Paris, Chez l'auteur et Farcy, 1825, in-18, [4]-XCV-600 pages, demi-basane maroquinée rouge à petits coins, dos lisse orné de roulettes dorées, Première édition de ce volumineux petit ouvrage qui compile toutes les méthodes connues ou inventées par Aimé Paris (1798-1866) afin de stimuler la mémoire et de faciliter la mémorisation et l'utilisation de listes de faits, de nomenclatures, de systèmes botaniques, de séries de dates, etc. Aimé Paris, musicien originaire de Quimper, est également connu pour sa méthode sténographique Cachet de la bibliothèque des ducs de Fürstenberg à Donauschlingen. Bon exemplaire. Couverture rigide
Bon [4]-XCV-600 pages
Paris, L'auteur, Avril 1829.
Première édition. Aimé Paris (1798-1866) enseignait la mnémotechnie à Paris. Cet ouvrage devait permettre à ses élèves de suivre ses démonstrations qu'il faisait au tableau. Portrait lithographié en frontispice. A la fin : "Application au calendrier tant grégorien que républicain" (15 pp.) et un feuillet d'errata. Bon exemplaire. /// In-8 de portrait, 189, (1), 15, (2) pp. Cartonnage brun marbré, étiquette rouge. (Reliure de l'époque.) //// /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
À Paris, chez l'auteur, octobre 1834, in-8, 2 volumes, 768 pp. en pagination continue, 5 pl. depl, demi-veau glacé tabac, dos lisses ornés de filets à froid et dorés, Première édition complète ; les éditions antérieures n'étaient que des résumés, parus entre 1823 et 1830. L'auteur décrit son procédé, qui consiste en des associations d'idées arbitrairement créées entre les noms ou les chiffres à retrouver, et certaines phrases choisies de façon à se graver facilement dans le souvenir ; l'ouvrage comprend les applications de cette méthode dans des domaines divers : géographie, droit, mathématiques, musique, calendriers, etc. Aimé Paris (1798-1866), musicien originaire de Quimper, est également connu pour sa méthode sténographique. Quelques rousseurs ; sinon, bon exemplaire. Couverture rigide
Bon 2 volumes, 768 pp. en
1833 demi-basane mouchetée, dos lisse, plats papier marbré (mod.). Quelques rousseurs. 2 vol. in-8, 402pp., 2 pl. depl. et 3 pl. depl. dont une comprise dans la pagination, P. chez l'auteur novembre 1833,
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
"Paris, Chez l'Auteur, 1833 (tome 1); Chez Mansut Fils, 1834 (tome 2)." "12 x 21, 2 tomes en 1 volume, 763 pages (pagination continue), 3 planches dépliantes (dont une très grande détachée), reliure dos cuir, tranches jaspées, état moyen (reliure usagée mais solide; coiffe endomagée; peu de rousseurs."
Il a été ajouté à ce volume : J. B. Delcros, Suppression de la Banque de France, création d'une banque nationale, Paris Victor Magen, 18948 (79 pages).
Chez L Auteur Et Farcy Paris 1825 In-16 ( 140 X 90 mm ) de [4]-XCV-600 pages, demi-basane fauve, dos lisse orné de roulettes dorées, tranches marbrées ( Reliure de l'époque ). Reliure frottée, coiffe supérieure arasée, rousseurs passim, bon exemplaire, solide.
Paris, Novembre 1833, in-8, 402pp, Reliure demi-basane, Très bel exemplaire! 402pp
Paris, Chez l'Auteur, 1833. In-8 de 402 pages. Premier volume (sur deux). Demi-toile verte, nombreux tampons de l'O.R.T.F., Radio-France.
Paris Chez L'auteur 1825 In 18 plein veau d'époque, dos lisse orné, XCV et 600 pages, rousseurs coins légèrement émoussés sinon bon exemplaire.
Bruxelles Chez Mansut fils, Libraire, 1833-1834 1833 in 8 (21x13,5) 2 volumes brochés sous couvertures muettes de papier rose de l'époque, étiquettes de titre imprimées au dos, faux-titre, titre, 763 pages, pagination continue, avec 6 planches à la fin du tome 2 (dont 5 dépliantes), non rognés. Septième édition. Rare. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon
Lille, Bronner-Bauwens 1829 1 in -8 Broché sous cristal 115[p.p] Article unique.
