Reliure toile, 25X16 cm, 1967, 508 pages, 24 illustrations en noir, éditions Honoré Champion. Deux pages avec un petit froissement en marge et quelques croix au stylo sans gravité, bon état.
Broché, 21X13 cm, 1984, 274 pages, collection Unichamp, éditions Champion. Frottement en bas du dos, bon état.
Broché, 16X13 cm, 1958, 222 pages, illustrations en noir, collection poètes d'aujourd'hui, éditions Seghers. Quelques petites marques d'usage, bon état.
Paris, Union latine d'éditions, 1950. 2 vol in-8 carré sous étui bordé, rel. plein-maroquin brun, dos à 2 larges nerfs, titre doré en long, portrait à froid au centre du 1er plat, tête dorée ; 175 et 193 pp., lettrines, nb. vignettes in-t., eaux-fortes h.-t. par Paulette Humbert, glossaire, tables. Edition de luxe sur vélin filigrané des Papeteries d'Arches, tirage limité à 2500 ex. numérotés.
Dos lég. insolé, étuis un peu frottés, bel ex. au demeurant. - Frais de port : -France 8,45 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
Edito-Service, Genève sans date. 2 volumes en feuilles 31 x 24, couvertures illustrées rempliées, double emboîtage titré au dos de la chemise. Petit accroc à l'étui, à peine insolé en bord 126 compositions en sépia de Henri Matisse, et leur suite.
Fac similé de l'édition de luxe publiée par Albert Skira en 1948 avec des lithographies originales, notre exemplaire en comportant la suite. Précieux reprint à portée de (presque) tous.Autre exemplaire à prix adouci avec quelques traces d'usures à l'intérieur. Dans la même série à des prix divers au fil des saisons :BUFFON & PICASSO : Eaux-fortes originales pour des textes de Buffon *MALLARMÉ Stéphane & MATISSE : Poésies *OVIDE & PICASSO : Les métamorphoses *RABELAIS & DERAIN : Pantagruel [Les horribles et espovantables faictz et prouesses du très rennomé Pantagruel roy des dipsodes fils du géant Garguantua] *RONSARD & MATISSE : Florilège des amours * > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
Genève, Droz, 1965 Fort et grand in-8, rel. d’éditeur toile beige, 398 et 380 pp., index (Travaux d'Humanisme et Renaissance, n°LXXIII).
Toile très lég.marquée, bon exemplaire. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Broché, 19X12 cm, 1982, 285 pages, édition établie par Paul Laumonier, illustrations en noir, tome IV des oeuvres complètes, librairie Nizet. Nom en première page, bon exemplaire.
Complet en deux volumes brochés sous étuis, 22X17 cm, 1950, 172+193 pages, eaux-fortes originales de Paulette Humbert, un des 2500 exemplaires numérotés sur vélin filigrané des papeteries d'Arches, union latine d'éditions. Non coupé, très bon état.
D’après Jean-Paul Barbier, Ma bibliothèque poétique, cet exemplaire réunissant cinq œuvres rarissimes de Pierre de Ronsard en reliure du XVIIIe siècle serait le seul connu. A Paris, chez Gabriel Buon, au clos Bruneau, à l’enseigne S. Claude, 1563. In-4 de 10 ff., signés A à B par 4 et C par 2. Soit: «A ma connaissance, cet exemplaire est le seul connu (voir Barbier, 4, n°45) d’un premier état de la seconde famille des éditions de 1563, qui se caractérise par: Le privilège au verso du feuillet 10 (et non au verso du titre). Un plus grand nombre de vers par page, de telle sorte que le texte se termine au recto du feuillet 10 et non au verso. Le décalage du début des strophes à droite» (Jean-Paul Barbier). Plein veau marbré, dos lisse richement orné, tranches rouges, coiffe supérieure restaurée. Reliure vers 1740. 214 x 133 mm.
