Paris, Langlois et Leclercq et Maison Basset, sans date (circa. 1840). 53 x 69 cm. Gravure originale en couleurs, encollée sur un carton.A noter qu'outre la description et classification des espèces de champignons, le texte prodigue des conseils sur les premiers soins à donner en cas d'empoisonnement.
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DE CERTEAU (Michel) - LE BOT (Marc) - PERROT (Michelle) - MARIN (Louis) - VIRILIO (Paul) - ECO (Umberto) - DADOUN (Roger) - BEN JELLOUN (Tahar) -
Reference : 42175
Paris : Centre National d'Art et de Culture Georges Pompidou, 1987 - in-8 (20x24cm) broché sous couverture illustrée en couleurs, 200 pages illustrées en noir - bon état -
1840 TURGIS sd,une feuille in folio,bon etat,tirage d'époque, mouillures dans les grandes marges.
1 print : lithograph, b&w ; image and text 18.5 x 23 cm., on sheet 25 x 32.5 cm.Né en 1808, Ferdinand Perrot passa son enfance à Brest et fut ensuite à Paris l'élève de Théodore Gudin, premier peintre officiel de la Marine française.Il effectua de nombreux voyages en Bretagne, Normandie, au nord et dans le midi de la France ainsi qu'en Angleterre et en Italie en 1837.Il reçut début 1840 une invitation du tsar Nicolas 1er à venir à Saint-Pétersbourg pour un travail important.Après son admission à l'académie des beaux arts de Saint-Pétersbourg le 29 septembre 1840, il ne cessa de produire jusqu'à sa mort là-bas en 1841.
Editions Ouvrières/Revue Le Mouvement Social, 1978, in-8°, 206 pp, présentation de Michelle Perrot, articles de C. Dufrancatel, C. Lesselier, A. Martin-Fugier, M. Perrot, L. Strumingher, L. Tilly, M.-H. Zylberberg-Hocquard, éléments de bibliographie, broché, couv. lég. frottée, bon état
De la nourrice à l'employée... Travaux de femmes dans la France du XIXe siècle (Michelle Perrot) ; La fin des nourrices (Anne Martin-Fugier) ; Structure de l'emploi, travail des femmes et changement démographique dans deux villes industrielles, Anzin et Roubaix, 1872-1906 (Louise Tilly) ; Les canutes de Lyon, 1835-1848 (Laura Strumingher) ; Les ouvrières d'Etat (Tabacs et Allumettes) dans les dernières années du XIXe siècle (Marie-Hélène Zylberberg-Hocquard) ; Employées de grands magasins à Paris (avant 1914) (Claudie Lesselier) ; Quelques éléments de bibliographie sur l'histoire du travail des femmes en France (principalement au XIXe siècle) (Michelle Perrot) ; Repères chronologiques (1791-1913) ; Document : le témoignage de Lucie Baud, ouvrière en soie ; Autobiographies de « femmes du peuple » (Christiane Dufrancatel) ; Sur le travail des femmes (Anne Martin-Fugier, Michelle Perrot, Madeleine Rebérioux).
1840 TURGIS sd,une feuille in folio,bon etat,tirage d'époque, grandes marges.
1 print : lithograph, b&w ; image and text 18.5 x 23 cm., on sheet 25 x 32.5 cm.
1840 TURGIS sd,une feuille in folio,bon etat,tirage d'époque, grandes marges.
1 print : lithograph, b&w ; image and text 18.5 x 23 cm., on sheet 25 x 32.5 cm.
1840 TURGIS sd,une feuille in folio,bon etat,tirage d'époque, grandes marges.
1 print : lithograph, b&w ; image and text 18.5 x 23 cm., on sheet 25 x 32.5 cm.
