. "Chez la veuve de Daniel Horthemels / de l'imprimerie de Denys Thierry ""Chez la veuve de Daniel Horthemels / de l'imprimerie de Denys Thierry """"Paris, 1706, in-12 maroquin rouge de l'époque, dos à cinq nerfs richement décoré de motifs floraux aux petits points dorés, plats encadrés d'un filet doré de pointillés, roulette dorée sur les chants et les coupes. Toutes tranches dorées. 17ff.-518pp. Vulgate et paraphrase française attribuée à François Paris seul ou avec Vincent Loger. (notice BNF). Ex-dono manuscrit ancien sur la première page de garde : """"""""A mademoiselle de Longchamp [un mot illisible] de Madame la Duchesse de Saint Aignant"""""""". Ex-libris imprimé d'Etienne Destranges (1863-1915), critique musical nantais, introducteur de la musique wagnérienne à Nantes et ami intime d'Hugues Rebell. Brunissures en bordures des premières pages sinon bon exemplaire en plein maroquin de l'époque."""""""
Emile Grimaud, imprimeur-Editeur Nantes, 1895, 2 vol. in-8 demi-chagrin rouge, dos à cinq nerfs, premiers plats de converture conservés. (reliure de l'époque) . 3ff.-499pp. / 2ff.-555pp. 2 frontispices imprimés au verso de la page de titre, nombreux croquis et cartes, parfois à pleine page. Une carte double page repliée entre les pages 550 et 551 du second volume. Le premier volume est consacré aux généralités, à la géographie de la Loire-Inférieure, à l'histoire de la Loire-Inférieure, l'administration, les richesses du département, enfin l'arrondissement de Nantes et ses communes. Le second volume est consacré aux communes des arrondissements de Saint-Nazaire, Chateaubriant, Ancenis, Paimboeuf. Chaque commune est décrite avec son histoire, sa géographie et sa situation à la date de l'ouvrage. Table des communes in fine.
Déon (Michel) - Caroline Silvert et Vincent Haddelsey, textes - Daniele Fenoglio, traduction
Reference : 88277
(1978)
Editions Sun à Paris, Exclusivité Vilo Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1978 Book condition, Etat : Bon relié, cartonnage éditeur, sous jaquette imprimée éditeur vert et bleu, illustrée d'un tableau en couleurs pleine page de Vincent Haddelsey In-4 oblong, format à l'italienne 1 vol. - 64 pages
très nombreuses reproductions en couleurs des tableaux sur le cheval de Vincent Haddesley 1ere traduction en français, 1978 Contents, Chapitres : Vincent Haddelsey (1934 29 August 2010) was an English painter - Haddelsey was born in Grimsby, England.[2] He came from a family of lawyers: his father, grandfather and great-grandfather all worked in the legal profession. His two grandmothers were gifted painters. Haddelsey went to school in Ampleforth in Yorkshire, England, but taught himself most of his art. In his work, he focuses in particular on landscapes and horses. In 1965 Haddelsey travelled to Mexico, where he intended to paint members of the Charros tribe. He took part in a rodeo and was as a result invited to become the member of a Mexican association of elite horsemen. In 1969 he won the Great Prize of Lugano for his naive art. In 1980, Vincent Haddelsey went on a journey to Inner Mongolia, where he studied and painted the Mongolian Pony. Various paintings resulted from this trip. In 1989 Vincent travelled to Chile staying with his cousin Margaret Lunt (nee Millen) whose husband John was stationed with the British Embassy as the Defence Attache. Vincent visited a number of Quasimodo horse gatherings and drew many sketches and pencil drawings of the riders and horses of Chile. Haddelsey died on 29 August 2010 in Paris, having suffered from dementia during the final years of his life. (source : Wikipedia) infime déchirure sans manque au bas du plat inférieur de la jaquette (0,2 cms), les bords du plat inférieur sont à peine insolés, la jaquette reste complète et en très bon état, intérieur sinon frais et propre, cela reste un bel exemplaire
A Paris, chez Gervais Clousier, 1648. 3 parties en 1 vol. in-4 de (8)-276 pp. ; (4)-179 pp. ; (4)-150-(6) pp., veau brun glacé, dos orné à nerfs, double filet doré sur les plats (reliure de l'époque).
