P., Robert Laffont, 1945 ; in-8 en feuilles sous couverture rempliée. 84pp. Rousseurs sur la couverture, si non bon exemplaire.
Edition tirée à 912 exemplaires sur vélin blanc de Rives, un des 900 illustrés de 5 dessins in-texte de V. Hugo dont trois à doubles pages. Ce texte avait déjà paru clandestinement aux éditions des Trois Collines à Genève en 1944, sous le pseudonyme de Margeride. Parrot apparait dans la sélection de "L'Honneur des poètes" publié par les Editions de Minuit le 14 juillet 1943.
1945, 22,3x27,9cm, (24) f., 340 feuillets.
| «?On peut dire sans paradoxe que ce souci de la vérité, cet amour de la justice, ne se sont jamais manifestés avec plus d'éclat que pendant ces jours sombres où les Français avaient perdu l'usage de la parole?» |<br>* Tapuscrit de 340 pages de l'ouvrage L'Intelligence en guerre de l'écrivain journaliste résistant Louis Parrot, accompagnées de notes manuscrites concernant les pages de titre, de faux-titre, de préface et de bibliographie en début (4 pages en tout) et de l'index des noms cités en fin de volume (en tout 6 pages). Nombreuses pliures et décharges de rouille dues aux attaches métalliques. Le tapuscrit comporte des corrections et des modifications manuscrites, notamment 25 pages entièrement autographes, et des ajouts en marge de quelques dizaines de pages, figurant dans leur intégralité dans la version publiée en 1945 aux éditions La Jeune Parque. Figure de proue de la presse clandestine pendant la Seconde Guerre mondiale, ami d'éluard, Picasso, et Aragon, l'écrivain et critique littéraire Louis Parrot signe avec L'intelligence en guerre un panorama de la pensée française résistante qui rend justice aux oubliés des maquis comme aux écrivains les plus emblématiques de la presse clandestine. La parution, au sortir de la guerre, de cette anthologie des poètes combattants, au carrefour de la chronique littéraire et du livre d'histoire, est également un acte politique engagé de sélection des «?héros?» de la résistance intellectuelle et, en creux, une condamnation implicite des attentistes. En envoyant ce tapuscrit à un ami journaliste lui-même résistant, Parrot confie à ce frère d'armes la somme d'un travail dont les repentirs et les ajouts visibles donnent à voir les choix politiques de son auteur autant que ses inclinations esthétiques. Ce tapuscrit constitue un document unique qui met en lumière l'exigence d'exhaustivité de Louis Parrot, dont l'étude approfondie servira de base à l'historiographie de la résistance littéraire. Le destinataire du tapuscrit, Auguste Anglès, est un des acteurs majeurs de la presse résistante lyonnaise, créateur du journal clandestin Confluences. Parrot adresse donc à ce juge éclairé, qui connait parfaitement les réseaux intellectuels, un état de son travail qui met en relief la difficulté autant que la nécessité d'exhaustivité de sa tâche, comme en témoigne la note autographe sur la chemise cartonnée?: «?Mon cher Anglès, Voici une copie, malheureusement pas apporté sur les épreuves mêmes de très grosses modifications ou corrections; elles ont augmenté le livre de plus de 100 pages dactylographiées. Il y avait là beaucoup d'erreurs qui ont été arrangées. Aussi excusez-moi de vous donner une copie sur laquelle rien n'a été rectifié. J'espère qu'elle pourra cependant vous servir. Amicalement à vous Parrot?» La note manuscrite adressée à Auguste Anglès atteste bien qu'il s'agit d'un document de travail («?une copie sur laquelle rien n'a été rectifié?»), antérieur aux épreuves corrigées envoyées à l'éditeur. Le tapuscrit présente deux états du texte, augmenté de nombreuses corrections marginales ou en pleine page, qui, comme l'indique Parrot «?ont augmenté le livre de plus de 100 pages dactylographiées?», figurant systématiquement dans le texte publié en 1945. On remarque quelques revirements importants, notamment le remplacement de Georges Duhamel par François Mauriac comme figure de proue de la résistance au sein de l'Académie Française. à cela s'ajoutent d'autres liasses de feuillets dactylographiés, énigmatiquement intitulées «?petit blanc?», qui ont été intégrées postérieurement - notamment des passages sur les écrivains Antoine de Saint-Exupéry, Jean-Paul Sartre ou Jean Giraudoux (ajoutés au chapitre sur les Lettres françaises dans la version définitive). Ces ajouts tardifs marquent l'intronisation controversée au panthéon de la résistance littéraire d'écrivains comme Saint-Exupéry (désavoué par le général de Gaulle) ou Sartre, dont l'attitude durant l'Occupation a fait l'objet de maintes polémiques et qui doit à Camus, sa participation in extremis à la presse résistante. Au fil des pages, Louis Parrot peint admirablement ceux qui ont donné une «?