L.A.S., Versailles, 6 octobre 1895, 2pœ in-8. Au poète Edouard Guinand (1838-1909). Il le remercie pour l'envoi de ses deux « méfaits [.] déjà annoncés en excellents termes par le Figaro et autres ». Guinand, dont il loue les strophes, est alors à Etretat. Il est question aussi d'une société (littéraire). Collin donne aussi quelques nouvelles.
L.A.S., Versailles, septembre 1895, 4p in-8. Au poète Edouard Guinand (1838-1909). Il est question de reprendre un travail arrêté en 1885 et de le soumettre à Guinand : « C'est à vous tout d'abord que je remettrai mon petit manuscrit, quand vous et moi aurons regagné la capitale ». En effet, une forte canicule les fait rester hors de Paris. Il parle ensuite de leurs vacances.