Bel et précieux exemplaire provenant de la bibliothèque du comte Frédéric de Pourtales, avec ex-libris armorié. Paris, Barrois l’ainé, 1789.Avec approbation de la Société Royale d’Agriculture.In-8 de viii ff. prél., 389 pp., (2) ff. pour l’extrait des registres et l’errata insérés entre les pp. 386 et 388. Extrait du Journal de Paris du 7 janvier 1789 relatifs à Parmentier inséré entre les pp. 204 et 205, pte. déchirure sans atteinte au texte p. 273. Demi-veau brun, ornementation rocaille dorée sur le dos lisse, tranches jaspées vertes. Reliure vers 1830.195 x 125 mm.
Édition originale recherchée du célèbre ouvrage de Parmentier consacré à la culture et à la consommation de la pomme de terre, jusque là abandonnée aux animaux.Vicaire, Bibliographie gastronomique, 657 ; Manquait à Oberlé, Les Fastes de Bacchus et Comus. Élevé pauvrement ainsi que ses deux frères par une mère veuve de bonne heure, Parmentier dut interrompre ses études à dix-huit ans pour entrer en apprentissage chez un apothicaire de Mont Didier puis en 1756 chez un apothicaire de Paris.Il obtint à 20 ans une place d’aide-pharmacien à l’armée de Hanovre en opération dans la guerre de Sept Ans. Fait prisonnier par les troupes de Frédéric ii, c’est en captivité qu’il mangea pour la première fois des pommes de terre, nourriture de base des Prussiens, comme d’ailleurs de la moitié des peuples de l’Europe.Par expérience personnelle donc, il s’assura que cet aliment était bon et sain, qu’il n’était ni fade ni insipide, qu’il ne donnait ni la lèpre ni les fièvres, préjugés que partageait la majorité des Français, à l’exception des paysans des provinces voisines de la Suisse, de l’Allemagne ou des Flandres qui en usaient depuis le xviiè siècle. Mais dans les autres provinces et à Paris, le peuple n’en voulait pas, les estimant tout juste bonnes à en tirer de la poudre à poudrer les perruques.Rentré en France à la signature de la paix en 1763, Parmentier obtint en 1766 le poste d’apothicaire-adjoint aux Invalides ; six ans après, il était nommé pharmacien en chef de cet établissement.La disette et sa suivante la famine frappèrent une fois encore la France en 1770. Ces fléaux incitèrent l’Académie de Besançon l’année suivante à mettre au concours la question : « Indiquer les végétaux qui pourraient suppléer en temps de disette à ceux que l’on emploie communément à la nourriture des hommes et quelle en devrait être la préparation ? ». Des sept mémoires reçus par l’Académie, ce fut celui de Parmentier qui remporta les suffrages.Désormais, le « pharmacien humanitaire », comme on l’a surnommé, sera au premier rang des avocats de la pomme de terre. Celle-ci a certes de nombreux défenseurs, mais il est le mieux placé auprès des conseillers du roi et de Louis XVI lui-même pour faire progresser sa culture et sa consommation.Parmentier est avant tout un homme de terrain. C’est un pragmatique qui, avant que Claude Bernard ne les définisse, applique les principes de la recherche scientifique, ne basant ses opinions que sur l’expérience.C’est aussi un précurseur de la publicité. Ainsi engage-t-il le roi et la reine à mettre à leur boutonnière des fleurs de pommes de terre pour prouver l’intérêt que Leurs Majestés portent à cet aliment. Il obtient du souverain un terrain stérile, la plaine de Grenelle dite des Sablons, pour faire la démonstration des facilités qu’offre sa culture. Mieux même, il laisse volontairement voler par le peuple les fruits de la récolte. Il organise autour de Franklin, de Lavoisier et d’autres savants un repas tout en pommes de terre. Tous les apprêts, jusqu’aux liqueurs, consistaient dans la pomme de terre déguisée sous vingt formes différentes, et où il avait réuni de nombreux convives : leur appétit ne fut point en défaut, et les louanges qu’ils donnèrent à l’amphitryon tournèrent à l’avantage de la merveilleuse racine.Grâce aux efforts et à la persévérance de Parmentier, la pomme de terre prit enfin le rang qui lui appartenait parmi nos richesses agricoles.En français dans le texte. Dix siècles de lumières par le livre, pp. 182-183. « Parmentier's earliest investigation, dating from about 1771 [Examen chimique des pommes de terre, 1773], concerned the chemical and nutritive constituents of the potato. This research was soon broadened to include a large number of indigenous plants which he recommended as food in times of scarcity and famine, ascribing their nutritive value to their starch contents. Of all these plants it was the potato that most interested Parmentier, and it is unfortunate that his long and successful campaign to popularize the cultivation and use of the potato in France as a cheap and abundant source of food has tended to obscure his other accomplishments in food chemistry and nutrition” (DSB).“In 1789 the Bastille fell. At the same time, people became aware of the usefulness of the potato. Parmentier's treatise on growing and cooking potatoes was in all good Republican bookshops. It is likely that those providential tubers might have had to wait even longer to get into the recipe books but for war and famine, themselves a recipe for disaster. Parmentier, an army pharmacist, had long been doing his best to explain to the nation that there was nothing like the potato for lining the stomach. Since returning from captivity in 1763, after the Seven Year's War, he had devoted his energies to promoting it. Antoine-Auguste had eaten the strange tuber in his Westphalian prisoner-of war-camp. The Germans of Westphalia called it Kartoffel, and regarded it as good only for pigs and therefore, a fortiori, for French prisoners” (Toussaint-Samat, A History of Food, p. 717).Bel et précieux exemplaire provenant de la bibliothèque du comte Frédéric de Pourtales, avec ex-libris armorié. A été relié dans l’exemplaire un extrait du Journal de Paris du 7 janvier 1789 publiant une lettre de Parmentier s’inquiétant du froid de l’hiver qui aurait nui aux récoltes de pommes de terre et donnant une recette de pain à base de farine et de pomme de terre.
