6431 books for « p benoit »Edit

‎Recueil de comédies contenant, dans l'ordre des auteurs : 1. La pauvre Femme, comédie ; 2. La Soirée d'Eté ; 3. Asgill ou le prisonnier de guerre, drame lyrique ; 4. Le connoisseur, comédie ; 5. Piron avec ses amis ou les moeurs du temps passé, comédie ; 6. Arlequin-Joseph, comédie parade ; 7. Favart aux Champs-Elysées ; 8. Les deux Panthéons ou l'Inauguration du Théâtre du Vaudeville.‎

‎Benoît-Joseph Marsollier (pièces 1, 3 & 4) ; Pierre-Germain Parisau ; Jacques-Marie DesChamps ; Jacques-Benoît Demautort ; Jean-Baptiste Radet ; Augustin de Piis ; Recueil de comédies contenant, dans l'ordre des auteurs : 1. La pauvre Femme, comédie ; 2. La Soirée d'Eté ; 3. Asgill ou le prisonnier de guerre, drame lyrique ; 4. Le connoisseur, comédie ; 5. Piron avec ses amis ou les mours du temps passé, comédie ; 6. Arlequin-Joseph, comédie parade ; 7. Favart aux Champs-Elysées ; 8. Les deux Panthéons ou l'Inauguration du Théâtre du Vaudeville. Un volume in-8. Paris, Baria, an III-1795. 47p. Paris, Brunet, 1782. [2]-41-[2]p. Paris, Brunet, 1793. 51p. Paris, Brunet, 1793. 79p. Paris, Maret, 1793. 44p. Paris, théâtre du Vaudeville, an II [1793]. 44p. Paris, Brunet, 1793. 41p. Paris, théâtre du Vaudeville, 1792. [4]-108p. Editions originales. A noter que Madame Dugazon était l'actrice principale de la pièce de Marsollier. Asgill était joué sur une musique de Dalayrac. Parisau écrivait des pièces et jouait aussi au théâtre du Boulevard. Deschamps fut secrétaire des commandements de Joséphine de Beauharnais. Arlequin-Joseph contient des partitions de chants placées à plusieurs endroits de la pièce. La dernière pièce fut jouée à l'ouverture du Vaudeville, le 17 janvier 1792 et son auteur, Piis, était un des deux directeurs. Notons aussi une curiosité : la dernière pièce avait un feuillet donc le texte prenait plus de place en largeur (p.69/70). Le texte, comme probablement la totalité des exemplaires qui ont été reliés, a dont été rogné et ce feuillet a perdu des mors. Le relieur a en revanche été attentif, récupéré le texte et fait une réparation au feuillet qui a maintenant une partie dépliante. Reliure demi-basane noire, dos lisse, filets dorés, pièce de titre maroquin. Une pièce avec quelques feuillets mouillés (vraisemblablement avant la reliure). Mors affaiblis en pied, petits défauts Intéressant ensemble. ‎

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‎Oeuvres de Peter Aeby.‎

‎ Alès, PAB], 1989. In-8, à l'italienne, en feuilles, couverture rempliée, auteurs et titre contrecollés sur la couverture. (17,5 x 23 cm). ‎

‎Edition originale composée sous pseudonymes, illustrée de 8 singuliers rayogrammes originaux d'après des compositions de Pierre-André Benoit et réalisé sous pseudonyme [PAB et E. Bégou] . Très bel exemplaire. Ce surprenant livre d'artiste est né de l'esprit de recherche sans cesse en éveil de PAB, il ne réalisera que 2 ouvrages de ce type dont un avec Alechinsky tiré à 4 ex. Et celui ci tiré à 11 exemplaires sur Rives num. par l'auteur. (2/11).Pierre André Benoit (PAB), imprimeur, poète, sculpteur et dessinateur, a fait don de sa collection duvres dart moderne à la Ville dAlès pour créer le musée qui porte son nom. Photos sur demande.‎

‎Lettre autographe signée à André Magre‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S.+enveloppe, 15 décembre 1934, 2p in-8. A André Magre (1873-1949), secrétaire général de la présidence de la république, frère du poète Maurice Magre. Ayant demandé l'appui d'Albert Lebrun à Magre le 11 décembre, pour la promotion de l'écrivain Léopold Marchand au titre d'officier de la Légion d'Honneur, Lebrun a fait part de son appui par Magre. Benoit le remercie donc et serait content de lui être agréable en quelque-chose. Marchand sera promu officier le 30 juillet 1935 et le procès-verbal de réception, daté du 20 nomvebre 1935, est signé par Pierre Benoit en qualité de délégué. Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [315] ‎

