Paris: Marchand, 1800. In-8, 195 x 127, (2 ff.), frontispice, xxxij-282 pp., (3 ff.). — Demi-veau moucheté, dos lisse orné, tranches rouges (reliure de l’époque).
Édition originale peu courante. Elle est ornée d’un portrait frontispice de Louis Philippe Joseph d’Orléans (1747-1793), dit «Philippe égalité». «Ce recueil, que l’on offre à la méditation du lecteur, n’est ni l’histoire de d’Orléans, ni celle de ce qu’on nomme sa faction; c’est un amas de pièces authentiques qui pourront servir aux contemporains pour fixer leur opinion vacillante sur le caractère et les vices de cet homme…» (Introduction).L’Histoire retiendra de Louis-Philippe d’Orléans le rôle décisif qu’il joua dans la mort de son cousin Louis XVI le condamnant sans appel au gibet par son seul vote. Les lettres qui composent ce recueil furent écrites entre 1787 et 1791 et adressées à des personnalités très diverses: Louis XVI, Marie-Antoinette, Montmorin, Lafayette, sa femme, ses enfants… Elles font notamment référence à son exil à Villers-Cotterêts. Reliure frottée, manques aux coiffes. Premiers feuillets et frontispice fortement brunis. Tache autour du cachet sur le faux-titre.Provenance: cachet humide sur le faux-titre au chiffre IFC non identifié.
Lettre Autographe Signée de Louis-Philippe-Albert d'Orléans (1838-1894), prétendant au trône de France, chef de l'ancienne Maison Royale d'Orléans.LAS datée de Tunbridge Walls (Angleterre), le 23 juillet 1886. Il remercie une amie de sa mère de lui exprimer en termes si sympathiques tout ce que (lui) faisait éprouver la cruelle loi d'exil qui vient de (le) frapper.En effet, après la mort du Comte de Chambord en 1883, la République a eu largement le temps de se renforcer et le prétendant ne parvient pas à prendre le pouvoir. En 1886, le vote d'une nouvelle loi d'exil contraint le Comte de Paris et sa famille à quitter le territoire national. Il continua à essayer d'intervenir dans les affaires de la France, mais mourut pourtant en exil à Stowe House en 1894.2 pages format in-12°(18x12) sous couverture plastique. Très bon état.
Lettre Autographe Signée de Louis-Philippe-Albert d'Orléans (1838-1894), prétendant au trône de France, chef de l'ancienne Maison Royale d'Orléans.2 LAS, l'une datée du 11 février 1877, 3 pages format in-12°(18x12), remerciant chaleureusement une écrivaine des livres, toujours aussi spirituels, qu'(elle) a bien voulu lui adresser; l'autre depuis l'Hôtel de Londres, non datée, 1 page format in-12°, à Madame Bisson. Il lui annonce que sa femme et lui désirent déjeuner avec elle et son mari, bien qu'ayant la veille vu le Louvre, conduit par un de (ses) oncles (Aumale précisément).Sous couverture plastique. Très bon état.
Lettre Autographe Signée de Louis-Philippe-Albert d'Orléans (1838-1894), prétendant au trône de France, chef de l'ancienne Maison Royale d'Orléans.LAS datée du 26 juin 1878. Sur papier à en-tête du château d'Eu. Il exprime sa douleur devant l'état critique de sa Belle soeur la jeune Reine d'Espagne qui est .2 pages format in-12°(18x12) sous couverture plastique. Très bon état.
Palais-Royal [Paris], 21 février 1757 in-4, [2] pp. n. ch., en feuille.