Paris, Barrois An 7 (1799). 1799 1 vol in-8° (210 x 130 mm) de : [2] ff. (faux titre, titre) ; 420 pp. ; III (avertissement relié à la fin par erreur) ; [2] ff. (table) ; annotations dans le texte ; Liste annotée au dos de la première garde : Ouvrages à consulter avec ce volume pour en apprécier celui-ci. Etiquette libraire au dos du premier plat : Se trouve à la librairie de Bientôt, place St Pierre, à Besançon. Plein veau marbré dépoque, dos lisse orné et titré avec pièce de maroquin rouge, roulette sur les coupes, tranches mouchetées, gardes de papier marbré. (reliure usée avec manques).
Edition originale de cet ouvrage de référence sur le lait dû à Antoine Augustin Parmentier (1737-1813), pharmacien militaire, agronome et nutritionniste, ainsi que Nicolas Deyeux (1745-1837) pharmacien et chimiste. Ce travail très complet aborde aussi bien la composition du lait dun point de vue physico-chimique que son utilisation dans de nombreux domaines. Il est le fruit dune étude débutée en 1788 à loccasion d'un concours lancé par l'Académie Royale de Médecine : « Déterminer, par l'examen comparé des propriétés physiques et chimiques, la nature des laits de femme, de vache, de chèvre, d'ânesse, de brebis et de jument ». Antoine Augustin Parmentier, membre de lacadémie des sciences, est célèbre pour ses travaux sur l'hygiène alimentaire, notamment l'utilisation de nouveaux aliments durant les fréquentes périodes de famine. Cest dans cet objectif quil fît goûter la pomme de terre à Louis XVI, tubercule dont il avait précédemment étudié les propriétés. Pour son rôle dans l'émergence de la culture et de la consommation de cet aliment salvateur, on nomma le hachis parmentier en son honneur, plat popularisé au début du XXe siècle. Nicolas Deyeux, membre de lacadémie de médecine, publie avec Parmentier des recherches sur le lait (présent ouvrage), le sang et l'acide gallique. On lui doit en outre des travaux sur l'éther nitreux, sur l'huile de ricin ou encore l'acide toenzoïque. Dans le présent ouvrage, les deux auteurs abordent toutes les questions relatives au lait. Dans une première partie, il sagit de décrire les particularités physico-chimiques du lait : propriétés physiques, la crème, les pellicules à la surface du lait chaud, la coagulation etc. Dans une seconde, ils sintéressent aux propriétés médicinales : influence des médicaments sur le lait, usage du lait comme médicament, usage des produits laitiers comme médicament, propriétés médicinales des différents types de lait. Enfin, dans une troisième et dernière partie, sont abordées les questions relatives à léconomie rurale du lait : la laiterie, les vaches laitières, la traite, le commerce, la fabrique du beurre et du fromage ou encore les emplois relatifs aux arts. Bel exemplaire de cet ouvrage de référence sur le lait, fruit du travail de deux éminents scientifiques. 1 vol 8vo (210 x 130 mm) of : [2] ff (false title, title); 420 pp; III (warning erroneously bound in at end); [2] ff (table); annotations in text; List annotated on back of first flyleaf: "Ouvrages à consulter avec ce volume pour en apprécier celui-ci". Bookseller's label on back cover: "Se trouve à la librairie de Bientôt, place St Pierre, à Besançon". Contemporary full marbled calf, smooth spine decorated and titled with red morocco, roulette on the edges, speckled edges, marbled paper endpapers (binding worn and missing). First edition of this reference work on milk by Antoine Augustin Parmentier (1737-1813), military pharmacist, agronomist and nutritionist, and Nicolas Deyeux (1745-1837) pharmacist and chemist. This comprehensive work covers both the physico-chemical composition of milk and its use in a wide range of fields. It is the fruit of a study begun in 1788 in response to a competition launched by the Académie Royale de Médecine: "Determining, by comparative examination of physical and chemical properties, the nature of the milk of women, cows, goats, donkeys, ewes and mares". Antoine Augustin Parmentier, a member of the Académie des Sciences, is famous for his work on food hygiene, particularly the use of new foods during frequent periods of famine. With this in mind, he introduced Louis XVI to the potato, a tuber whose properties he had previously studied. For his role in the emergence of the cultivation and consumption of this life-saving food, "hachis