‎Lettre autographe signée à André Magre‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S.+enveloppe, Biarritz, 24 août 1938, 1p in-4. A André Magre (1873-1949), secrétaire général de la présidence de la république, frère du poète Maurice Magre. Il le remercie pour la Légion d'honneur de son ami Jules Mathieu, qui a mis du temps (Benoit lui en parle à de nombreuses reprises depuis juillet 1937). Il ne leur reste plus « qu'à unir [leurs] efforts pour que l'entrée à la Comédie française de notre chère amie Mireille Perrey ne souffre plus l'ombre d'une difficulté ». Elle n'y entrera qu'en 1942. On joint une autre enveloppe de Benoit à Magre, datée du 12 juin 1939. Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [316] ‎

‎Pensées.‎

‎ Paris, typographie de Henri Plon, 1872. Petit in-8, 2 ff. (faux-titre et titre) ; et 136 pp y compris un avertissement et la dédicace à Emile Boutmy, Portrait du Président Benoit-Champy, gravé à l'eau-forte par Adrien Marie. Plein veau glacé rouge, triple filet doré sur les plats, dos à 5 nerfs, triple filet doré entre les caissons, toutes tranches dorées. ‎

‎Le président-Benoit Champy né à Povins en 1805-1872) magistrat et homme politique, Président du Tribunal de la Seine. Edition originale posthume. Bel exemplaire. Photos sur demande.‎

‎Lettre autographe signée à Ely Halpérine-Kaminsky‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S., 5 juillet 1931, 1p in-8. A Ely Halpérine-Kaminsly (1858-1936) (adresse au dos). Remerciements pour les félicitations qui lui ont fait plaisir. Pierre Benoit vient juste d'être élu à l'Académie Française, le 11 juin. Il y sera reçu le 24 novembre 1932. Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [314] ‎

‎Lettre autographe signée à Maurice Magre‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S., [janvier 1917], 1p in-8. A Maurice Magre (1877-1941), écrivain & poète. Beau billet sur la réception du poème Le Bal fantastique : « Le Bal fantastique a eu un succès fou. Il faut que je vous revoie pour avoir le plus rapidement possible autre chose ». Ce poème fut repris dans La Montée aux enfers en 1918. Intéressante lettre précoce avec la première signature de Pierre Benoit. Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [314] ‎

‎Lettre autographe signée à André Magre‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S., Saint-Céré, 11 décembre 1934, 3p in-8. A André Magre (1873-1949), secrétaire général de la présidence de la république, frère du poète Maurice Magre. Belle lettre de recommandation pour l'écrivain Léopold Marchand (1891-1952) afin qu'il soit promu officier de la Légion d'Honneur (il était déjà chevalier depuis 1927). Il demande l'appui d'Albert Lebrun, le président de la république. Marchand sera promu officier le 30 juillet 1935 et le procès-verbal de réception, daté du 20 nomvebre 1935, est signé par Pierre Benoit en qualité de délégué. Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [314] ‎

‎Lettre autographe signée à André Magre‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S.+enveloppe, Dax, 10 juillet 1937, 2p in-8. A André Magre (1873-1949), secrétaire général de la présidence de la république, frère du poète Maurice Magre. La lettre concerne la Grand prix de l'Académie française, que vient de remporter Maurice Magre et que Georges Lecomte et Benoit ont félicité par télégramme. Il est ensuite question de la naturalisation de Mme Hélène Goldschmidt, sa maitresse. Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [315] ‎

‎Fort-de-France.‎

‎Paris, Albin Michel, 1933. Un volume in-12, broché, 316 pp. ‎

‎Premier tirage. Bon ex. Photos sur demande.‎

‎Aïno.‎

‎Paris, Albin Michel, 1948. Un volume in-12, broché, 316 pp. ‎

‎Bon ex. Photos sur demande.‎

‎ La petite Ville, comédie en quatre actes et en prose.‎

‎Louis-Benoît Picard, La petite Ville, comédie en quatre actes et en prose. Paris, Huet et Charon, an IX (1801). In-8, [4]-89p. Edition originale de cette pièce qui fut son principal succès. Broché, non rogné, sous couverture muette. [IV] ‎

