv.beige et rouge.124 p.Croquis.Etat correct.
In-4 à l'italienne, percaline éditeur marron avec large frise dorée sur le plat supérieur et arabesque estampée à froid. Dulon, libraire-éditeur à Bagnères-de-Luclon. XIXème siècle (sans date). Album de 55 planches + Panorama. Page de titre illustrée en couleurs. Tranches rouges ornées de croix dorées.Bel état.
Société d'Emulation historique et littéraire d'Abbeville.1969.In-8 br.98 p.Reproductions en noir.BE.
CHAMSON (André). GRENIER (Jean). JOUVE (Pierre Jean). MALRAUX (André). PETIT (Henri)
Reference : 520615
(1927)
Paris, Grasset, 1927 In-12, br., 269 pp., un des ex. num. sur papier vergé.
Édition originale. Ex. signé par l'auteur à la justification. Très bon ex. -
Paris, Jean Renard, 1942. Coll. "Sainte-Beuve". In-8 broché (en partie non coupé), 180 p. Illustration de Bils : frontispice "Le hameau". Très bon état (dos et papier jaunis).
Bordeaux, Centre régionale ornithologique Aquitaine Pyrenées, 1987. In-8 (240x160mm) broché, 241 p. Ill. en noir. Ex libris manuel. Très bon état.
LE PETIT (Claude), BERTHOD, SCARRON, COLLETET (François), BOILEAU, etc. / P.L. Jacob
Reference : 992
Paris, A. Delahays, Col. Bibli. Gauloise, 1859. In-12, reliure éditeur cartonnée pleine percaline ornée et teintée vert foncé, titre doré sur dos, XXIV+370 pages. Table : Paris ridicule - La ville de Paris en vers burlesques - Le tracas de Paris - Les embarras de Paris - Les cris de Paris. Très bon état excepté usure des coiffes
Paris, Les Presses Artistiques, 1980. In-8 broché, carré, couv. ill., 223 p. Nombreuses ill. en noir. Très bon état.Collection de la Ville de Paris. Musée du Petit Palais.
Grand in-4 à l'italienne en cartonnage rouge éditeur. Recueil de 34 lithographies extraites de différents albums publiés au 19ème siècle. 13 vues de Victor Petit, 6 de E.Paris, 4 de P.Gorse avec 1 planche de costumes des Pyrénées en couleurs, 8 de L-J Jacottet et 2 planches de costumes des Pyrénées en couleurs de E-H-T Pingret et C.Maurice. Bel ensemble.
[SNPMD] - PETIT, Henri ; [ SAUTET, Camille ; PETIT, Madame Henry : SUFFRAN, Michel ]
Reference : 54662
(1977)
Texte recueilli par Camille Sautet, un des 450 exemplaires non numérotés (après 50 numérotés), 1 vol. in-4 reliure pleine toile éditeur sous jaquette transparente, sous étui cartonné, collection "L'univers sensible", SNPMD, Paris, 1977, 110 pp. avec Pays de Bourgogne, 1 vol. in-8 br., 1979, pp. 353-417
Remarquable ensemble réunissant : un bel exemplaire de "Paysages" dédicacé par Henri Petit "Pour Michel Suffran, qui sait ma très vive sympathie et aussi ma reconnaissance" ; le numéro spécial d'hommage à Henri Petit publié par la revue "Pays de Bourgogne", accompagné d'une belle L.A.S. (2 pages) de Camille Sautet adressée à l'écrivain bordelais Michel Suffran : "Mon Cher docteur et ami, je vous adresse par le même courrier un exemplaire de la revue "Pays de Bourgogne" qui vient de paraître, où vous trouverez entre autres votre remarquable article "Frère de Silence" en hommage à Henri Petit. Quand je dis "remarquable", il ne s'agit pas d'un mot passe-partout [ ... ]mais de ce qui est proprement digne de retenir l'attention. Je regrette beaucoup que, comme me l'avait fait espérer Yves Leroux, vous n'ayez pas pu, en son temps, lors de la parution de "Paysages", donner à Henri Petit le bonheur de lire quelques pages de vous, de ce ton et de ce style [ ... ] nous nous retrouvons en certains mots : artisanal, race terrienne, contemplation... et je disais souvent que