Précieux exemplaire relié à l’époque en maroquin rouge aux armes de Charles-Alexandre de Lorraine (1712-1780). Paris, L. F. Delatour, 1773.In-8 de (1) f. de frontispice, 60 pp., 5 planches dépliantes hors texte.Maroquin rouge, plats richement ornés d’une large dentelle dorée, grandes armes frappées or au centre, dos lisse orné de fleurons dorés, roulette intérieure dorée, filet doré sur les coupes, doublure de papier moiré bleu, tranches dorées. Reliure de l’époque.165 x 94 mm.
Édition originale de ce traité consacré à la taille des arbres fruitiers.Barbier, II, 246 ; Janson, 398 ; Conlon 73 : 1120 ; inconnu de Nissen et de Pritzel.Cet intéressant manuel décrit la méthode mise au point par Pelletier de Frépillon pour tailler les arbres fruitiers en se basant sur des règles géométriques : « D’après les observations que nous avons faites sur les effets de la Nature, nous avons cru pouvoir assujettir aux regles de la Géométrie, la Taille des Arbres fruitiers ; & nous avons imaginé, pour la rendre plus intelligible, de réduire en plan géométrique la forme que doit avoir l’Arbre perfectionné par l’Art ».« Etienne Pelletier De Frepillon est probablement fermier ou seigneur censier de Frépillon, sous la houlette de l’abbesse de Maubuisson. Fourrier de la cour jusqu’en 1773 (ou 1775), il se retire définitivement à Frépillon, où il a sans doute, pendant ses heures de loisirs, ou avec l’aide d’un jardinier, expérimenté dans son jardin une nouvelle méthode pour tailler les arbres fruitiers, en particulier les pêchers.Les premières recherches de Le Pelletier semblent rencontrer un certain succès : en 1785, on trouve dans une brochure de conseils pratiques l’annotation suivante : ‘Pêchers. M. Pelletier de Frépillon demeurant à la Vallée de Montmorency, près Paris, a imaginé une nouvelle manière de tailler les pêchers, elle leur fait rapporter un plus grand nombré de fruits qu'ils n'ont habitude de donner’ ».« En 1773, parut un petit ouvrage dans lequel on proposoit de fortes modifications dans la méthode de Montreuil. C'est dans ‘L'essai sur la Taille des Arbres fruitiers’ par une Société d'Amateurs. Cette société se réduisoit à un seul particulier, nommé Le Pelletier, qui avoit été fourrier de la Cour. Il se retira dans un petit domaine, à Frépillon, près Saint-Leu, dans la vallée de Montmorency. Et là, il chercha à diriger des espaliers avec une précision géométrique : les figures qu'il en publia sont effectivement très régulières. Mais les Amateurs de culture qui, sur son invitation, furent examiner ses travaux, trouvèrent que la Nature, suivant son génie, n'avoit pu se plier à des formes aussi exactes, et que souvent, pour déguiser ses caprices, Le Pelletier avoit employé l'art de la greffe.» (Aubert-Aubert Dupetit-Thouars, Recueil de rapports et de mémoires sur la culture des arbres fruitiers, 1815, p. 67).En 1843, la société académique d’Agriculture de l’Aube émettait un avis assez proche :« (Ce) petit traité, format in-12, … est assez estimé. Les meilleurs principes y sont enseignés. Il est fort court et très-clair. Il y est souvent question du pêcher en espalier. Mais l'auteur parut alors, et longtemps depuis, avoir trop insisté sur certaine forme, la forme carrée à donner aux arbres. On ne regarda pas cette forme comme devant contribuer beaucoup, ni autant que celles adoptées jusque-là, à leur produit, ni même plus qu'elles à leur conservation ».L’illustration du plus haut intérêt se compose d’un frontispice gravé et de 5 planches dépliantes présentant la méthode de taille proposée par l’auteur.Précieux exemplaire relié à l’époque en maroquin rouge aux armes de Charles-Alexandre de Lorraine (1712-1780).Charles-Alexandre de Lorraine (1712 - 1780) fut gouverneur général des Pays-Bas autrichiens (1741-1780), grand maître de l’ordre Teutonique (1761-1780) et chevalier de l'Ordre de la Toison d'or. Il était le douzième enfant de Léopold Ier, duc de Lorraine et de Bar, et d'Élisabeth Charlotte d'Orléans. Il était également le beau-frère de l'impératrice Marie-Thérèse. Il fut fait maréchal d'Autriche en 1740. En avril 1741, il fut désigné comme successeur aux Pays-Bas de la gouvernante générale, l'archiduchesse Marie-Élisabeth.Pendant la Guerre de Succession d'Autriche, il fut l'un des principaux commandants autrichiens. Il fit son entrée à Bruxelles, en compagnie de son épouse, l'archiduchesse Marie-Anne d'Autriche, le 26 mars de