Nismes, chez l’auteur, devant la Maison-Carrée, Nismes, chez l’auteur, devant la Maison-Carrée1837 ; in-8, broché, couv. bleue imprimée. 76 pp - 10 planches hors-texte gravées.ÉDITION ORIGINALE. Guide des monuments de Nîmes par l’archéologue Perrot, une curieuse figure née à Alès en 1790. En 1810, il s’était engagé dans la Grande Armée et fut affecté au corps d’Observation d’Italie. C’est au cours des séjours militaires dans l’Italie du Nord que Perrot s’intéressa à l’archéologie “Rien en effet, ne prédisposait le jeune commis-marchand d’Alès à sacrifier la deuxième partie de sa vie à sa passion pour le patrimoine” dit Christian Landes dans l’article qu’il consacre à Perrot dans Mélanges de l’école française de Rome 2006 pp. 35-39. En 1822 le préfet du Gard lui confia la surveillance des fouilles de Nîmes. Il est également nommé concierge de la Maison-Carrée. Sa situation administrative se dégrada quand le directeur du musée de Nîmes l’accusa de confondre ses collections personnelles et le résultat des fouilles. À la suite d’un différend avec l’inspecteur des monuments historiques au sujet d’une inscription sur une frise de la Maison-Carrée il fut révoqué. Il tenta vainement de vendre ses collections à la ville, puis vivotera en faisant commerce d’antiquités “Bonapartiste et authentique grognard, autodidacte et passionné, Jean-François-Aimé Perrot reste une figure incontournable de l’archéologie nimoise” Ch. Landes. Dans ce volume il décrit l’amphithéâtre, la Porte de France, la Maison-Carrée, la Fontaine, les Bains, le Temple de Diane, la Porte d’Auguste, le Pont du Gard, la Tour Magne.
Flammarion, 1998, gr. in-8°, 494 pp, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Les femmes font aujourd'hui du bruit ? C'est en regard du silence dans lequel les a tenues la société depuis des siècles. Silence des exploits guerriers ou techniques, silence des livres et des images, silence surtout du récit historique qu'interroge justement l'historienne. Car derrière les murs des couvents ou des maisons bourgeoises, dans l'intimité de leurs journaux ou dans les confidences distraites du passé, dans les murmures de l'atelier ou du marché, dans les interstices d'un espace public peu à peu investi, les femmes ont agi, vécu, souffert et travaillé à changer leurs destinées. Qui mieux que Michelle Perrot pouvait nous le montrer ? Historienne des grèves ouvrières, du monde du travail et des prisons, Michelle Perrot s'est attachée très tôt à l'histoire des femmes. Elle les a suivies au long du XIXe et du XXe siècles, traquant les silences de l'histoire et les moments où ils se dissipaient. Ce sont quelques-unes de ces étapes que nous restitue ce livre. — "Dans la présentation de ce recueil d’articles, en forme de bilan provisoire d’une œuvre, Michelle Perrot brosse son parcours intellectuel, tout entier tourné vers la volonté de savoir où gisent les raisons dernières des oppressions sociales et sexuelles. Elle rappelle en ouverture que les femmes ont été plus souvent imaginées que décrites ou racontées. C’est pourquoi « faire leur histoire c’est ... inévitablement se heurter à ce bloc de représentations qui les recouvrent et qu’il faut nécessairement analyser, sans savoir comment elles-mêmes les voyaient et les vivaient ». Là réside une grande partie des difficultés de l’histoire des femmes, due autant à la question des sources qu’à la longue indifférence des historiens vis-à-vis de cette question. « Traces », la première partie de l’ouvrage, expose les problèmes posés par la documentation. Tandis que les archives publiques taisent les femmes – le verbe étant l’apanage de ceux qui exercent le pouvoir –, les archives privées sont des trésors pour les historiens. A travers elles, Michelle Perrot a vu « émerger un nouveau et étrange personnage : une femme qui veut être une personne » et s’ouvrir un vaste champ de connaissance. Les figures des trois filles Marx à l’héritage si lourd, celle de Flora Tristan, sensibilisée aux rapports de sexe dans le ménage comme dans la sphère publique et de George Sand, une des femmes les plus politiques de son temps, en sont de beaux exemples. Grâce à ce nouveau regard et à une volonté militante, les femmes sont lentement sorties du silence historique..." (Danièle Voldman, “Travail, genre et sociétés” 1999/1)
Alençon, A. Lepage, Alençon, A. Lepage1880 ; plaquette in-8, demi-percaline grise de l’époque. 48 ppÉDITION ORIGINALE. “Quittant son Paris natal, Perrot raconte sa douloureuse expérience militaire contre les chouans, dans la région de Vire, dans l’Orne, dans la Manche. Son récit ne dépasse pas la fin de 1793.” Fierro. Bibl. des Mémoires sur la Révolution 1151.Perrot est né à Paris vers 1773. Il a laissé un grand nombre de poésies, chansons, comédies, vaudevilles, etc. Après un séjour de près d’un an en Normandie, le bataillon dont il faisait partie a quitté le Havre le 23 thermidor an II. Il fut ensuite envoyé en Suisse et en Italie. Rentré en France, Perrot fut attaché à l’administration des postes. Il est mort en 1853.
