Librairie Nouvelle - A. Bourdilliat et Cie, éditeurs 1859 Relié. 343 pages. In-12 12 x18 cm. Reliure de l’époque demi-chagrin vert moyen, 343 pp., Coupes de pied et coins frottés. Exemplaire en bon état.. Bon état d’occasion.
Chroniques de la vie mondaine parisienne sous le Second Empire : Bals chez le duc de Morny, la comtesse de Fitz-James, Alfred de Vigny à Compiègne... Bon état d’occasion
Paris, H. Oudin 1884 In-4 32 x 22,5 cm. Reliure demi-basane grenat, dos à nerfs, 578 pp., 16 planches hors texte sous serpentes, 8 fac-similés d’autographes hors texte. Ex-libris Bibliothèque de Guron. Coupes frottées.
Henri d'Artois (1820-1883), petit-fils de France, duc de Bordeaux, prince de la famille royale de France, chef de la maison capétienne de Bourbon, est plus connu sous son titre de courtoisie de comte de Chambord. Revenu en France après la chute du Second Empire en 1870, il rallie à lui la majorité royaliste de la nouvelle assemblée nationale, se réconcilie avec la branche d'Orléans (qui se pose néanmoins en héritière de la branche aînée des Bourbons), et assistera à l'échec d'un projet de restauration, à la suite du refus de la majorité des députés d'accepter le drapeau blanc, et de son propre refus d'adoption du drapeau tricolore. Bon état d’occasion
Paris, Bibliothèque des Curieux, Le Coffret du Bibliophile, Paris, Bibliothèque des Curieux, Le Coffret du Bibliophile(v. 1915) ; in-16, demi-veau blond à coins, filets dorés, dos orné de fleurons et guirl. dor., tête dorée, couverture cons., non rogné. (Reliure de l’époque) 2 ff., 217 pp., 1 f.Pia III, p. 152 mentionne une édition sous le même titre datée de 1786 figurant dans le Catalogue Dresde n° 487. Il ne fait pourtant aucun doute que cet ouvrage, peut-être inspiré d’un roman du XVIIIe siècle, a bien été écrit au XIXe. Il a paru pour la première fois en 1864 chez Dentu et connut un un grand succès. Habituellement attribué à Henry de Pène, Lorenz dément à l’entrée Pène, cette attribution qu’il avait lui-même donnée à la rubrique Mémoires... Il s’en explique vol. VI p. 374 “quoique nous sachions aujourd’hui d’une manière absolument certaine que M. de Pène n’est pas l’auteur. Nous avions cru pouvoir les lui attribuer, en nous fondant sur la 8e édition du Dict. des ouvrages anonymes de Barbier (t. III, p. 191), et lorsque nous avons appris le véritable nom de l’auteur (Madame de ***) que du reste nous ne sommes pas autorisés à divulguer, la lettre M. du présent volume était déjà imprimée...” En 1865, Barbey d’Aurevilly consacre une longue et vénéneuse notice à ces Mémoires dans Les œuvres et les hommes. Tirage à 510 exemplaires, un des 500 sur Arches. Couverture jaunie, intérieur frais.
Sans lieu ni nom d'éditeur, sans date [vers 1943-1944]. Grand in-8 (165 X 255) broché, 294 pages. Carte dépliante et 15 planches de reproductions photographiques hors-texte.
EDITION ORIGINALE. "Jean-Louis Pène est né en 1884 au coeur de la haute Barousse, à Sost, dans une famille de cultivateurs qui connurent encore les anciennes moeurs. Transplanté comme beaucoup de Pyrénéens, il se retira au pays et se consacra alors à l'étude de sa chère vallée. "LA BAROUSSE, Le pays, sa vie, ses moeurs", est un livre exemplaire par la connaissance profonde de deux domaines indissociables de la vie pyrénéenne : l'existence quotidienne au XIXe siècle et l'histoire économique et sociale des périodes antérieures. En particulier la noblesse qui tient une grande place dans l'histoire locale depuis le XVe siècle. J.-L. Pène suit pendant des siècles la lutte menée par les communautés de la Barousse pour défendre contre tous les pouvoirs les droits qu'elles possédaient depuis le Moyen Age sur les forêts de la vallée. Lutte qui s'apparente à la première "guerre des demoiselles" quelques vingt ans auparavant en Ariège. J.-L. Pène fournit sur cette période une documentation de premier plan." (Extrait de la Revue du Comminges). Cet ouvrage obtint le "Prix de la Société des Etudes du Comminges". Exemplaire en BEL ETAT. NICE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
William Pène Du Bois Gallimard Reliure Rigide Illustrée Paris 1968 la bibliothèque blanche - 153 pages en format 14 - 21 cm - dessins de l' auteur
Très Bon État
Chez l'auteur et Nice, impr. Gimello, 1957, gr. in-8°, vii-335 pp, broché, bon état, envoi a.s.