Selon Jean-Paul Barbier, un seul exemplaire connu: le sien, «lavé, en reliure moderne, 205 mm de hauteur». Le présent exemplaire, le second connu «non lavé, en reliure ancienne, hauteur 214 mm». Premier état rarissime – de la secondefamille des éditions de 1563 de la «Continuation du Discours des Miseres de ce temps». «Cette édition de 1563 ne diffère de la première de 1562 que par la date» mentionne Tchemerzine. «Ces éditions originales renferment un certain nombre de vers que ne donne pas la collection des œuvres, imprimées en 1584 et depuis. Dans ces discours en vers, l’auteur retrace avec une énergique éloquence les maux que les calvinistes occasionnèrent à la France, sous la minorité de Charles IX; ce qui lui attira de la part des partisans de la réforme de violentes réponses» (Brunet). Dans la Continuation du Discours des Miseres de ce temps Ronsard monte au créneau pour défendre le parti catholique mais surtout l’unité de la France alors emportée dans la tourmente depuis le massacre de Vassy (1562). Adversaire de Théodore de Bèze, mais aussi critique des défaillances internes de l’église, Ronsard s’engage dans la lutte polémique, où il souffrit maints pamphlets. Mal à l’aise peut-être dans ces rivalités sans fin, mais forcé malgré lui de prêter sa plume au parti du roi, le poète produit conjointement ces épîtres politiques en vers et des poèmes à la nouvelle Genèvre. Le «poète royal» entre en action et procure ici 14 discours très variés, tous marqués d’une forte rhétorique délibérative, et d’un mélange de tons, noble et familier. Ronsard tour à tour morigène, exhorte, déplore, conseille et flatte ses lecteurs multiples en s’adressant à leur conscience pour les inviter à agir, c’est-à-dire, pour le poète, à respecter l’ordre ancien. - Suivi de: Ronsard, Pierre de. Institution pour l’Adolescence du Roy tres chrestien Charles Neuvième de ce nom. A Paris, chez Gabriel Buon, 1564. Seuls 4 exemplaires recensés par J.P. Barbier. 6 feuillets signés A par 4 et B par 2. Il y a 26 vers à la page courante, 16 vers à la première page de texte et 14 vers à la dernière page (dans les trois éditions de 1563, on avait 18 vers à la première page, ce qui retranchait deux vers à la dernière page, les pages courantes restant les mêmes. Il y a une réclame au verso du feuillet 4. «A ma connaissance, c’est la seule édition datée de 1564. J’en ai recensé quatre exemplaires: à Harvard, à la Bibliothèque nationale, à la Bibliothèque de l'Institut, et celui-ci (Barbier 4, n°19)». (Jean-Paul Barbier). L’exemplaire Barbier, l’un des quatre connus, est lavé, en reliure moderne, hauteur 205 mm; le présent exemplaire non lavé, en reliure ancienne, mesure 214 mm. Les conseils prodigués par le poète au roi de onze ans qu'il aima tant et dont la mort prématurée le laissa plus tard inconsolable s'inspirent largement d'une épître latine que le futur chancelier Michel de l'Hospital avait adressée au frère de Charles IX, François II, en 1559 («De sacra Francisci II. Galliarum regis initiatione... »), et de la traduction de cette épître par Joachim du Bellay («Discours sur le sacre du treschrestien Roy Françoys II... »). Bien que cette pièce soit rangée parmi les discours politiques du Vendômois (et bien qu'on y trouve le conseil de punir les séditieux), les querelles suscitées par la religion n'y sont guère évoquées. L'Institution fut composée à l'époque du Colloque raté de Poissy, en automne 1561. S'inscrivant dans la tradition des conseils prodigués par Erasme au jeune Charles-Quint et par Budé à François Ier, démarquant parfois mot pour mot les déclarations et mises en garde proférées par le bon L'Hospital, l'Institution, composée «en moraliste, non pas en pamphlétaire » (R. Aulotte, in Renaissance Studies in Honor of I. Silver : 37), ne contient pas d'idées puissamment originales. Mais le ton vigoureux qui caractérisera les Discours de 1562-1563, le sens de l'harmonie, la vivacité et l'élévation d'esprit du poète éclatent déjà dans le premier vers, où sont résumés tous conseils donnés plus loin : « Sire, ce n'est pas tout que d'estre Roy de France,... ». - Suivi de: Ronsard, Pierre de. Elegie de P. de Ronsard Vandomois, sur les troubles d’Amboise, 1560. A. G. des Autels Gentilhomme Charrolois. A Paris, chez Gabriel Buon, au clos Bruneau à l’enseigne S. Claude, 1563. Unique exemplaire répertorié. 