Missive envoyée par le duc d'Orléans, Louis-Philippe "le Gros" (1725-1785) à Daniel-Charles Trudaine (1703-1769), administrateur des Ponts et Chaussées, lui demandant la construction d'un chemin entre Bagnolet et Bondy en passant par Noisy-le-Sec :"(...) un chemin dont la construction me seroit très utile pour aller de Bagnolet à Bondy. Cette traverse est impraticable pendant presque toute l'année, et indépendamment de l'avantage que je tirerois de la construction de ce chemin, il seroit de la plus grande utilité pour les habitans des villages voisins, qui offrent des voitures sur les lieux".Le château de Bagnolet, bien patrimonial des Orléans, était en effet passé de Françoise-marie de Bourbon, duchesse d'Orléans (1677-1749) à son fils Louis, puis à son petit-fils Louis-Philippe en 1752. Ce dernier ne le gardera pas longtemps, puisqu'il le revendit en 1769 pour acquérir le château du Raincy, mais la présente lettre semble attester qu'il s'y rendait assez souvent entre 1752 et la revente.En tant qu'administrateur des ponts et chaussées, Trudaine, économiste éclairé, faisait alors réaliser plusieurs milliers de kilomètres de routes royales (actuelles routes nationales) reliant Paris aux frontières et aux principaux ports de mer. Ce réseau routier était alors considéré comme l'un des meilleurs d'Europe. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lettre autographe signée de Louis Philippe d'Orléans (1838-1894), petit fils du Roi Louis Philippe, datée du 20 juin 1870. 3 pages."Monsieur. En revenant de Constantinople j'ai trouvé votre lettre du 12 mai et vos deux premiers articles de la Revue Africaine..."Papier à en-tête "York House Twickenham Middlesex" - Très bon état. Format in-12° (18x11).
Lettre autographe signée de Louis Philippe d'Orléans (1838-1894), petit fils du Roi Louis Philippe, datée du 10 février 1871. 2 pages recto-verso sur papier très fin."Monsieur. Mon frère étant temporairement absent je viens vous accuser réception à sa place de la lettre que vous lui avez adressée le 16 septembre de l'année dernière..."Bon état. Format in-8°(21x13).
Chez Dentu, à Paris 1831, in-8 (22x13,5cm), 149pp., broché.
Edition originale ? Nous n'avons pas trouvé trace de cet ouvrage dans les catalogues électroniques en France et au Royaume-Uni. Brochure d'origine sous papier rose. Histoire de Louis Philippe Joseph d'Orléans sous un angle calomniateur et dénonciateur. L'auteur présente et dépeint l'homme comme un hypocrite habile et sans scrupule. En exergue, une citation de Cicéron : « Je ne crois pas qu'il ait jamais existé sur terre un pareil monstre. » L'auteur semble être un témoin de la Révolution, nombre de scènes révolutionnaires sont décrites de son point de vue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Document original in folio sur vélin (28cm sur 43cm) en langue française, signé "L. Phil d'Orléans" contresigné "Omelone", plié en 3 parties dans le sens de la hauteur. Texte bien complet, bel exemplaire d'une grande fraîcheur.
Nomination au rang de Premier Apothicaire du Sieur Antoine Clusek récompensé de "ses bons et anciens services" en remplacement du Sieur François Imbert Chartre, décédé. Antoine Clusel (ou Cluzel) était déjà apothicaire du précédent Duc d'Orléans. L'Etat de Médecine de 1777 le signale toujours à ce poste cette année-là (Revue d'Histoire de Pharmacie n°73 1931). Le Duc d'Orléans dont il est question ici (1725-2785) était un petit-fils du Régent. Père de Philippe-Egalité, il eut pour petit-fils le Roi Louis-Philippe.
Paris, Marchant, 1800 in-8, 2 ff. n. ch.-XXVII-282 pp.-3 ff. n. ch., demi-basane brune à coins, dos lisse orné. Dos et plats très frottés, mors fendu.