Il est heureux qu'il y ait encore des amateurs, au vrai sens du terme, pour cultiver de grands sujets historiques. Il faut savoir gré à l'auteur d'avoir essayé de l'aborder avec sérénité et de s'être gardé de ce néocatharisme, sans doute intéressant comme attitude spirituelle, mais irritant dans son attitude historique, qui est de mode dans la littérature méridionaliste. « La conquête du Languedoc » est un livre à thèses. La thèse principale est que l'importance numérique de l'hérésie albigeoise a été grossie arbitrairement, avant et après la croisade, pour justifier l'opération de conquête. La densité de l'albigéisme était très faible, pense l'auteur ; au XIIe siècle, on ne peut citer que des foyers isolés ; au début du XIIIe, on parle dans les conciles provinciaux de « plusieurs » hérétiques ; la liste des hérétiques de Béziers massacrés en 1209 ne comprend que 222 noms ; au milieu du XIIIe siècle, les groupes pourchassés par l'Inquisition ne dépassent pas la centaine. On ne saurait, estime-t-il, dans ces conditions, admettre une relation « réelle » de cause à effet entre l'hérésie et la guerre albigeoise. Les princes méridionaux, Raimond VI en tête, ont été accusés d'hérésie quoiqu'Innocent III ait retiré lui-même cette accusation contre le comte de Toulouse ; c'était le prétexte nécessaire pour justifier leur spoliation. Mais sur cette thèse s'en greffe une seconde, plus curieuse : la collusion d'un groupe de Cisterciens, de Simon de Montfort et du roi de France pour, en quelque sorte, forcer la décision du pape. M. Pène a raison de voir dans Arnaud Amalric un des principaux promoteurs du drame, sinon le principal. C'est bien un personnage de haute ambition dont les machinations avec Foulques de Marseille, Guy des Vaux-de-Cernay et d'autres de ses créatures ont été animées par des fins très temporelles. Arnaud et ses amis ont été attentifs, pour réussir, à jouer la carte capétienne et favorisèrent l'intervention de Simon de Montfort qui ne fut, en somme, de son coté, que l'exécuteur des desseins de la royauté. Mais pour forcer la main au pape, il fallait un acte irréparable : ce fut l'assassinat du légat, Pierre de Castelnau. Or, st l'accusation de complicité a été lancée, avec insistance, et pour cause, contre le comte de Toulouse, l'assassin véritable n'a jamais été identifié : qui donc a armé le bras de celui-ci, sinon ceux qui avaient un intérêt au déchaînement de la « croisade » spoliatrice, suggère la lecture de M. Pène qui semble, sur ce point, n'avoir pas osé plus clairement aller jusqu'au bout de aon raisonnement. Le récit des événements et un long épilogue n'apportent ensuite qu'une mise au point et des considérations assez générales sur la fin du particularisme méridional. Mais qu'on ne s'y trompe pas, les chapitres liminaires de cette « thèse » ne sauront rester indifférents. On ne pourra jamais, bien sûr, chiffrer avec exactitude la densité de l'hérésie ; mais, sans doute, avec notre auteur, faut-il revenir à l'opinion d'Auguste Molinier qui estimait que ses partisans ne formaient, en Languedoc, qu'une « infime minorité » ; en tout cas, c'est dans cette voie qu'il faut réorienter cette étude. Les exagérations des auteurs contemporains n'ont été que propagande intéressée. Quant au rôle tortueux d'Arnaud Amalric et de ses séides, même s'il se présente un peu, à la lecture, sous un jour de roman policier, on ne saurait non plus négliger d'y chercher la charnière des événements de 1208-1209... (Ch. Higounet, Annales du Midi, 1958)
Paris, Dentu, Paris, Dentu1864 ; in-12, demi-chagrin noir, nerfs, fleurons dorés, tranches peignées. (Reliure de l’époque) 2 ff., 318 pp.Photographie originale de Vaury montée dans un encadrement de filets bleus en frontispice. ÉDITION ORIGINALE anonyme de ce roman de mœurs rédigé dans un style soubrette par Henry de Pène, journaliste et romancier d’origine béarnaise, né à Paris en 1830, mort en 1880. Il était fils d’un affairiste propriétaire du château d’Argagnon (Pyrénées Atlantiques) et des forges de Banca. Henry de Pène était un ardent royaliste qui ne cessa d’attaquer la République pendant toute sa vie. Pendant la Commune il fut grièvement blessé le 22 mars lors de la manifestation des “Amis de l’Ordre”. Il fut rédacteur en chef du Gaulois jusqu’à sa mort. Il s’est caché derrière divers pseudonymes : Némo, B. Loustalot, Mané.“La mode est aux mémoires, et j’écris les miens. Quand messieurs les grands hommes publient des livres sous ce titre, ils ont soin de ne dire que la moitié de la vérité, et lorsque ce sont des femmes célèbres, il paraît que c’est bien pis ! Je ne suis qu’une soubrette, et je raconterai l’histoire des autres : c’est une double raison pour ne mettre à la vérité ni robe ni maillot...” Promesse tenue : la vérité toute nue sur ce qui se joue dans les alcôves, boudoirs et antichambres.