‎Pièce autographe signée ‎

‎Benoît Imbert de Champreal (1747-1819), homme de lettres, directeur des fermes royales. P.A.S., Paris, 2 juin 1779, 1p in-12 oblong. « J'ai reçu de madame Duchesne Libraire la somme de soixante deux livres pour trente trois exp, le troiz. donné des annales poëtiques dont quittances à Paris ce 2e juin 1779. Imbert de Champréal ». Puis d'une autre main : « Retiré tous les expes restant le 2 juin 1779. Pr M Imbert. Coustant ». [368] ‎

‎Code Napoléon, Mis en Vers Français.‎

‎Benoît-Michel Decomberousse, Code Napoléon, Mis en Vers Français. Paris, Aux archives du Droit Français, Clament frères, 1811. [8]-VIII-666-[2]p. Edition originale de cet improbable versification du code Napoléon. Citons par exemple le « fameux » article 213, « Le mari doit protection à sa femme, la femme obéissance à son mari », qui devient ici : « Mari ! La femme a droit à ta protection ; Femme ! Il faut la payer de ta soumission ». Ou encore l'article 144, « L'homme avant dix-huit ans révolus, la femme avant quinze ans révolus, ne peuvent contracter mariage », qui devient : « Avant d'avoir fini sa dix-huitième année, L'homme ne peut prétendre aux noeuds de l'hyménée ; Et la femme, à son tour, ne le peut point non plus Avant d'avoir atteint ses quinze ans révolus ». Pleine basane d'époque, dos lisse, fleurons, pièce de titre maroquin, tranches marbrées. Coiffe supérieure arasée, épidermures, coins usés, rousseurs. Peu commun. ‎

‎Lettre autographe signée au compositeur Léon Gatayes‎

‎Gabriel Benoit-Champy (1835-?), professeur de droit, l'un des créateur du sport nautique en France. L.A.S., 26 décembre, 1p 1/2 in-8. Au compositeur Léon Gatayes (1805-1877). Comme il va fait un article sur « la société » (le crédit commercial de France ?), il tient à préciser qu'il n'est que temporairement président et ne compte pas le rester. « J'ai intérêt à le dire car on exploit un peu contre mon côté d'homme sérieux le côte nautique ». [129-2] ‎

‎Lettre autographe signée à Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux‎

‎André-Benoît-François-Hyacinthe Le Berthon (1713-1800), président à mortier puis premier président du Parlement de Bordeaux, député aux Etats généraux de 1789. L.A.S., 12 janvier 1773, 2p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux : « L'année où nous entrons, Monsieur, sera comme celles qui l'ont précédée, une époque bien précieuses à mon coeur - puisque vous voulez bien m'assurer en la commerçant que vous m'honorez toujours de votre amitié. Mon premier voeu fut de la mériter, le second fut et sera constamment de me la conserver. Veuillez recevoir, Monsieur, avec quelque distinction les souhaits que je vous offre : ils sont adressés par le zèle, l'attachement, et le respect que je vous ai visés : ils ont des droits certains sur l'accueil que je vous demande pour eux. Il me parait que le piège tendu dernièrement, et bien grossièrement, à l'ancienne magistrature n'a pris que ceux qui ont bien voulu s'y laisser prendre. Je n'imagine pas que le retour des princes ait préopéré sur certaines âmes un effet tout contraire à celui qu'il devait produire. Comment a-t-on pensé que les protecteurs augustes de la chose publique, ayant sitôt renoncé à la généreuse défense qu'ils en avaient pris ? Surtout lorsqu'on ne voit aucun évènement qui ait pu amener un changement de conduite dont on ne doit assurément pas soupçonner des protecteurs aussi zélés. La précipitation avec laquelle on prêtera que plusieurs ont [mot illisible] la liquidation me prouve bien énergiquement que pour mériter le titre d'âme ferme, il ne suffit pas d'en faire quelques actions dans un premier moment où le devoir et l'honneur font entendre leurs voix, mais qu'il faut prévoir les suites, et calculer soi-même les épreuves par où il faut passer pour marcher d'un pas assuré dans la route que le devoir et l'honneur ont frayé sans cette précaution, on rebrousse bientôt chemin ; et après avoir été vraiment magistrat pendant quelques instants, on finit par n'être pour toujours qu'un homme à charge à soi-même, et méprisable aux yeux des autres. Pour moi, Monsieur, j'ai imité ce que je vous ai vu faire, et j'ai préféré à tout le reste d'être digne de moi-même et de vous. Je suis avec respect, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur. Le Berthon. Toutes mes compagnes vous prient de recevoir leurs très humbles remerciements des marques de votre souvenir ». [217] ‎