l'athée qu'il disait être avait une pensée et un coeur franciscain et une âme contemplative, parce que le croyant qu'il avait été jusqu'à l'âge de 13 ans cet enfant était toujours près de lui et le suivrait jusqu'au bout de la route. Madame Petit, que je viens de voir à Paris, a beaucoup apprécié et en particulier votre témoignage. Elle vous écrira sûrement" [ ... ]". Michel Suffran a écrit ces lignes sur l'enveloppe : "A la limite, ce n'est pas ce que nous proclamons et analysons qui importe le plus. Ce qui compte (et ce qui nous sera compté), c'est ce qui appartient à l'indicible, ce qui rayonne de nous à notre insu, et peut-être, contre notre consentement. Un andante de Mozart, un crépuscule de Watteau, un page de Nerval témoignent bien plus sûrement de Dieu en l'homme, que la plus ingénieuse des "démonstrations" métaphysiques". On joint la belle lettre autographe (prévue par Camille Sautet) signée par Madame Henri Petit, adressée à Michel Suffran : "Je viens vous remercier très sincèrement du bel article que vous avez consacré à mon mari. Vous dites à son propos des choses que personne n'a encore dites. Vous allez très loin. J'en suis, croyez moi, profondément touchée. Et c'est vrai (souligné). [ ... ]"Né à Avallon (Yonne), l'écrivain bourguignon Henri Petit (1900-1978) fut élève à Louis-le-Grand puis à la Sorbonne, où il rencontre Jean Grenier. Il publie son premier texte ("Vézelay") en 1927, et reçoit le Grand Prix de littérature de l'Académie Française en 1965.
MAILLARD, Olivier. [Jehan PETIT, libraire] [Jean Barbier, Michel Lesclancher, imprimeurs]
Reference : AMO-4519
(1515)
Venundantur Parhisiis in edibus Johannis Petit sub lilio aureo. [Impressus Joannis Barbier.] Impensis Johannis Petit bibliopole Parisiensis. Anno Domini millesimo quingentesimo decimoquinto. Pridie Kalendas Decembris [30 novembre 1515] 108-[92] f. (sign. a-z8, [-]8, [-]8) ; in-8° (collationné complet) Suit l'édition de 1511 imprimée par J. Barbier pour J. Petit (Renouard, ICP, II, 155). Matériel typographique de Jean Barbier. Texte sur 2 col. caractères gothiques, titre en rouge et noir, marque au titre. Références : Renouard, ICP, II, 1169. Renouard, Imprimeurs, III, p. 173, n° 238. Relié à la suite : Quadragesimale opus declamatum Parisiorum urbe ecclesia sancti Johannis in Gravia : per venerabilem patrem Sacre Scripture interpretem divini verbi preconem eximium : fratrem Oliverium Maillardi ordinis fratrum Minorum. Parisius sub eodem recollectum : ac novissime magno labore correctum impressionique traditum. Anno. M. CCCCC. XV. (Et per quendam... impensis vero honestiviri Johannis Petit bibliopole Parisiensis impressorum. Anno M. CCCCC. XVI. Dievero. XXV. mensis. Maii.) [1516] 174-[4] f. ; in-8° (collationné complet). Même pagination que l'édition de 1506 ou 1508 (Jean Barbier pour Jehan Petit également). Texte imprimé sur deux colonnes, caractères gothiques. Relié à la suite : Passio Domini nostri Jesu Christi a reverendo.p.Oliverii Maillard Parisius declamata. (Paris,) : J. Petit, (1519) | Paris : [Michel Lesclancher, imprimeur] : Jean Petit (libraire), Sans date [circa 1519] Sign. A-B (16 feuillets) ; in-8° (collationné complet) Daté d'après la marque de Jean Petit au titre (Renouard, Marques, n° 883). - Caractères gothiques à 2 colonnes. Référence : Renouard, ICP, II, 2136. Haebler, IV (marque de J. Petit) Renouard, 883 (marque de J. Petit) ; BP16_103799 (Bibliographie des éditions parisiennes du 16e siècle); Localisation d'exemplaires dans les