E. Dentu Editeur "Paris, 1864, in-12 demi-basane noire, dos lisse, fleurons dorés, dos éclairci. 2ff.-318pp. Photographie Vaury et Cie sur papier albuminé (une femme masquée) en frontispice. Mention de quatrième édition. Gay III-152 attribue l'ouvrage à Henri de Pène ou à Alfred Delvau. ""Mémoires curieux et devenus peu communs"". Lorenz VI-374 dément l'attribution à de Pène sans pour autant donner le nom de l'auteur, Madame M... Dans Les oeuvres et les hommes, T.4 les romanciers, Barbey D'Aurevilly donne une longue et éreintante appréciation de l'ouvrage : ""On a respiré avec avidité cette petite infection comme une cassolette et on a trouvé que cela sentait presque bon ! Ah, les nez charmants qui ont trouvé cela doivent avoir de fiers polypes ! La société qui lit avec plaisir des productions de cette espèce a certainement quelques infirmité..."" Quelques infimes rousseurs au titre et dans quelques marges. La photographie du frontispice varie selon les exemplaires."
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 8 janvier 1866, 2p in-8. Il envoie à Scholl la copie d'une lettre d'un prince Narischkine (lequel ?) dont l'image a visiblement été écorné dans le Nain Jaune. Pène avait déjà rétabli les choses. Il semble qu'un article de Victor Koning soit la source de cette histoire. Il s'agit vraisemblablement de Dimitri Pavlovitch Narychkine (1797-1868), hôte de Dumas à Saint-Pétersbourg. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd [1865-1886], 1p in-8. A Scholl, sur « l'affaire Narischkine ». Par une autre lettre, on sait qu'il y a un problème entre Narischkine et Victor Koning, « blanc comme neige ». Il dit à Scholl que Narischkine lui a envoyé de l'argent, « de façon honorable » en voulant que son nom n'apparaisse pas. Narischkine a décidé de rompre le silence et Pène sollicite un rendez-vous. Il s'agit vraisemblablement de Dimitri Pavlovitch Narychkine (1797-1868), hôte de Dumas à Saint-Pétersbourg. [210]
Paris E. Dentu, éditeur 1863 in 12 (18x12) 1 volume reliure à bradel demi percaline brique de l'époque, dos lisse ornés d'un fleuron et de filets dorés, pièce de titre de cuir bleu, frontispice illustré, III et 337 pages. Mané, Henri de Pène, 1830-1888. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide Ed. limitée
Paris, E. Dentu, 1864 in-12, [2] ff. n. ch., 353 pp., broché sous couverture illustrée. Dos fendillé, couvertures défraîchies.
Édition originale. Distribuées par années (1856, 1857, janvier à avril 1858), ces petites anecdotes font pénétrer dans la vie de société de la capitale sous le Second Empire (spectacles, bals, réceptions). L'ouvrage fait partie de la série des Paris ... du journaliste politique royaliste Henry de Pène (1830-1888) : Paris aventureux (1860) ; Paris mystérieux (1861) ; Le Paris viveur (1862) ; Paris effronté (1863) ; Paris amoureux (1864).Vignette ex-libris Yves-Louis Mongrolle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, A. Bourdilliat, 1859 in-12, [2] ff. n. ch., 343 pp., demi-basane cerise, dos à nerfs orné de fleurons dorés et de filets à froid (reliure de l'époque). Coiffes, coins et coupes abîmés. Manques de papier sur les plats.
