Couverture souple P, Lefevre , 1845, in12 1/2 chagrin noir, filets dorés, Perse : traduction nouvelle par F Collet . Juvénal : traduction de Dusaulx revue et corrigée. Langue: Français
1706 veau brun, dos à n., (petit mq. de cuir à la coiffe sup.). in-12, (9ff.), 591pp. (2ff.), P. Compagnie des Libraires 1706,
Texte latin en regard du français." Je ne suis pas assez téméraire pour prétendre établir aucune règle d'ortographe ; mais si j'ay tort d'avoir mis des accents aigus à toutes les E ouvèrtes & des accents graves à toutes cèlles qui sont fermées : pour èrrer conséquament, il en faût mèttre sur toutes cèlles où il n'y en pas ". La première approbation est de 1689. Ex libris Joannis Geoffroy.
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Chez Jean Guignard Paris 1698 In-12 ( 170 X 90 mm ) de ( 64 ) ff., 587 pages, plein veau fauve marbré, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, pièces de titre de maroquin grenat, tranches mouchetées ( reliure de l'époque ). Frontispice hors-texte gravé en taille-douce. Edition bilingue, texte latin avec la traduction française en regard. Anciennes mouillures claires sans gravité en début et fin de volume, agréable exemplaire.
[Chez Claude Barbin] - PERSE ; JUVENAL ; [ TARTERON, R.P. ]
Reference : 64554
(1689)
1 vol. in-12 reliure de l'époque plein maroquin rouge, dos à 5 nerfs richement orné, 3 filets dorés d'encadrement en plats, toutes tranches dorées, coupes et chasses ornées, Chez Claude Barbin, Paris, 1689,frontispice, 29 ff., 587 pp. et 2 ff.
Texte latin avec la traduction française en regard. Etat satisfaisant (mq. de cuir au second plats, coupes et coins frottés, mq. la première garde volante, reliure un peu frottée par ailleurs, bon état par ailleurs). Prix en l'état.
Parisiis, Typis H. Barbou 1801 In-12. bradel de l’époque, dos vert marbré, pièce de titre cuir grenat, 239 pp. Coiffes arrachées, reliure frottée, intérieur frais.
Texte en latin. Bon état d’occasion
Paris, Par la Compagnie des Libraires 1714, 173x100mm, cartonnage papier marbré, étiquette de titre manuscrite au dos, bon état. Texte français - latin.
frontispice, 23 ff., 591 p.,
P., Lefevre, Garnier, 1845, petit et fort in 12, 596 pages relié demi chagrin vert, dos à faux nerfs orné ; des rousseurs.
Texte et traduction. Très important appareil critique. PHOTOS SUR DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Par la Compagnie Amsterdam 1736 In-12 relié de 355 pages. Pleine basane marron, dos à 5 nerfs avec caissons ornés de dorures, tranches sanguines. Avec bandeaux, lettrines et culs de lampe. Précédé d'un Epistre du Traducteur à un Ami, traduction en regard. Coiffe de tête et bas du dos manquants, bas du premier mors fendu, frottis d'usage. L'intérieur est très frais. Etat correct
A Paris, chez Guillaume de Luyne, 1658 [1653 sur la page de titre gravée]. Un fort vol. au format gd in-12 (183 x 120 mm) de 8 ff. n.fol., 2 x 272 pp., [185] pp. de Remarques et 11 ff. n.fol. Reliure de l'époque de plein veau marbré brun, plats jansénistes, dos à nerfs orné de filets gras à froid, doubles caissons d'encadrement dorés, larges fleurons dorés, semis de pointillés et de points dorés, titre doré, palette dorée en tête et queue, dentelle dorée sur les coupes, toutes tranches mouchetées.