âme?» à la résistance française?: écrivains, cinéastes, musiciens et acteurs, ambassadeurs du beau et de la liberté, disséminés en France et à l'étranger. Rédigé en 1945 au moment où les derniers actes de la guerre s'écrivent encore, L'Intelligence en guerre fait preuve cependant d'un extraordinaire recul, malgré la participation active de Parrot à la résistance littéraire?: ce travail documentaire acharné occulte en effet largement la propre contribution de l'auteur à la naissance des célèbres Éditions de Minuit et des Lettres françaises. En 1944, Parrot assura en pleine insurrection parisienne la reparution du journal Ce Soir dont il rédigea entièrement le premier numéro. Bien au-delà d'une chronique historique, le tapuscrit offre surtout une sélection des plus beaux passages de la littérature résistante. Parrot consacre la majorité de cet ouvrage à la poésie du maquis, de la prison, de l'exil. On y retrouve les incontournables comme le Musée Grévin d'Aragon, le Chant des partisans, ainsi que les poèmes publiés par ses soins, comme le célèbre Courage d'éluard, donné aux Lettres françaises en 1941 et cité dans le tapuscrit?: «?Paris a froid Paris a faim Paris ne mange plus de marrons dans la [rue Paris a mis de vieux vêtements de [vieille » Figurent en bonne place les uvres de René Char et Georges Hugnet, notamment son poème Le Non-vouloir illustré par Picasso, qui selon lui était le «?premier texte résistant qui ne fut pas clandestin?». Parrot fait publier aux éditions de Minuit le poète allemand Heinrich Heine dont les nazis n'avaient gardé que la Lorelei, et diffuse la fameuse ode «?O Star of France?» de Walt Whitman, citée dans le tapuscrit?: «?Ô Étoile de France Le rayonnement de ta foi, de ta puis[sance, de ta gloire, Comme quelque orgueilleux vaisseau qui [si longtemps mena toute l'escadre, Tu es aujourd'hui, désastre poussé par la [tourmente, une carcasse démâtée ; Et au milieu de ton équipage affolé, de [mi-submergé, Ni timon, ni timonier?» Outre la poésie, une grande part est laissée aux textes politiques audacieux, qui ont galvanisé le pays lors de ses heures les plus sombres?: le Cahier Noir de François Mauriac, qui valut à son auteur l'admiration de ses confrères, est cité à de nombreuses reprises comme exemple fondateur de discours résistant. C'est également une uvre aux couleurs d'oraison funèbre, de panégyrique pour les victimes de la Gestapo dans les rangs des universitaires, étudiants, avocats, poètes et écrivains. Son épais chapitre Premiers de la classe s'attache aux souvenirs les plus douloureux de la chronique de la déportation, dédiant de longues pages à Benjamin Crémieux, Robert Desnos et surtout Max Jacob, «?un de ces êtres d'exception pour qui la poésie est la seule raison de vivre et c'est à la poésie qu'il se sacrifia tout entier?». L'écrivain n'oublie pas les étoiles montantes de la littérature, tels René Char et Joël Serge, ni les martyrs de la presse clandestine Jacques Decour, Gabriel Péri, ainsi que les étudiants sacrifiés pour les «?bulletins ronéotypés par lesquels s'exprimait la voix de l'Université demeurée libre au milieu de l'oppression?». Par ailleurs, sa chronique suit de près la fracture intellectuelle qui s'opéra dès les premiers mois d'occupation dans le milieu littéraire français, se terminant par l'épuration organisée par le Conseil National des Ecrivains à la fin de la guerre, dont il fut membre et ardent défenseur. L'Intelligence en guerre invite également le lecteur dans le secret des plus grands esprits de la littérature résistante, que l'auteur publiait depuis la zone libre. Parrot y relate la vie les réseaux de complicité à Lyon, en Provence, dans le Languedoc ou dans le Massif central, tantôt appelés «?colonies d'écrivains?» ou «?