Édition originale ornée d'un portrait en frontispice.Roussel éditeur de cette correspondance nous affirme qu'elle est "prise, ou sur les minutes de d'Orléans, ou sur les copies certifiées par sa signature, ou enfin, sur les minutes des lettres écrites de la main de Laclos".La correspondance publiée concerne pour l'essentiel l'exil du duc d'Orléans à Londres en 1789-1790. Ce dernier vit certainement d'un œil compatissant les journées des 5 et 6 octobre. C'est La fayette qui exigea du roi l'éloignement du duc d'Orléans, sous la forme déguisée d'une mission diplomatique. Les destinataires de ces lettres sont le Roi, la Reine, Bailly, Montmorin, etc. Le contenu des lettres est tout diplomatique. Cependant, dans sa lettre du 3 juillet 1790 à M. de La Touche, il fait part de son intention de rentrer en France et explique que les mouvements révolutionnaires n'ont pas cessés durant son absence, et ce malgré les bonnes intentions de M. de La Fayette. Il confirme son intention eu Roi le 5 juilletSuivent diverses lettres et des Extraits tirés du journal du fils aîné de d'Orléans. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon-Nourrit, 1909 in-4, [8]-288-39-[5] pp., avec de nombreuses illustrations dans le texte, 17 planches hors-texte en phototypie et 8 cartes en deux tons, la plupart dépliantes, demi-basane bleue à coins, dos à nerfs, couv. cons. (reliure moderne).
Unique édition de cette relation d'une expédition aux abords de la Nouvelle-Zemble, sponsorisée par le duc et à buts surtout océanographiques. Louis-Philippe d'Orléans (1869-1926) était le fils aîné du comte de Paris, ancien prince royal jusqu'en 1848 (1838-1894), et donc prétendant orléaniste parfois désigné sous le nom de Philippe VII par ses partisans. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
BONHOMME DE COMEYRAS (Pierre-Jacques), ORLEANS (Louis Philippe Joseph d') dit Egalite
Reference : 30149
In-8, broché, sans couverture, 79 p. Paris, Imprimerie Vve D'Houry, (1790).
Edition originale.Justification de la conduite de Philippe Egalité au lendemain des évènements insurrectionnels du 6 octobre 1789. (Martin & Walter, 4048).
Phone number : 33 01 47 07 40 60
S.l., De l'Imprimerie de la Vve d'Houry, (1790) in-8, 79 pp., broché. Petit trou à la couverture.
M. & W., 26082. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Lévy, 1849 2 tomes en 1 vol. in-12, 276 pp. et 250 pp., demi-basane aubergine maroquinée à coins, dos lisse, filets dorés (rel. de l'époque). Petite usure aux coiffes.
Édition originale.Tulard, 918 : "Publié en 1849, ce journal donne jour par jour du 5 au 24 mars les réactions de Louis-Philippe alors duc d'Orléans, devant le retour de Napoléon de l'île d'Elbe. Témoignage passionnant mais il convient de ne l'utiliser qu'avec les plus grandes précautions." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l.n.d. (1790) in-8, 79 pp., broché, sous couverture d'attente de papier rose.
M. & W., 26082. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., De l'Imprimerie de la Vve d'Houry, (1790) in-8, 79 pp., broché, couv. papier rose postérieure.
M. & W., 26082. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Lévy, 1849 2 vol. in-12, 276 pp. et 250 pp., broché. Ex-libris manuscrit et cachet sec Communauté du Saint Coeur de Marie.
Tulard, 918 : "Publié en 1849, ce journal donne jour par jour du 5 au 24 mars les réactions de Louis-Philippe alors duc d'Orléans, devant le retour de Napoléon de l'île d'Elbe. Témoignage passionnant mais il convient de ne l'utiliser qu'avec les plus grandes précautions." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Lévy, 1849 2 vol. in-12, 276 pp. et 250 pp., demi-basane rouge, dos lisse, filets dorés Dos passé. Ex-libris.
Tulard, 918 : "Publié en 1849, ce journal donne jour par jour du 5 au 24 mars les réactions de Louis-Philippe alors duc d'Orléans, devant le retour de Napoléon de l'île d'Elbe. Témoignage passionnant mais il convient de ne l'utiliser qu'avec les plus grandes précautions." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
PHILIPE D’ORLÉANS (Louis Philippe Robert, duc d’Orléans) explorateur et chasseur français, prétendant orléaniste au trône de France à la mort de son père, en 1894, sous le nom de Philippe VIII jusqu’en 1926. (1869-1926)
Reference : 97C25
Portrait lithographique portant cette rare dédicace à Auguste Escoffier (1846-1935) qui fut un chef cuisinier-restaurateur et auteur culinaire français, qui dirigea en 1890 les cuisines de l’hôtel Savoy de Londres. Dans un encadrement d’origine. « À Monsieur Escoffier Philippe duc d’Orléans Londres 1893 ». (format de l’image 35 x 22 cm),
Paris, Michel Lévy frères, 1849. 2 vol. in-12 de 276 + 250 pages, demi-percaline brune, dos lisse orné, tranches marbrées. Rares rousseurs.