cette année. Deux mois plus tard, il reprenait le commandement des armées du Rhin, laissant son épouse seule aux Pays-Bas. Après le décès de celle-ci des suites de ses couches en décembre 1744, l'invasion, puis l'occupation française (1745-1748) empêchèrent son retour aux Pays-Bas. Ce n'est que le 24 avril 1749 qu'il put réellement entamer son gouvernorat.Il fut certainement le plus populaire des gouverneurs généraux des Pays-Bas autrichiens. En témoignage de cela, une statue à son effigie fut élevée en 1775 à Bruxelles sur la toute nouvelle place de Lorraine, devenue depuis place Royale. Sans trahir les intérêts de la couronne impériale, il parvint à défendre ceux des Pays-Bas, et à en faire respecter les privilèges. Il encouragea simultanément le progrès des Lumières et le développement économique, patronnant des entreprises telles que la création de l'Académie thérésienne de Bruxelles (1772), la réalisation par le Comte Josef de Ferraris d’une carte très précise du territoire (1770-1778), ou encore diverses expériences techniques et industrielles dans son château de Tervuren.
P., Aux Editions des “Belles-Lettres” de la Société Guillaume Budé, 1934, gr. in-8°, xix-273 pp, préface de Paul Labbé, 24 pl. de gravures et photos hors texte, une carte de la Yougoslavie et un plan dépliant de Sarajevo hors texte, broché, bon état, envoi a.s. à A. t'Serstevens
"Sarajevo ! nom qui a une résonance tragique dans bien des oreilles françaises ; cette ville ne fut-elle point, le 28 juin 1914, le théâtre d'un attentat qui allait déchaîner la guerre mondiale ? Rien de plus exact, mais Sarajevo est plus et mieux que cela : une cité d'un pittoresque extrême, où l'Orient et l'Occident s'affrontent et se concilient, une cité sise au centre d'une des plus curieuses régions de la Yougoslavie. Révéler les charmes de Sarajevo aux Français qui les ignorent, telle est la tâche entreprise par M. René Pelletier ; disons-lui de suite qu'il y a pleinement réussi ; il nous a été donné cette année de faire un bref séjour, trop bref séjour dans la capitale de la Bosnie, et l'émerveillement que traduisent toutes les pages de l'ouvrage de M. René Pelletier a été le nôtre : nulle ville, nulle province ne savent autant que Sarajevo et sa région séduire, retenir le visiteur. A tous ceux qu'anime, au cours d'un voyage, la recherche des beaux paysages, le contact avec des populations accueillantes, aux costumes éclatants, nous recommandons Sarajevo. Ajoutons que le livre de M. Pelletier leur sera un excellent guide, guide qualifié et guide enthousiaste. M. Pelletier aime en effet d'amour conscient cette région yougoslave où la destinée l'a fixé et. où il poursuit une oeuvre de propagande française utile entre toutes. Par lui, le lecteur français sera pleinement initié à l'histoire tourmentée de la Bosnie, aux étranges coutumes nées de la différence des religions, de l'opposition, toute extérieure d'ailleurs, entre Serbes orthodoxes et Serbes islamisés ; à sa suite, il visitera Sarajevo et son célèbre bazar (Carsija), ses mosquées, ses vieilles maisons; avec lui, il poussera jusqu'à Mostar, capitale de l'Herzégovine ; les légendes, les traditions populaires lui seront révélées par le menu ; il pourra mesurer la variété d'un folklore qui a gardé toute sa fraîcheur, tout son éclat. Sarajevo et la Bosnie, ville et région, fières de leur indépendance retrouvée, ne sauraient laisser le passant indifférent. M. René Pelletier vous en convaincra, j'en suis sûr, et nous pensons lui donner sa pleine valeur en soulignant qu'il constitue une véritable invitation au voyage, à la recherche d'un imprévu devenu si rare aujourd'hui." (Jean Hugonnot, La Revue du Pacifique, 1935)
Montréal, Le Temps Volé, éditeur, 1999. Collection « À l'escole de l'escriptoire ».- In-8 relié (22 x 19,5 cm), reliure éditeur sous jaquette de papier pailleté, et sous étui stylisé : reliure demi-suède et papier Echizen Washi bleu « glitter » par Jean-Bernard Couture. Jaquette imprimée en bleu sur Echizen Washi blanc « glitter » illustrations couleurs reproduites par électrographie sur strathmore vélin pur coton blanc doux montées sur charnières. Cette Poésie Science Fiction de François Pelletier, illustrée par Pascal Picher d'après une maquette de Marc Desjardins, a été tirée à cinquante exemplaires Sur Rolland grand Bouffant blanc, celui ci le n° IV, signé par les trois auteurs.- 500g. - Bel exemplaire.