Bien conservé, traces d'humidité et rousseurs, Bien conservé, quelques rousseurs. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
Toulouse, Mairie de Labarthe, Université de Toulouse Le Mirail, 2011 In-8, broché, 487 p., reproductions en couleurs dans le texte
Très bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
BONNARD (Abel) : L’Enfance. Paris, Le Divan, 1927. Plaquette petit in-8 sensu stricto, 72pp. [dont faux-titre et titre]-(1) f. [blanc / achevé d’imprimer], brochée, couverture imprimée ocre (de très bonne apparence, malgré une petite trace d’enfoncement en bas du dos, par contre, à l’intérieur, invasion de taches brunes – déjà - : papier de très mauvaise qualité). ÉDITION ORIGINALE, dans la collection « Les Soirées du Divan », n° 25, tirée à 925 exemplaires numérotés (celui-ci un des huit cents sur « bel alfa bouffant » (sic). D’entrée, le propos se veut rassurant : « J’aime plus l’enfance que les enfants » (p.7), mais, l’éducation doit être sévère : « (elle) n’est que le dernier cas du dressage » (p.59). Par ailleurs, quelle condescendance, quelle suffisance envers les plus démunis : « Un petit pauvre regarde avec une sorte d’étonnement et d’indépendance la misère de ses parents, qui n’est pas encore la sienne [sic !]» (p.44). Quel détachement du petit malheureux sur son sort : il est vrai que la religion est là, qui lui promet un bel avenir post-mortem. Surtout, pas de révolte, car, « rien de plus sinistre qu’un polisson gouailleur (…), c’est pourquoi le type de Gavroche est si repoussant » (p.41). Rien que çà. Autobiographie ? : « Un petit garçon de quatre ans jouait souvent avec une jeune fille, qui le maniait comme une poupée (…). Moi aussi, dit-il, quand je serai une jeune fille comme toi. – Mais, mon chéri, répondit-elle, tu ne seras jamais une jeune fille. Il faillit pleurer » (p.45). Dépit. Il faudra choisir, drame freudien / cornélien, attirance/répulsion : « Les enfants excellent à manier les grandes personnes (…) Dans ces manèges, l’adresse des deux sexes n’est pas égale (…) [Les garçons] sont plus simples, plus rudes (…) Les petites filles sont des femmes dès leur naissance, et les premières armes de ces innocentes sont celles des courtisanes » (p.63). Malgré tout, le Bonnard poète jaillit in fine : « Les enfants sont l’illusion de l’espèce, comme le printemps est l’illusion de l’année » (p.70)
Reference : G425
FAKE HISTORY Cette histoire n’est qu’un conte, une histoire à dormir debout. Les historiens se sont fourvoyés, volontairement ou non : une ascendance noble, fut-elle impériale et illégitime, flatte l’orgueil du bourgeois. Seulement voilà : comme la terre, l’État Civil ne ment pas, …au moins sur les dates. On trouvera dans les Archives de la Corse du Sud, l’acte de mariage de Pauline Benielli et Ernest Bonnard, dans celles de la Vienne, l’acte de naissance d’Abel : le premier en date du 10/02/1880 (note 13), le second, en date du 19/12//1883 (note 14). Que la gestation fut longue ! Et on comprend mieux l’attachement d’Abel à sa maman ! Elle mourra dans la villégiature pétainiste de Sigmaringen en 1945. Mais il a encore mieux : Abel n’était pas fils unique, avant lui étaient nés un frère et une sœur, décédés tous deux en bas âge (note 15). =================