îlots spirituels?» et qui, en 1945, venaient à peine d'être dévoilés dans la presse américaine et française ; on entre ainsi dans l'intimité du cercle de Paul Eluard, qu'il connut durant les derniers feux de la guerre d'Espagne. Parrot lança et dirigea avec lui les trois numéros de L'Éternelle Revue en juin 1944 et publia la même année une monographie sur son uvre dans la célèbre collection «?Poètes d'aujourd'hui?» chez Pierre Seghers. Il laisse une grande place aux agents de liaison entre les deux zones (Francis Ponge en tête), aux artistes exilés et sympathisants dans les derniers chapitres du tapuscrit (La France africaine, La France lointaine, La Voix de l'Europe), ainsi qu'aux fidèles restés à Paris, tel Pablo Picasso qui «?par sa seule présence parmi nous, [...] a rendu l'espoir à ceux qui finissaient par douter de nos chances de salut?». On notera le choix du vocabulaire et de la formulation qui introduit son ami peintre dans la fraternité résistante sans avoir à lui attribuer de «?fait d'arme?». Louis Parrot constitue en effet avec cet ouvrage majeur une véritable «?liste blanche?» des artistes durant la guerre. L'Intelligence en guerre répond ainsi à la terrible «?liste noire?» que Parrot a contribué à établir, quelques mois plus tôt, au sein du Comité National des écrivains et qui condamnait une autre forme d'intelligence, honteuse celle-ci, l'intelligence avec l'ennemi. Dans une France déchirée par la trahison de ses élites, cette chronique de la «?contrebande littéraire?», est en réalité le dernier combat de Louis Parrot, avant sa mort prématurée en 1948, pour la restauration d'une fierté nationale à travers la reconnaissance de l'incroyable et périlleuse résistance de nombreux artistes, à l'origine d'exploits littéraires?: «?sous chaque livre publié ostensiblement se dissimulait une autre uvre, plus violente et parfois plus belle?». Et sous le livre publié de Parrot aux allures d'anthologie poétique se dissimule un tapuscrit plus complexe et parfois plus révélateur des enjeux politiques de cette nouvelle page du «?roman national?». - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris, Laffont, (1er mai) 1945. 1 vol. (120 x 190 mm) de 198 p. et 1 f. Broché. Édition originale. Envoi signé : « À Albert Camus qui, le premier sans doute, a lu ce livre. Avec les meilleures pensées de Louis Parrot, 1945 ».
Le Mozart de Parrot n’est pas à proprement parlé une biographie mais bien « une nouvelle approche de la création musicale de Mozart » menée avec l’intelligence et la finesse d’un poète : né à Tours en 1906, Louis Parrot partage avec Albert Camus, et bien avant de le connaître, d’avoir eu une enfance pauvre, loin des livres et de toute culture qu’un goût et une curiosité avides devaient très vite transformer. Il deviendra l’ami des plus grands, à commencer par Paul Éluard avec lequel il va fonder l’emblématique Éternelle revue après avoir aidé à la diffusion de Poésie et Vérité 1942 avec son poème le plus célèbre, « Liberté ». Fils d’un ouvrier maçon, mis en apprentissage sur les chantiers à l’âge de douze ans, sa curiosité et ses goûts le feront vite rejoindre le monde des lettres dans lequel il apparaît adolescent en remportant le prix de poésie des Jeux Floraux de Touraine avec une « Ode à Minerve meurtrière » ; il décide de rentrer en contact épistolaire avec ses aînés, dont René Char, et publie son premier recueil, Misery farm en 1934. Pendant la guerre, Parrot sert d’intermédiaire, depuis Lyon, aux écrivains coupés entre zones nord et sud. C’est là qu’il entreprend la rédaction de son Mozart, peut-être même en y croisant Camus qui y débarque en janvier 1943. Il achèvera son texte en 1944, à Clermont-Ferrand. Qu’il en fut premier lecteur ou pas, le texte ne pouvait mieux convenir au destinataire qu’est Albert Camus : celui-ci – et c’est peu connu – eut toujours avec la musique une amitié rare et érudite ; sur Mozart, il signera le 2 février 1956 dans les colonnes de l’Express un « Remerciement à Mozart » à l’occasion du bicentenaire de sa mort, un texte précis et profond qu’il avait souhaité produire de sa propre initiative. Notons enfin de manière anecdotique que Camus, ainsi que le rapporte Emmanuel Roblès dans son ouvrage Camus, frère de soleil, prit des cours d’espagnol avec Denise Parrot, l’épouse Louis Parrot. Ces sessions eurent lieu après la guerre, à l’époque où Camus recevait ce Mozart. Était-ce, par l’entremise de la langue de Cervantès, afin de mieux comprendre encore Maria Casarès, rencontrée quelques mois plus tôt ?