1990 Nouvelle Librairie De France 1990 Publié sous la direction de Yannick Pelletier. HISTOIRE GENERALE DE LA BRETAGNE ET DES BRETONS . Nouvelle librairie de France, 1990, 2 vols in4° reliés, jaquettes ill, 761 - 762pp. Tome I :Les Bretons : des Venètes à nos jours. par Y Pelletier, C Benoit, C Bougeard,JY Andrieux. Tome II :Cultures et mentalités bretonne par M Simon, Y Pelletier,G Le Menn , R Chauvet. Abondantes illustrations. Très bon état.
PARIS. EDITIONS DU PALAIS ROYAL. 1974 2 TOMES EN 3 FORTS VOLUMES IN-4 (28 X 20,5 X 16 CENTIMETRES ENVIRON), RELIURE DE L'EDITEUR A LA BRADEL PLEIN SKIVERTEX HAVANE, TITRE DORE SUR DOS LISSE, VIGNETTE DOREE SUR LE PLAT SUPERIEUR. COMPREND : - TOME I (1° PARTIE) CONTENANT LES ANNOBLIS (FAC-SIMILE DE L'EDITION DE NANCY DE 1758, DE (2) + X + (VII-XXXVIII) + 838 + 4 + 4 ET (1) PAGES, AVEC X PAGES PRELIMINAIRES. - TOME 1 (2° PARTIE) : COLLIN DE PARADIS FELIX (1836-18..). NOBILIAIRE DE LORRAINE ET BARROIS OU DICTIONNAIRE DES FAMILLES ANOBLIES, ET LEURS ALLIANCES D'APRES L'ARMORIAL GENERAL DE DOM PELLETIER. (FAC-SIMILE DE L'EDITION DE NANCY DE 1878, DE (4) + IV + 483 PAGES). LEPAGE HENRI (1814-1887) ET GERMAIN DE MAIDY LEON (1853-1927). COMPLEMENT AU NOBILIAIRE DE LORRAINE DE DOM PELLETIER. PRECEDE D'UNE DISSERTATION SUR LA NOBLESSE ET SUIVI DE LISTES CHRONOLOGIQUE ET ALPHABETIQUE DES ANOBLIS DEPUIS L'ORIGINE JUSQU'EN 1790 ET DES NOBLES FAITS OU RECONNUS ECUYERS, GENTILHOMMES, CHEVALIERS, BARONS, COMTES ET MARQUIS. (FAC-SIMILE DE L'EDITION DE NANCY, CREPIN-LEBLOND, DE 1885, DE (4) + VII ET 388 PAGES). LALLEMAND PAUL. TABLE HERALDIQUE FACILITANT LES RECHERCHES DANS LE NOBILIAIRE DE LORRAINE (ANNOBLIS) DE DOM PELLETIER (FAC-SIMILE D'UN MANUSCRIT INEDIT DE (6) + 81 PAGES). - TOME II : DOM AMBROISE PELLETIER. ARMORIAL GENERAL DE LORRAINE, MANUSCRIT INEDIT DE LA BIBLIOTHEQUE NATIONALE DE VIENNE CONTENANT L'ANCIENNE CHEVALERIE LORRAINE. 344 FEUILLETS, AVEC 47 PAGES DE REPRODUCTIONS DE BLASONS EN COULEURS. (SAFFROY. V. 54581). PETITE FENTE SANS GRAVITE EN TETE D'UNE CHARNIERE, SINON BEL EXEMPLAIRE.
P., Editions du Palais Royal, 1974. Deux tomes en 3 forts vol. in-4, cart. édit. ocre, titre doré, écusson doré sur les premiers plats, nombr. blasons reproduits dans le texte, planches de blasons en coul. à la fin du T. III.