fonds publics : Lausanne, BCU London, BL Oxford, BL. Ensemble 3 ouvrages reliés en 1 fort volume petit in-8 (162 mm x 100 mm | Hauteur des marges : 157 mm). Exemplaire avec de bonnes marges. Reliure plein veau brun glacé, dos lisse, filets dorés, titre doré "MAILLARD // SERMONS", doublures et gardes de papier marbré, tranches dorées. Roulette à froid en encadrement des plats. Reliure exécutée dans les premières années du XIXe siècle (sans doute pas après 1825). Reliure fraîche malgré quelques marques et frottements sans gravité, intérieur d'une grande fraîcheur totalement dépourvu de rousseurs, papier bien blanc. Première page de titre légèrement salie. Cachet sur le premier titre (bibliothèque Jean-François [-René-Marie-Pierre] de Kergariou (1779-1849)). Quelques faibles mouillures sans conséquence et peu visibles.
Le premier ouvrage donne quarante sept Sermons pour le dimanche et divers autres sermons dont seize sur les péchés, la mort, etc. Le second ouvrage donne soixante dix autres sermons publiés pour la première fois en 1498. Le troisième ouvrage donne le sermon de la Passion de notre seigneur Jésus Christ. Un exemplaire du premier ouvrage seul était proposé au catalogue Morgand sous le n°2237 (relié en vélin blanc) et coté 100 francs. « Frère Olivier Maillard était un prédicateur du XVème siècle qui acquit beaucoup de célébrité en prononçant plusieurs sermons latins mêlés de français, dans lesquels il déclama contre les vices des grands, des gens d'Église et des hommes de loi. » (Brunet, Manuel du libraire, III, 1318) « Jamais personne n'avait attaqué toutes les classes et toutes les professions sociales avec plus de hardiesse, de virulence et de mauvais goût. Chacun de ses sermons est une satire amère et outrageante, revêtue d'un langage grossier, trivial, et de mots empruntés aux mauvais lieux du plus bas étage » (Hoefer, Biographie universelle). Le libraire Morgand dans son Bulletin de mai 1876 prend la peine de commenter ainsi : « Olivier Maillard jouit d'une immense réputation à la fin du XVe siècle, et les sermons qu'il composa furent imprimés pour servir de modèle aux autres prédicateurs. Ce qui en fait l'intérêt pour nous, c'est qu'ils sont écrits dans un langage strictement populaire. L'orateur évite les périphrases : il n'hésite pas à employer même les mots les plus grossiers s'ils le font mieux comprendre de la foule. Jusque dans ses discours latins, on retrouve le bouffon qui, étant en chaire à Toulouse, entonnait une chanson spirituelle sur l'air : Bergeronette savoisienne. Voici, à titre d'exemple, un fragment d'un discours qu'il adresse aux jeunes filles (f. y i, recto) : « Audistis loqui de quodam frafre patris nostri Francisci qui dicebatur frater Egidius. Dicit quod vidit semel unampulcherrimam filiam cuiusdam militis et habebat unam baguam preciossimam et nichil mundi aliud habebat. Hec filia débet esse anima nostra. Hec habebat quinque fratres qui volebant habere istam gemmam. (Vous avez entendu parler d'un certain frère de notre père François, qui s'appelait frère Egidius. Il dit qu'il a vu une fois la plus belle fille d'un certain soldat et qu'elle avait une bague très précieuse et rien d'autre au monde. Cette fille doit être notre âme. Il avait cinq frères qui voulaient avoir ce joyau.) Venit primus dicens : « Soror mea, date rnichi illam gemmam. » — « Et frater, quid dabitis michi ? » Dixit ille : « Ego dabo vobis de meo ministerio : sum pictor, dabo vobis imaginem quam protraham. » Dixit illa : « Dum dederitis michi et videro, non ero.? 35omellor.