PAUL GÉRALDY (1885-1983), carte de visite autographe signée à la comédienne Berthe Cerny, Paris, [1917], 1 p. L'auteur des Noces d'argent adresse à "Marraine" ses sincères remerciements suite à une représentation de la pièce. Le 5 mai 1917, la Comédie Française proposa la deuxième pièce de Paul Géraldy : Les Noces d'argent, avec Berthe Cerny dans le rôle de Marraine. Cependant, comme nous l'apprend une lettre que nous proposons par ailleurs à la vente, ce n'est pas le rôle que Paul Géraldy avait initialement à l'esprit pour la comédienne : Paul Géraldy souhaitait que Berthe Cerny interprète le rôle principal de la pièce, celui de Madame Hamelin, la mère de Max, appelée "maman" dans les correspondances et envois autographes de l'auteur.C'est finalement la comédienne Émilienne Dux qui interpréta Madame Hamelin. Quant au rôle de Marraine, il fut repris dès 1928, à la suite de Berthe Cerny, par Mary Marquet. L'édition originale de la pièce, publiée chez Crès en 1917, fut rapidement épuisée du fait du succès des représentations. Par la suite, Paul Géraldy et Berthe Cerny entretinrent une relation de cordiale amitié jusqu'à la mort de la comédienne en 1940 et Berthe Cerny triompha encore, en 1925, une autre pièce de Paul Géraldy : Robert et Marianne, dans le rôle de Madame Auffraye, aux côtés de René Alexandre et Marie-Thérèse Piérat. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
PAUL GÉRALDY (1885-1983), carte de visite autographe signée à la comédienne Berthe Cerny, Paris, [1917], 2 p. L'auteur des Noces d'argent adresse à "Marraine" ses sincères félicitations suite à la première de la pièce : "Ah ! que j'aime le théâtre quand le théâtre, c'est ça ! Mais c'est si rare, ces moments-là" Le 5 mai 1917, la Comédie Française proposa la deuxième pièce de Paul Géraldy : Les Noces d'argent, avec Berthe Cerny dans le rôle de Marraine. Cependant, comme nous l'apprend une lettre que nous proposons par ailleurs à la vente, ce n'est pas le rôle que Paul Géraldy avait initialement à l'esprit pour la comédienne : Paul Géraldy souhaitait que Berthe Cerny interprète le rôle principal de la pièce, celui de Madame Hamelin, la mère de Max, appelée "maman" dans les correspondances et envois autographes de l'auteur.C'est finalement la comédienne Émilienne Dux qui interpréta Madame Hamelin. Quant au rôle de Marraine, il fut repris dès 1928, à la suite de Berthe Cerny, par Mary Marquet. L'édition originale de la pièce, publiée chez Crès en 1917, fut rapidement épuisée du fait du succès des représentations. Par la suite, Paul Géraldy et Berthe Cerny entretinrent une relation de cordiale amitié jusqu'à la mort de la comédienne en 1940 et Berthe Cerny triompha encore, en 1925, une autre pièce de Paul Géraldy : Robert et Marianne, dans le rôle de Madame Auffraye, aux côtés de René Alexandre et Marie-Thérèse Piérat. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
Paul Géraldy (1885-1983), poète, écrivain. L.A.S., sd [vendredi, années 1910], 1p in-8. Entête de la Maison de la Presse. A l'écrivain Henri Duvernois (1875-1937). Il refuse le travail de traduction qu'il lui propose, « mon verbe est pauvre. J'ai tout le contraire de ce qu'il faut pour traduire, pour adapter. Mon travail est laborieux », et lui propose l'écrivain René Fauchois (1882-1962). [367]
PAUL GÉRALDY (1885-1983), lettre autographe signée à la comédienne Berthe Cerny, sans lieu, [1936], 1 f., 1 p. L'auteur des Noces d'argent et de Robert et Marianne apprend avec une grande tristesse le malheur qui vient de frapper la comédienne. En 1936, Berthe Cerny perd son deuxième fils, François Johnston, ingénieur civil des mines, à l'âge de 37 ans. Elle ne se remettra jamais de sa disparition. Triste document qui témoigne du soutien du dramaturge pour la comédienne retirée des scènes depuis janvier 1931. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