Réimpr. de l'éd. de Nancy, 1758 et des suppl. de 1878-1885. Devenue rare. Vol. I (T. I, 1e part.) : contient le Nobiliaire, ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, en forme de dictionnaire… par Dom Pelletier. Vol. II (T. I, 2e part.) : contient le Nobiliaire de Lorraine et Barrois ou dictionnaire des familles anoblies et leurs alliances… par Félix Collin de Paradis. Il a été rel. à la suite le Complément au nobiliaire de Lorraine de Dom Pelletier... par Henri Lepage et Léon Germain ainsi que la Table héraldique facilitant les recherches dans le nobiliaire de Lorraine (anoblis) de Dom Pelletier par Paul Lallemand. Vol. III (T. II) : contient l'Armorial général de la Lorraine, fac-similé du manuscrit de la Bibliothèque Nationale de Vienne contenant l'ancienne chevalerie lorraine. Très bon état. - Frais de port : -France 12,8 € -U.E. 15 € -Monde (z B : 36 €) (z C : 76 €)
PELLETIER, Louis-Nicolas-Marie ; DESSE, Adolphe ; BOURGE, Alexandre
Reference : 36529
(1839)
Commencé par Adolphe Desse et continué par Alexandre Bourge pour Mr Louis Pelletier, Chronique dressée par les soins de Louis-Nicolas-Marie Pelletier, 1 vol. grand in-8 reliure de l'époque pleine basane marron, 1839 (date portée en dos) - 1845 (dernière date citée), 2 ff. (tables), 235 pp. manuscrites, 2 ff. joints, l'ensemble de trois mains différentes (cf. auteurs précités).
Passionnant manuscrit original relatant l'histoire de la ville de Marle (d'abord à travers la chronique du diocèse de Laon, reprise de Lelong, puis les annotations se multiplient, et les sources, ainsi que les annotations des rédacteurs se font toujours plus nombreuses). Les témoignages relatifs à la fin de l'Ancien Régime, à la Révolution, à l'Empire et à la Restauration, souvent très pittoresques, sont du plus haut intérêt ; on évoquera notamment le passage des Cosaques et de l'Empereur de Russie à Marle, les vexations d'un officier prussien menaçant de la "Schlague", ou le passage de l'empereur Napoléon Ier à Marle, allant à Waterloo. Le manuscrit s'ouvre par une notice relative à la famille du dédicataire et co-rédacteur Louis Pelletier..
Paris, chez L. Colas, 1821, in-8, VIII-88 pp, Demi-veau moderne brun clair, pièce de titre rouge en long, couvertures conservées, Première édition en librairie : cette analyse, qui démontre la manière dont les pharmaciens Pelletier (1788-1842) et Caventou (1795-1877), sont parvenus à isoler la quinine, est parue au préalable en février et en mars 1821, dans le tome VII du Journal de pharmacie et des sciences accessoires. Après avoir présenté leurs travaux devant l'Académie des sciences le 11 septembre 1820, ils les publient pour la première fois sous la forme de deux articles : "Recherches chimiques sur les quinquina" (février 1821) et "Examen chimique du quinquina carthagène (Portlandia hexandra)" (mars 1821). Pelletier et Caventou, qui étaient déjà parvenus à isoler la strychnine en 1819, mirent au point en 1820 une base cristallisée à partir d'échantillons de quinquina jaune : ils la nommèrent tout d'abord, Bertholine (en l'honneur du chimiste Berthollet), puis quinine. Ce fébrifuge d'une grande efficacité fit rapidement l'objet d'un commerce intense. La demande croissante conduisit à une véritable industrialisation du produit, première du genre en pharmacie. Pelletier en produira lui-même à grande échelle dans l'usine qu'il installera en 1824 à Clichy, avant de s'associer aux pharmaciens Delondre et Levaillant, avec lesquels il ouvrira une usine à Nogent-sur-Marne, qui sera l'une des principales fabriques de quinine au monde. Rousseurs et une mouillure angulaire sur les premiers feuillets. Bel exemplaire, néanmoins. Garrison & Morton n° 5233. Couverture rigide
Bon VIII-88 pp.
Editions Les Sillons du Temps, 1993 - In-4° à l'Italienne, cartonnage solide illustré intégralement sur le plat et dessin au second, 141 pages, nombreuses aquarelles de l'artiste, ensemble à l'état de neuf.