L'exemplaire s'ouvre sur une délicate page de titre à décor allégorique gravée. Seconde édition de l'estimée traduction de Michel de Marolles. Texte en latin en regard. On peut dire avec certitude que Perse ignora la vie et les hommes. Mais il savait cependant entendre ses maîtres et ses amis, tels que Cornutus ou Sénèque. Il avait vingt ans quand Néron fut empereur et n'ignora que peu de choses des turpitudes de la Cour... Aussi son oeuvre contient-elle une part de réelle satire, mais par écho et sans l'accent que l'expérience donne à l'indignation. Toutes sortes d'allusions, d'ironies, de demi-mots font entrevoir, seulement entrevoir et presque deviner une cour impériale qui est celle de Tacite : bassesses et indignités, orgies et sacrilèges, crimes d'Agrippine et de Néron. Au delà de la Cour, la ville : manie du bel esprit, profusion des prétentions littéraires, superstitions et dévotions intéressées, cupidité, cruauté à l'égard des esclaves... Mais il est évident que la satire morale domine cette oeuvre. Un beau stoïcisme inspire son auteur, un stoïcisme reçu par enseignement mais que le poète vivifie par sa noblesse d'âme. Les Satires sont, pour ainsi dire, des sermons stoïciens. Perse y célèbre vertu et simplicité antiques, chaste culte de la philosophie, nécessité pour chacun de s'examiner en conscience et de connaître ses faiblesses, au lieu de juger autrui et de se fier aux compliments, conquête de la véritable liberté sur les passions, sur la cupidité et le goût du plaisir, sur l'ambition et la volupté. Chacune de ces satires a de l'ardeur et se précipitent en dialogues vifs voires même dramatiques. En somme, elles ont la force du sentiment singulièrement élevé qui ne cesse de les animer. Détestant Rome, ou plutôt ce qu'elle est devenue, Juvénal fait de ses contemporains une peinture acerbe et sans pitié. faisant sans cesse fi du politiquement correct Le tableau (parodie d'une œuvre perdue) qu'il propose de la cour de Domitien, le «Néron chauve», s'il est riche de notations grotesques, rend très bien l'atmosphère cauchemardesque d'une époque qui exsudait la terreur. On ne saurait parler sans anachronisme de liberté d'expression quand il s'agit de la Rome impériale, et Juvénal se garde bien de s'en prendre aux empereurs régnants. Ce qui n'empêcha pas ses contemporains de lire dans ses propos des allusions à l'actualité de son temps. La langue de Juvénal permet de se faire une idée de la variété des parlers latins, selon les classes sociales et les régions. Elle est à la fois vigoureuse, voire crue, et savante. Juvénal aime jouer du contraste entre les mœurs des anciens Romains, frugaux et barbus, et celles de ses contemporains, perdus de luxe et efféminés. Avec Horace, Juvénal constituere un modèle au xviiesiècle pour les Satires de Nicolas Boileau (1666). Emmanuel Kant retiendra quant à lui de ses satires leur dimension morale, et citera Juvénal, à plusieurs reprises, dans sa Critique de la raison pratique. Angles émoussés. Coiffes élimées ou arasées. Légers frottements épars affectant par ailleurs la reliure. Auréole claire dans le corps d'ouvrage. Du reste, belle condition intérieure.
JUVENALIS / JUVENAL (Junii) & PERSE - CORNUTUS (Lucius Annaeus ou Phurnutus).
Reference : 22468
(1613)
Lutetiae [Paris], apud Joannem Orry [sive Morellus], 1613 - Lutetiae [Paris], apud Joannem Orry, 1613 - Lutetiae [Paris], apud Joannem Orry, 1613. 3 ouvrages reliés en un fort vol. au format pt in-4 (217 x 165 mm) de 8 ff. n.fol., 724 pp. et 1 f. bl. ; 46 pp. ; 188 pp. et 4 ff. n.fol. ; 4 ff. n.fol. et 95 pp. Reliure de l'époque de pleine basane marbrée et glacée havane, plats jansénistes, dos à nerfs orné de filets gras à froid, caissons d'encadrement dorés, larges fleurons dorés, titre doré, tranches mouchetées.