parmentier" was named in his honor, a dish popularized in the early 20th century. Nicolas Deyeux, a member of the Académie de Médecine, published research with Parmentier on milk (present work), blood and gallic acid. He is also credited with work on nitrous ether, castor oil and toenzoic acid. In the present work, the two authors address all questions relating to milk. In the first part, they describe the physico-chemical characteristics of milk: physical properties, cream, films on the surface of hot milk, coagulation, etc. In the second part, they look at medicinal properties: influence of medicines on milk, use of milk as a medicine, use of dairy products as a medicine, medicinal properties of different types of milk. The third and final section deals with issues relating to the rural economy of milk: dairies, dairy cows, milking, trade, butter and cheese making, and milk uses in the arts. A fine copy of this reference work on milk, the fruit of the labor of two eminent scientists.
Paris, éd. chez les auteurs et la Société Royale de Médecine, S.d. (circa 1789 ou au début de 1790), pt. in-4, demi-chagrin havane marbré, plats papier marbré multicolor, titre doré sur dos lisse, filets à froid entre le dos et les plats, tranches rouges, reliure fin 19e, 109 pp. (numéroté entre 415 et 524), papier à la cuve, 1 cul-de-lampe en fin de volume, très nb. notes imprimées en fin de pages, "En 1788, la Société royale de médecine choisit pour thème de concours : « Déterminer, par l'examen comparé des propriétés physiques et chimiques, la nature des laits de femme, de vache, de chèvre, d'ânesse, de brebis et de jument ». Les résultats des recherches de Parmentier et de son ami Nicolas Deyeux sont rassemblés en 1799, dans le Précis d'expériences et observations sur les différentes espèces de lait. Cet ouvrage de référence traite aussi de la qualité et de la conservation du beurre et des fromages. Il semblerait que notre exemplaire serait l'Edition originale de cet ouvrage de référence sur le lait dû à Antoine Augustin Parmentier (1737-1813), pharmacien militaire, agronome et nutritionniste, ainsi que Nicolas Deyeux (1745-1837) pharmacien et chimiste. Ce travail très complet aborde aussi bien la composition du lait dun point de vue physico-chimique que son utilisation dans de nombreux domaines. Il est le fruit dune étude débutée en 1788 à loccasion d'un concours lancé par l'Académie Royale de Médecine : « Déterminer, par l'examen comparé des propriétés physiques et chimiques, la nature des laits de femme, de vache, de chèvre, d'ânesse, de brebis et de jument ». Antoine Augustin Parmentier, membre de lacadémie des sciences, est célèbre pour ses travaux sur l'hygiène alimentaire. Nicolas Deyeux, membre de l'Académie de médecine, publie avec Parmentier des recherches sur le lait (présent ouvrage)". TRES RARE. Il semblerait que notre exemplaire soit antérieur de 10 ans à la publication, par les deux auteurs chez T. Barrois, éditeur à Paris (1799 - An VII) ! TRES RARE Très bon état de la reliure (léger petits manques aux coiffes) et du papier
A Bastia et se trouve à Paris chez Monory, 1780. Broché, couverture muette d'attente en papier marbré, annotation manuscrite d'époque sur la 4ème de couverture: "M. Bergeret à Bordeaux par Monory", réemploi sur la 2ème et 3ème de couverture d'une page de l'ouvrage de Dubet "Réflexions critiques sur la muriométrie (dédicace à monsieur frère du Roi, ornée de bandeaux dessinés par Jean-Baptiste Huet ). in-8 de XXVI-(2)-160 pages, exemplaire à pleines marges.
Rarissime édition originale de ce traité de l'agronome Philanthrope Augustin-Antoine Parmentier.Il étudie ici la châtaigne dans laquelle il est le premier à y avoir constaté la présence de sucre. Il parle tout d'abord du châtaignier , de la châtaigne en elle même, puis aborde sa conservation, en donne une analyse, présente la méthode de séchage pratiquée dans les Cévennes, traite de la farine de châtaigne, de son mélange avec la farine de différents grains, du procédé utilisé en Corse pour faire du pain de châtaigne, de sa préparation dans le Limousin pour la cuire.Les derniers chapitres prposent des pièces justificatives. L'ouvrage débute par un avertissement dans lequel Parmentier se défend des attaques portées contre lui et ses travaux par l'avocat et publiciste Simon Nicolas Henri Linguet.