Première édition du recueil des voyages de Vincent Le Blanc rédigé par Bergeron et Coulon à partir de ses mémoires. Vincent Le Blanc s'est certainement inspiré de relations authentiques, mais dans son livre la part du merveilleux et du romanesque est importante.Vincent Le Blanc (1554-v.1640) est présenté comme un voyageur marseillais qui se serait rendu à aux quatre coins du monde depuis l'âge de 12 ans jusqu'à ses 60 ans. L'ouvrage commence par son embarquement pour le port d'Alexandrie, sa première destination : Partis de Marseille, nous prîmes le vol d'Alexandrie, & eûmes le vent si favorable, que nous y arrivâmes en peu de jours. Il visite ensuite l'Asie (Bornéo, Inde, Birmanie, Indonésie), les Amériques (Pérou, Canada, Brésil, Mexique, Cuba, Antilles, etc.), le Moyen-Orient (Égypte, Syrie, Liban), l'Afrique (Éthiopie, Maroc, Libye, Mozambique, Zanzibar), les principaux pays européens. Ainsi, il nous donne les descriptions de chaque lieu visité.« Marchand, marin, mercenaire, Vincent Leblanc a quitté Marseille en 1567 pour soixante ans de voyages dans les quatre parties du monde. À son retour, il rédige de longs mémoires qu’il fait parvenir, non sans réticences, à Peiresc. Ce dernier en confie l’édition à Pierre Bergeron, qui les remanie, les enrichit de références, supprime les élucubrations de Vincent Leblanc niant la rotondité du monde et en fait un best-seller publié en 1640. Les mémoires autographes, conservés à la Bibliothèque nationale, sont eux-mêmes un feuilleté d’observations, de réminiscences livresques, de plagiats, un roman picaresque aussi, et construisent des pays utopiques aux marges du monde réel, « allotopies » comme le Pégou (Birmanie), résumé du monde indien, ou le Caramel (Paraguay), synthèse entre Brésil des Tupinambas et société inca. Ces royaumes et ces villes chimériques que l’éditeur n’a pas éliminés, parcelles d’un monde virtuel, passent dans le savoir géographique jusqu’au xixe siècle » (Henri Bresc).Bon exemplaire, trace mouillure marginale au début et à la fin du volume., coiffes restaurées.Gay, 218 ; Chadenat, 1149 ; Borba de Moraes, 460 ; Sabin, 39591 ; Leclerc, 861; Cordier B1, 122.
( Rock'n'Roll - Photographie - Tirages Argentiques ) - Vincent Eugene Craddock, dit Gene Vincent - les Champions.
Reference : 27033
(1771)
Superbe photographie originale en tirage argentique, en noir et blanc, au format 24 x 17,5 cm, représentant Gene Vincent entouré du groupe français " Les Champions ", pour son passage au Théâtre de l'Étoile, à Paris, en octobre 1962. A noter que ce fut le titre de gloire du groupe que d'accompagner Gene Vincent, puis Chuck Berry. Lors de cette tournée de Gene Vincent, le groupe était composé par Claude Ciari à la guitare solo, Alain Santamaria à la guitare rytmique, Benoît Kaufman à la basse) et Willy Lewis à la batterie. Photographie en superbe état avec au verso cachet " Photothèque Jean-Louis Rancurel ". Rare. Collection personnelle.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Autrement. 1979. In-8. Broché. Etat passable, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 206 pages. Couverture jaunie, coins frottés, étiquette en coiffe en pied. Adhésif. Quelques rousseurs. Tampon en page de sommaire. Salissures.. . . . Classification Dewey : 331-Métiers
"Sommaire: Derrière les ""discours"" comment vivent-ils? par Henry Dougier et Vincent Merle- Désenchantement plus qu'allergie par Vincent Merle- L'école puis l'usine...puis le mariage par Gérard Mauger- Jeunesse ouvrière: de qui s'agit-il? par Claude Fossé-Poliak- Les ""précaires"": petits dérives et grandes tendresses par Jean-Claude Baboulin- etc. Classification Dewey : 331-Métiers"
René Pons, Bonheur, poème manuscrit aquarellé et crayonné par Vincent Bioulès, non daté, le livre pauvre de Daniel Leuwers, collection « feuillet d’album », 1 double f. d’Arches, 16,2x6,1 cm. Édition originale. Exemplaire unique. 7 exemplaires manuscrits et peints, tous uniques. Celui-ci le 6/7. D’une insigne rareté, les livres pauvres, par essence, n’étant pas mis dans le commerce. C’est en 2002 que Daniel Leuwers (1944-), poète, critique d’art, professeur de littérature française à l’Université de Tours, grand amateur de René Char et des minuscules de PAB, crée le livre pauvre, en véritable chef d’orchestre d’une collection au départ construite autour de Stéphane Mallarmé, puis de Paul Valéry. La singularité du livre pauvre tient dans l’économie de moyens mis en oeuvre pour aboutir à un livre d’artiste à 2 mains le plus souvent : une feuille de papier pliée en deux ou en leporello, un texte original manuscrit autant de fois que nécessaire, de deux à sept exemplaires tout au plus, hors commerce, et une totale liberté octroyée à la rencontre entre poètes et peintres. Vincent Bioulès (1938-), membre fondateur du groupe Supports-Surfaces dont il a partagé quelques temps les démarches autour de l’abstraction radicale, s’en est affranchi au milieu des années 70 pour revenir à des motifs plus figuratifs : paysage urbains ou naturels, intérieurs, portraits qui restent les constantes de son oeuvre jusqu’à ce jour. On lui connait au moins une autre contribution au livre pauvre de Daniel Leuwers avec Frédéric-Jacques Temple. René Pons (1932-) est une figure importante de la littérature française des 20e et 21e siècles. Résidant aujourd’hui à Nîmes, après y avoir enseigné aux Beaux-Arts, il a publié à partir des années 60 une quarantaine d’ouvrages chez de grands éditeurs comme Gallimard, Actes Sud et Fata Morgana, avant de resserrer son activité sur les livres d’artistes, dont une soixantaine rien que pour les Éditions de Rivières. Sa participation à l’aventure des livres pauvres compte quatre réalisations avec Claude Viallat, Serge Lunal, Yuki et Vincent Bioulès. Bibliographie Daniel Leuwers, Richesse du livre pauvre, Gallimard Le Livre Pauvre / donation Daniel Leuwers, Musée Paul Valéry, Sète Exemplaire unique, des plus désirables, de ce livre pauvre manuscrit et aquarellé sept fois par RENÉ PONS et Vincent Bioulès.