Paris, Langlois et Leclercq, Maison Basset, [1842]. 491 x 627 mm.
Très rare et curieux tableau présentant les animaux et végétaux existant sur Terre avant le Déluge, dessiné par Aristide Michel Perrot pour l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publié en 1842 par Langlois et Leclercq, et la Maison Basset. Les illustrations ont été réalisées d'après les études des naturalistes et paléontologues Georges Cuvier, William Buckland et Alexander von Humboldt. Soixante-quinze espèces animales et végétales antédiluviennes sont représentées et décrites dans la partie basse : fougères arborescentes, bambous, premiers reptiles comme le plésiosaure ou l'ichtyosaure, crocodile, iguanodon, héron, ibis, baleine, dauphin, sanglier, cheval, éléphant ou encore mammouth. Cette planche ne porte pas le nom de la Maison Bouasse-Lebel, mais fait bien partie de l'Encyclopédie. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Aristide Michel Perrot (1793-1879) était ingénieur-géographe et officier du Génie, membre de la Société Royale Académique des Sciences de Paris et de la Société de Géographie, et spécialiste d'art et sciences militaires. Bel exemplaire. Rousseurs légères, essentiellement dans les marges. Courrier du Bas-Rhin, Niederrheinischer Kurier, N°247 du Samedi 15 octobre 1842, p. 4 ; Lagarde, Revue des industries chimiques et agricoles, Tome III, Catalogue de l'Encyclopédie Bouasse-Lebel en fin d'ouvrage, 1880 ; Extrait du Catalogue Langlois et Leclercq, se trouvant au début de l'ouvrage de Perdonnet, Traité élémentaire des chemins de fer, Tome second, 1856.
Montluçon, Herbin, 1913. in-4 (25,5 x 32,5 cm), 309 pages -1f.- 15 planches. Demi-basane cerise, dos à 5 nerfs, couverture et dos conservés. (Reliure moderne).
Édition originale posthume, publiée par Léonie Duchet, arrière-petite-fille de l'auteur. 15 gravures hors-texte reproduisent des estampes et des documents anciens, dessins in-texte. L'éditeur a apporté un grand soin à cette publication : choix du papier, format, typographie, lettrines et ornements choisis forment un magnifique volume. Le "Perrot de St.-Angel" est un ouvrage essentiel pour l'histoire de Montluçon ainsi que pour l'étude des mouvements économiques en Bourbonnais. Né en 1756, Gilbert-Bon mourut en 1847, à l'âge de 91 ans. Il avait été fonctionnaire de l'Ancien Régime et, pendant la Révolution, il avait joué un rôle important dans la vie municipale de Montluçon. Il apportait donc dans ses études et ses recherches sur l'histoire administrative de sa ville une compétence spéciale, et le temps très long dont il lui fut donné de vivre lui permit de faire une ample moisson de pièces originales et précieuses. Il a ainsi reconstitué les tableaux chronologiques des châtelains d'épée, les lieutenants généraux civils et criminels, présidents, assesseurs, etc. depuis l'origine des charges. De même pour l'hôtel de ville et l'ordre religieux. La période révolutionnaire est évoquée avec autant de curiosité et de détails inédits. Perrot figurait parmi les partisans de Necker. Melle Duchet a enrichi la publication du manuscrit de son ancêtre par quelques pièces totalement inédites telles que l'inventaire des meubles du château de Montluçon en 1518, un Noël en patois, deux textes d'Achille Allier, etc. (Longue notice bibliogr. de M. Dunan in Bull. S.E.B. 1913, pp. 206 et seq. - Malleret p. 51 - Pas dans Saffroy). Tiré seulement à 210 exemplaires, tous sur papier de Hollande, numérotés. - Bel exemplaire, frais.