Phone number : 06 80 15 77 01
Paris, Didot le jeune, 1773. Large 12mo (167 x 98 mm). In a nice contemporary full mottled calf binding with five raised bands. Spine richly gilt. Boards with gilt frame and edges of boards gilt. Occassional very light browning and a very vague damp-stain in lower outer corner affecting some pages. An overall very nice copy. XXIV, 248, (4)
First edition of Parmentier's groundbreaking work that revolutionized the understanding of potatoes and their biological and chemical properties. Published in 1773, Parmentier's work sheds light on the scientific aspects of potatoes, their nutritional value, and their potential to address food scarcity and malnutrition. Permentier aimed at dispelling myths about and prejudices against potatoes, which were considered as food for livestock and were largely neglected as a human food during that era. His discoveries eventually caused Louis XVI, the French Monarch to declare: “La France vous [Parmentier] remerciera un jour d’avoir trouvé le pain des pauvres” (i.e. France will thank you one day for having found the bread of the poor). Parmentier's work on potatoes was a significant scientific breakthrough. By applying principles of chemistry and experimental analysis, he revealed the rich nutritional content and potential health benefits of this versatile crop. Parmentier's experiments showcased the potato's high water content, carbohydrate content, and its impressive array of vitamins and minerals. He also explored the potato's medicinal properties, using it to treat various ailments such as dysentery and scurvy. The publication of ""Examen Chymique des Pommes de Terre"" had a profound impact on society. Parmentier's research highlighted the importance of potatoes as a sustainable food source capable of supporting large populations. In an era plagued by famine and general food shortages, Parmentier's findings played a vital role in combating hunger and malnutrition. His efforts to promote potatoes as a staple food contributed to their acceptance and eventual integration into European diets. Parmentier's book had a lasting legacy shaping the fields of botany and chemistry. His meticulous observations and experiments on potatoes laid the groundwork for further scientific studies into plant chemistry and nutrition. Parmentier's work inspired subsequent researchers to explore the chemical composition of various crops, ultimately expanding our understanding of the fundamental building blocks of life. Moreover, his promotion of potatoes as a reliable and nutritious food source has left an permanent mark on agricultural practices worldwide. Not in Vicaire, Cagle, or Oberlé.
Pour servir de suite au Traité publié sur cette matière ; Avec une Notice historique et chronologique du Corps sucrant; Par A. A. Parmentier, Officier de la Légion d'honneur et Membre de l'Institut impérial de France.Édition originale. A Paris, de l'Imprimerie Impériale - 1812 - 452 pages. Ex-libris armorié Marcel Dunan.Reliure de l'époque, demi veau à écailles et à petits coins. Dos lisse richement orné et doré. Petits frottements au dos et aux mors. Pas de rousseur. Bon état. Intérieur frais. Format in-8°(20x13).Antoine Augustin Parmentier (1737-1813) est un pharmacien militaire, agronome, nutritionniste et hygiéniste français. Précurseur de la chimie alimentaire et de l'agrobiologie, il est surtout connu pour son action de promotion en faveur de la consommation de la pomme de terre dans l'alimentation humaine, mais aussi pour ses travaux sur l'hygiène alimentaire, l'utilisation de nouveaux aliments durant les fréquentes périodes de famine et comme pharmacien militaire (avec un rôle éminent dans l'organisation pharmaceutique du service de santé sous l'Empire).
Paris, Chez Barrois, 1789. VIII, 389 (recte 392). Lederband der Zeit mit reicher Rückenvergoldung.
Seltene Monografie über die Kartoffeln, publiziert vom französischen Botaniker Antoine Augustin Parmentier (1737–1813). Er studierte Pharmazie in Paris und war danach für die Armee in ganz Europa tätig, wo er sich vor allem mit dem landwirtschaftlichen Anbau von Lebensmittel beschäftigte. Aufgrund seiner Verdienste um den Kartoffelanbau wird eine populäre französische Variante eines Kartoffelpüreeauflaufs «Hachis Parmentier» genannt (vgl. Wikipedia). – Das Papier zu Beginn etwas stockfleckig. Die Bindung der ersten Lage gelockert. Mit kleinen Wurmgängen. Der Einband berieben.
Phone number : 41 (0)44 261 57 50
1782 broché, sous chemise et emboîtage. Nouvelle Édition revue et corrigée. Londres et Paris, Barois l'Aîné, 1782-1783, 3 tomes en 1 volume, in-12, demi-basane fauve, pièce de titre en maroquin vert, (reliure de l'époque), I-93 pages ; II-94 pages et 16 pages.