[AVIATION] - [DECORATION INTERIEURE]. - ALBUM D'ECHANTILLONS POUR L'AMENAGEMENT DE "FRANCE", avion personnel de Vincent Auriol. - MAUNY, André (décorateur) & DEPORT, Jacques-Albert (conseiller technique). -
Reference : 187
4 volets rigides dépliants, écriture manuscrite. - Format d'un plat : 26 x 18,5 cm. - Echantillons de matériaux contrecollés sur 3 plats intérieurs : tapis velours, bois, tissus, tissus et cuirs des sièges. - Très bon état général (voir photos). -
Aménagement de « France », - avion personnel de Vincent Auriol, Chef de l’Etat -, par André MAUNY et Jacques-Albert DEPORT. - Carte d’échantillons des matériaux utilisés (tapis velours, bois, tissus, tissus et cuirs des sièges) utilisés pour les compartiments Ministre et Secrétaires de « France », avion personnel du Chef de l’Etat Vincent Auriol. - La date (1954) au 1er plat est erronée comme l’indique le reportage de presse, titré « Le nouveau char de l’Etat », paru début 1953 : l’aménagement de l’avion fut finalement réalisé en un temps record et « France » baptisé par le Président le 29 juillet 1952. ----« (…) Jusqu’en juillet dernier le chef de l’État français n’avait pas encore d’avion personnel. (…) Le Président voulait un appareil essentiellement français. En s’adressant pour sa construction à la S. N. C. A. S. O. et aux deux décorateurs André Mauny et Jacques-Albert Déport, il a vu se réaliser son rêve.L’avion de M. Vincent Auriol porte le nom de France.C’est un S. O. 30 Bretagne, à 2 moteurs de 2.400 CV. Il est de forme très sobre : en tricycle, sa carlingue est métallique, en aluminium décoré d’une bande bleue, il arbore le pavillon tricolore présidentiel aux initiales : V. A. Il peut transporter 16 passagers dont 6 hommes d’équipage, et pèse 19 t. 500. (…)A l’intérieur, l’appareil est divisé en trois pièces principales, plus les vestiaires, toilette et cuisine. La première est un salon réservé au Président de la République et à Mme Vincent Auriol. Il est meublé d’un divan immédiatement transformable en lit ; une tablette escamotable d’un modèle nouveau peut être utilisée comme table de travail. Deux fauteuils confortables sont installés en face du divan. L’ensemble du salon est tendu de gabardine ivoire, les rideaux sont en shantung, les meubles en sycomore garnis de tissu bouton d’or. Sur un petit meuble est installée une radio, non loin de là se trouve un nécessaire de toilette exécuté par la maison Hermès dont le dessin a été donné par les décorateurs. C’est un précieux coffret recouvert de box vert renfermant une brosserie à dos de macassar.Faisant suite au salon du Président, un deuxième salon est réservé au commandant du bord et aux personnalités accompagnant le chef de l’État. Un matériau précieux a été utilisé pour l’ameublement de cette pièce ; c’est un mélange heureux de frêne blanc et de maroquin vert. (…)Dans la troisième pièce, destinée à la suite du Président, s’alignent neuf fauteuils du type sleeperette de la compagnie Air France. Ils sont garnis de tissu havane.(…) MM. André Mauny et Jacques-Albert Déport, décorateurs de ce nouveau char de l’État, se sont connus en 1935, lorsque Mauny réalisa la décoration du Lieutenant-de- Vaisseau-Paris. Ils ont travaillé ensemble depuis 1941, réussissant, dans la clandestinité, à aménager des Latécoères 631, en particulier le Lionel-de-Marmier.Interrogés par nous, ils ont résumé à peu près en ces mots le rôle de décorateur d’avions : « Nous devons faire œuvre de stylistes en alliant le côté artistique au côté utilitaire ; un avion, pour nous, pose des problèmes de confort, d’aménagement, de climatisation, joints à des problèmes mécaniques tels que légèreté, résistance, incombustibilité, insonorisation ; nous sommes donc soumis à des servitudes immuables. »Pour la réalisation de l’avion France, MM. Mauny et Déport ont fait un véritable tour de force en achevant ce prodigieux travail en trois mois et demi. Ils ont dû tenir compte à la fois des exigences du constructeur qui pose ici des câbles de commande ou là des poutres gênantes, et des besoins du Président qui tient à se reposer pendant sa traversée et aussi à travailler dans le calme. C’est ainsi qu’ils ont dû lutter contre le bruit des hélices en même temps qu’ils ont aménagé avec le plus grand goût ce « petit appartement volant ». Rien de superflu, une décoration sobre dont la beauté tient dans le choix, la qualité des matériaux employés et aussi dans l’ordonnance des volumes. » (« Le nouveau char de l’Etat », par René Barotte, Plaisir de France, N°177, Janvier-Février 1953, pp.5-7). ---- Nous joignons copie de 2 photos illustrant l'article. ---- André MAUNY (1909-1990), fait ses études aux Arts Décoratifs puis entre en stage chez Jansen pour parfaire son apprentissage. En 1933, il ouvre sa boutique de décoration et tissus d’ameublement dans l’un des plus beaux bâtiments réalisés par Perret et Bigot au 25 bis rue Benjamin Franklin. Dès l’année suivante il gagne le concours aéronaval pour la décoration des premiers hydravions (Breguet « Saigon », latécoères 631…). Il travaille ensuite à l’aménagement intérieur de paquebots, puis pour Air France (notamment pour ses tissus et papiers peints, comme pour la moquette de son Concorde) et également pour la SNCF… Très bon état général (voir photos). - - -
Brussel, VdH Books , 2009 Gebonden, ge llustreerd karton in kleur, 295 x 295mm., 180pp., een en al kleurillustratie. **nieuwstaat! ISBN 9789088810121.