Edition originale. “Publié en 1849, ce journal donne, jour par jour du 5 au 24 mars, les réactions de Louis-Philippe d’Orléans, devant le retour de Napoléon de l’île d’Elbe. Témoignage passionnant, mais il convient de ne l’utiliser qu’avec les plus grande précautions”. Tulard. 918. Ex-libris de la bibliothèque du château d’Oberhofen.
PARIS. MICHEL LEVY FRERES. 1849. 2 VOLUMES IN-12 BROCHES (12 X 18,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (4) + 276 ET (4) + 250 PAGES, COUVERTURE GRISE, TITRE IMPRIME EN NOIR. "PUBLIE EN 1849 CE JOURNAL DONNE JOUR PAR JOUR DU 5 AU 24 MARS LES REACTIONS DE LOUIS-PHILIPPE ALORS DUC D'ORLEANS, DEVANT LE RETOUR DE NAPOLEON DE L'ILE D'ELBE. TEMOIGNAGE PASSIONNANT..." (TULARD. 918). PETITS DEFAUTS EXTERIEURS SANS AUCUNE GRAVITE, SINON BON EXEMPLAIRE.
Paris, Lévy, 1849. 2 vol. in-12 brochés de 276 pp., 250 pp., couverture imprimée.
Édition originale. Tulard, 918 : « Publié en 1849, ce journal donne jour par jour du 5 au 24 mars les réactions de Louis-Philippe alors duc d’Orléans, devant le retour de Napoléon de l’île d’Elbe. Témoignage passionnant mais il convient de ne l’utiliser qu’avec les plus grandes précautions. »
Plon, 1973-1974, 2 forts vol. in-8°, xxi-340 et 523 pp, généalogie, 2 cartes, qqs fac-similés, index, reliures toile éditeur, jaquettes bleu nuit avec titres dorés, bon état (Club Histoire & Documents)
Edition originale de ces mémoires dont la rédaction commença en 1802. Ces souvenirs portent sur son enfance, son étonnante formation par Mme de Genlis, son attitude face aux événements depuis 1789 jusqu'à la chute de la monarchie, sa participation aux premières campagnes des armées de la Révolution, de la victoire de Valmy à la défaite de Neerwinden, etc., de 1773 à 1793. (Fierro, 924)
Plon, 1973-1974, 2 forts vol. in-8°, xxi-340 et 523 pp, généalogie, 2 cartes, qqs fac-similés, index, reliure skivertex bleu nuit éditeur, titres dorés, bon état
Edition originale de ces mémoires dont la rédaction commença en 1802. Ces souvenirs portent sur son enfance, son étonnante formation par Mme de Genlis, son attitude face aux événements depuis 1789 jusqu'à la chute de la monarchie, sa participation aux premières campagnes des armées de la Révolution, de la victoire de Valmy à la défaite de Neerwinden, etc. (Fierro, 924)
Paris, P. Faivre, s.d. (1886) placard in-folio (40 x 29 cm), en feuille. Déchirure en haut du placard, avec petite perte de lettre.
Impression sur papier bleu. Du 24 juin 1886.Il s'agit de la protestation de l'ancien prince royal de la Maison d'Orléans (1838-1894), et prétendant sous le nom de Philippe VII, contre la loi du 22 juin 1886 relative aux membres des familles ayant régné en France, souvent appelée loi d'exil, et qui interdisait le séjour du territoire national aux chefs des familles ayant régné en France et à leurs héritiers directs dans l'ordre de primogéniture."Passionnément attaché à la patrie, que ses malheurs m'ont rendue plus chère encore, j'y ai, jusqu'à présent, vécu sans enfreindre les lois. Pour m'en arracher, l'on choisit le moment où je viens d'y rentrer, heureux d'avoir formé un lien nouveau entre la France et une nation amie". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT