1716 Paris, N. Langlois 17. Jh. Original Kupferstich von Gabriel Perelle (1604-1677) aus dem 17. Jahrhundert. -- Blattmasse: ca. 37,5 x 28 cm. -- gut erhalten. || Original copper engraving by Gabriel Perelle (1604-1677) from the 17th century. -- in good condition. || Gabriel Perelle (1604-1677)
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Paris M. Tavernier 1634 Une gravure Originale, technique eau-forte en couleurs, Format de la cuvette : ( 29 x 20 cm), imprimé en noir en bas sous la gravure mais toujours dans la cuvette : « Les Eaux et les Environs de CHAVILLE joints au couvert du lieu rendent cette Maison un délicieux séjour, et sa veuë est l'une des plus agréables qui soit autour de Versailles. Cette face regarde le Jardin, A Paris chez N. Langlois, rue St Jacque à la Victoire. Avec Privilège du Roy», sans date (1675), provenance de : "[Vues et perspectives de châteaux, de palais, d'églises, de fontaines et de jardins de Paris et de France, ainsi que des vues de Rome, de Venise et de l'Escurial]" : [estampe] par Gabriel Pérelle, Publication : Paris : Nicolas Langlois, [ca 1675],
Belle épreuve malgré quelques fines rousseurs, un trou de vers et des traces de colle en marge n'atteignant pas la gravure elle-même ......... Trés Rare ............. SUPERBE .................. en bon état (good condition). en bon état
PÉRELLE, Gabriel (1604 ) 1677) - PÉRELLE, Nicolas (1631 - 1695) - SILVESTRE, Israël (1621 - 1691)
Reference : 12739
(1670)
Édité par N. Langlois, P. Mariette, P. Mariette le fils et N. Poilly [Circa 1670]. 1 vol.in-4 oblong. 20,5 x 30,5 cm. Veau d’époque. Reliure restaurée, plats conservés, dos maladroitement refait. Exemplaire certainement monté d’origine.
Gravures à très grandes marges imprimées sur des feuillets de 19,6 x 29,4 cm et rassemblées à l'époque. On dénombre au total 31 séries dont deux planches seules, et majoritairement des séries de 4, 6 ou 12 gravures : nombreuses scènes de paysages, scènes paysannes, scènes de bateaux et batailles navales, vues architecturales.À noter : Série de 12 gravures sur le Château de Rueil d’Israël Silvestre gravées par Perelle. Les Quatre saisons de Perelle chez N. Langlois.Détail des éditeurs :P. Mariette le fils rue St Jacques aux Collomnes d’Hercule.P. Mariette rue St Jacques à l’espérance.Nicolas Langlois rue St Jacques à la Victoire.N. Poilly rue St Jacques à la belle image.Nicolas Langlois (1640 - 1703).Pierre II Mariette (1634 - 1716)Pierre-Jean Mariette (1694 - 1774)Nicolas Poilly (1707 - 1780).Détail des gravures sur demande.
[Paris, N. Langlois, circa 1690]. 182 x 272 mm.
Très belle vue de l'Île Saint-Louis, appelée île Notre-Dame jusqu'en 1725, dessinée par Gabriel Perelle. Rare exemplaire avant la lettre avec le titre manuscrit à l'encre. Le titre imprimé est le suivant : Veue de l'isle Nostre Dame et de la maison de M.r de Bretonvilier. La vue est prise du quai Saint-Bernard, avec son port fluvial très animé, spécialisé dans le transport du vin. Sur la gauche, on peut voir la Tour des Galériens qui servait de dépôt aux condamnés aux galères qui devaient y attendre leur départ pour Marseille, ainsi que le Pont Marie. L'île Saint-Louis, avec ses hôtels particuliers, est vue du côté du quai d'Anjou avec la pointe de l'île. Au XVIIe siècle, un nombre important d'hôtels particuliers y sont construits, qui la font surnommer ""l'île des palais"". Certains de ces hôtels sont l'œuvre de l'architecte Louis Le Vau. On peut voir notamment les trois principaux d'entre eux, qui sont ceux de Louis Hesselin, Claude Le Ragois de Bretonvilliers et Jean-Baptiste Lambert de Thorigny, ce dernier étant le plus grand de tous, situé à la pointe amont de l'île. En 1874 la construction du pont Sully entraînera la démolition du splendide hôtel de Bretonvilliers. Bel exemplaire.