In het kunstenaarsboek ANITA experimenteren Vincent Geyskens en Bernard Dewulf met het boek als artistiek uitdrukkingsmiddel. Het beeldend werk van Vincent Geyskens (collages, tekeningen en ander beeldmateriaal) treedt doorheen het boek in interactie met woord en tekst van Bernard Dewulf.nnIn al hun dwarse, soms rauwe, vaak onaangepaste zinnelijkheid bestrijken Geyskens' collages thema's als: huid, fascisme, besmetting, erotiek, kunstmatig licht, pornografie, androgynie, het lichaam als experiment en mythe, de beeldcultuur als het origineel van een dubbelzinnige fictie.nnHet resultaat is een verzameling 'nieuwe beelden' met een grote, tegendraadse, even kwetsbare als soms agressieve sensualiteit, bestaande uit zeer uiteenlopende materialen - van knipsels tot fineerhout, van verf tot plastic.nnGeyskens heeft grote aandacht voor de materialiteit waarmee wordt gewerkt: scheuren, krassen, spuitsporen, vouwen enz. bouwen de werken op en leggen ze tegelijk bloot. Door die ingrepen wordt de fysieke realiteit van de vaak erotische beelden op een brutale manier verwoord. nBernard Dewulf zoekt in de taal naar een soort pendant van dit proces. In het volle besef dat de materialiteit en de tactiliteit van woorden wezenlijk verschillen van die van het beeld. De schrijver keert in deze teksten zijn gebruikelijke zinnelijkheid binnenstebuiten en laat de toon van de collages zijn taal beschermen In the art book ANITA, Vincent Geyskens and Bernard Dewulf experiment with the book as means of artistic expression. The visual work of Vincent Geyskens (collages, drawings and other visual material) runs through the book in interaction with the words and text of Bernard Dewulf. In their contrary, sometimes raw, often inappropriate sensuality, Geyskens' collages present themes such as: skin, fascism, infection, eroticism, artificial light, pornography, androgyny, the body as experiment and myth, visual culture as the original of a double-entendre fiction. The result is a collection of 'new images' with a large, contrary, simultaneously vulnerable and sometimes aggressive sensuality, consisting of a wide range of materials - from clippings to veneered wood, from paint to plastic. Geyskens is very attentive to the materiality that he is working with: tears, scratches, spray trails, folds, etc., build the work up and, at the same time, expose them. Those intrusions express the physical reality of the often erotic images in a brutal way. Bernard Dewulf's search is for a counterweight in language to this process. He does that in the full knowledge that the materiality and the tactility of words are essentially different from those of the images. In these texts, the writer turns his usual sensuality inside out and allows the tone of the collages to protect his language. Artistic Dutch texts by Bernard Dewulf. New.
[Paris, F. Buisson, an XIII-1804]. 598 x 840 mm.
Belle et grande carte de l'île de La Réunion, dessinée par Jean-Baptiste Bory de Saint-Vincent pour son Voyage dans les quatre principales îles des mers d'Afrique, fait par ordre du gouvernement, pendant les années neuf et dix de la République (1801 et 1802), et gravée par Alexandre Blondeau, graveur du Dépôt de la Guerre. Le 19 octobre 1800, le naturaliste et géographe Jean-Baptiste Bory de Saint-Vincent embarqua en tant que botaniste à bord de la goélette du capitaine Nicolas Baudin, Le Naturaliste, pour une expédition scientifique aux Terres Australes organisée par le gouvernement. Après des arrêts à Madère, aux Canaries et au Cap-Vert, puis après avoir franchi le Cap de Bonne-Espérance, l'expédition fit escale à l'île Maurice en mars 1801. Entré en conflit avec le capitaine Baudin, Bory de Saint-Vincent quitta l'expédition. De là, il rejoignit l’île de La Réunion voisine, où il effectua en octobre 1801 l'ascension et la première description scientifique générale du Piton de la Fournaise, le volcan actif de l'île. Il donna le nom de son ancien professeur Dolomieu, dont il venait d'apprendre la mort, à l'un des cratères qui s'était formé en 1791. Il donna son propre nom au cratère sommital, le cratère Bory. Sa carte de La Réunion, qu'il a dédiée au maréchal Berthier, ministre de la Guerre, est remarquable de précision, et très probablement la première carte de l'île de ce format. Bory de Saint-Vincent a non seulement détaillé les côtes, mais aussi l'intérieur des terres, ce qui n'était pas le cas des cartes publiées jusque là. L'auteur a représenté les nombreux pitons, les mornes, les monts, les plaines, les cavernes et bassins, repris dans la liste des 51 légendes. Il compara le Piton de la Fournaise à un mamelon, et le nomma Mamelon central. Bon exemplaire, replié. Quelques rousseurs.