Montluçon, Herbin, 1913. in-4 (25,5 x 32,5 cm), 309 pages -1f.- 15 planches. Relié demi-chagrin bronze, "pavés sautés" au dos, avec fleurons dorés, couverture et dos conservés. (Reliure moderne).
Édition originale posthume, publiée par Léonie Duchet, arrière-petite-fille de l'auteur. 15 gravures hors-texte reproduisent des estampes et des documents anciens, dessins in-texte. L'éditeur a apporté un grand soin à cette publication : choix du papier, format, typographie, lettrines et ornements choisis forment un magnifique volume. Le "Perrot de St.-Angel" est un ouvrage essentiel pour l'histoire de Montluçon ainsi que pour l'étude des mouvements économiques en Bourbonnais. Né en 1756, Gilbert-Bon mourut en 1847, à l'âge de 91 ans. Il avait été fonctionnaire de l'Ancien Régime et, pendant la Révolution, il avait joué un rôle important dans la vie municipale de Montluçon. Il apportait donc dans ses études et ses recherches sur l'histoire administrative de sa ville une compétence spéciale, et le temps très long dont il lui fut donné de vivre lui permit de faire une ample moisson de pièces originales et précieuses. Il a ainsi reconstitué les tableaux chronologiques des châtelains d'épée, les lieutenants généraux civils et criminels, présidents, assesseurs, etc. depuis l'origine des charges. De même pour l'hôtel de ville et l'ordre religieux. La période révolutionnaire est évoquée avec autant de curiosité et de détails inédits. Perrot figurait parmi les partisans de Necker. Melle Duchet a enrichi la publication du manuscrit de son ancêtre par quelques pièces totalement inédites telles que l'inventaire des meubles du château de Montluçon en 1518, un Noël en patois, deux textes d'Achille Allier, etc. (Longue notice bibliogr. de M. Dunan in Bull. S.E.B. 1913, pp. 206 et seq. - Malleret p. 51 - Pas dans Saffroy). Tiré seulement à 210 exemplaires, tous sur papier de Hollande, numérotés. - Bel exemplaire, frais. Ex-dono à l'encre.
Montluçon, Herbin, 1913. in-4 (25,5 x 32,5 cm), 309 pages -1f.- 15 planches. Broché, couverture de papier vélin crème imprimée en rouge et noir.
Édition originale posthume, publiée par Léonie Duchet, arrière-petite-fille de l'auteur. 15 gravures hors-texte reproduisent des estampes et des documents anciens, dessins in-texte. L'éditeur a apporté un grand soin à cette publication : choix du papier, format, typographie, lettrines et ornements choisis forment un magnifique volume. Le "Perrot de St.-Angel" est un ouvrage essentiel pour l'histoire de Montluçon ainsi que pour l'étude des mouvements économiques en Bourbonnais. Né en 1756, Gilbert-Bon mourut en 1847, à l'âge de 91 ans. Il avait été fonctionnaire de l'Ancien Régime et, pendant la Révolution, il avait joué un rôle important dans la vie municipale de Montluçon. Il apportait donc dans ses études et ses recherches sur l'histoire administrative de sa ville une compétence spéciale, et le temps très long dont il lui fut donné de vivre lui permit de faire une ample moisson de pièces originales et précieuses. Il a ainsi reconstitué les tableaux chronologiques des châtelains d'épée, les lieutenants généraux civils et criminels, présidents, assesseurs, etc. depuis l'origine des charges. De même pour l'hôtel de ville et l'ordre religieux. La période révolutionnaire est évoquée avec autant de curiosité et de détails inédits. Perrot figurait parmi les partisans de Necker. Melle Duchet a enrichi la publication du manuscrit de son ancêtre par quelques pièces totalement inédites telles que l'inventaire des meubles du château de Montluçon en 1518, un Noël en patois, deux textes d'Achille Allier, etc. (Longue notice bibliogr. de M. Dunan in Bull. S.E.B. 1913, pp. 206 et seq. - Malleret p. 51 - Pas dans Saffroy). Tiré seulement à 210 exemplaires, tous sur papier de Hollande, numérotés.