6 feuillets, signés A par 4.et B par 2. Unique édition et seul exemplaire répertorié contenant 28 vers à la page pleine. L’édition originale rarissime de 1562 contient 27 vers à la page pleine. «L’élégie sur les troubles d’Amboise a paru pour la première fois dans l’édition collective de 1560 (tome III, Cinquième Livre des Poèmes, du f. 215 verso au feuillet 219 verso). C’est le premier des discours politiques de Ronsard, dont on constate la modération extrême. On sait qu’en 1560 le poète avait recommandé de s’opposer au péril que représentait la Réforme. Cet ennemi qui se trouvait alors partout dans la population, ce séditieux qui avait tenté un coup de main contre le château d’Amboise où résidait la famille royale, il fallait «par livres l’assaillir, par livres luy respondre». En 1562, alors que la guerre civile menace, le Vendômois fait réimprimer son poème en plaquette. Et il persiste à recommander l'usage des livres pour seuls moyens de répression. J’ai découvert l'exemplaire apparemment unique de cette version à la Bibliothèque Publique et Universitaire de Genève (Barbier 4, n°1). Mais le 1er mars 1562, l’échauffourée de Vassy met le feu aux poudres. Saisissant ce prétexte, les chefs protestants, bouclent leur cuirasse et le poète modifie son conseil. Le rebelle mérite un autre traitement; il faut «par armes l’assaillir, par armes lui respondre». C'est le texte que l'on trouve ici. C'est celui que le seul Buon réimprimera durant la première guerre de religion. L’exemplaire Jean-Paul Barbier mesure 206 mm, celui-ci 214 mm. - Suivi de: Ronsard, Pierre de. Remonstrance au peuple de France. A Paris, chez Gabriel Buon, au clos Bruneau à l’enseigne S. Claude, 1564. 16 feuillets signés A à D par 4. Il y a 28 vers à la page courante, 24 vers au f (I) v°, et 8 vers au f. 16 v°. Il y a des réclames au dernier feuillet des cahiers A, B et C. Le début des strophes est décalé à droite. Seule édition recensée à la date de 1564 (voir Barbier 4, n° 57). Elle est semblable à l’édition dont j’ai fait la « quatrième famille » des éditions de 1563, à cette différence que le début des strophes est décalé à droite, et non à gauche. La « quatrième famille » de 1563 se caractérise par la suppression du cahier E, composé de deux feuillets, le texte commençant désormais au verso du titre, et le privilège étant repoussé au verso du feuillet 16, où il est casé après la fin du poème. Par ailleurs, on y observe la correction du vers où Ronsard reproche à Condé d'avoir envoyé son frère Antoine de Navarre à la mort (voir Notice N°37, deuxième vers du f. 15 v°, reproduit). Ici, on lit cette version banalisée (f. 14 v°, vers 22, reproduit ci-dessus à droite) : « Vostre frere avant l'age au sepuichre envoyé... ». L’exemplaire Jean-Paul Barbier, lavé, en reliure moderne, mesure 205 mm; celui-ci, non lavé en reliure ancienne, mesure 214 mm. - Suivi de: Ronsard, Pierre de. Responce de P. de Ronsard Gentilhomme Vandomois, aux injures et calomnies, de ie ne sçay quels Predicans, & Ministres de Geneve. A Paris, Chez Gabriel Buon, au clos Bruneau, à l’enseigne S. Claude. 1563. 26 feuillets signés a à f par 4 et g par 2. Il y a 28 vers à la page courante, 16 au feuillet 3 v°. Il n'y a pas de réclame à la fin des cahiers. « D'après mes recherches (Barbier : 145SS.), il existe trois familles (chacune comportant des états différents) d'éditions de cet ouvrage données en 1563 par Buon, éditeur officiel choisi par Ronsard. Cet exemplaire appartient à la troisième famille. Brièvement on peut résumer la situation ainsi : a) première famille Il n'y a pas de manchette en marge du feuillet 12 r°, et on trouve au vers 16 du feuillet 22 r° : « Et plus vous mesprisés... » (pour : « m'espuisés »). Le deuxième état a pour titre de départ au feuillet 2 r° «Epistre », au lieu de « Epistre au lecteur ». Enfin, le poème « In laudem Ronsardi » ne se trouve pas au verso du feuillet 26 dans le premier état. b) deuxième famille Le dernier mot de la deuxième ligne du transport du privilège, au verso du feuillet I, est coupé ainsi : « calom- », alors que l'on trouvera « calomnies » dans la troisième famille. De même au feuillet 2 r° le dernier mot est « t'imprimer » («une marque» dans la troisième famille). Enfin, au feuillet 25 r° la dixième ligne se termine par « seul-» (« seule -» dans la troisième famille). c) troisième famille (J'y ai englobé l'édition de 1564, malgré quelques minuscules différences avec la dernière édition de 1563). On y trouve les différences signalées ci-dessus (description de la deuxième famille) et d'autres variantes orthographiques ou textuelles comme : « Or ce Dieu tout puissant... » au lieu de « Or ce Dieu tout parfait... » au vers 7 du feuillet 10 r° dans les éditions des première et deuxième familles. On doit aussi signaler la présence dans le Bulletin de la Librairie Morgand (VIII, 1898-1899, n° 33269) d'un exemplaire portant la date de 1562. Comme la mort du duc de Guise, à laquelle