1787 1787 Paris Buisson 1787 1 in 12 Reliure plein veau havane , dos orné pièce de titre 375[pp]
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Paris, Buisson, 1787 ; in-8 ; demi-veau havane, dos à faux-nerfs décoratifs dorés, fleurons dorés, pièce de titre vert foncé décorée et dorée, plats de papier peint rose (reliure de l'époque) ; (8), 477, (1) pp.
EDITION ORIGINALE (Caillet, 8367 ; absent de Fesch). Né à Marseille, Pastoret était le fils d'un lieutenant général de l'amirauté de Provence. Après avoir fait ses études à Lyon et son droit à Aix, il devint conseiller à la Cour des aides de Paris. Orateur puis Vénérable de la R.: L.: des Neuf Sœurs à l'O.: de Paris, il joua un rôle assez actif pendant la Révolution Française : Président des assemblées électorales de Paris, Procureur général syndic du département de la Seine, député de Paris à l'Assemblée législative, il en fut le premier Président. Partisan de "l'abolition graduelle et progressive de la traite des Nègres", il fut obligé d'émigrer pendant la Terreur. Rentré sous le Consulat, il fut élu député du Var et siégea au Conseil des Cinq Cents ; membre du Sénat Conservateur en 1809. Il ne s'associa pas à la déchéance de l'Empereur, ce qui ne l'empêcha pas de rallier Louis XVIII et d'être un des principaux rédacteurs de la Charte ; le roi le fit Pair de France. Il était également Comte de l'Empire, Marquis en 1817, Chancelier de France, membre des Académies, Française et des Sciences morales et politiques. En 1830, il refusa de prêter serment à Louis-Philippe et fut destitué. C'est lui qui décida de transformer l'Église Sainte Geneviève, commandée à Soufflot par Louis XV et à peine achevée, en temple destiné à recevoir les cendres des grands hommes dignes de la reconnaissance de la Patrie et qui rédigea l'inscription qui est au fronton du Panthéon, dont l'architecture fut revue par Quatremère de Quincy pour en faire un monument laic (Ligou : Dictionnaire de la Franc-Maçonnerie ; et autres sources). Minuscule accroc au dos, quelques petites rousseurs éparses ; bon exemplaire dans l'ensemble.
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Paris, Impr. Nationale, (1792) in-8, 18 pp., cousu sous couverture d'attente.
Pastoret adopta avec modération les principes de la Révolution. Ministre de l'intérieur, en 1790, il fut élu à la Législative et se prononça pour l'abolition de l'esclavage. Il appuya la déclaration de guerre à l'Autriche et présenta un rapport sur la laïcisation de l'état civil. Alors que nos frontières sont menacées par les Prussiens, Pastoret souligne la désorganisation et l'inexpérience de l'administration. L'unité de la Nation est plus que jamais nécessaire au moment où s'agitent les ennemis de l'intérieur (manoeuvres nobiliaires et troubles sacerdotaux).Martin & Walter, III, 26569. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie nationale, s.d. (1792) in-8, 19 pp., broché sous couverture moderne de papier bleu imprimé.
Une des interventions sur cet objet de droit international d'une importance capitale pour les relations entre la France et le monde germanique, et qui est systématiquement sous-estimé, voire oblitéré dans l'historiographie française.Les princes possessionnés étaient des princes du Saint-Empire qui avaient conservé des fiefs enclavés dans le royaume de France, notamment après les annexions de l'Alsace (traités de Westphalie de 1648 et de 1679) et de la Lorraine (1766). Les traités stipulaient que ces possessions ne dépendaient pas du droit français mais de celui du Saint-Empire romain germanique. À l'époque de la Révolution française, et en plusieurs étapes, on a voulu établir l'unité du territoire national. Ces princes d'Empire, au nombre de 18, s'attachèrent alors à défendre légalement leurs propriétés féodales, souvent d'importantes seigneuries, face aux initiatives révolutionnaires. Nombre de ces territoires étaient situés en Alsace. La question des indemnités est née du rapport du 28 octobre 1790 de Merlin de Douai, chargé d'examiner ces questions devant l'Assemblée nationale : le rapporteur proposa ainsi aux princes le versement d'indemnités, quoiqu'il ne reconnût absolument pas le fondement juridique de leurs réclamations, et demanda à Louis XVI de prendre en charge les négociations d'indemnisation, comme une matière de politique étrangère. Son but a été en fait de cacher derrière un discours de principes non reconnus par les puissances, des concessions bien réelles, plus étendues et favorables aux princes qu'initialement prévu. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1787 Paris, Buisson, 1787, 4 parties en 1 volume in-12 relié pleine basane marbrée, 401 pages (pagination continue), dos lisse à 5 faux nerfs orné de fers dorés, pièce de titre rouge, bon état
Marseille, Chez Jombert, 1782. In-32 (75 x 135 mm) maroquin vieux rouge, triple filet doré encadrant les plats avec fleuron en angle, titre en long au dos, roulette dorée sur les coupes et à l'intérieur des plats. 32 pp. (Reliure Xxe, atrribuée à Devauchelle).
C'est durant la première année de ses voyages (en Italie notamment) que Claude Emmanuel de Pastoret écrivit ces pièces en vers. Bel exemplaire, parfaitement relié. Ex-libris D.Labouly.