Pedemonte Duch (J.) et Pedemonte Llorens (J.-J.) - Bernard Tripet, collaboration - Monique Lantelme, traduction
Reference : 87378
(1976)
Editions de Vecchi Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1976 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'une photographie en couleurs d'un planeur au-dessus d'un champ vert grand In-8 1 vol. - 158 pages
8 planches hors-texte en couleurs (complet) et de très nombreuses illustrations en noir et blanc, photographies, dessins, schémas 1ere traduction en français, 1976 Contents, Chapitres : Introduction (Les origines - Les successeurs de Lilienthal en Amérique - Nouvel élan donné au vol plané - Le Vampire de Georg Madelung - Développement du vol à voile - Les pionniers français du vol à voile (Jean-Marie Le Bris, en 1837) - L'appareil - Les instruments - Le vol - L'envol - Le vol d'école, la compétition, les titres - Météorologie - Les sources d'énergie dans le vol à voile, les ascendances - Le vol local, le vol de distance et l'atterrissage en campagne - La sécurité en vol et l'entretien du planeur - Le parachute - Tableau des records français et internationaux - Organisation du vol à voile en France - L'organisation officielle - Le vol à voile consiste à voler dans les airs à bord d'un aérodyne propulsé par la seule force des courants atmosphériques ascendants, à l'image des oiseaux voiliers. Le terme s'applique particulièrement à la pratique du planeur, dont les adeptes sont les vélivoles, mais la même technique est utilisée par les pratiquants du « vol libre » en deltaplane ou parapente. La voltige en planeur, elle, ne fait pas appel aux courants ascendants, sauf exception, mais seulement au remorquage par avion. Qu'elle soit de loisir ou de compétition, la pratique du vol à voile consiste à exploiter au mieux les « ascendances », qui peuvent être thermiques (créées par l'énergie solaire) ou dynamiques (effet de pente ou onde de ressaut) pour prolonger le vol, gagner de l'altitude, parcourir de grandes distances le plus vite possible. Certains vélivoles apprécient la liberté, le plaisir esthétique et la joie de maîtriser leurs machines, d'autres se concentrent sur leur performance en compétitions. Ces concours confrontent les capacités des pilotes et copilotes (dans le cas de machines biplaces) à reconnaître et utiliser les conditions aérologiques pour effectuer à la plus grande vitesse possible, chaque jour, un circuit donné en fonction des conditions météorologiques. Les planeurs effectuent couramment des vols de 5 à 10 heures, évoluant de 1000 à 2000 m d'altitude en plaine (jusqu'à 6000 m en montagne), et parcourant des distances de 500 à 1000 km. (source : Wikipedia) couverture à peine jaunie avec d'infimes traces de pliures aux coins des plats, sinon bel exemplaire, intérieur frais et propre, quelques pages à peine plissées sans aucune gravité