Poitiers, Jacques Marcireau, 1934. In-12 (138 x 190 mm), 41 pp. Broché, couverture ivoire illustrée d'éditeur, dos insolé, petite mouillure au coin supérieur droit du premier plat et marque de pliure au coin inférieur droit ainsi qu'aux trois premiers feuillets, petite déchirure sans manque au titre sans atteinte au texte.
Édition originale du premier ouvrage de l'auteur avec envoi à l'écrivain surréaliste Jacques Baron. Cet ouvrage a été imprimé à 260 exemplaires. Celui-ci est un des 200 sur Alfax Navarre. Il comprend une couverture illustrée d'un bois d'Ivan Gallé. Louis Parrot (Tours 1906-? 1948), poète, romancier, essayiste, critique littéraire, traducteur et journaliste a laissé une œuvre riche et diversifiée. Il fut un grand admirateur de l'Espagne et l'ami de Paul Éluard avec qui il traduisit l'Ode à Salvador Dali de Federico-Garcia Lorca, combattu dans la résitance et fondé L'Éternelle Revue. Il est également l'auteur de romans, de traductions de Neruda, Ortega, Maranon, de monographies sur Éluard, Lorca et Cendrars dans la collection "Poètes d'aujourd'hui" chez Seghers et d'essais comme Panorama de la culture espagnole (1937) et L'Intelligence en guerre (1945). Cet exemplaire comprend l'envoi : à M. Jacques Baron, avec les meilleures pensées de Louis Parrot. Misery farm et les pains perdus. Février 1934. Bel exemplaire.
Genève. Editions du Continent. 1944. In-8° broché. 226 pages. E.O. (pas de grand papier).
Bel envoi autographe de Louis Parrot. Pages non coupées. Bon état.
Fontaine Broché D'occasion état correct 01/01/1941 8 pages
Paris Vendôme 1945 In-8 Agrafé Edition originale
Catalogue de l'exposition de Joan Miro organisée du 27 mars au 28 avril 1945, à la galerie Vendôme. Préface de Louis Parrot. 2 reproductions hors texte, et liste des oeuvres exposées. En couverture, pièce de titre lithographiée reprenant la signature de l'artiste. Rare. Bon exemplaire 0
Couverture souple. Broché. 220 pages.
Livre. Avec un envoi autographe de Louis Parrot. Editions Seghers (Collection : Poètes d’aujourd’hui n° 7), 1947.
Paris Robert Laffont 1945 1 vol. broché in-12, broché, 198 pp. (dos taché et papier jauni). Edition originale. Bel envoi de l'auteur : "A Monsieur François Mauriac à qui Mozart fut sans doute le musicien de l'espérance. Avec les respectueux sentiments de Louis Parrot".
1937 Paris : ed. sociales internationales, 1937, In-12, broché, 201 p.état correct
bon etat,
Genève Continent 1944 1 vol. broché in-12, broché, non coupé, 236 pp. Edition originale. Exemplaire du service de presse avec cet envoi de l'auteur : "A Auguste Angles qui n'a pas oublié ce que nous devons à notre Espagne. Son ami qui connait aussi Tours et Lyon. Louis Parrot. Avril 1945". Belle provenance.
1945 Paris, Editions Seghers, Coll. Poètes d'hier et d'aujourd'hui, 1945 16,6 x 15,3 cm, broché, couv. illustrée, 145 pp. Seconde édition complétée et en partie originale du premier numéro de cette célèbre série consacrée aux poètes du XXème siècle. L'un des 50 ex. num. (le nôtre le n°34) du tirage de tête imprimés sur grand papier pur fil des papeteries Johannot. Portrait de Paul Eluard par Georges Cross en frontispice. Belle et rare édition de Louis Parrot, accompagnée d'un choix de poèmes inédits de Paul Eluard et illustrée de photographies, dessins et fac-similés. Comme neuf !
Paris : La Jeune Parque. 1945 In-12, 365-(2) pages. Broché, couverture imprimée.