Lugduni (Lyon), Apud Ant. Vincentium, M.D.LIII (1553), 1 volume in-12 de 175x105x55 mm environ, 1f.blanc, 40 ff. (titre en rouge et noir avec vignette à la marque de l'imprimeur Antoine Vincent)-1f.blanc-539 feuillets, 2ff.blancs, (un numéro pour 2 pages), plein veau brun de l'époque, dos à nerfs, titres à peine visible sur pièce de titre grenat, orné de fleurons aux entrenerfs et un motifs en losange au centre des plats (dorure en effacée). Exemplaire entièrement réglé, avec colophon en dernière page : Lugduni Excudebat Petrus Fradin, M.D.LV. Avec la Marque de l'imprimeur Antoine Vincent gravée sur bois et des Lettrines gravées sur bois. Sig. |-|||||8, a-z, A-O8, P4, Q-Y8, Aa-Yy8, (Yy8 le dernier feuillet réglé est un feuillet blanc). Reliure abimée avec manque de cuir sur le dos les coupes et les coins, des annotations manuscrites par endroits dans les marges et sur la page de titre, rares manques de papier, petites taches et cernes dans les marges, galeries de ver marginales en début et fin de volume (sans atteinte au texte). Rare impression lyonnaise réalisée par FRADIN pour Antoine VINCENT; Janus Cornarius (Johann Hainpol ou Hagenbut), ami d'Erasme, professeur de Médecine qui donna plusieurs traductions d'Hippocrate.
Marque dAntoine Vincent : avant-bras et main sortant dun nuage, entourés dun serpent se mordant la queue. La main tient un sceptre fleuri et deux rameaux en rinceaux, mention à gauche du sceptre « Vin / cin / ti. » Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Librairie de D. Dumoulin et Cie. 1880, 1 volume in-folio de 325x235 mm environ, 525 pages, 1f. (achevé d'imprimer), demi maroquin à coins rouge, titres dorés sur dos lisse, orné de d'entrelacs dorés, cuir souligné d'un double filet sur les plats, tranche de tête dorée, gardes marbrées, couvertures conservées. Edition tirée à 250 exemplaires sur papier vélin de Cuve. des Papeteries du Marais et de Sainte-Marie. Exemplaire N° 174, avec 14 chromolithographies sous serpentes légendées, et de nombreuses illustrations en noir. Quelques rousseurs légères sinon bon état.
Arthur Loth (1842-1927) est un historien français. Vincent de Paul ou Vincent Depaul, né au village de Pouy près de Dax le 24 avril 1581 et mort le 27 septembre 1660 à Paris, est une figure du renouveau spirituel et apostolique du XVIIe siècle français, prêtre, fondateur de congrégations qui uvra tout au long de sa vie pour soulager la misère matérielle et morale. Il a été canonisé en 1737. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
DONNAY Maurice, BONNEAU Dominique, YISPA Vincent, DELORME Hugues, WARNOD (André), MAC ORLAN Pierre, DORGELES Roland.
Reference : 17204
Joinville-Le-Pont, Laboratoires Carlier, 1938. 10 fascicules in-8, brochés sous couverture et chemise. Pagination continue 237 pp.
Chaque volume est illustré en noir et en couleurs. Illustrateurs : Jacques CAPON - DIGNIMONT - ZYG BRUNNER - H. MIRANDE - Lucien BOUCHER - Ensemble en parfait état, rare. Photos sur demande.
Paris, , Journel, , Paris, , Journel, 1684 ; in-12 , vélin ivoire de l’époque. - 18 ff. n. ch. [Titre, épître, préface, privilège], 188 pp., 32 ff. n. ch. [Remarques, table, catalogue Journel]. - EDITION ORIGINALE DE CETTE TRADUCTION du Commonitorium Peregrini de Vincent de Lérins. Elle est de Jean de FRONTIGNIERES qui a signé la dédicace à François de Harlay. Le traité de Vincent de Lérins avait été traduit une première fois par G. Ruzé en 1560 – Voir Graesse VI, p. 327 - Cioranesco 31889. In ne sait rien de Jean de Frontignières qui est aussi l’auteur de quelques poèmes, d’une traduction du livre d’Oexmelin sur les flibustiers et d’un roman intitulé La Puits de la Vérité. Vincent de Lérins, un Lorraain natif de Toul, fut moine de Lérins. « Venu, comme de nombreux autres moines de Provence, du Nord de la Gaule, Vincent a écrit son Commonitorium en 434 » (Dict. de Spiritualité). L’objet de ce traité, rédigé trois ans après e Concile d’Ephèse qui condamne le Nestorianisme, est de définir les critères de l’orthodoxie chrétienne. Ignoré au Moyen Age, le Commonitorium connut de nombreuses éditions aux XVIe et XVIIe siècles. « L’Eglise catholique s’appuie sur le canon lérinien pour consolider le concept de tradition, la Réforme pour faire le procès de l’innovation. Au XIXe siècle, le cardinal Newman contribuera à l’actualité de Vincent en faisant du traité une lecture quoi lui permet d’y trouver des bases pour l’œcuménisme » J.P. Weiss in Dict. de Spiritualité. Qualifié de Livre d’Or par le Père Labbe, ce livre est un guide pour préserver les fidèles de toutes les nouveautés en matière de foi. En matière de dogme, toute nouveauté est suspecte à moins qu’elle n’ait été définie dans un concile. Ex-libris manuscrit et imprimé de L. Neveu, frère du diocèse de Versailles (XIXe s.). - Quelques feuillets déreliés.