Réunion en un volume des Satires de Perse et de Juvénal, accompagnées pour le premier des Commentaires de Cornutus. ''Les savants font cas de cette édition''. (in Brunet). ''On peut dire avec certitude que Perse ignora la vie et les hommes. Mais il savait cependant entendre ses maîtres et ses amis, tels que Cornutus ou Sénèque. Il avait vingt ans quand Néron fut empereur et n'ignora que peu de choses des turpitudes de la Cour... Aussi son oeuvre contient-elle une part de réelle satire, mais par écho et sans l'accent que l'expérience donne à l'indignation. Toutes sortes d'allusions, d'ironies, de demi-mots font entrevoir, seulement entrevoir et presque deviner une cour impériale qui est celle de Tacite : bassesses et indignités, orgies et sacrilèges, crimes d'Agrippine et de Néron. Au delà de la Cour, la ville : manie du bel esprit, profusion des prétentions littéraires, superstitions et dévotions intéressées, cupidité, cruauté à l'égard des esclaves... Mais il est évident que la satire morale domine cette oeuvre. Un beau stoïcisme inspire son auteur, un stoïcisme reçu par enseignement mais que le poète vivifie par sa noblesse d'âme. Les Satires sont, pour ainsi dire, des sermons stoïciens. Perse y célèbre vertu et simplicité antiques, chaste culte de la philosophie, nécessité pour chacun de s'examiner en conscience et de connaître ses faiblesses, au lieu de juger autrui et de se fier aux compliments, conquête de la véritable liberté sur les passions, sur la cupidité et le goût du plaisir, sur l'ambition et la volupté. Chacune de ces satires a de l'ardeur et se précipitent en dialogues vifs voire même dramatiques. En somme, elles ont la force du sentiment singulièrement élevé qui ne cesse de les animer. Détestant Rome, ou plutôt ce qu'elle est devenue, Juvénal fait de ses contemporains une peinture acerbe et sans pitié. faisant sans cesse fi du politiquement correct Le tableau (parodie d'une œuvre perdue) qu'il propose de la cour de Domitien, le «Néron chauve», s'il est riche de notations grotesques, rend très bien l'atmosphère cauchemardesque d'une époque qui exsudait la terreur. On ne saurait parler sans anachronisme de liberté d'expression quand il s'agit de la Rome impériale, et Juvénal se garde bien de s'en prendre aux empereurs régnants. Ce qui n'empêcha pas ses contemporains de lire dans ses propos des allusions à l'actualité de son temps. La langue de Juvénal permet de se faire une idée de la variété des parlers latins, selon les classes sociales et les régions. Elle est à la fois vigoureuse, voire crue, et savante. Juvénal aime jouer du contraste entre les mœurs des anciens Romains, frugaux et barbus, et celles de ses contemporains, perdus de luxe et efféminés. Avec Horace, Juvénal constituera un modèle au XVIIIème siècle pour les Satires de Nicolas Boileau (1666). Emmanuel Kant retiendra quant à lui de ses satires leur dimension morale, et citera Juvénal, à plusieurs reprises, dans sa Critique de la raison pratique. Brunet III, Manuel du libraire et de l'amateur de livres, 631. Angles émoussés. Coupes et coiffes élimés. Plats présentant quelques frottements et petits manques superficiels. Dos présentant un éclat altéré. Les deux feuillets liminaires sont effrangés. Papier légèrement oxydé. Présence de quelques rousseurs, tâches claires ou cernes dans les corps d'ouvrage. Infime travail de ver (sans atteinte au texte) en marge des premiers et derniers feuillets. Restauration ancienne affectant deux feuillets (avec perte de texte).
