Paris, Cahiers de Médecine Soviétique, 1953-1956, in-8, 9 fascicules , I. p. 1-32 ; II. p. 33-[64] ; III. p. 65-100 ; IV. p. 101-136 ; V. p. 137-168 ; VI. p. 169-200 ; VII. p. 201-[232] ; VIII. p. 233-268 ; IX. p. 269-303-(1 bl.), exemplaires brochés, couvertures imprimées en marron puis rouge, Seconde traduction du texte de Pavlov, réalisée collectivement par une équipe de collaborateurs de la revue "Cahiers de Médecine soviétique". L'édition originale russe date de 1926 et la première française de 1929. Le premier fascicule contient les avant-propos des trois éditions russes parues du vivant de l'auteur (1926, 1927 et 1935). A partir des années 1920, le physionomiste russe, prix Nobel de médecine en 1905, applique sa théorie des réflexes conditionnels à l'activité nerveuse supérieure, c'est à dire aux hémisphères cérébraux. Ceux-ci, stimulés par le milieu extérieur, transforment les réflexes conditionnés en réflexes inconditionnés ou héréditaires, et doivent donc être considérés comme des acteurs déterminants pour le développement du monde animal et pour sa perpétuelle mutation, son renouvellement incessant. Passionnante étude fondatrice au croisement de la physiologie, de la neurologie et de l'histoire naturelle. Très bel ensemble en parfait état. 9 fascicules , I. p. 1-32 ;