Grenoble, Vincent, s.d. (vers 1898), 1 broché, couverture illustrée. in-12 de 192 pages (2 derniers feuillets manquants), illustrations ;
Auguste Vincent, pharmacien à Grenoble.
Phone number : 06 80 15 77 01
A La Librairie Bloud et Gay 13 x 20 Paris 1927 In-8, broché, 284 pp. Nombreuses annexes. Planches photographiques hors texte. La Schola Cantorum, son histoire depuis sa fondation jusqu'en 1925. Note manuscrite sur la page de garde signée par l'auteur Vincent d'Indy : "Il a été tiré de cet ouvrage quinze exemplaires d'auteur sur vergé pur fil lafuma portant la signature du maître Vincent d'Indy - ex. n° 10." Edition originale. La Schola Cantorum a été fondée par Charles Bordes (1863-1909), Alexandre Guilmant (1837-1911) et Vincent d'Indy (1881-1931) à Paris en 1894-96. Lécole ouvrit officiellement ses portes le 15 octobre 1896 rue Stanislas, dans le quartier Montparnasse, avant de sinstaller définitivement, en 1900, dans le Quartier Latin, au 269 rue Saint Jacques, dans lancien couvent des Bénédictins anglais. Elle se donna en 1896 l'objectif de développer l'exécution du plain-chant selon la tradition grégorienne, la remise en honneur de la musique palestrienne, la création d'une musique religieuse moderne et l'amélioration du répertoire des organistes. L'Ecole se composa de cours élémentaires gratuits comprenant des classes populaires de solfège, de chant grégorien, de clavier, d'ensemble vocal, et de cours supérieurs payants. Pour d'Indy et les "Scholistes", le Beau s'enracine profondément dans la chrétienté médiévale, mais aussi dans les folklores régionaux. Son rayonnement et son influence fut considérable, même si son essor fut brisée par la guerre de 1914. Le succès de la Schola reposa sur les fortes personnalités de d'Indy et de Bordes, mais aussi "sur le dynamisme foisonnant qui dépassa largement les objectifs initiaux de ses fondateurs." L'ouvrage de 1927 marque une étape et représente une source essentielle pour l'histoire de la Schola, mais plus largement pour l'histoire des institutions musicales en France. (Source : "Etudier, enseigner et composer à la Schola Cantorum (1896-1962)", sous la direction de Sylvie Douche, Aedam Musicae, 2022. Usure d'usage à la couverture, intérieur frais, belle provenance. rare.
[RESEAU DU TOURISME NAUTIQUE DE L'ETAT]. VINCENT (René). RENE VINCENT.
Reference : 5776
(1925)
1925 1 Illustré de René VINCENT. P., Mayeux, éd., (1925), in-8, broché, couverture illustré en couleur.
Plaquette publicitaire adressée aux canoéistes et illustrée par René VINCENT.
VINCENT (René). REBOUX (Paul). LABORATOIRES PEPIN & LEBOUCQ. VINCENT (René).
Reference : 11223
(1930)
Courbevoie LABORATOIRES PEPIN ET LEBOUCQ 1930 1 Textes de Paul Reboux. Dessins de René VINCENT. Courbevoie, Laboratoires Pépin & Leboucq, (1930), in-4, en feuilles, sous chemise rempliée.
9 dessins de René VINCENT agrémentés d'un texte humoristique de Paul Reboux. Usures, petites piqures à la couverture, couverture légèrement insolée.
MUSEE NATIONAL VINCENT VAN GOGH AMSTERDAM Soft Cover New
122 PAGES-IN 4-PREFACE-NOTICE BIOGRAPHIQUE-VIE ET OEUVRE, PAR CASPER DE JONG-CITATIONS DES LETTRES DE VINCENT, SE RAPPORTANT AUX TABLEAUX-CITATION DES LETTRES DE VINCENT, SE RAPPORTANT AUX DESSINS-REPRODUCTIONS: TABLEAUX-REPRODUCTIONS: DESSINS ET AQUARELLES-(EM523)
lausanne Editions de L'Imprimerie Centrale 1933 1 Un volume de format petit in 8° de 76 pp. pour un exemplaire de librairie et de nouveau 76 pp. pour un exemplaire de Presse. les couvertures sont conservées. Une lettre manuscrite signée de Maurice Porta jointe. Reliure de l'époque en pleine toile orange; pièce de titre noire; titre doré;
Des.mentions manuscrites de plusieurs mains, sur le faux-titre, précisent que cette comédie en un acte a été jouée et reprise plusieurs fois de 1932 à 1936 en Suisse.La reliure est un peu défraichie; sinon bel état. Voir les photographies.Peu fréquent.