Chez Lefèvre - Chez Garnier Frères, Paris. 1845. In-16. Relié. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Rousseurs. 596 pages. Texte en français et en latin sur la même page. Titre et filets dorés sur le dos. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque. Dos et plats frottés. mouillures sur les tranches. . . . Classification Dewey : 870-Littératures des langues italiques. Littérature latine
Perse, Trad. nouvelle poar Ferdinand Collet. Juvénal, Trad. de Dusaulx, revue. Classification Dewey : 870-Littératures des langues italiques. Littérature latine
Paris Garnier Frères sans date vers 1870. In-12 XLVIII 377pp 1 feuillet non chiffré table. Demi chagrin vert foncé, dos à nerfs rehaussés d'une roulette dorée, reliure de l'époque. Rousseurs sur le faux-titre, le titre et jusqu'à la page XXII, tache d'encre rouge ancienne en tête d'un feuillet blanc et jusqu'à la page 11 allant diminuant et s'éclaircissant. Exemplaire bien relié. (4627)
Genevae, Jacob Stoer, Genevae, Jacob Stoer1652 ; petit in-12, peau de mouton retournée, encadr. fil. à froid. (Reliure de l’époque) 6 ff. n. ch., 245 pp., (1 p.) - 1 f., 68 pp.Les 16 satires de Juvénal et les six satires de Perse avec la dédicace au roi d’Angleterre, l’épître aux lecteurs et les commentaires du grammairien anglais Thomas Farnaby. Edition genevoise publiée avec les caractères de l’officine typographique de l’éditeur protestant Jacob Stoer (1542 - 1610). L’édition de Juvénal et Perse de Farnaby avait paru pour la première fois en 1612.
GARNIER FRERES. NON DATE. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos à nerfs, Intérieur frais. XXXIV + 377 pages - ouvrage en français et en latin - dos à 5 nerfs - titre + auteur dorés sur le dos - plats et contre plats jaspés - petite étiquette collée sur le 1er contre plat.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Ouvrage en français et en latin - Traduction de Juvénal ar Dusaulx et J.Pierrot de perse etc par A.Perreau - Nouvelle edition revue avec le plus grand soins par M.Félix Lemaistre. Classification Dewey : 841-Poésie
HORACE - JUVENAL - PERSE - SULPICIA - TURNUS - CATULLE - PROPERCE - GALLUS - MAXIMIEN - TIBULLE - PHEDRE - SYRUS.
Reference : ML3112
P, F Didot, 1869, in4° 1/2 basane , 819pp Texte sur 2 colonnes. Reliure légèrement frottée. Langue: Français
P., Garnier Frères, 1861, in 12 relié demi-basane verte, dos lisse orné de triples filets dorés, XLVIII-379 pages ; des rousseurs, parfois fortes ; dos passé ; petits frottis.
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1626 2 livres reliés en un volume, reliure janséniste en plein vélin ivoire parcheminé in-32 (jansenist's binding full vellum with reduction 32mo - A book that is up to 5" tall.) (5,8 x 11 cm), dos et plats muets (cover without text), toutes tranches lisses (all smooth edges) jaspées rouge, orné d'une gravure-titre gravée sur bois (engraving-wood) en noir (Morgan, 253.) et orné d'un cul-de-lampe (illuminated of tailpiece) gravé sur bois (engraving-wood) en noir, 116 pages , 1626 Amsterodami : apud J. Janssonium Editeur,
EDITION RARE........... Contient les Satires de Juvénal, les Satires de Perse et une Satire de la poétesse Sulpicia contre Domitien (texte latin). Cette dernière pièce provient d'un manuscrit trouvé en 1493 à l'abbaye de Bobbio (Italie) et perdu depuis....Sulpicia (qu'il ne faut pas confondre avec une autre femme du même nom, auteur de poèmes élégiaques à l'époque d'Auguste) vécut sous le règne de Domitien (Ier s. ap. J.-C.). Martial fit son éloge. Avec son homonyme, c'est une des deux seules femmes poètes de la littératue latine antique dont nous ayons encore des textes.....texte en latin (in Latin language)................en bon état (good condition)..
1839 JJ.Dubrochet & Cie éditeurs, collection des auteurs latins avec la traduction en français,1839, environ 800 pages, in 4 reliure éditeur cartonnée demi chagrin, dos toilé noir, état moyen, papier jauni, rousseurs, coins frottés, usures et frottements sur les bords des plats.