Édition originale. Distribuées par années (1856, 1857, janvier à avril 1858), ces petites anecdotes font pénétrer dans la vie de société de la capitale sous le Second Empire (spectacles, bals, réceptions). L'ouvrage fait partie de la série des Paris ... du journaliste politique royaliste Henry de Pène (1830-1888) : Paris aventureux (1860) ; Paris mystérieux (1861) ; Le Paris viveur (1862) ; Paris effronté (1863) ; Paris amoureux (1864).Ex-libris Yves-Louis Mongrolle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Dentu, 1863 in-8, III-337 pp., frontispice, broché, couverture illustrée Dos factice. Qqs rousseurs.
Chronique de la vie culturelle parisienne pour l'année 1861-1862 par le journaliste Henri de Pène, futur fondateur du Gaulois. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
"1948. Meaux Imprimerie André Pouye 1948 - Broché 17 cm x 26 cm 296 pages - Monographie sur la Barousse de J.-L. Pène - Prix de la société des études du Comminges - Une carte dépliante tableaux généalogiques 15 planches de photographies noir et blanc hors texte - Edition originale - Petit manque au dos sinon très bon état"
"Guillaume Apollinaire (en pré-originale) Gaston Picard Roger Allard Henri-Martin Barzun Nicolas Beauduin Marc Brésil Paul Brulat jean Clary Manuel Devaldès Fernand Divoire Féret Fernand Fleuret Paul Fort J. Francis-Boeuf Gonzague-Frick Ernest Gaubert H.-E. Gounelle Rémy de Gourmont Henri Guilbeaux Jacques Hébertot Gustave Kahn S.-C. Lecomte Paul Lombard et Marcel Millet V.-E. Michelet Olivier Hourcade Carlos Larronde et Dorsennus Annie de Pène Georges Périn Georges Polti Ra"
Reference : 100074128
(1913)
"Paris. 14 5 cm x 23 cm. 1913. Broché. 48 pages. Paris L'Heure Qui Sonne janvier 1913 numéro exceptionnel. Broché 14 5 cm x 23 cm 48 pages. Textes et poèmes de Guillaume Apollinaire (en pré-originale) Gaston Picard Roger Allard Henri-Martin Barzun Nicolas Beauduin Marc Brésil Paul Brulat jean Clary Manuel Devaldès Fernand Divoire Féret Fernand Fleuret Paul Fort J. Francis-Boeuf Gonzague-Frick Ernest Gaubert H.-E. Gounelle Rémy de Gourmont Henri Guilbeaux Jacques Hébertot Gustave Kahn S.-C. Lecomte Paul Lombard et Marcel Millet V.-E. Michelet Olivier Hourcade Carlos Larronde et Dorsennus Annie de Pène Georges Périn Georges Polti Rachilde Henri de Régnier Maxime Revon Jean Richepin Jean Royère Han Ryner Paul Pourot Henri Strentz G.-L. Tautain Emile Verhaeren S. Voirol ; portrait de l'artiste en frontispice. Dos restauré bon état intérieur" "Etat correct"
Librairie Léon Vanier - A. Messein. 1910. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Intérieur acceptable. 274 pages. Etiquette de code sur le dos. Tampons et annotations de bibliothèque sur le 1er plat et en page de titre. Couverture détachée.. . . . Classification Dewey : 264.1-Les prières
2e édition. Recueillies et publiées par Annie de Pène. Classification Dewey : 264.1-Les prières
Henri de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 23 février 1866, 1p in-8. A l'acteur et directeur de théâtre Montrouge (1826-1903). A propos d'une promesse pour Mr d'Aguilar. [157b]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 7 décembre 1863, 1p in-8. Il recommande à Scholl un compositeur de talent, monsieur Brosselet (?), un presque compatriote de Scholl car il est de Toulouse (et Scholl de Bordeaux) et qu'il a eu un duel fameux à Bordeaux. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 8 décembre 1864, 1p in-8. Il réclame du travail à Scholl. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 13 décembre 1864, 1p in-8. Il demande à Scholl d'insérer une réclame et lui propose de faire des échanges de réclames permanents entre leurs journaux. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., 10 avril, 1p in-8. Il présente ses excuses à Scholl qui a dû réclamer un journal. « Je croyais absolument que vous aviez toujours reçu la Gazette depuis que j'en suis le maître ». [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd [1864], 1p in-8. Il demande à Scholl s'il doit bien donner sa copie le lendemain pour paraître dans le prochain numéro de Club. [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd, 1p in-8. Il dit à Scholl de ne faire aucune chronique « jusqu'à la fin des débats de la Haute Cour ». « Tours va nous prendre tous le journal ». [209]
Henry de Pène (1830-1888), écrivain, journaliste. L.A.S., sd, 2p in-12. Jolie lettre amicale à Scholl sur sa vision de Scholl et d'Henri de Valois. [209]