Antoine Parmentier (Montdidier 1737- Paris1813), pharmacien-apothicaire-herboriste français, agronome et scientifique éclairé, est célèbre pour avoir popularisé la pomme-de-terre en participant (et en gagnant en 1773) un concours organisé par l'Académie de Besançon dont l'objet était de trouver un aliment de substitut, aux aliments ordinaires, en cas de disette. Parmentier joua un rôle prépondérant dans l'alimentaion et l'hygiène alimentaire en élaborant ou en perfectionnant les techniques de conservation (froid, salaison, conserve...), la boulangerie, la meunerie et l'agriculture dont nous trouvons les traités réunis dans cet ouvrage. Ces traités fourmillent de détails intéressants et essaient d'améliorer les ressources alimentaires tant au point de vue de la productivité, que du goût "Créateur en 1770 d'une école de boulangerie à Paris, le pain constitua l'un de ses grands sujets d'étude. Ayant pour projet ce qui deviendra Le Parfait boulanger, ou Traité complet sur la fabrication et le commerce du pain (1778), l'édition prend plus de temps que prévu. Il en anticipe alors une version allégée et extrait " la partie qui intéresse les personnes que leur goût ou la nécessité déterminent à préparer le pain chez elles". Ce sera l'Avis aux bonnes ménagères des villes et des campagnes sur la meilleure manière de faire le pain, publié dès 1777. Abordant autant de thèmes que le choix du blé, de sa conservation, de la farine, de l'eau dans le pain, du levain, de la levure et du sel, du pétrin, du four ou encore du pétrissage de la pâte, ce petit ouvrage constitue une mine de connaissances quant à l'aliment français par excellence." Ouvrage rare.
Bordeaux, Arnaud-Antoine Pallandre, 1785, in-4, de 164, IV, (2) pages et 1 planches, exemplaire broché, sous couverture muette, Première édition, "introuvable", selon Oberlé (Les Fastes de Bacchus et de Comus, p. 459, n°815). Inconnu de Vicaire, Bitting et Simon. Un avertissement à la seconde édition (publié en 1812 à Paris par l'Imprimerie Impériale) précise que la première édition de Bordeaux fut tirée à un si petit nombre d'exemplaires qu'il n'a pas été possible de les mettre en vente. "Outre la description de la plante, des différentes espèces, de sa culture, de ses maladies, de sa récolte et des boissons au maïs : bière, chiccha.., des recettes de cuisine : maïs grillé, frit, confit au vinaigre, bouilli, en potage, en semoule, en vermicelle, en biscuit de mer... Recette de polenta, de cruchade, de gaudes (à la courge, à la pomme de terre), de galette, de gâteaux, de pain (plusieurs recettes pain de maïs simple ou mélangés), terrines. La recette de la polenta est très complète..." (Oberlé, 815). Pour l'édition originale bordelaise, le texte de 1874 fut augmenté des nouveaux travaux de Parmentier de 1785, et alors que la version imprimée aurait dû contenir la première partie du mémoire qui avait concouru au côté de Parmentier, celui d'Amoureux, comme il avait été prévu dans le programme du 25 août 1784, ce dernier refusa, ayant été déçu de ne voir imprimer qu'une partie de son travail. Très bon exemplaire. Oberlé, n° 815 ; et Michel Bertrand, "Parmentier : un pharmacien illustre (1737-1813)", 1987, p. 115-118 et 278-282. Couverture rigide
Bon de 164, IV, (2) pages et 1
Strasbourg, F. G. Levrault, Paris, Théophile Barrois, an VII (1799) in-8, [4] ff. n. ch. (faux-titre & titre, table des chapitres), iij pp., 420 pp., déchirure au f. 79-80 maladroitement réparée, demi-basane violine, dos lisse cloisonné et orné en long, tranches marbrées (reliure du XIXe siècle). Accroc en coiffe supérieure, mouillure claire infrapaginale.
Édition originale rare de cet ouvrage de référence sur le lait dû non seulement au célèbre Antoine-Augustin Parmentier (1737-1813), pharmacien militaire, agronome et nutritionniste, mais aussi à Nicolas Déyeux (1745-1837) pharmacien et chimiste. Ce travail très complet aborde aussi bien la composition du lait d un point de vue physico-chimique que son utilisation dans de nombreux domaines. Il est le fruit d une étude débutée en 1788 à l 'occasion d'un concours lancé par l'Académie royale de médecine sur la question suivante : "Déterminer, par l'examen comparé des propriétés physiques et chimiques, la nature des laits de femme, de vache, de chèvre, d'ânesse, de brebis et de jument".Curieusement absent de Quérard. Musset-Pathay, 1566.Ex-libris manuscrit marquis de Paneboeuf de Maynard. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris 3ème frimaire an 4ème de la République [24 novembre 1795], 17,2x22,7cm, une page sur un double feuillet.