Note 3- Abel Bonnard : Pour l’élite intellectuelle, dans la Revue hebdomadaire, t.7, 07/07/1936, p.248). Note 4- cité d’après B. Pénicaud et Vincent Vidal-Naquet : Les révolutions de l’Amour (etc.). Note 5- aujourd’hui remis à la mode par nos chères politiques, NKM à propos de Patrick Buisson, la Marine au sujet du beau Florian… [en 2017…] Note 6- cf. Pierre Dac, qui à Radio Londres, fustigeait le ministre : dans son parti, « l’envers vaut l’endroit ») Note 7- hexagonegay.com précise qu’à l’époque, « les lieux de rencontre homos parisiens (cinémas et vespasiennes) connaiss[ai]ent bien sa silhouette » ; en revanche, il déplore que « Je Suis Partout » ni la presse d’extrême- droite, si prompts à dénoncer l’homosexualité (…) n’ont fait état de l’homosexualité de Bonnard ». Note 8- pour present.fr/tag/abel-bonnard/ : « La belle Bonnard… Gestapette… Yves Morel le sait : immanquablement, ce sont les plaisanteries qui fuseront de la bouche des sots si vous jetez le nom d’A.B. dans une conversation (même universitaire). Et pourtant, voilà une personnalité plus complexe que sa mauvaise renommée : on ne lui connaît que des liaisons féminines ». Sans rire ! Note 9- Buisson (Patrick) : 1940-1945. Années érotiques (Paris, Albin Michel, 2009.2 volumes. « Abel Bonnard, le scandaleux » (t. I, p.263 et suiv.) nous apprend que « son vrai père est un aristocrate italien, J.N. Primoli, descendant de Lucien Bonaparte, qui séduisit sa mère, Marie-Paule [sic !] Benielli, peu de temps avant son mariage [re-sic !!]». Note 10- Descendia de José Bonaparte, Rey de Espana y de las Indias, y sus entronques i talianos y franceses (Anales de la Real Academia Matritense de Heràldica y Genealogia, vol.XII, 2009, pp. 143-327). Note 11- Pasquali, Costanza : Proust, Primoli. La Moda. Otto lettere inedite di Proust e tre saggi. Roma, Ed. di Storia et litteratura, 1961, p.32. Note 12- Yves Morel ( Abel Bonnard. Coll. Qui suis-je ? Editions Pardès, 2017) : « Ne pouvant épouser le père de son enfant, Pauline Benielli se résolut à un mariage de raison avec Ernest Bonnard (…) qui reconnut Abel et lui donna son nom », qui complète bien la formule de P. Buisson (note 9). Note 13- Archives Départementales de Corse du Sud Ajaccio, Mariages, 1880 (f° 55-56/159) Note 14- Archives Départementales de la Vienne, Naissances, 1883 (9 E, p. 251), avec cette note marginale manuscrite : « Décédé à Madrid (Espagne) le 31 mars 1968 ». Confirmation de sa naissance, post mortem. Note 15- Abel- Jean- Désiré (A) aux prénoms identiques et Fanny-Françoise-Justine (B) (A) Melun, avril 1881- Poitiers, 26/06/1883. A.D. de la Vienne , Décès 1883, n°490, f° 147/278 (B) AD de la Vienne, Poitiers, 08/07/1885 [Naissances 1885, n°438, f°121/250]- 12/05/1886 [Décès 1886, n°370, f° 102/259. « Nom de la mère : Pauline Bennieni »] !! Aujourd’hui, (08/2022), que l’on consulte Wikipédia, ou des sites dits sérieux ( ?) de généalogie (geneanet, geneastar), la fausse généalogie prospère. Une lueur d’espoir : la généalogie d’Ernest Bonnard, le père « nourricier »… Patatras ! Si le frère aîné Abel (1881-1883) est bien mentionné, on trouve immédiatement après un « demi-frère Abel, etc.). Errare humanus est, perseverare diabolicum.
ou l’art d’aider la mémoire.Mention de 3ème édition.In 8 reliure plein cuir fauve raciné d’époque,dos lisse,pièce de titre chagrin rouge,fers,filets,roulette,palmette dorés. Faux-tire,titre 763 pages,18 figures en 5 planches dépliantes en fin de volume.Paris Chez l’auteur Quai d’Anjou n°15 Ile St Louis Novembre 1833.3 coins habilement restaurés.Quelques épidermures sans gravité.