Edition originale, un des 30 exemplaires de tête sur vélin supérieurs (celui H. C.). Envoi de l'auteur à Felix Garas" à Felix Garas en souvenir du temps déjà bien lointain où nous trouvions sur les barricades de Paris bien des anecdotes de cette longue histoire. Avec les pensées bien reconnaissantes deLouis Parrot.1944-46"Louis Parrot, né à Tours le 28 août 1906 et mort à Paris le 24 août 1948, est un poète, romancier, essayiste, journaliste et traducteur français.
Neuchatel, Éditions de La Baconnière, 1943, in-8, br., non rogné, couv. à rabat, 98 pp. (S5B67)
Édition originale. Joint Le Castor Astral réédite Louis Parrot, 4 pp. ill. de photos.Collection Les Poètes des Cahiers du Rhône, n° 5.
P., Seghers, 1945, in-8, br., non rogné, 52 pp. (SB89*)
Édition originale. Ex. numéroté sur vélin. Joint : Le Castor Astral réédite Louis Parrot (4 pp.) édité à l'occasion du 40ème anniversaire de sa mort. Collection Poésie 45.
Paris. Pierre Seghers éditeur. 1947. 15,7x13,5 cm. 216 p., 4 f. Avec 2 planches. Broché.
"Potes d'aujourd'hui 7." - Avec une dédicace autographe de Louis Parrot
Lyon Seghers, coll. "Poètes d'aujourd'hui" 1944 1 vol. Broché in-16, broché, 173 pp., fac-similés, 2 planches hors-texte, bibliographie. Édition originale du premier volume de cette célèbre collection, achevé d'imprimer le 10 mai 1944. Un des 100 exemplaires numérotés sur pur fil Johannot, en bonne condition.
Lyon Seghers, coll. Poètes d'aujourd'hui 1944 1 vol. broché in-16, broché, couverture illustrée, 173 pp., fac-similés, 2 planches hors-texte, bibliographie. Edition originale du premier volume de cette célèbre collection. Très bon état, avec l'annonce des numéros 2 et 3 à paraître en 4e de couverture. Exemplaire provenant de la bibliothèque d'Alain Resnais.
Couverture souple. Broché. 221 pages.
Livre. Fessins de F. G. Lorca. Editions Seghers (Collection : Poètes d’aujourd’hui n° 7), 1965.
Paris, Pierre Seghers, Éditeur, 1959 ; petit in-8 carré, 224 pp., broché (dos de couverture décollé). Collection «Poètes d'aujourd'hui», N° 7. Une étude par Louis Parrot, avec la collaboration de Marcelle Schveitzer et Armand Guibert, poèmes, documents, bibliographie. Dessins de Federico Garcia Lorca. Bon état.
Paris, Robert Laffont, 1945 1 volume 16,5 x 25,5cm En feuilles sous couverture rempliée. 84p., 6 feuillets; 5 illustrations in texte dont 3 doubles pages; titre imprimé noir et bleu-vert, rappels du titre et pagination en bleu-vert. Bon état sauf pâles taches angulaires sur la dernière garde et l'achevé d'imprimer.
Edition originale française de ce court roman écrit dans la clandestinité par l'écrivain Louis PARROT (1906-1948), un des collaborateurs des "Lettres françaises", poète ami d'Eluard, le "MARGERIDE" des Editions de Minuit clandestines, et publié en 1944 sous ce nom à Genève (éditions des Trois Collines); illustrée par Valentine HUGO. Tirage à 912 exemplaires sur vélin blanc de Rives: exemplaire justifié n°397 (après 12 enrichis).
DU CONTINENT. 2ème édition Broché D'occasion état correct 01/01/1944 150 pages
Neuchâtel, Editions des Cahiers du Rhône, Les Poètes - V- 1943. Petit in-8, couverture rouge, 98 pp.
Edition originale. Tirage limité et numéroté. Photos sur demande.
Tours : éditions du panier fleuri, 1927 In-12, 57-(2) pages. Broché, couverture imprimée.
Tirage à 128 exemplaires. Edition originale, exemplaire avec un bel envoi à Léon Debatty. Fils de maçon, Louis Parrot fut mis en apprentissage à 12 ans. Il fit paraître son premier recueil de poèmes à 15 ans. "Cornemuse de l'orage" est son troisème recueil. C'est lui qui écrivit "L'intelligence en guerre" paru en 1945.Léon Debatty était professeur de français à Anvers. Il travaillait comme critique littéraire au quotidien catholique "Le vingtième siècle" et accusa de plagiat Georges Rency. Cela valut à Debatty d'être renvoyé du journal : l'ennemi était trop fort.