-,- ite, non habebitis. » Venit secundus : vidistis ne illos deceptores, sciliéet mimos et lusores de omnibus instrumentis musicalibus ? Dixit sorbH : « Date michi istam baguam : dabo vobis de meo ministerio. Sum mimus; dabo Vobis de quo placuerit. s Cui dixit: « Cum audiero sonum, non ero melior; ite, non habebitis. » Dixerunt alii très : « Habebimus si possumus. » Venit tertius qui petiit istam baguam. Cui dixit : « Quid dabitis michi? » — « Dabo vobis de meo ministerio (iste erat apothecarius et portabat secum odores), dabo vobis de muglias [?]. » Dixit ipsa: « Ite, non habebitis. » Tandem venit quartus, et erat coquus. Cui dicit: «Dabo vobis du saupiquet : sum coquus. » Dixit ipsa : « Dum gustavero, de quo ero hielior ? Vos non habebitis. » Demum venit quintus et rusticior aliis quattuor, qui dixit : « Mea erit illa bagua; date michi. » Dixit illa : « Quid dabitis mihi ? » —. « Dabo vobis de meo ministerio : habeo et dabo, mea, magistros reverendos scholares; scilicet sunt aliqui decuria. Ego sum leno et macquerellus. » Dixit illa : « Rustice et turpissime, ite, non dabo vobis. Nunquam Deo placeat quod unus macquerellus habeat illam preciosam . g«mmam. Tandem et finalitër venit filius Régis qui dulcis erat et honestus et dixit : « Date michi illam gemmam. « — « Quid dabitis mihi ? » Cui dixit : « Arnica mea, non promitto vobis nisi meipsum. » Et tune illa extendit manum et ei dédit. » (Il est venu le premier en disant : « Ma sœur, donne-moi ce joyau. "Et mon frère, qu'allez-vous me donner ?" Il a dit : « Je vais vous parler de mon service : je suis peintre, je vais vous donner un tableau que je vais dessiner. " Elle a dit : " Tant que tu te donnes à moi et que je verrai, je ne le serai pas. « Le second est venu : n'avez-vous pas vu ces trompeurs, habiles mimes et joueurs de tous les instruments de musique ? Sorb a dit: "Donnez-moi cette bague: je vous donnerai de mon service." je suis poète; Je te donnerai ce qu'il me plaira. s A qui il a dit : « Quand j'entendrai le son, je n'irai pas mieux ; allez, vous n'aurez pas » D'autres disaient beaucoup : « Nous l'aurons si nous le pouvons. » Une troisième personne est venue qui a demandé cette bague. A qui il a dit: "Que me donnerez-vous ?" "-" je vous parlerai de mon service (il était épicier et portait des parfums avec lui), je vous parlerai des épouses [?]. Elle a dit: "Allez, vous ne l'aurez pas." Enfin le quatrième arriva, et c'était lui le cuisinier. A qui il dit : "Je vais te donner deux saucisses : je suis cuisinier." " Elle dit : " Pendant que je goûterai, de qui aurai-je le plus froid ? Vous n'aurez pas Enfin vint le cinquième et plus rustique que les quatre autres, qui dit : « Ce sac sera à moi ; donne le moi Elle a dit: "Qu'allez-vous me donner?" » -. "Je vais vous parler de mon ministère: j'ai et je donnerai, mes professeurs, des savants respectés; bien sûr il y a des conseils. Je suis doux et doux. Elle a dit: "Rustique et très moche, allez, je ne vous le donnerai pas." Dieu ne sera jamais content qu'un proxénète ait cette précieuse chose. Enfin et enfin vint le fils de Régis, qui était doux et honnête, et dit : « Donne-moi ce bijou. " - " Qu'est-ce que tu vas me donner ? A qui il dit : "Mon Arnica, je ne te promets rien d'autre que moi." Et puis elle tendit la main et la lui tendit. ») Nous prenons cet exemple au hasard. On rencontre dans les sermons de Maillard une foule d'autres passages qui permettraient de placer ce prédicateur