Ronsard se réfère, survint en 1563, on peut douter de l'exactitude d'une telle indication. Ce poème est l'avant-dernière apostrophe de Ronsard aux protestants, la dernière étant 1'Epître qui ouvre le Recueil des Nouvelles Poésies. Il répond ici à trois «petits livres » qui ont été « segrettement composez deux moys au paravant par quelques ministreaux... et depuis... imprimez à Orleans contre moy ». Je décris plus loin mon exemplaire du pamphlet protestant, effectivement divisé en trois parties, dont la première était signée A. Zamariel (pseudonyme d'Antoine de la Roche-Chandieu, Zamariel signifiant « chant de Dieu » en hébreu), tandis que les deuxième et troisième étaient l'œuvre d'un certain B. de Mont-Dieu, dans lequel il faut certainement voir Bernard de Montméja « ia » signifiant également « Dieu » dans la langue hébraïque. Ajoutons que Chandieu et Montmejà, dont l'opuscule s'intitulait : Response aux calomnies contenues au Discours et Suyte du Discours sur les Miseres de ce temps… entendaient se venger des attaques lancées par Ronsard contre leurs coreligionnaires dans les Discours des Misères de ce temps. Ce qui est remarquable dans la Réponse décrite ici, c'est le ton de dignité adopté par le poète. Après un début sarcastique après avoir réfuté les accusations portées contre sa personne, il transporte le débat sur le plan de l'histoire de la littérature avec une hauteur extraordinaire mais sans aucune morgue […]. Voilà qui témoigne déjà d'une personnalité exceptionnelle. Mais que dire de la manière dont le maître se défend de l'accusation de lasciveté portée, non sans quelques motifs, contre lui ? Un autre se serait embrouillé dans de fumeuses dénégations, tentant d'expliquer que sa tonsure ne lui interdisait pas d'écrire des vers amoureux, qu'il n'avait pas été ordonné prêtre malgré ses cures et ses abbayes, etc. Au contraire, avec la plus parfaite aisance et cette fraîcheur de ton qui marque tant de sonnets dédiés à Marie, notre poète explique simplement comment se passe une de ses journées... C'est un récit exquis, trop long à reproduire ici, malheureusement, mais que je compte au nombre de mes vers préférés. Je n'en donne qu'un échantillon : « Jayme à faire l'amour, j'ayme à parler aux femmes, A mettre par escrit mes amoureuses flammes, J'ayme le bal, la dance, et les masques aussi, La musicque et le luth, ennemis du souci. Puis quand la nuit brunette a rangé les estoilles Encourtinant le ciel et la terre de voilles, Sans soucy je me couche, et là levant les yeux, Et la bouche et le cueur vers la voute des cieux, Je fais mon oraison, priant la bonté haute De vouloir pardonner doucement à ma faute ». (f. 13 v°). L’exemplaire J.P. Barbier mesure 189 mm de hauteur, le présent exemplaire, 214 mm. Précieux et remarquable volume dans lequel un amateur de littérature précieuse réunit vers 1740 cinq œuvres de Pierre de Ronsard imprimées en 1563 et 1564 qui étaient déjà à l’époque d’une insigne rareté et dont Jean-Paul Barbier qualifie certaines «d’unique exemplaire connu». L’exemplaire relié vers 1740 est à grandes marges – une œuvre dépasse de 25 mm celle de J.P. Barbier - et non lavé – (rares taches et traces d’anciennes mouillures; déchirure marginale sans manque de texte aux deux derniers feuillets de la cinquième œuvre.)
Les Amours de Ronsard, conservé dans sa reliure ancienne du XVIIe siècle. Paris, veuve Maurice de la Porte, 1553. In-8 de (8) ff. avec 3 portraits en buste : Ronsard, Cassandre et Muret, 262 pp. (mal ch. 282), (1) f. Plein veau brun granité, filet à froid autour des plats, dos à nerfs richement orné, mors supérieur restauré, pièce de titre en maroquin rouge, tranches jaspées rouges. Reliure française du XVIIe siècle. 156 x 96 mm.
Seconde édition originale de deuxième émission (sur trois) de l’œuvre majeure de Ronsard. C’est dans cette édition que paraît pour la première fois la fameuse Ode à Cassandre : « Mignonne, Allon Voir si la Rose », l’un des plus beaux poèmes de la littérature occidentale (page 266). J.P. Barbier, Ma bibliothèque poétique, II, pp. 36 à 41 ; Tchemerzine, V, 421; A. Péreire, Bibliographie des œuvres de Ronsard « Bulletin du Bibliophile », 1937, pp. 352-360. « Cette odelette ravissante et peut-être le plus célèbre des poèmes du Vendômois... Ronsard l'a placée à la fin de ces ‘Amours’, comme on place une pointe particulièrement réussie à la fin d’un sonnet. Le recueil entier se trouve rehaussé, d’être si merveilleusement clos. » J. P. Barbier. La première édition fut publiée l'année précédente, en 1552. Le recueil de 1552 comprend 183 sonnets, une « Chanson » et une « Amourette ». Il connut un grand succès et fut