Lettre autographe signée d'Antoine Augustin Parmentier adressée au citoyen Chely, pharmacien chef de l'hôpital militaire de Calais. Pliures transversales inhérentes à l'envoi et petit manque de papier dû au décachetage de la missive. "Je suis fâché mon cher camarade, que le Cen [Citoyen] Lavoisier m'ait envoyé un pâté sans doute dans l'intention de m'intéresser en faveur de son fils ; mais je dois vous assurer que les présen[t]s me tiédissent plutôt encore sur le compte de ceux qui m'en font au reste j'enverrais au jeune homme des livres pour la valeur du pâté [...]" Amusante lettre évoquant un homonyme du grand physicien exécuté l'année précédente sans avoir laissé de descendance. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Imprimerie Impériale, 1812, in-8, 2 ff. 452 pp, demi-basane brune à coins, dos lissé orné (reliure de l?époque), Edition originale de cet ouvrage qui a été publié un an avant la mort de son auteur, Antoine Parmentier. Le blocus continental ayant rendu le sucre excessivement cher, Parmentier s'orienta vers la vigne, et s'aperçut que cette plante renfermait les éléments nécessaires, sinon pour remplacer, au moins pour rendre supportable le manque presque complet de sucre. Il observa ainsi la culture de la vigne et le moyen d'en utiliser les produits (le vin, le vinaigre et le sirop de raisin). Fragment de la couverture rose originelle collé (à l'envers) sur le contre plat inférieur, avec cette mention (autographe ?) à l'encre brune : « de la part de l'auteur ». Dos et coins grossièrement restaurés, bon état intérieur. Couverture rigide
Bon 2 ff. 452 pp
Paris Imprimerie Impériale 1812 1 in-8 2 ff. 452 pp. ; demi-basane brune à coins, dos lissé orné (reliure de l’époque).
Edition originale de cet ouvrage qui a été publié un an avant la mort de son auteur, Antoine Parmentier. Le blocus continental ayant rendu le sucre excessivement cher, Parmentier s’orienta vers la vigne, et s'aperçut que cette plante renfermait les éléments nécessaires, sinon pour remplacer, au moins pour rendre supportable le manque presque complet de sucre. Il observa ainsi la culture de la vigne et le moyen d'en utiliser les produits (le vin, le vinaigre et le sirop de raisin).Fragment de la couverture rose originelle collé (à l’envers) sur le contre plat inférieur, avec cette mention (autographe ?) à l’encre brune : « de la part de l’auteur ».Dos et coins grossièrement restaurés, bon état intérieur
À Paris et Londres, chez Barrois, 1783-1784, , 3 ouvrages (1 in-8 et 2 in-12) reliés en 1 volume, veau marbré de l'époque, dos lisse orné à la grotesque, pièce de titre fauve, armes dorées en pied du dos [Lumelier de Bressey], Éditions originales. Les deux ouvrages de Parmentier, reliés à la fin du volume, sont au format in-12, réimposés dans une reliure in-8 : ils sont entièrement non rognés. Moyen proposé pour perfectionner promptement dans le Royaume la meunerie et la boulangerie. À Paris, chez Barrois, 1783. 94-[1] pages. Dans cet ouvrage, Parmentier examine les différentes sortes de moutures et analyse les divers aspects du commerce des farines, ainsi que son utilité pour le gouvernement. Méthode facile de conserver à peu de frais les grains et les farines. A Londres et se trouve à Paris, chez Barrois, 1784. IV-100 pages. Ouvrage technique sur les grains et les farines démontrant "par de nouvelles observations & des expériences décisives, la vérité de quelques principes concernant une des branches les plus importantes de l'économie rurale & domestique". Le titre porte cette épigraphe tirée de La Fontaine : "Ni mon grenier, ni mon Armoire / Ne se remplit à babiller". Relié en tête du recueil : César BUCQUET, Traité pratique de la conservation des grains, des farines, et des études domestiques. Paris, Onfroy, Belin, 1783. In-8, [4]-XVI-74-[2] pages, 2 planches dépliantes gravées sur cuivre ; et [4]-146-[2] pages pour la seconde partie (Edme BÉGUILLET, Observations sur la boulangerie). Bucquet, qui publiait ce livre à la fin de sa vie, l'a dédié "Aux hommes" ; dans l'Avertissement, il examine les quelques points sur lesquels ses opinions diffèrent de celles de Parmentier. À la suite de son propre Traité, il intègre les Observations sur la boulangerie d'Edme Béguillet (mort en 1786) et s'en explique dans un avertissement préliminaire : "les Observations critiques qu'on va lire sont d'une main & d'un style différent de ce qu'on a lu jusqu'ici (...). Mais ayant fait tirer un certain nombre d'exemplaires du Traité (...) pour être vendus séparément & à part des Observations, je n'ai pu me dispenser de toucher dans la première partie certains objets qui auront lieu encore dans la seconde". Les Observations de Béguillet sont l'un de ses derniers ouvrages. L'auteur, ancien meunier de l'Hôpital général de Paris, fut avocat au Parlement, auteur de l'article Agriculture dans l'Encyclopédie de Diderot et membre de la Société d'agriculture. Intéressant recueil de quatre ouvrages ayant joué un rôle important dans l'économie française et celle de la Révolution ; il a été constitué par Jean Lumelier de Bressey, conseiller au Parlement de Bourgogne, dont les armes sont dorées au bas du dos. Couverture rigide
Bon 3 ouvrages (1 in-8 et 2
CADET-DEVAUX Antoine & DECANDOLLE Augustin-Pyramus de & DELESSERT Benjamin & MONEY & PARMENTIER Antoine Augustin
Reference : 82228
(1801)
Chez A.-J. Marchant, A Londres An 10 (1801), in-8 (12x20,5cm), (4) 227 pp. (3), relié.