Préface de Louis Bourgeois - Thierry Dugas, photographe - Paul Sondaz, Photograveur, travail remarquable de l'Imprimerie Sézanne. Très Bon Etat à neuf - Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
Sillons du Temps 1993 Editions les Sillons du Temps, 1993, 141 p., cartonnage éditeur, 25x31cm, bon état. Avec un envoi de Michel Pelletier.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
A Paris, chez François Delaguette, 1752. In-folio, [1] ff.-2-xii-14-[464]pp. (928 colonnes numérotées avec 2 colonnes par page). Reliure plein veau caillouté, dos ànerfs ornés de fleurons dorés, pièce de titre rouge, gardes marbrées,
Édition originale fort peu courante du plus important dictionnaire breton ancien. Le père Le Pelletier (1663-1733) a consacré vingt-cinq ans de sa vie à rédiger son Dictionnaire qui ne fut publié qu'après sa mort par dom Taillandier, aux frais des Etats de Bretagne. "Contrairement à ses prédécesseurs, tels Quiquer, Maunoir ou F. de Rostrenen, dont les manuels de la langue bretonne furent imprimés à Morlaix, Quimper ou Rennes, le dictionnaire de dom Le Pelletier a été imprimé à Paris, au format in-folio, marque de reconnaissance pour le sujet" (Benoît Forgeot).Coins de la reliure usés, quelques traces de restauration ancienne, mais dans l'ensemble très bon exemplaire.
[Lavigne ] - Sulbac - Pelletier Ferdinand - Pelletier Ferdinand
Reference : 12888
(1898)
Benoit Emile 1898 approx.
Bon état Petit format
Bassac, revue Plein Chant, n° 11-12, septembre-décembre 1982, in-8, br., non rogné, 252 pp., portrait-frontispice, illustrations et photos en noir, documents, portraits, bibliographie. (DI17)
Lettrines et culs-de-lampe,d'après les bois de Girard-Mond. Dossier rassemblé et présenté par Yannick Pelletier.Articles, études, témoignages, textes de Marcel Arland, Henry Bars, Jean Blot, Albert Camus, Jean Cayrol, Roland Fichet, Jean Grenier, André Malraux, Maurice Nadeau, Yannick Pelletier, Gilbert Sigaux, Anne Veillon-Guilloux, etc...Textes rares ou inédits de Louis Guilloux.
Paris Edouard Champion 1925
In-4 à l'italienne, illustré, 127p. :: Édition tirée à 200 exemplaires signés par l'auteur, un des 150 numérotés sur Lafuma pur fil (no. 123). :: Récit illustré du raid Paris-Tokyo du capitaine Pelletier-Doisy et de l'adjudant mécanicien Bésin du 24 avril au 9 juin 1924. Pelletier-Doisy (1892-1953) fut un as de la guerre 14-18 qui participa à plusieurs grands raids aériens des années 1920 et 1930. Broché. Fortes rousseurs aux couvertures avec trace de mouillure. Le texte est très frais. Les couvertures de cette édition sont souvent en mauvais état.
Phone number : 1 514 820 2324
Bourg, Imprimerie Villefranche, 1899 ; in-8, broché ; XIV, 538, (2) pp., photographies en frontispice.
Né à Saint-Julien-sur-Reyssouze (1831-1897), la mère Eugénie de Jésus a fait toute sa carrière de religieuse dans l'Ain. Petites rousseurs, bon exemplaire.