parmi les auteurs macaroniques, et qui lui méritent une place distinguée parmi les prédécesseurs de Tabarin et de Bruscambille. » Références : Cf. Arthur de la Borderie, Œuvres d'Olivier Maillard, Nantes, 1877, Société des Bibliophiles Bretonss, Bibliographie Maillardine, qui cependant ne cite pas exactement ces éditions (pp. 135-162 pour les éditions latines) ; Morgand, Bulletin, mai 1876, n°2237. Provenance : de la bibliothèque de Jean-François [-René-Marie-Pierre] de Kergariou (1779-1849), noble breton devenu sous l’Empire comte d'Empire, chambellan de Napoléon Ier et préfet, sera sous la Restauration préfet de divers départements, conseiller d’Etat et député avant d’être élevé à la pairie. Historien, archéologue, collectionneur de raretés, membre de l’Académie celtique, ce volume vient sans doute de la bibliothèque de son beau-père Pierre-Hyacinthe Chrestien de Treveneuc. Avec son timbre encré avec ses initiales et portant la devise "Là ou ailleurs". Les volumes de sa riche bibliothèque et ses autres collections devaient passer, selon son souhait, à son fils aîné (ou au suivant) avec mission de les conserver et de ne s'en séparer qu'en cas d'extrême nécessité. On comprend la présence de ce volume dans sa bibliothèque où les auteurs bretons avaient une place primordiale. Ensemble rare de trois œuvres du prédicateur Olivier Maillard. Bel exemplaire d'une grande fraîcheur.
Phone number : 06 79 90 96 36
P., Didot, 1774, 3 VOLUMES in 8 reliés en plein veau marbré, dos ornés de fers dorés, tranches rouges (reliures de l'époque), T.1 : 1 PORTRAIT DE PETIT, (5), 104pp., 407pp., T.2 : (1), 8pp., 560pp., T.3 : (1), 8pp., 343pp., 142pp. (SUPPLEMENT par LESNE), 90 PLANCHES DEPLIANTES REPRESENTANT DES INSTRUMENTS DE CHIRURGIE
---- EDITION ORIGINALE ---- BEL EXEMPLAIRE BIEN COMPLET DU PORTRAIT DE PETIT, DU SUPPLEMENT PAR LESNE ET DES 90 PLANCHES REPRESENTANT DES INSTRUMENTS DE CHIRURGIE ---- "Depuis Ambroise PARE, aucun homme n'a autant contribué aux progrès de la chirurgie... Petit a le grand mérite d'avoir défini le premier signe clinique objectif : la crépitation, signe de la fracture. Il insiste aussi sur l'"intervalle libre" comme signe-symptôme qui rend probable l'utilité de la trépanation dans les commotions cérébrales. Il pratique la première trépanation de la mastoide en 1744, ansi que les premières paracentèses… Il invente le lien hémostatique appelé garot. Il innove également en technique chirurgicale : cholecystectomie, cure des hernies, des occlusions intestinales et du cancer du sein, amputations. En urologie il invente une sonde à demeure". (Dictionnaire historique des médecins & Jourdan VI pp. 400/402) ---- Heirs of Hippocrates N° 777 : "Petit was the leading french surgeon of the early eighteenth century and the first director of the Académie de chirurgie in Paris. He was the inventor of the screw tourniquet and developed many new and successful surgical procedures. He made significant improvements in the techniques for performing amputations and herniorrhaphy. Petit was one of the earliest to describe osteomalacia and was a pioneer in cholecystotomy. In volume I of the present work is his account of the first successful operation for mastoiditis (p. 153, 160) and in volume II is his description of Petit's hernia and Petit's triangle in the region of ilium (pp. 256/258). Among the many plates are a fine portrait of Petit and a depiction of his screw tourniquet" ---- GARRISON N° 3357 & 3577 - Waller 7323**8122/B2-7115/ARM4