Paris, Compagnie des Libraires, 1752, 1 veau marbré, dos à nerfs, orné, coiffe supérieue manquante. in-8 de XXXIV-355-(21) pp., texte latin avec la traduction française en regard ;
Traduction des Satires de Perse et de Juvénal, Par le révérend père Tarteron, de la Compagnie de Jésus.
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P., Garnier, 1861. In-12 reliure dos basane rouge, XLVIII-377 pages. Qqs lég. rousseurs.
Satires de Juvenal et de Perses, Fragments de Turnus et Satires de Sulpicia, avec Notes.
Tours, Philibert Masson, 1686. 2 ouvrages en 1 vol. in-12, basane brune, dos à nerfs orné de caissons dorés, tr. mouchetées de rouge. Reliure de l'époque défraîchie, coins émoussés, coiffes râpées. (1) f., 214 pp., (1) p.; 82 pp., (1) p. La page 73 est chiffrée par erreur 71. Ex-libris raturés sur le titre, qq. annotations dans le texte.
Autre tirage de la 1ère édition tourangelle des Satires de Juvénal. La page de titre est composée différemment (6 lignes au lieu de 5) et comporte un fleuron à la place de la vignette. Premier tirage de l'édition tourangelle des Satires de Perse, également imprimées à l'usage du Collège de Tours. Le privilège est le même que celui des Satires de Juvénal, mais l'achevé d'imprimer est daté du 15 mars 1686. La typographie est soignée, la page de titre est ornée du chiffre entrelacé de l'imprimeur. Salmon, 408; Clément-de-Ris, 248 et 250.
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Paris, Libert, 1628; in-8, peau de mouton de l'époque. 4 ff.n.ch., 168 pp., 103 pp. ( la p. 47 de la 2 ème partie est un titre spécial pour Perse).Voir Mattaire III p. 891.- Schweiger I, 510.Bonne édition des Satyres de Juvénal et de Perse avec les notes marginales du célèbre humaniste anglais Thomas Farnaby ( qui avaient d’abord paru en 1612). Ex-libris P. Guiraudi ( Languedoc).
A Paris, chez Dalibon, libraire, 1821. 2 volumes in-8 ; (2) ff.-CCXLIX-186 pp.-(1) f. ; (2) ff.-496 pp.-(2) ff. Demi-veau havane, dos ànerfs orné de filets, roulettes et fleurons dorés, tranches marbrées. Texte en latin et français.
Bel exemplaire de cette traduction estimée (Brunet, III, 634). Photos sur demande.
Antoine & Horace Molin Lyon 1687 In-12 ( 170 X 100 mm ) de ( 9 ) ff., 531 pages, plein veau fauve marbré, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, pièce de titre de maroquin olive, tranches marbrées ( reliure de l'époque ). Frontispice hors-texte gravé en taille-douce. Edition bilingue avec la traduction imprimée en caractères romains face au texte latin imprimé en italique. Reliure anciennement restaurée, tampon ex-libris sur une garde, bon exemplaire.
Lyon, Antoine & Horace Molin, 1687. 1 vol. in-12, basane fauve marbrée, dos à nerfs orné de fleurons dorés, tranches rouges. Reliure du XVIIIe s., coiffe sup. arrachée, coins émoussés. Cachet sur le titre des Secours mutuels. Frontispice hors-texte gravé en taille-douce, (9) ff., 531 pp.
Edition bilingue avec la traduction imprimée en caractères romains face au texte latin imprimé italique. Cette traduction avait déjà été imprimée par Jean-Baptiste Cognard et Guillaume de Luynes à Paris en 1682. Ceux-ci avaient rétrocédé une parie du privilège aux frères Molin qui s'étaient pourvus d'un nouveau privilège du vice-légat d'Avignon pour une diffusion dans les états pontificaux.
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