PAUL GÉRALDY (1885-1983), lettre autographe signée à la comédienne Berthe Cerny, Paris, [1925], 1 double f., 2 p. L'auteur des Noces d'argent envoie à la comédienne Berthe Cerny sa scène de l'acte I de Robert et Marianne et lui fait suivre celle de l'acte II : "Je viens de relire cette première scène en pensant à vous, et non sans un peu d'émotion. Vous méritez que la qualité en soit exquise. L'est-elle ? En tout cas moi je sais qu'avec vous elle le deviendra, - et je me réjouis plus que je ne peux dire. C'est une rare chance pour un poète de vous avoir. Ce léger rôle exigeait tant de perfection ! Cette poésie contenue que je voulais, cette élégance, cette grandeur et celle très fine coquetterie, cette féminité, ce style ... c'est tout vous. Ma chère amie, je crois à cette pièce comme je n'ai cru encore à aucune de mes pièces." Robert et Marianne fut créé le 25 novembre 1925 à la Comédie Française. Berthe Cerny y interpréta le rôle de Madame Auffraye, aux côtés de René Alexandre (Robert) et Marie-Thérèse Piérat (Marianne). * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
PAUL GÉRALDY (1885-1983), lettre autographe signée à la comédienne Berthe Cerny, Paris, [1925], 1 double f., 1 p. L'auteur des Noces d'argent demande à la comédienne Berthe Cerny de laisser de côté, pour le moment, sa scène de l'acte II de Robert et Marianne "pour y faire quelques changements, lui donner un mouvement plus vif". Il en profite pour lui dire qu'il l'a trouvée "bien jolie dans le Bourgeois". Berthe Cerny a, dans le cadre de sa carrière à la Comédie Française, joué dans de nombreuses pièces de Molière. Robert et Marianne fut créé le 25 novembre 1925 à la Comédie Française. Berthe Cerny y interpréta le rôle de Madame Auffraye, aux côtés de René Alexandre (Robert) et Marie-Thérèse Piérat (Marianne). * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud.
L.A.S., sd, 1p in-4. A Charles Clerc, écrivain, membre de la revue Lecture pour tous. « Rien de plus timoré, décidément, qu'un secrétaire de rédaction ! » Il pointe une erreur sur Hugo von Hofmannsthal, écrivain autrichien. « Il s'agit ici de l'Autriche et pas de l'Allemagne ». Il souhaite que les noms cités restent mystérieux et envoi une nouvelle version d'un article pour lequel il demande les nouvelles épreuves.
1982 BIEVRES-EN-ESSONNE. PIERRE DE TARTAS. 1982. (DE LA COLLECTION «POETES ET TROUBADOURS»). IN-8 (20 X 26,5 X 4 CENTIMETRES ENVIRON) NON PAGINE, RELIURE DE L'EDITEUR PLEINE BASANE HAVANE, DOS A QUATRE FAUX NERFS, PLAT SUPERIEUR ORNE D'UNE COMPOSITION DOREE, TITRE ET TETE DORES, SOUS ETUI BORDE. ILLUSTRE DE 50 LITHOGRAPHIES EN COULEURS IN ET HORS TEXTE. PREMIER TIRAGE LIMITE A 3342 EXEMPLAIRES NUMEROTES, UN DES 2700 SUR GRAND VELIN DE CREYSSE.Non-paginé ( 95 pages). Avec 50 lithographies originales en couleurs de Valadié. Tirage à 3042 ex. dans la collection 'Poètes et Troubadours' - cet exemplaire portant le numéro 1150. Etui cartonné, papier marbré; reliure d'éditeur en pleine basane avec dessin doré au premier plat.
état neuf.
BIEVRES-EN-ESSONNE. PIERRE DE TARTAS (DE LA COLLECTION «POETES ET TROUBADOURS»). 1982. IN-8 (20 X 26,5 X 4 CENTIMETRES ENVIRON) NON PAGINE, RELIURE DE L'EDITEUR PLEINE BASANE HAVANE, DOS A QUATRE FAUX NERFS, PLAT SUPERIEUR ORNE D'UNE COMPOSITION DOREE, TITRE ET TETE DORES, SOUS ETUI BORDE. ILLUSTRE DE 50 LITHOGRAPHIES EN COULEURS IN ET HORS TEXTE. PREMIER TIRAGE LIMITE A 3342 EXEMPLAIRES NUMEROTES, UN DES 2700 SUR GRAND VELIN DE CREYSSE. TRES BEL EXEMPLAIRE.