‎Le Prêtre Jean.‎

‎ Paris, Albin Michel, 1952. In-12, relié, 313 pp. Demi-basane ocre à coins, dos à 5 nerfs, auteur et titre en lettres dorées, couvertures et dos conservés. ‎

‎Edition originale, Tirage à 225 ex. un des 120 exemplaires numérotés sur vélin du Marais (2ème papier après 85 ex sur Hollande). Bel ex. Photos sur demande.‎

‎5 lettres signées‎

‎[Pierre Benoit (1866-1962), écrivain] Georges Robert, directeur de l'office cinématographique Français. 5 L.S., 1955, 5p in-8 & 1p in-4. À L. Wallmann, de Meyer Bros Ltd. 5 lettres relatives aux droits d'adaptation pour la télévision canadienne de La Dame de l'ouest sous le titre La Signora dell Ouest et Les compagnons d'Ulysse sous le titre Rosa di sangue. On joint la copie de deux réponses de Wallmann (2p in-4). Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [314] ‎

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‎Lettre autographe signée‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S., sd [mercredi], 1p in-8. A un ami pour refuser un diner : « Je suis navré. J'ai ce soir chez Laurent une espèce de diner impératif (?) dont j'ai tout fait pour me débarrasser. Je vous assure que j'aurais préféré aller chez vous ». Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. Déchirure anciennement et proprement réparée au dos. [314] ‎

‎Lettre autographe signée à André Magre‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S., 16 mai 1936, 1p in-4. A André Magre (1873-1949), secrétaire général de la présidence de la république, frère du poète Maurice Magre. Longue lettre pour demander un rendez-vous. Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [315] ‎

‎Lettre autographe signée à André Magre‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S.+enveloppe, Dax, 14 juin 1936, 2p in-8. A André Magre (1873-1949), secrétaire général de la présidence de la république, frère du poète Maurice Magre. Il essaie d'obtenir le soutien du président Albert Lebrun pour la nomination du producteur de cinéma Léon Garganoff à la Légion d'Honneur. Il a déjà demandé le soutien de Georges Huisman (1889-1975), alors directeur des Beaux-Arts. Notons que Magre et Huisman étaient proches. En 1932, ils échangent leurs places, Magre devant secrétaire général de la présidence et Huisman devenant directeur du cabinet du président du Sénat. Garganoff n'a pas reçu la Légion d'honneur. Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [315] ‎

‎Lettre autographe signée à André Magre‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S.+enveloppe, Dax, 24 juin 1936, 1pœ in-8. A André Magre (1873-1949), secrétaire général de la présidence de la république, frère du poète Maurice Magre. Il signale que le dossier du producteur de cinéma Léon Garganoff a été transféré au ministère du commerce et que donc c'est là qu'il faut signaler l'appui du président Albert Lebrun à la candidature à la Légion d'Honneur (que Garganoff n'a pas obtenue). Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [315] ‎

‎Lettre autographe signée à André Magre‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S., 2 juillet 1937, 3pœ in-8. A André Magre (1873-1949), secrétaire général de la présidence de la république, frère du poète Maurice Magre. Longue lettre pour recommander Jules Mathieu, un ex-controleur des PTT en retraite, pour la Légion d'Honneur et le Grand prix de l'Académie française pour lequel il rentrera à Paris avec Claude Farrère : « Claude Farrère arrivera par le même train que moi afin de voter pour Maurice qui triomphera sans doute aisément ». Effectivement, Maurice Magre obtint le prix pour l'ensemble de son ouvre. Ce Jules Mathieu obtiendra la Légion d'Honneur en août 1938. Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [315] ‎

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‎Lettre autographe signée à André Magre‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S.+enveloppe, Dax, 6 juillet 1937, 1p in-8. A André Magre (1873-1949), secrétaire général de la présidence de la république, frère du poète Maurice Magre. Il regrette d'avoir raté l'appel de Magre, rentre le soir à Paris avec Claude Farrère et se présentera le lendemain à l'Elysée. Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [315] ‎

‎Lettre autographe signée à André Magre‎

‎Pierre Benoit (1866-1962), écrivain. L.A.S.+enveloppe, Arcachon, 9 août 1937, 2p in-8. A André Magre (1873-1949), secrétaire général de la présidence de la république, frère du poète Maurice Magre. Il est question de la naturalisation de Mme Hélène Goldschmidt, sa maitresse, et de nouvelles de Maurice Magre avec qui il veut collaborer dans « un grand journal américain ». Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [315] ‎