Phone number : 06 60 22 21 35
LaValette (Antoine), sur - Lioncy (Jean) et Gouffre - Le Pelletier de Saint Fargeau et Maitre Le Gouvé - Rouhette et Target - Lherminier, Gillet, Maillard, Taboue, de la Monnoie, Babille, Thevenot d'Essaule - Me Laget-Bardelin - Dufranc - La Valette
Reference : 79330
(1761)
Imprimerie de P. Alex Le Prieur à Paris, M.DCC.LXVI et Imprimerie d'Houry à Paris, M.DCC.LVI - J. Chardon à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1761 Book condition, Etat : Bon relié, plein veau d'époque, dos lisse orné de fleurons, pièce de titre bordeaux, et tomaison I et II In-12 2 vol. - 1154 pages
1ere édition "Contents, Chapitres : Volume 1. Mémoire à consulter et consultation pour Jean Lioncy contre le Corps et Société des P.P. Jésuites - Le Prieur, 1761. Texte principal, 531 pages, errata, i - Pièces envoyées d'Italie qui peuvent servir à l'instruction du Procès des Jésuites, 48 pages - Volume 2. - 2.1. Plaidoyer pour le Syndic des créanciers des sieurs Lioncy frères et Gouffre, négocians à Marseille contre le Général et la Société des Jésuites. Texte principal, par Le Pelletier de Saint Fargeau et Maitre Le Gouvé, 219 pages - Mémoire sur les demandes formées contre le Général et la Société des Jésuites au sujet des engagemens qu'elle a contracté par le Ministère du Père de la Valette, par MM. Rouhette et Targez, 96 pages - Second mémoire pour le sieur Cazotte et la demoiselle Fouque contre le Général et la Société des Jésuites, par Rouhette et Target, 112 pages - Mémoire à consulter et consultation pour les Jésuites de France, par Lherminier, Gillet, Maillard, Taboue, de la Monnoie, Babille, Thevenot d'Essaule, 77 pages - Mémoire pour les jésuites des provinces de Champagne, Guyenne, Toulouse et Lyon, opposans et défendeurs (Chez J. Chardon à Paris), par M. de Saint-Fargeau et Me Laget-Bardelin, 62 pages - Arrêt de la Cour du Parlement contre le Général et la Société des Jésuites, par Dufranc, 8 pages - Antoine Lavalette, né « Valete » le 26 octobre 1708 à Martrin (France) et décédé le 13 décembre 1767 à Toulouse, était un prêtre jésuite français, missionnaire en Martinique. Bien qu'il ait quitté la Compagnie de Jésus en 1762, Lavalette est à l'origine d'un scandale financier qui contribua beaucoup à jeter l'opprobre sur la Compagnie de Jésus et précipita son bannissement de France en 1763. - En 1751, les premières accusations de participations à des opérations commerciales furent lancées contre le jésuite français. Antoine Lavalette fut rappelé de Martinique en 1753 pour justifier sa conduite. Juste avant qu'il ne meure, le supérieur général de la Compagnie de Jésus Ignacio Visconti l'autorisa à rentrer dans sa mission, où il devint le Supérieur des Missions Françaises de l'Amérique du Sud en 1754, mais avec un ordre explicite d'arrêter toute entreprise commerciale. Cet ordre fut ignoré par Lavalette et, quelque temps plus tard, quand plusieurs de ses navires furent saisis par les pirates anglais à leur retour en Europe, la compagnie commerciale fit faillite. En mars 1762 un Visiteur canonique envoyé par le Supérieur Général à la Martinique confronta Lavalette devant plusieurs témoins. Après avoir nié, ce dernier finalement admit lévidence devant les documents produits. Il fut canoniquement suspendu jusquà décision du Supérieur Général. Mais avant que décision soit prise Lavalette quitta la Compagnie de Jésus (1762). Il passa deux ans à Amsterdam et retourna à Toulouse en 1764 où, après le bannissement des jésuites du royaume de France, il répudia formellement ses liens avec les Jésuites en prononçant le serment qui, en condamnant le caractère pernicieux de lOrdre religieux, permettait aux anciens jésuites de recouvrer leur statut et droits comme citoyens français. Retiré dans son village natal de Valette il y meurt le 13 décembre 1767. Ce scandale et le refus des jésuites français d'accepter d'engager leur responsabilité financière donnèrent l'opportunité aux ennemis de la Compagnie en France de déclencher des attaques contre celle-ci. Le 6 août 1762, le Parlement de Paris prit un arrêt bannissant la Compagnie de Jésus de France. Malgré l'intervention du pape Clément XIII, Louis XV fut amené à expulser les jésuites le 26 novembre 1767. (source : Wikipedia) - Le 8 mai 1761, sur les conclusions de l'Avocat général Le Pelletier de Saint-Fargeau, le Parlement condamna les Jésuites : ils devaient rembourser ses créances à la maison Gouffre et Lioncy et lui verser, à titre de dommages-intérêts, 50.000 livres ; défense leur était faite de se mêler à l'avenir d'aucun genre de trafic. Au Palais, la foule accueillit le prononcé du jugement avec des cris d'enthousiasme ; les Jésuites présents furent couverts de huées, et le Premier Président et l'Avocat général portés en triomphe. Des inconnus s'embrassaient, comme si la France eût remporté une grande victoire. (source : Lavisse)" Tome 1, 580 pages, Tome 2, 574 pages (sommaire détaillé sur demande) - bel exemplaire, complet en 2 tomes homogènes, reliure d'époque, mors à peine frottés, avec une infime déchirure à l'extrémité du mors du plat supérieur sur les deux tomes sans gravité, belle provenance, président de Conseil Général, (1808-1884), intérieur frais et propre, quelques rousseurs discrètes et quelques pages brunies, sans gravité, cela reste un bel ensemble complet et propre. Ces deux volumes regroupent les principaux actes et mémoire du célèbre procès de La Valette et de l'Ordre des Jésuites de 1761, opposés notamment à ses créanciers Lioncy et Gouffre de Marseille.