PARIS. LIBRAIRIE STOCK. DELAMAIN ET BOUTELLEAU. 1930. IN-8 (15 X 20 X 2,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (6) + 162 ET (1) PAGES, RELIURE D'EPOQUE 1/2 CHAGRIN VIOLINE A COINS, DOS A QUATRE ORNE DE FILETS DORES ET D'UN ENCADREMENT MOSAIQUE EN VERT CLAIR, TITRE ET TETE DORES, COUVERTURE CONSERVEE. ILLUSTRE D'UN FRONTISPICE ET D'UNE PLANCHE HORS TEXTE. D'UN TIRAGE LIMITE A 1100 EXEMPLAIRES NUMEROTES, TOUS SUR VELIN DU MARAIS. (EXEMPLAIRE NUMERO 118). BON EXEMPLAIRE, AGREABLEMENT RELIE.
1841 1/2 page in8 - Bon état -
"Paul Géraldy avec son souvenir et ses voeux" - On joint une carte de visite avec quelques mots autographes -
Paul GERALDY - [Paris 1885 - Neuilly-sur-Seine 1983] - Poète et dramaturge français
Reference : GF30782
1 page in8 - piqures -
Il souhaite s'inscrire sur la liste des souscripteurs dans la liste spéciale des auteurs dramatiques pour offrir à René Baschet, directeur de l'Illustration son épée d'académicien (des Beaux Arts] - Jacques DEVAL (ou Jacques Boularan) (1866 - 1972) était un dramaturge, scénariste et réalisateur français par ailleurs père de Gérard de Villiers -
1841 1/2 page in8 - Bon état -
"Voici votre chèque avec tous mes compliments" -
1841 1 page in8 - Bon état - On joint deux poèmes dactylographié sur 2 pages in4 - (Finale et Air de Don Juan) -
"Mandat des Poètes 1954" - Il vote pour "Vincent Muselli" dont le nom pour lui "s'élève au dessus des autres" -
GERALDY Paul - (Paris 1885 - Neuilly-sur-Seine 1983) - Poète et dramaturge français
Reference : GF28857
1 page in4 - bon état -
On lui a appris que le mercredi était un jour "chargé de répétitions" - Il lira vendredi - Il le regrette: "je tenais tellement à vous compter parmi mes juges" -...
GERALDY Paul - (Paris 1885 - Neuilly-sur-Seine 1983) - Poète et dramaturge français
Reference : GF28858
2 pages in4 - bon état - petite fente restaurée -
Belle et interessante lettre: "Que j'avais raison de tenir tant à votre présence" - Il est sorti du Theatre Français avec "une grande amertume", le sentiment de n'avoir pas été compris et une grande soif de revanche - "J'ai écrit une véritable tragédie moderne" - Il l'a écrite avec une fiévre d'enthousiasme qu'il n'avait jamais connue - A cette lecture, il s'est "brisé contre un mur de glace" - Mais il est sûr qu'ils se sont trompés - "Il y a dans la vie d'un écrivain des moments ou il se sent une lucidité, une clairvoyance, une foi qui l'étonnent lui-même" - Il dénonce une "vérité photographique" dont on a trop usé et qui n'est pas la Vétité - Il lui demande de bien vouloir lire cette pièce que l'on a trouvée froide et lui propose de lui envoyer le manuscrit - Il a foi dans l'admirable tragédienne qu'il admirait enfant dans Toinette du Chemineau -
GERALDY Paul - (Paris 1885 - Neuilly-sur-Seine 1983) - Poète et dramaturge français
Reference : GF27252
1 page in8 - bon état -
Il serait heureux d'assister à la générale de la semaine - "Voulez vous m'en donner les moyens?" -
GERALDY Paul - (Paris 1885 - Neuilly-sur-Seine 1983) - Poète et dramaturge français
Reference : GF27253
1 page in8 - bon état -
"Grosse malchance" - Il ne peut être libre ce soir et souhaite changer "ce servive contre un service pour dimanche soir" -
2 pages in8 - bon état -
"Le grand-père devant le Général Joffre, ce serait une sorte de sacre et notre entrée, tout vifs dans l'histoire"... Puis à propos de sa soeur:"C'est une petite bonne femme fort nerveuse et d'un rare talent de compositeur...que V. d'Indy vient de nommer professeur à la Schola Cantorum" -
Il envoie son chèque pour le "mandat des poètes" et vote pour Vincent Muselli - Lettre de voeux -
[En tant que bien culturel de catégorie 8, (décret no 93-124 du 29 janvier 1993), cet article ne peut être vendu sans formalité que dans la Communauté Européenne ]-