Rare édition originale bien complète de sa planche dépliante décrivant le fourneau in-fine."Première édition collective de ces différents rapports concernant des établissements de bienfaisance construits selon le modèle des fameux "Fourneaux" de Rumford" (Oberlé) Reliure de l'époque en demi basane blonde, dos lisse richement orné de filets et fers dorés en formes d'étoiles et de feuilles ainsi que d'une pièce de titre de maroquin rouge, plats de papier à la cuve, toutes tranches jaunes. Le premier feuillet de garde présente, au crayon de papier, des notices bibliographiques concernant les auteurs du recueil. - Photos sur www.Edition-originale.com -
P., Barrois, 1789, in-8°, viii-389 pp, reliure plein veau marbré, dos lisse orné de fleurons et triples filets dorés, pièce de titre chagrin carmin, coupes guillochées, tranches rouges (rel. de l'époque), coiffe sup. lég. abîmée, coins émoussés, infime travail de ver en marge inférieure, bon état. Edition originale rare (Vicaire, 657)
Edition originale rare et recherchée du plus important ouvrage de Parmentier sur la pomme de terre. Ayant étudié la pharmacie, Parmentier compléta ses études par une formation de botaniste, de chimiste et de physicien. En 1771, il remporta le concours de l'Académie de Besançon en proposant l'utilisation de l'amidon tiré notamment de la pomme de terre pour l'alimentation en cas de disette. L'ouvrage résume toutes les données que Parmentier avait mis en évidence tant sur le plan chimique que sur le plan de l'alimentation humaine, ainsi que les differentes facons de cultiver la pomme de terre et de l'utiliser dans l'alimentation.
À Paris, De l'Imprimerie des États de Languedoc, 1786 in-4, [4]-447 pp., 10 pl. dépl., demi-basane brune à coins de vélin, dos lisse orné, tranches citrons (reliure de l'époque). Usure à la coiffe supérieure et petit manque au mors. Qqs piqures.
Édition originale de ce célèbre traité économique, agronomique et gastronomique de Parmentier. Dès 1774, Parmentier fut chargé de voyager à travers la France pour analyser les causes de la mauvaise qualité du blé. Il préconisa la mouture économique dont l'emploi permettait d'augmenter d'un sixième le produit de la farine. Il décida le gouvernement à ouvrir une école de boulangerie placée sous sa direction et se consacra à la recherche de féculents alternatifs. L'année 1785 avait été désastreuse par la mortalité des bestiaux et la moucheture des blés. Le gouvernement s'efforça d'y remédier en faisant publier des ouvrages économiques et pratiques, dont celui-ci est le plus systématique.Les 10 grandes planches dépliantes techniques représentent des plans et coupes en élévation : moulins hydrauliques, systèmes étudiés de roues et de meules.Kress, B. 1106. Goldsmiths, 13164.Ex-libris F. Larnac à Uzès. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A Paris, chez Barrois, 1789, in-8, VIII-386-[6] pages, broché, sous couverture d'attente de l'époque, double emboîtage moderne, Première édition, rare, de l'un des ouvrages de Parmentier consacré à la pomme de terre. "Pharmacien humanitaire" et travailleur infatigable, célèbre défenseur de la pomme de terre, dont il s'était assuré de la salubrité et du goût lors de sa captivité en Prusse, Parmentier chercha tout au long de sa carrière des solutions pour contrer disettes, famines et malnutrition. Il ne publia pas moins de 95 ouvrages sur les tubercules, les grains, la boulangerie et l'organisation agricole en général. Vicaire 657. Couverture rigide
Bon VIII-386-[6] pages
Tome 12 et dernier rédigé par Parmentier, Thouin, Delaclause, Sonnini, Lasteyrie, Chaumontel, Fromage Paris. Marchant, Drevet, Chapart. 1805. Fort in-4 (26x20). 668 pages sur 2 colonnes. Plein veau brun de l'époque, dos à nerfs ornés de filets dorés, double-filet doré encadrant les plats.