[Bridge Joé ] - Dranem - Borel-Clerc Ch.,Christiné,Georges Raoul,Piccolini Henri,Codini Pierre,D'Orvict Charles,Berniaux Désiré,Byrec,Pelletier Ferdinand - Lelièvre Léo,Plébus,Briollet,Combe Jules,Joullot E.,Villard Georges,Mortreuil Félix,Queyriaux Antoine,Tinant H.,Pelletier Ferdinand,carrière Géo,Prud'Homme
Reference : 94487
(1908)
Librairie Universelle 1908
Etat moyen Grand format Piano
Nouvelle Librairie de France 1995 Relié. 759 - 762 pages. 2 tomes. In-4 26 x 20,5 cm. Reliures de l’éditeur plein reluskin beige sous jaquettes illustrées en couleurs, plats avec cadres et écoinçons noirs, premiers plats avec report du titre et du sous-titre et composition dorées. 759 - 762 pp. , abondamment illustré. Exemplaires en très bon état.. Très bon état d’occasion.
L’un des meilleurs ouvrages de synthèse sur la Bretagne. Tome I : Les Bretons des Vénètes à nos jours ; Les faits et la mémoire ; La personnalité bretonne et la mer ; Le monde rural breton ; La Bretagne et l’industrie. - T. II : Cultures et mentalités bretonnes ; La religion en Bretagne ; L’art en Bretagne ; La Bretagne par l’écrit ; Langue et culture bretonne ; La musique bretonne. Glossaire. Bibliographie. Liste des cartes et graphiques. Index des noms de personnes. Index des noms de lieux. Crédit photographique. Très bon état d’occasion
Self, 1945. In-4 br. Préface de Jean de Kerdéland. Soixante dessins (croquis d'audience) d'Henri Pelletier. E.O. Ex. num.
A Amsterdam, chez Pierre Fouquet Junior, A Paris, chez Basan, graveur Gravure "Gravure fin XVIIIe en noir (25 x 31,5 cm sur support 34 x 47,5 cm), gravée par Pelletier, peinte par Pierre, intitulée ""Marché aux légumes"" ; quelques traces et marques d'usage, assez bel état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Editions d'Orphée, 1995. EDITION ORIGINALE, l'un des soixante exemplaires sur papier vergé, accompagné de trois planches hors-texte de Pierre Beauchamp. -320g. - ENVOI AUTOGRAPHE DE L'AUTEUR, François Pelletier. Bel exemplaire.
"PELLETIER, PIERRE et JOSEPH CAVENTOU. - THE DISCOVERY OF STRYCHNINE.
Reference : 43871
(1818)
(Paris, Crochard, 1818,1819). No wrappers. In: ""Annales de Chimie et de Physique, Par MM. Gay-Lussac et Arago."", tome 8 (Cahier 3) a. 10 ( Cahier 2), pp. 225-336 and pp. 129-240. (Entire issues offered). Pelletier & Caventou's papers: pp. 323-324 (tome 8) and pp. 142-176 (tome 10). A few scattered brownspots.
First printing of these classic papers in chemistry in which the authors announced their discovery of Strychnine. This was the first alkali of vegetable origin to be discovered after morphine. This discovery (and their discovery of chlorophyll) brought them international fame. The first small paper contains the announcement of the discovery and the second long memoir contains the elaborate exposition of the discovery.""Strychnine was only the second alkaloid to be extracted, the first was morphine. Pelletier and Caventou wanted to name their new alkaloid vauqueline after Nicolas Vauquelin, one of their associates who had refined the technique of ether extraction for use in isolating alkaloids. However, the officers of the Académe des Sciences in Paris rejected the idea on the grounds that a respected scientist’s name should not be paired with a deadly poison. In addition to strychnine the pair isolated other important compounds from plants including caffeine, chlorophyll and the anti-malaria drug quinine. (Paul L. Burnham).Parkinson:""Breakthroughs"", 1818 C. - Garrison & Morton: 1846.The first issue also contains their importent memoir ""Examen chimique de la Cochenillee et de sa matière colorante"", pp. 250-287 which describes how they obtained crotonic acid from croton oil and analyzed carmine in the cochineal.