réédité sept mois plus tard, diminué de deux sonnets, augmenté de 39 autres inédits, d’une «Chanson» et de quatre odes, et accompagné d’un très riche commentaire que l’humaniste Marc-Antoine de Muret avait rédigé pour mettre l’érudition ronsardienne à la portée du lecteur. « Dans cette édition des «Amours», impr. en 1553 se trouve le sonnet que Mellin de Saint-Gelais adressa à Ronsard après leur réconciliation». (Brunet) « Cette deuxième édition des ‘Amours’ est précieuse, non seulement pour les sonnets et pièces inédits qu'elle contient, mais parce que parmi ces pièces se trouvent deux œuvres célèbres : le Voyage aux Iles Fortunées, et surtout l'Ode à Cassandre ‘Mignonne, allon voir si la rose... ‘. Et puis il y a le commentaire de Muret, inédit lui aussi, qui mettait d'un seul coup le poète de 29 ans au rang des auteurs classiques, puisque son œuvre méritait d'être abondamment expliquée aux lecteurs non avertis, que tant de nouveautés et de si savantes allusions mythologiques auraient pu dérouter ». Jean-Paul Barbier. Ce recueil a pour inspiratrice une femme réelle, Cassandre Salviati, fille d'un banquier florentin établi à Blois. Ronsard la rencontra à un bal de la cour en 1545. Elle se maria peu de temps après, échappant sans doute aux prises du poète. « Il ne faut pas lire ‘Les Amours’ comme une œuvre autobiographique, mais comme le journal d'une vie amoureuse rêvée. Cette œuvre appartient à la mode naissante des « canzoniere » pétrarquistes. C'est dire que le projet amoureux est élevé, ambitieux et quelquefois désespéré. Dans le prolongement de la tradition courtoise, l'amant considère la belle comme un être absolu, lieu de beauté de ravissement, lieu aussi d'une cruauté qui peut se manifester sans justification. Il se partage entre l'admiration, l'obéissance et le reproche. Une telle matière requiert un style « haut », riche en figures, dans lequel Ronsard se montre plus souvent grand poète qu'imitateur précieux. Les ‘Amours’ sont redevables aussi à la tradition du néoplatonisme finicien : l'amour est une des ‘fureurs’ qui permettent à l'âme de retrouver l'Un, son lieu d'origine ; dans la sérénité, la femme conduit l'amant à la Beauté. Mais, chez Ronsard, ces inspirations sublimées ne sont pas sans contrepartie. Violemment sensuel, l'amant de Cassandre est l'un des rares poètes pétrarquistes à revendiquer les droits de la chair. Il use ainsi de propos sans équivoque et d'images audacieuses. Définir ‘Les Amours’ de 1552-1553 comme abstraits, précieux et conventionnels, c'est ne les avoir lus qu'en surface. Ils révèlent au contraire un amoureux fou, pressé de rompre avec cette introversion qu'aimait le soupirant-transi : poésie sauvage sous un vêtement d'apparat. » L’édition originale de 1552 est fort rare et très difficile à trouver en condition d’époque. Aussi les amateurs se contentent-ils d'exemplaires en reliure moderne. La seconde originale de 1553 «en reliure ancienne», est, elle aussi, très difficile à trouver. Imprimée en caractères italiques pour les vers et en caractères romains pour la prose, cette élégante édition est ornée des beaux portraits gravés sur bois de Ronsard, Cassandre et Muret. « The woodcut portraits of Ronsard and Cassandre, with Greek verses by Baïf on the bottom, generally attributed to Jean Cousin, were in fact drawn by Nicolas Denisot (see the poem addressed to him by Ronsard on p. 210). They were already printed in the first edition of 1552 and are regarded as the first example of an effigy of a living poet portrayed cheek by jowl with his love ». Précieux exemplaire conserve dans sa reliure française du XVIIe siècle en veau brun granité.
1949-1966, in-12 brochés Oeuvres complètes VII, Ronsard Oeuvres complètes XI, Ronsard Oeuvres complètes XVII, 1ère partie, Ronsard Oeuvres complètes XVII, 2ème partie, Ronsard Oeuvres complètes XVII, 3ème partie, Ronsard Le second livre des Amours, Ronsard Les regrets et autres oeuvres poëtiques, J. Du Bellay | Etat : bon état (Ref.: ref97460)
[Association des amis de Ronsard] - Association des amis de Ronsard et du prieuré de Saint-Cosme ; OURY, G. M.
Reference : 44856
(1980)
3 vol. in-8 br., dont 1 fasc. , Association des amis de Ronsard et du prieuré de Saint-Cosme, 1980, 38 pp., 1 fasc. in8 br., 1971, 15 pp. et 1 vol. broché 1984, 119 pp.
Bon état. Prix pour l'ensemble. Le prieuré Saiont-Cosme, à quelques kilomètres de Tours fut occupé par des chanoines de Saint-Augustin, de la fin du XIe au milieu du XVIIIe siècle. Le poète Pierre de Ronsard en fut le prieur commendataire, de 1565 à sa mort, en 1585. Le poète finit ses jours dans ce prieuré et fut enterré dans la crypte de l'église.