Avant-propos par le Duc de Noailles, président de "La Demeure Historique". 33 planches et 11 pages de texte par Jean Vincent. Edition tirée à 1950 exemplaires sur Alfa des papèteries Navarre. Celui-ci N°984.A Paris, chez l'Auteur - 1937.Pages volantes sous chemise cartonnée. Porte-feuille cartonné avec dos toilé et lacet de fermeture. Dos frotté sur toute la longueur avec de petites déchirures. Titre doré sur le premier plat imprimé. Pas de rousseur. Bon état. Format in-folio (40x46) à l'italienne.
VINCENT Jean
Grevet Yves Grevet Yves Hinckel Florence Hinckel Florence Trébor Carole Trébor Carole Villeminot Vincent Villeminot Vincent
Reference : DHD76AP
ISBN : 9782092567180
BORY DE SAINT-VINCENT, Jean-Baptiste (1778-1846) à TRISTAN, Flora (1803-1844)
Reference : 3019
Une correspondance adressée à la femme de lettre féministe socialiste française, l’une des figures majeure du socialisme utopique du XIXe siècle, Flora Tristan (7 avril 1803 – 14 novembre 1844)Ensemble de 5 lettres adressées à Flora TRISTAN, formant 9 pages in4, in8 et in12, Alger, Paris et s.l, 1838-1842 et s.d.Adresses aux versos des seconds feuillets avec marques postales.Bory de Saint Vincent écrit ces lettres à Flora Tristan alors qu’elle a déjà pris contact avec Charles Fourier et travaille à son maître ouvrage.Elle publie en 1838 « Méphis » en deux volumes et vient de survivre à une tentative d’assassinat en 1839 par son ex-mari. Ses « Promenades dans Londres » en 1840 lui ont fait prendre conscience du prolétariat anglais l’amenant à publier en 1843 l’union ouvrière dans lequel se trouve cet adage célèbre « Prolétaires de tous les pays unissez vous ».La rencontre qu’elle fit avec Prosper Enfantin, qu’évoque Bory de Saint Vincent, eut une influence considérable sur la nature de ses réflexions.Bory de Saint Vincent va le lui présenter lors d’un dîner philosophique. Il évoque leurs « explorations ethnologiques » à Oran et ajoute « Je doute qu’il s’occupe encore de faire du saintsimonisme et des Religions. Il donne dans le positif, anime beaucoup de tables [...] ».
« Très belle paria,que pensez vous de moi, sinon que je puis vous oublier ? »Si vous aviez cependant une petite idée de votre valeur, vous n’auriez pas de ces idées là. Depuis que je vous ai vu, j’ai été non seulement fort occupé, mais un peu indisposé et ne suis presque pas sorti. Je ne voulais pas vous porter une figure blème, une humeur triste, bref tous les symptômes d’un malade. Ce temps là me tue au moral et au physique. Il me faudrait de la chaleur, du soleil, et vos beaux yeux pour me remettre. (…) » (sd, 42 ?). « Très aimable philosophe, (...) ». « Belle gazelle, vous voyez que je suis bien occupé, non seulement pour ne pas avoir été vous voir encore dans votre cherche-midi, mais encore pour demeurer à Paris aujourd’hui, où mes enfants voudraient que pour profiter des vacances, je les conduisisse à la campagne. Je ne puis en vérité de quinze jours encore aller de vos cotés. »BORY DE SAINT-VINCENT, Jean-Baptiste, naturaliste, aventurier, grand voyageur et soldat a eu plusieurs vies, après plusieurs publications savantes, il s’engage dans les armées de la révolutions en 1799, participe a une campagne scientifique en Australie, a la suite de pérégrinations chaotiques on le retrouve dans l’ile de la Réunion où en 1801 il commet la première ascension scientifique du Python de la fournaise. Il est de retour en France en 1802, il s’engage comme capitaine, en tant que dragon de régiment de cavalerie, il suivra la plupart des campagnes napoléoniennes, Austerlitz, Iéna, Friedland.Il continue parallèlement à se livrer à cette révolution scientifique.Il continue parallèlement à se livrer à cette révolution scientifique. Actif pendant les 100 jours, il est balayé par le retour de Louis XVIII.Écarté de tout poste de responsabilité, il se décide en 1822 à rédiger son dictionnaire d’histoire naturelle en 17 volumes.En 1829, il fait partie de l’expédition de Morée, ses descriptions scientifiques d’une extrême importance et d’une qualité inédite jusqu’alors lui valent un retour aux affaires publiques.Il combat sur les barricades du Faubourg St germain et à l’Hôtel de ville.Après les trois glorieuses Bory est enfin après 15 ans réintégré dans l’armée à son grade de colonel. Élu député en 1831, il est finalement élu membre de l’académie des science en 1834.En 1839, il prend la tête d’une commission d’exploration scientifique en Algérie afin d’établir des travaux de même type que ceux en Égypte et en Morée.Bory décède à Paris en 1846.Notons également que Bory fut l’un des concepteurs de la théorise transformiste de Lamarck, défenseur de la génération spontanée, il fut un opposant de premier plan à l’esclavagisme, Victor Schoelcher le site comme l’un de ses soutiens en faveur de l’abolition.