10 planches hors-texte dont 1 dépliante, 1 grand tableau hors-texte sur les quadrupèdes, principalement le cheval. Nombreux articles de Parmentier sur l'économie rurale et domestique dont la description du fourneau économique de M. Bourriat (avec 1 planche de 6 figures avec l'explication). Bel exemplaire.
Paris, Imprimerie royale, 1778. 1 fort vol. in-8°, basane marbrée, dos à nerfs orné de fleurons dorés, pièce de titre en maroquin rouge, filet doré sur les coupes, tranches rouges. Reliure de l'époque, coiffes, mors et coins restaurés. Bon exemplaire. liij pp., (1) p., 639 pp. Quelques mouillures angulaires dans le marge intérieure, petites rousseurs éparses.
Edition originale de cet ouvrage fondamental sur l'art de la boulangerie. Le célèbre agronome avait écrit ce volume dans le dessein de fonder une école de boulangerie qui enseignât les manières les plus appropriées de faire le pain en gaspillant le moins de matière première possible. Cette Ecole pratique de la Boulangerie, qui vit le jour peu après, fut dirigée par Parmentier lui-même et dispensa un enseignement dont les principes reposaient sur les thèses développées dans cet ouvrage. Après avoir fait un historique du métier de boulanger, pour lequel il déplore le peu de considération dont il jouissait dans la société, Parmentier développe de manière scientifique tous les éléments nécessaires à la fabrication du pain en décrivant de manière précise toutes les étapes de son élaboration : mouture des farines, usage du levain, confection de la pâte, cuisson du pain. Il y préconise un nouveau procédé de mouture économique qui augmente le rendement en farine. Quérard VI, 605; Vicaire, 656; Oberlé, Fastes, n°813; Bernard, Imprimerie royale, 216.
Phone number : 02 47 97 01 40
A Strasbourg ; et à Paris, chez Théoph. Barrois, chez F.G. Levrault, 1799. In-8 broché de (4)-III-(5)-420 pp, couverture bleue.
Edition originale. Résultat du développement du Mémoire qui concourut en 1788 pour le prix décerné par la Société Royale de Médecine : Déterminer, par l'examen comparé des propriétés physiques et chimiques, la nature des laits de femme, de vache, de chèvre, d'ânesse, de brebis et de jument. Dans cette étude, Parmentier s'est associé à Nicolas Deyeux, pharmacien personnel de Napoléon.Bon exemplaire. Bitting, 357 ; Mussey-Pathay, 1566.
1774 Paris, chez Monory, 1774. In-12, xxiv-248-(4) pp.,(dont errata in fine), broché tel que paru, dans sa couverture d'origine de papier jaspé de couleurs (usagée avec manque), petit trou sur la page de titre ainsi que des roussissures sur les marges des premiers feuillets.
Nouvelle émission de l'édition originale, avec titre de relais (Conlon, 74:1354). L'édition originale publiée à Paris par Didot l'année précédente portait le titre "Examen chymique des pommes de terre". LE PREMIER OUVRAGE DE PARMENTIER SUR LES POMMES DE TERRE.
Dans le cours des années 1810 et 1811. Pour servir de suite au Traité publié sur cette matière; Avec une Notice historique et chronologique du corps sucrant; Par A. A. Parmentier.Édition originale. A Paris, de l'Imprimerie Impériale 1812.Présenté par département, avec des chapitres techniques ajoutés.Reliure demi basane bordeaux. Dos lisse à faux nerfs filetés dorés (très insolé). Pas de rousseur. Très bon état intérieur. Format in-8°(21x13).
Paris, Chez Barrois [et] de l'Imprimerie des Etats de Languedoc, 1789 [et] 1787, , deux ouvrages en un volume in-4, [4]-447 pages et 10 planches dépliantes gravées sur cuivre, 52 pages, demi-basane fauve, dos à nerfs et orné de l'époque, plats cartonnés anciens, tranches bleues, ÉDITION ORIGINALE avec un nouveau titre du Mémoire sur les avantages que le royaume... : c'est la reproduction exacte et sans aucun changement du mémoire que Parmentier avait publié en 1786 sur la province du Languedoc, dont Barrois n'a changé que le titre et le faux-titre. Première partie: du blé. Deuxième partie: de la meunerie. Troisième partie: de la boulangerie. Exemplaire auquel on a joint l'Avis aux habitans.., dans son ÉDITION ORIGINALE, très rare. Une charnière fendue, mouillure claire du le plat inférieur. Manque de papier dans la marge intérieure des pages 81 et 82 avec atteinte à quelques mots, bordures de quelques planches dentelées. Oberlé, Fastes.., n° 814. Quérard IV, p. 604. Couverture rigide
Bon deux ouvrages en un volume