"DUMAS, JEAN BAPTISTE-ANDRE & PIERRE PELLETIER. - TOWARDS A CLASSIFICATION OF ORGANIC COMPOUNDS.
Reference : 44741
(1823)
(Paris, Crochard, 1823). Without wrappers. In: ""Annales de Chimie et de Physique, par Gay-Lussac et Arago"", tome 24, Sec. Series, Cahier 2. Pp. 163-191. (Entire issue offered pp. 113-223.
First appearance of Dumas and Pelletier's importent paper in which they analyzed nine alkaloids by combustion and found for the first time the number of atoms of carbon, hydrogen, oxygen and nitrogen in them. Dumas' name is still associated with the two procedures which he devised here, the determination of vapor density and combustion analysis.""The most important problem with which Dumas was concerned throughout his career was the classification of chemical substances. He sought to devise comprehensive classificatory schemes for organic compounds and for the elements. Dumas’s earliest contribution to organic chemistry was his study of nine alkaloids, published in 1823, jointly with Pierre Pelletier.1 He analyzed the elemental constituents of these organic “bases” and attempted to prove that their relative proportions of oxygen followed Dalton’s law of multiple proportions. He had embraced the ideas of the two reigning theories in contemporary chemistry: dualism, with its division of substances into electronegative (acid) and electropositive (alkaline)"" and atomism, which Dalton had used to explain his law. Dumas spent the next few years attempting to create an adequate system of classification of organic compounds based upon these two theories.""(DSB).
Paris, Crochard, 1823. 8vo. In contemporary half calf with gilt lettering spine and five raised bands. The original wrappers withbound in the back. In ""Annales de Chimie et de Physique"", tome 24. Entire volume offered. Paper label pasted on to top of spine. Two stamps to verso of title-page and stamos to verso of all plates. A few light occassional brownspots, otherwise a fine copy. Pp. 163-191. [Entire volume: 448 pp. + 4 folded plates.
First appearance of Dumas and Pelletier's importent paper in which they analyzed nine alkaloids by combustion and found for the first time the number of atoms of carbon, hydrogen, oxygen and nitrogen in them. Dumas' name is still associated with the two procedures which he devised here, the determination of vapor density and combustion analysis. ""The most important problem with which Dumas was concerned throughout his career was the classification of chemical substances. He sought to devise comprehensive classificatory schemes for organic compounds and for the elements. Dumas’s earliest contribution to organic chemistry was his study of nine alkaloids, published in 1823, jointly with Pierre Pelletier.1 He analyzed the elemental constituents of these organic “bases” and attempted to prove that their relative proportions of oxygen followed Dalton’s law of multiple proportions. He had embraced the ideas of the two reigning theories in contemporary chemistry: dualism, with its division of substances into electronegative (acid) and electropositive (alkaline)"" and atomism, which Dalton had used to explain his law. Dumas spent the next few years attempting to create an adequate system of classification of organic compounds based upon these two theories.""(DSB). The Present volume also contain papers by Faraday, Becquerel and many other.
Paris, Crochard, 1818. 8vo. In contemporary half calf. Wear to extremities and paperlabel pasted on to top to spine. In: ""Annales de Chimie et de Physique, Par MM. Gay-Lussac et Arago."", tome 8 (Cahier 3). Entire volume offered. Stamps to verso of title-page and verso of plates. (Pelletier & Caventou's paper): pp. 323-324. (Entire issue:) 448 pp. + 1 plate.
First printing of this classic paper in chemistry in which the authors announced their discovery of Strychnine. This was the first alkali of vegetable origin to be discovered after morphine. This discovery (and their discovery of chlorophyll) brought them international fame. ""Strychnine was only the second alkaloid to be extracted, the first was morphine. Pelletier and Caventou wanted to name their new alkaloid vauqueline after Nicolas Vauquelin, one of their associates who had refined the technique of ether extraction for use in isolating alkaloids. However, the officers of the Académe des Sciences in Paris rejected the idea on the grounds that a respected scientist’s name should not be paired with a deadly poison. In addition to strychnine the pair isolated other important compounds from plants including caffeine, chlorophyll and the anti-malaria drug quinine. (Paul L. Burnham). Parkinson:""Breakthroughs"", 1818 C. - Garrison & Morton: 1846. The first issue also contains their importent memoir ""Examen chimique de la Cochenillee et de sa matière colorante"", pp. 250-287 which describes how they obtained crotonic acid from croton oil and analyzed carmine in the cochineal.