Montluçon, Herbin, 1913. in-4 (25,5 x 32,5 cm), 309 pages -1f.- 15 planches. Broché, couverture de papier vélin crème imprimée en rouge et noir.
Édition originale posthume, publiée par Léonie Duchet, arrière-petite-fille de l'auteur. 15 gravures hors-texte reproduisent des estampes et des documents anciens, dessins in-texte. L'éditeur a apporté un grand soin à cette publication : choix du papier, format, typographie, lettrines et ornements choisis forment un magnifique volume. Le "Perrot de St.-Angel" est un ouvrage essentiel pour l'histoire de Montluçon ainsi que pour l'étude des mouvements économiques en Bourbonnais. Né en 1756, Gilbert-Bon mourut en 1847, à l'âge de 91 ans. Il avait été fonctionnaire de l'Ancien Régime et, pendant la Révolution, il avait joué un rôle important dans la vie municipale de Montluçon. Il apportait donc dans ses études et ses recherches sur l'histoire administrative de sa ville une compétence spéciale, et le temps très long dont il lui fut donné de vivre lui permit de faire une ample moisson de pièces originales et précieuses. Il a ainsi reconstitué les tableaux chronologiques des châtelains d'épée, les lieutenants généraux civils et criminels, présidents, assesseurs, etc. depuis l'origine des charges. De même pour l'hôtel de ville et l'ordre religieux. La période révolutionnaire est évoquée avec autant de curiosité et de détails inédits. Perrot figurait parmi les partisans de Necker. Melle Duchet a enrichi la publication du manuscrit de son ancêtre par quelques pièces totalement inédites telles que l'inventaire des meubles du château de Montluçon en 1518, un Noël en patois, deux textes d'Achille Allier, etc. (Longue notice bibliogr. de M. Dunan in Bull. S.E.B. 1913, pp. 206 et seq. - Malleret p. 51 - Pas dans Saffroy). Tiré seulement à 210 exemplaires, tous sur papier de Hollande, numérotés. - Une fenêtre a été découpée au rasoir feuillet 269-270, endommageant les quatre feuillets précédent. Texte complété par une photocopie. Brochage fragile, dos frotté et légèrement gauchi.
Jean PERROT, dir., Gabriel MANESSY, éd., Albert VALDMAN, éd. - PERROT (Jean)
Reference : 49869
(1981)
ISBN : 2222017203
éditions du CNRS, coll. « Les Langues dans le Monde ancien et moderne » 1981 2 volumes, in-4, reliure de l’éditeur toile marron, 691 pp. - Portfolio à rabats, 11 cartes en couleurs. Excellent état. - Edité par Gabriel MANESSY - Edité par Albert VALDMAN
Dans le domaine linguistique, la première publication de ce genre date de 1924, voici que le CNRS entame, sous la direction de Jean Perrot, une entreprise semblable dont la première livraison, volumineuse, concerne l’Afrique subsaharienne, les pidgins et les créoles. Bon état d’occasion
RORET]. CONSTANT-VIGUIER (Stév.-F.), LANGLOIS-LONGUEVILLE (F.P.), PERROT (A.M.).
Reference : 97784
(1836)
Paris Librairie encyclopédique de Roret, coll. "Manuels-Roret" 1836 1 vol. relié fort vol. in-16, relié demi-basane tabac, dos lisse orné filets et fleurons à froid, XVI + 366 pp., 2 planches dépliantes dont 1 coloriée (dos un peu frotté, mors fendillés en pied). 3e édition revue et augmentée. [Relié à la suite : ] PERROT (A.-M.). Manuel du coloriste... Paris, Roret, 1834, XLVI + VII + 199 pp., 2 planches dépliantes dont 1 coloriée. Nouvelle édition revue et augmentée par E. Blanchard.
Paris, Victor Perrot, 1913. 1 vol. in-4. Demi-chagrin vert à coins, dos à nerfs, titre doré, tête dorée, couvertures conservées. Dos uniformément passé.
Avec un envoi de l’éditeur sur la page de titre. Petit tirage portant la justification suivante : “Tiré à “nombre” pour mes amis”.Bien complet des 5 planches hors-texte ainsi que du fac-similé et enrichi en outre de 7 photographies certaines légendées au stylo violet : il s’agit des pages de titre : - des Pastorales de Longus traduction complète par P-L Courier, exemplaire de la Bibliothèque de Tours, ainsi que des - Oeuvres de P-L Courier, précédées de sa vie, par Armand Carrel. Viennent ensuite des photos du chemin de Veretz-Chavonnière (où P-L Courier habitait), la statue de l’auteur à Saint-Gatien, à Tours ainsi que sa statue à l’Hôtel de ville, les photos reprennent enfin certaines illustrations de l’ouvrage : sont photographiés le cénotaphe dressé dans la forêt de Larcay, ainsi que les tombes de Courier et de son frère.Concernant le texte, la première partie correspond à une conférence faite à la Société archéologique “Le Vieux Papier” le mardi 25 février 1913 par Victor Perrot, la seconde partie réunit des extraits des Oeuvres complètes de P-L Courier par Victor Perrot.Avec le cachet “Geprüft und freigegeben Garnison-Kommando Friedberg (Hessen)”.
1731 Paris : chez Marc Bordelet, 1731.2 vol. ; in-12 - Reliure epoque plein cuir - Dos à 5 nerfs - Caissons ornés de motifs dorés - Bandeaux, Lettrines, Culs de lampe - 16 Bl., 345 p., 17 Bl. 1 Bl., 405 p., 17 Bl.La Guerre des Gaulles - Les Commentaires de César de la Guerre Civile - La Guerre d'Alexandrie par Hirtius ou Oppius - La Guerre d'Afrique par Hirtius ou Oppius - La Guerre d'Espagne par Hirtius ou Oppius - Remarques sur la traduction - Coins de la reliure émoussés - Petit manque en haut et bas du dos - Fines craquelures du cuir au niveau de la charnière - Ensemble robuste
tranches rouges
1952 Paris, L. Perrot, 1952. In-8 (135 X 216) broché, couverture orange, 88 pages.
CATALOGUE DE MATÉRIEL ET ACCESSOIRES DE PÊCHE de la maison Louis Perrot, spécialiste fabricant, située 27, quai de la Tournelle, dans le cinquième arrondissement à Paris. Nombreuses illustrations en noir : cannes, moulinets, mouches, leurres, etc. Exemplaire en bel état. NICE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
Paris, Berger-Levrault, 1928. In8 broché, couverture imprimée 2 tons. Edition originale. Préface du Maréchal Lyautey. 250p. Ouvrage orné de 4 portraits, 38 vues & 1 carte dépliante.
texte frais,couverture leg. defraichie,
Paris, Bouasse-Lebel, Édit. Imp., et Anc.ne M.on Basset réunies, [1863]. 497 x 613 mm.
Superbe et très rare tableau de vulgarisation sur les teintes et les signes conventionnels de topographie adoptés par le Ministère de la Guerre. Il a été conçu par Aristide Michel Perrot, dessiné et lithographié en couleurs par Louis Allard. Il est issu de l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et a été publié par la Maison Bouasse-Lebel et l'ancienne Maison Basset réunies en 1863. La topographie est la science qui permet la mesure puis la représentation sur un plan ou une carte des formes et détails visibles sur le terrain, qu'ils soient naturels (notamment le relief et l'hydrographie) ou artificiels (comme les bâtiments, les routes, etc.). La partie haute du tableau présente les six teintes que sont la gomme gutte, le carmin, le bleu de Prusse, le vert émeraude, le sépia, et l'encre de Chine, ainsi que leur utilisation dans les dix-huit natures de terrains et de cultures (friches, vergers, prairies, vignobles, bruyères, landes, forêts et bois, fleuves et rivières etc). La partie centrale est occupée par la liste des signes conventionnels, un extrait de carte reprenant les teintes et les dix-huit natures de terrains et de cultures, et une carte minute dessinée à la plume, la minute étant réalisée directement sur le terrain en vue de l'établissement d'une carte. La partie basse présente des exemples de fortifications, de plan de bataille et de carte topographique, et la typographie utilisée. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Aristide Michel Perrot (1793-1879) était ingénieur-géographe, officier du Génie, membre de la Société Royale Académique des Sciences de Paris et de la Société de Géographie, et spécialiste d'art et sciences militaires. Dans le même domaine que ce tableau de topographie, il a conçu un Manuel élémentaire pour la construction des cartes et des Modèles de topographie dessinés et lavés. Très rare. Nous n'avons trouvé aucun exemplaire dans les collections publiques et aucune trace dans les ouvrages de référence. La BnF et la Bibliothèque royale de Belgique détiennent un exemplaire d'une autre édition lithographiée par Anthelme Boucher et publiée par la Maison Basset en 1852 (Bibliographie de la France ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 19 juin 1852, 1890,p. 368, 51). Bel exemplaire, très beaux coloris de l'époque. Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1863, p. 708 ; Liste des fournitures et du matériel à l'usage des maisons des Frères des écoles chrétiennes, 1888, p. 57, 1567.
Paris, Langlois et Leclercq, Maison Basset, 1856. 491 x 627 mm.
Très rare et beau tableau illustrant les météores ou phénomènes atmosphériques, dessiné par Aristide Michel Perrot pour l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publié en 1856 par Langlois et Leclercq, et la Maison Basset. Trente-et-un phénomènes sont représentés, divisés en cinq familles de météores : les météores aériens, tels les moussons, les tempêtes, les ouragans, ou les tourbillons ; les météores aqueux, tels le brouillard, la grêle ou le verglas ; les météores ignés, tels le tonnerre, la foudre, les trombes, les aurores boréales, les feux follets, ou encore les feux Saint-Elme (petites flammes apparaissant surtout aux extrémités des mâts des navires, produites par l'abondance de l'électricité dans l'atmosphère) ; les météores lumineux, tels l'aube, l'aurore, le crépuscule, l'arc-en-ciel, le halo ; et les météores mixtes, tels les marées, les étoiles filantes ou les aréolythes ou aérolithes (pierres également appelées bolides, tombées du ciel ou de l'atmosphère). Les phénomènes sont numérotés et expliqués au bas de l'illustration. Sur les côtés figurent diverses illustrations sur les vents, les flocons de neige, les roses des vents, etc. Cette planche ne porte pas le nom de la Maison Bouasse-Lebel, mais fait bien partie de l'Encyclopédie, qui comprenait cinq tableaux dédiés à l'astronomie et à la météorologie. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Aristide Michel Perrot (1793-1879) était ingénieur-géographe et officier du Génie, membre de la Société Royale Académique des Sciences de Paris et de la Société de Géographie, et spécialiste d'art et sciences militaires. Bel exemplaire. Rousseurs légères, essentiellement dans les marges. Extrait du Catalogue Langlois et Leclercq, se trouvant au début de l'ouvrage de Perdonnet, Traité élémentaire des chemins de fer, Tome second, 1856.
Nevers, Paris, Fortin, (circa 1960). 55,8 x 81 cm.
Le blason du Bourbonnais "revisité" par un effet de fondu montrant la silhouette des monuments, bleu roi sur fond rouge. Composition signée L. Perrot. - Épreuve en parfait état.
(vers 1835) Format (19 x 28 cm) Papier un peu bruni.
Dessin lithographié par Ferdinand Perrot. Edité à Paris, chez Benard. Daumas, 557.