Paris, N. Langlois, [circa 1690]. 183 x 272 mm.
Très belle vue de l'Île Saint-Louis, appelée île Notre-Dame jusqu'en 1725, dessinée par Gabriel Perelle. La vue est prise du quai Saint-Bernard, avec son port fluvial très animé, spécialisé dans le transport du vin. Sur la gauche, on peut voir la Tour des Galériens qui servait de dépôt aux condamnés aux galères qui devaient y attendre leur départ pour Marseille, ainsi que le Pont Marie. L'île Saint-Louis, avec ses hôtels particuliers, est vue du côté du quai d'Anjou avec la pointe de l'île. Au XVIIe siècle, un nombre important d'hôtels particuliers y sont construits, qui la font surnommer "l'île des palais". Certains de ces hôtels sont l'oeuvre de l'architecte Louis Le Vau. Les trois principaux d'entre eux sont nommés sur l'estampe : ce sont ceux ceux de Louis Hesselin, Claude Le Ragois de Bretonvilliers et Jean-Baptiste Lambert de Thorigny, ce dernier étant le plus grand de tous, situé à la pointe amont de l'île. En 1874 la construction du pont Sully entraînera la démolition du splendide hôtel de Bretonvilliers. Bel exemplaire.
Leyde, Pierre Vander Aa, [circa 1710]. 336 x 412 mm.
Belle vue animée du Pont Neuf avec la statue équestre d'Henri IV, à gauche l'hôtel de Conti et le Collège des Quatre Nations, à droite le Louvre et les Tuileries. Le Pont Neuf est le plus ancien pont de la capitale, et servait de communication directe entre la Cité et les deux autres quartiers de la ville. C'est le premier pont parisien construit en pierre, d'où son nom de Pont Neuf. Pourvu de trottoirs protégeant les piétons, et de terrasses semi-circulaires leur permettant de s'assoir, il fut, contrairement aux autres ponts parisiens, le seul à ne pas être couvert d'habitations, et de ce fait il eut immédiatement un succès considérable et devint la promenade publique la plus fréquentée et la plus variée de Paris, comme en témoigne l'estampe de Perelle. Les trottoirs sont en effet garnis d'échoppes volantes, d'où l'origine des bouquinistes sur les quais à partir de 1670, d'étalages divers animés de charlatans, de farceurs et de montreurs de marionnettes. Avec sept légendes, dont le Pont Royal nommé Pont Rouge. Défaut dans la partie haute de la pliure centrale, deux petites galeries de ver et déchirures marginales. Vallée, 3086.
[Paris, circa 1690]. 183 x 274 mm.
Rare vue de la place Dauphine, avant la lettre Très belle estampe figurant le Pont Neuf et la place Dauphine au XVII° siècle, avec en arrière-plan, sur la gauche, le Pont au Change et sur la droite, le Pont Saint-Michel. Le Pont Neuf est le plus ancien pont de la capitale, et le premier pont parisien construit en pierre, d'où son nom de Pont Neuf. Pourvu de trottoirs protégeant les piétons, et de terrasses semi-circulaires leur permettant de s'assoir, il fut, contrairement aux autres ponts parisiens, le seul à ne pas être couvert d'habitations, et de ce fait il eut immédiatement un succès considérable, comme en témoigne l'estampe de Perelle. Les trottoirs sont en effet garnis d'échoppes volantes, d'où l'origine des bouquinistes sur les quais à partir de 1670, d'étalages divers animés de charlatans, de farceurs et de montreurs de marionnettes. La place Dauphine fut aménagée l'année où fut achevé le Pont Neuf. Après la place des Vosges, elle fut la seconde place royale aménagée au XVII° siècle. Exemplaire abvant la lettre avec titre manuscrit. Bel exemplaire.
Paris, N. Langlois, [circa 1680]. 212 x 298 mm.
Belle estampe figurant la Chambre des Comptes et la façade de la Sainte-Chapelle, établies dans le Palais de la Cité, actuel Palais de Justice. Exemplaire légèrement bruni.