BORY DE SAINT-VINCENT, Jean-Baptiste (1778-1846) à TRISTAN, Flora (1803-1844)
Reference : 3129
Une correspondance adressée à la femme de lettre féministe socialiste française, l’une des figures majeure du socialisme utopique du XIXe siècle, Flora Tristan (7 avril 1803 – 14 novembre 1844)Ensemble de 5 lettres adressées à Flora TRISTAN, formant 9 pages in4, in8 et in12, Alger, Paris et s.l, 1838-1842 et s.d.Adresses aux versos des seconds feuillets avec marques postales.Bory de Saint Vincent écrit ces lettres à Flora Tristan alors qu’elle a déjà pris contact avec Charles Fourier et travaille à son maître ouvrage.Elle publie en 1838 « Méphis » en deux volumes et vient de survivre à une tentative d’assassinat en 1839 par son ex-mari. Ses « Promenades dans Londres » en 1840 lui ont fait prendre conscience du prolétariat anglais l’amenant à publier en 1843 l’union ouvrière dans lequel se trouve cet adage célèbre « Prolétaires de tous les pays unissez vous ».La rencontre qu’elle fit avec Prosper Enfantin, qu’évoque Bory de Saint Vincent, eut une influence considérable sur la nature de ses réflexions.Bory de Saint Vincent va le lui présenter lors d’un dîner philosophique. Il évoque leurs « explorations ethnologiques » à Oran et ajoute « Je doute qu’il s’occupe encore de faire du saintsimonisme et des Religions. Il donne dans le positif, anime beaucoup de tables [...] ».
« Très belle paria,que pensez vous de moi, sinon que je puis vous oublier ? »Si vous aviez cependant une petite idée de votre valeur, vous n’auriez pas de ces idées là. Depuis que je vous ai vu, j’ai été non seulement fort occupé, mais un peu indisposé et ne suis presque pas sorti. Je ne voulais pas vous porter une figure blème, une humeur triste, bref tous les symptômes d’un malade. Ce temps là me tue au moral et au physique. Il me faudrait de la chaleur, du soleil, et vos beaux yeux pour me remettre. (…) » (sd, 42 ?). « Très aimable philosophe, (...) ». « Belle gazelle, vous voyez que je suis bien occupé, non seulement pour ne pas avoir été vous voir encore dans votre cherche-midi, mais encore pour demeurer à Paris aujourd’hui, où mes enfants voudraient que pour profiter des vacances, je les conduisisse à la campagne. Je ne puis en vérité de quinze jours encore aller de vos cotés. »BORY DE SAINT-VINCENT, Jean-Baptiste, naturaliste, aventurier, grand voyageur et soldat a eu plusieurs vies, après plusieurs publications savantes, il s’engage dans les armées de la révolutions en 1799, participe a une campagne scientifique en Australie, a la suite de pérégrinations chaotiques on le retrouve dans l’ile de la Réunion où en 1801 il commet la première ascension scientifique du Python de la fournaise. Il est de retour en France en 1802, il s’engage comme capitaine, en tant que dragon de régiment de cavalerie, il suivra la plupart des campagnes napoléoniennes, Austerlitz, Iéna, Friedland.Il continue parallèlement à se livrer à cette révolution scientifique.Il continue parallèlement à se livrer à cette révolution scientifique. Actif pendant les 100 jours, il est balayé par le retour de Louis XVIII.Écarté de tout poste de responsabilité, il se décide en 1822 à rédiger son dictionnaire d’histoire naturelle en 17 volumes.En 1829, il fait partie de l’expédition de Morée, ses descriptions scientifiques d’une extrême importance et d’une qualité inédite jusqu’alors lui valent un retour aux affaires publiques.Il combat sur les barricades du Faubourg St germain et à l’Hôtel de ville.Après les trois glorieuses Bory est enfin après 15 ans réintégré dans l’armée à son grade de colonel. Élu député en 1831, il est finalement élu membre de l’académie des science en 1834.En 1839, il prend la tête d’une commission d’exploration scientifique en Algérie afin d’établir des travaux de même type que ceux en Égypte et en Morée.Bory décède à Paris en 1846.Notons également que Bory fut l’un des concepteurs de la théorise transformiste de Lamarck, défenseur de la génération spontanée, il fut un opposant de premier plan à l’esclavagisme, Victor Schoelcher le site comme l’un de ses soutiens en faveur de l’abolition.
S.n., Paris 2 Septembre 1941, 13,5x21,5cm, une feuille.
Lettre autographe signée du compositeur Vincent Scotto, adressée depuis Marseille, à son grand ami l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rim qui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob (16 lignes et à l'encre bleue) à propos d'un projet commun de réalisation avec le directeur des Bouffes parisiens Albert Willemetz, Raimu, Carlo Rim et Vincent Scotto. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. "Mercredi le 2 septembre 1941, Mon cher Carlo, as-tu vu Raimu ? Je pars vendredi matin pour Paris, j'aurais aimé avoir une réponse. Voici une nouvelle lettre de Willemetz pour toi. J'espère que tu seras content de ton collègue Vincent. Cordialement à ta femme et toi. V. Scotto." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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