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade",1993-1994. 2 volumes In-12 reliés (17,5 x 11 cm), reliure éditeur plein cuir fauve, dos lisse orné de filets dorés sous jaquettes blanches imprimées, rhodoïd et sous emboîtage illustré de l'éditeur, 1808 pages et 1792 pages. Édition de Jean Céard, Daniel Ménager et Michel Simonin. Nouvelle édition. Ces volumes contiennent : T. 1 : Le Premier Livre des Amours - Le Second Livre des Amours - Les Vers d'Eurymedon et de Calliree - Sonnets et Madrigals pour Astree - Le Premier Livre des Sonnets pour Helene - Le Second Livre des Sonnets pour Helene - Amours diverses - Sonnets à diverses personnes - Gayetez - Livret de Folastries - La Charite - Les Odes - La Franciade - Pièces mêlées antérieures à 1560 et non recueillies dans les « uvres » - Appendices. T. 2. : Le Bocage Royal - Les Eclogues et Mascarades - Les Mascarades. Combats et Cartels - Les Elegies - Les Hymnes - Le Premier Livre des Poemes - Le Second Livre des Poemes - Epitaphes de divers sujets - Discours des Miseres de ce temps. Compléments aux «uvres de P. de Ronsard» de 1584 : Les Derniers Vers - Vers inédits publiés dans «La vie de Ronsard» de Claude Binet - Pièces hors recueil - uvres en collaboration - Pièces françaises en prose - Pièces latines - Pièces attribuées - uvres perdues et projets. Appendices. Vignette illustrée sur page de garde. Très bon état.
Paris, Mathurin Hénault, Samuel Thibout, Rolin Baraigne, 1629-1630. 11 tomes en 5 vol. petit in-12, [vol. 1] (20)-680-(18) pp. sans le dernier feuillet blanc, frontispice, table ; [vol. 2] 917-(5) 1 f.bl., frontispice, table ; [vol. 3] 724-(6) pp., sans le dernier feuillet blanc, frontispice, table ; [vol. 4] 687-(9) pp., frontispice, table ; [vol. 5] 855-(11) pp., frontispice, table, caractères italiques, maroquin rouge, dos à nerfs orné à petits fers, inscription en pied "Paris 1630", double encadrement de filets dorés, fleurons aux angles sur les plats, dentelle intérieure, tranches dorées sur marbrure (Allô).
Quinzième et dernière collective ancienne, partagée entre les libraires Mathurin Hénault pour le tome I daté 1629, Samuel Thibout et Rolin Baraigne pour les tomes II à XI datés 1630, ornée de 5 frontispices à encadrement non signés (différents de celui gravé par Léonard Gaultier pour les collectives précédentes) : "Les Oeuvres" (tome I), "Les Odes. Tome II", "Les Quatre premiers Livres de la Franciade. Tome III" , "Le Hymnes. Tome VII", "Discours des Misères de ce temps. Tome IX".La composition des tomes est la même que dans l'édition de 1617, distribués de la manière suivante : [vol. 1]. Tome I. Les Amours [vol. 2] II. Les Odes [vol. 3] III. Les Quatre premiers livres de la Franciade IV. Le Bocage royal V. Les Eglogues et mascarades VI. Les Elegies. [vol. 4] VII. Les Hymnes VIII. Les Poèmes [vol. 5]. IX. Discours des misères de ce temps. X. Les Épitaphes de divers sujets. Les derniers vers, le discours de la vie de Ronsard par Claude Binet, L’Oraison funèbre et le Tombeau de Ronsard XI. Recueil des sonnets, odes, hymnes, élégies et autres pièces retranchées aux éditions précédentes.Vignette gravée sur bois au titre général répétée au verso des titres des tomes II, III, IV, VIII et IX montrant le buste de Ronsard couronné par Virgile et Homère ; portrait sur bois répété du souverain Henri III aux tomes I, III et IV. Provenance : Henri Monod, avec son ex-libris portant la devise « libro liber » et ses initiales dorées sur le premier plat (catalogue, 1920, n° 299) ; Édouard Moura (ex-libris, catalogue privé, 1921, n° 209) ; Henri Lambert (ex-libris, catalogue, Paris, Durel, 1884), bibliothèque de l'hôtel de Jarnac à Paris.Bel exemplaire relié par Allô truffé d'un portrait sur cuivre de Ronsard relié en tête (tome I), profil à gauche, tête laurée, toge à la romaine, gravé en 1778 par C.S. Gaucher d’après Cl. Mellan pour le tome V des Annales Poétiques.Brunet, IV, 1375 ; Tchemerzine V, 492 ; Barbier-Mueller, II, n°38.
1571 A Paris: Chez Gabriel Buon, 1571. Complet en 6 vol. in-16: 8.5 x 12.5 cm. I/ 525 pp. de titre, des deux parties des Amours (la 1ère commentée par M. A de Muret, 2ème par R. Belleau), et de la table. II/ 496 pp. des 5 livres des Odes. III/ 456 pp. Des 5 livres des Poèmes, 39 pp. du Livre de Sonets dédié à Marc, 30 pp. de lAbbrégé de lart poétique françois. IV/ 316 pp. des 4 livres dHymes, 2 ff. n. chiff. de tables et privilège. V/430 pp. des 5 livres des Élégies, 4 ff. n. chiff., 80 pp. des Mascarades, combats et cartels, 3 ff. n. chiff, de table et privilège ; VI/ 155-[1] pp. du Discours des misères de ce temps suivi d'une Élégie à G. Des Avtels, des Remonstrance au peuple de France, d'une épître, d'une Réponse de Ronsard à quelques Ministre de Genève, d'une épître au lecteur, et d'une Paraphrase de Te Deum; extrait du privilège au vo. du dernier f. Troisième édition collective des Oeuvres de Ronsard, publiée du vivant de l'auteur et comprenant 29 nouvelles pièces. (Laumonier, pp. 47-48 / F. Rouget, 2005). "Troisième collective fort rare". (Tchemerzine, IX, 473). Chaque volume est illustré d'un portrait de Ronsard. Le premier vol. contient de plus un portrait de Marc-Antoine de Muret. Une édition qui rencontra un fier succès de librairie. L'année suivant, Gabriel Buon, est en effet forcé de donner une nouvelle édition. Reliures modernes en parchemin. Titre, tomaison et date manuscrits à l'encre au dos. Tranches dorées. Volumes rassemblé sous un coffret cartonné. Ex-libris: André Gutzwiller."L'édition de 1571, parue toujours chez Gabriel Buon, revient au format plus modeste et plus portatif, au petit in-16 de la première édition collective. [...] Les Poèmes du tome III sont augmentés de six nouvelles pièces. Autre changement extérieur utile: la pagination substituée au foliotage. Changement de fond : intégration de la plupart des pièces contenues dans le Sixième et le Septième Livre des Poèmes, parus en août 1569". (G. Cohen, Avant propos au uvres complètes de Ronsard, 1950, p. XX). Édition introuvable sur le marché. Très rares sont même les bibliothèques publiques à posséder cette édition au complet.
Au Château de Longefont [imprimé à Nogent-le-Rotrou], A. Gouverneur, 1868. In 8 (140 x 225) de XXX p. (pièces en vers des poètes du XXe s.), 1 f., 63 p. (Étude). Broché, couverture imprimée (lèg. passée), timbres et adresse au dernier de couverture (à M. Georges Dubosc).
Rare opuscule tiré à 50 exemplaires. Les poésies ont pour auteurs : Sainte-Beuve, Fr. Coppée, Emile Deschamps, Ed. Fournier, A. Gouverneur, Arsène Houssaye, Sully-Prudhomme, Eug. Villemin, etc. Suivi de l’étude sur la vie de Ronsard (reproduite dans l’édition de 1857-67 des Oeuvres de Ronsard, chez Jannet). Joint une lettre autographe de l’auteur (de 4 p. au format de l’ouvrage) datée de janvier 1868, profession de foi d’un rouennais, sur l’édition des oeuvres de Ronsard pour la Bibliothèque Elzévirienne et sur ses poésies.
avec des gravures sur bois originales de Carlègle recueil poétique qui incarne la quintessence de la poésie lyrique et amoureuse de la Renaissance française. Cette œuvre emblématique a été écrite par le poète Pierre de Ronsard, originaire de la ville de Vendôme, et est dédiée à l'amour de sa vie, Marie. Le recueil est composé d'une série d'élégies, un genre poétique particulièrement prisé à l'époque de la Renaissance. Ces élégies sont des poèmes lyriques et expressifs qui expriment les émotions les plus intimes de l'auteur, en l'occurrence son amour passionné pour Marie. Chaque élégie est une déclaration d'amour sincère et ardente, explorant les sentiments profonds et les tourments du cœur. Le langage poétique de Ronsard est riche et enchanteur, caractéristique de la poésie de la Renaissance. Il utilise des métaphores élaborées, des images vibrantes et des sonorités musicales pour créer des vers qui touchent profondément le lecteur. Les poèmes capturent la beauté, la grâce et la perfection de Marie, élevant son être au statut de muse et d'idéal féminin. Outre son aspect amoureux, "Élégie à Marie" peut également contenir des éléments religieux, philosophiques ou moraux. La poésie de Ronsard est souvent teintée de symbolisme et d'allusions à la mythologie, à la religion chrétienne et à d'autres éléments culturels de l'époque, ce qui ajoute une dimension intellectuelle à ses écrits. En somme, "Élégie à Marie par Pierre de Ronsard Vendômois" est un recueil poétique incontournable de la littérature française de la Renaissance. Il offre une plongée fascinante dans l'univers romantique et lyrique de Ronsard, où l'amour et la beauté de Marie sont célébrés avec une intensité émotionnelle et une finesse poétique remarquables. C'est une œuvre qui continue de fasciner les lecteurs par sa puissance émotionnelle et sa beauté intemporelle. Exemplaire non justifié sur vélin d'Arches, tirage limité à 390 exemplaires. volume in-8 broché 28x18, sous couverture rempliée, couverture cristal, en feuillets libres non coupés, parfait état. Paris, chez l'Imprimeur Léon Pichon 1920 ref/15
Paris, Librairie Alphonse Lemerre 1919 8 volumes. In-8 20,5 x 13,5 cm. Reliures postérieures demi-chagrin havane, dos à nerfs, têtes dorées, premiers plats de couverture conservés, XII-390-XII-476-517-378-452-537-572-396 pp. Coins légèrement frottés, sinon ensemble en très bon état.
Comprend : I. Les Amours. - Les Vers d'Eurymédon et de Callirée. - Sonnets et madrigals pour Astrée. - Les Sonnets pour Hélène. - Les Amours diverses ; II. Sonnets. - Gayetez. - La Charite. - Les Odes ; III. La Franciade. - Le Bocage royal. - Les Églogues et mascarades. - Les Mascarades, combats et cartels ; IV. Les Élégies. - Les Hymnes ; V. Les Poèmes. - Les Épitaphes. - Discours des misères de ce temps ; VI. Oeuvres posthumes. - Pièces retranchées. - Pièces imprimées du vivant de Ronsard hors de ses recueils. - Pièces attribuées à Ronsard. - Vers latins ; VII. Oeuvres en prose. - Notes des T. I à V ; VIII. Notes des T. VI-VII. - Notices. - Bibliographie. - Tables Très bon état d’occasion
Paris Auguste Aubry 1855. Petit in-8 6ff n ch 308pp. Demi maroquin brun à coins, dos à nerfs orné de cadres de filets à froid, tête dorée, non rogné, rel époque. Orné d'un portrait de Ronsard en frontispice et 1 planche hors texte (armoiries de Ronsard et fac similé de sa signature). Exp sur papier vergé auquel on a joint le feuillet manuscrit (contemporain de l'édition) d'un sonnet dédié à Ronsard. Coins très légèrement usés, sinon bel exp.
Vicaire VII, col 889.
Tchou, Paris 1969. Reliure pleine soie décorée 13 x 8, titre et tête dorés, gardes moirées, signet, étui.
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Aux Portes de France, Porrentruy 1945. Brochés 21 x 19, couverture rempliée à la typographie bicolore. Tranches insolées, format insolent. L'un des 5 exemplaires de tête réimposés sur Guarro Molivell.
Bel exemplaire de grand luxe de cette trilogie, ayant échappé au compostage [Pour travailler sur ma mienne, qu'est-ce que j'en ai composté de l'humus à idées - Ndr] > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
Sans nom ni date, Paris (1884 ?). Broché, couverture rempliée illustrée, imprimée en noir et rouge. 8 gravures originales anonymes, signées AC (ou G?) F (probablement pour Auguste Guillaumot fils selon la notice de la BCU à Lausanne-Dorigny), sous serpentes.
Mystérieux recueil de poèmes, entre éros et thanatos, imprimé sur Japon, comportant un envoi anonyme au premier plat "à mon ami Cupidon"; provenant de la bibliothèque de Henri Noverraz, esprit curieux et audacieux... > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
Les Heures Claires, Paris 1957. 3 volumes en feuilles sous couvertures illustrées couleur rempliées, doubles emboîtages titrés or. L'un des 113 exemplaires numérotés sur vélin pur fil de Rives avec double suite dont une décomposition. Aquarelles couleur de André E. Marty, mises sur bois Par Raymond Jacquet et Dominique Darr, tirées par Paul Massin, les ornements de R. Jacquet par Roger Fontaine.
Copieux ensemble complet de cette trilogie qui prendra près de 30 cm sur vos rayonnages... > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
Chez Jean Porson, Paris 1953. En feuilles 17 x 11, couverture verte illustrée rempliée, accorder au double emboîtage décoré, titre au dos. L'un des 10 exemplaires numérotés sur Rives avec une suite, en cuivre et le dessin d'une vignette. 25 délicates eaux-fortes originales de Jacques Houplain, tirées par Georges Leblanc.
Charmant petit volume de ce gentilhomme Vendomois, un joli cadeau à offrir à sa compagne. Du même ymagier :CAMUS Albert : Noces *SOUPAULT Philippe : Rendez-vous ! * > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade", 1971. 2 volumes in-12 reliés (17,5 x 11 cm), reliure éditeur plein cuir vert, dos lisse orné de filets dorés, jaquette blanche imprimée, rhodoïd, étui de carton gris de l'éditeur, 1170-1228 pages - Édition de Gustave Cohen. Ces volume contiennent : T. I. Le Premier Livre des Amours - Le Second Livre des Amours - Les Vers d'Eurymedon et de Calliree - Sonnets et Madrigals pour Astree - Le Premier Livre des Sonnets pour Helene - Le Second Livre des Sonnets pour Helene - Amours diverses - Sonnets à diverses personnes - Gayetez - La Charite - Les Odes - Les Quatre Premiers Livres de la Franciade - Le Bocage Royal - Les Eclogues et Mascarades - Les Mascarades. Combats et Cartels..- T. II. Les Elegies - Le Premier Livre des Hymnes - Le Second Livre des Hymnes - Le Premier Livre des Poemes - Le Second Livre des Poemes - Epitaphes de divers sujets - Discours des Miseres de ce temps - Pièces posthumes - Pièces retranchées - Pièces hors recueils - uvres attribuées à Ronsard - uvres en prose - Lettres. Petit ex-libris. Très bon état. Cette édition sous la direction de Gustave Cohen, est épuisée.