1892 Paris Calmann-Lévy, 1892 Grand in8,pleine percaline de l'éditeur bleue turquoise,,plats et dos ornés, ,dos lisse illustré d'un fantassin en pied,, premier plat historié d'un décor militaire, deuxième plat illustré d'un cavalier sonnant la charge au clairon, toutes tranches dorées, reliure de Paul Souze & Engel r -485 pp, 2 grandes cartes dépliantes ainsi que de 250 gravures d'après Dauzats, Horace Vernet, Ary Scheffer, Eugène Lami, Descamps, Paul Delaroche, Raffet, etc. . Quelques rousseurs
Paris, Plon-Nourrit et Cie, 2° éd, 1911, in-16, front, (4), XXIV, 271pp, 24pl, broché, couverture illustrée, 25 planches d'après des photographies, dont 1 frontispice, représentant des paysages et des animaux polaires (rennes, morse, phoque et ours blanc). SECONDE EDITION de ce récit des trois voyages du duc d'Orléans dans les régions arctiques (entre 1905 et 1909) à bord de la "Belgica". Rousseurs éparses, couverture usagée avec petit manque. Couverture rigide
Bon front., (4), XXIV, 271pp.,
1907 Editions Plon-Nourrit et Cie, Paris, 1907. In-4, demi-chagrin maroquiné à coins. 349 pages, 1 frontispice en héliogravure, très nombreuses illustrations photo en noir et blanc,10 planches couleurs. 2 cartes dépiantes en couleurs
Superbe exemplaire, totalement immaculé. Edition originale
Paris Poulet-Malassis et de Broise, Libraires-Editeurs 1861 in 16 (16x12,5) 1 volume reliure demi chagrin bleu (XXe), dos à nerfs, couverture conservée, dos lisse, 92 pages [2]. Tirage limité à 355 exemplaires. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide Ed. limitée
Plon-Nourrit et Cie, Imprimeurs-éditeurs 1909 In-4. Broché, premier plat de couverture illustré d’une vignette, dos muet, 288 pp., reproductions photographiques dans le texte, 18 planches hors-texte, 39 pp. de tableaux, 8 cartes repliées. Macules d’encre noire, 1 carte avec manque angulaire. En l’état.
Relation de l’échec de l’expédition du prince explorateur pour rejoindre le détroit de Bering à partir de la mer de Kara en longeant la côte nord de la Sibérie. Bon état d’occasion
Calmann-Lévy, Paris 1892, 18,5x28cm, reliure de l'éditeur.
Edition ornée de 2 grandes cartes dépliantes ainsi que de 250 gravures d'après Dauzats, Horace Vernet, Ary Scheffer, Eugène Lami, Descamps, Paul Delaroche, Raffet, etc... Reliure de l'éditeur en pleine percaline bleue, dos lisse illustré d'un fantassin en pied, dos et plats décolorés en têtes, premier plat historié d'un décor militaire, deuxième plat illustré d'un cavalier sonnant la charge au clairon, toutes tranches dorées, reliure de Paul Souze & Engel. Quelques roussers affectant essentiellement le début et la fin du volume. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris Perrin 2011. Fort in-8 broché couverture illustrée 675pp Avec une carte et des illustrations hors texte en noir et en couleurs.
Plis de lecture au centre du dos mais bel exemplaire. (3406
1842-1843. 1 vol. in-folio, demi-maroquin noir, dos à nerfs muet orné de listels à froid. Reliure de l'époque, coins fortement émoussés et accidents aux plats. 55 pièces manuscrites et 42 pièces imprimées contrecollées soigneusement sur 79 feuillets.
Cet album rassemble les témoignages de sympathie, surtout sous forme de poèmes de circonstance à l'égard de la reine Marie-Aélie à la suite du décès du prince Ferdinand Philippe le 13 Juillet 1842 à l'âge de Parmi les pièces manuscrites on remarque un joli poème autographe de Mélanie Walder (1796-1871), femme de lettres et ancienne maîtresse d'Alexandre Dumas. Les pièces imprimées sont les suivantes : Mandement de l'évêque d'Evreux (Evreux, Amelle, 1842) - Séance royale du 26 Juillet 1842, Discours du roi (Imprimerie royale, 1842) - Lettre de Monseigneur l'archevêque de Reims qui prescrit un service funèbre (18 Juillet 1842) - LIONNET (G.), La Mort du duc d'Orléans (Saint-Amand, 1842) - MORLOT (A.), Ode sur la mort du duc d'Orléans (Belfort, J. Clerc, 1842) - LAKE (J. W.), A monody to the memory of H.R.H. Ferdinand Philippe duke of Orleans (Paris, 1842) - Antoine DUPUCH (...) évêque d'Alger (adresse à son diocèse) - MERCIER (Th.), Le 13 Juillet (Paris, 14 Juillet 1842) - Mandement de Monseigneur l'archevêque de Paris qui prescrit des prières pour le repos de l'âme de S.A.R. Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, A. Le Clere, 1842) - HUARD (F.), Le 30 Juillet 1842, élégie (S.l.n.d.) - GUTTINGER (U.), Le 13 Juillet 1842 (St Germain en Laye, Nov. 1842) - NANCEY (F.), Ode sur la mort... (Melun, Desrues, 1842) - JUBINAL (A.), Lettre au directeur du Courrier du Midi sur Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, 1842) - SAINT-SAËNS (A.), Les Regrets, élégie (Paris, Rouzé, 1842) - FORSTER (Ch.), Le duc d'Orléans (Paris, 1842) - CHAS (Pauline), Le calvaire royal (1842) - PILARD (Héloïse), Elégie sur la mort de Mgr le duc d'Orléans (Paris, J.B. Gros, 1842) - DU MESNIL (Marie), Aux manes de son altesse royale (...) chant funèbre (Maubeuge, Levecque, 1842) - Théodore, Calamité (Versailles, Kiefer, 1842) - Is it not sweet to think hereafter (S.l.n.d.) - ROUSSY (V.), La France en deuil (Paris, Baudouin, 1842) - [STAMPINATU (Rosalie)], Mon dernier hommage au prince royal (Paris, Amyot, 1842) - Ode à la mémoire de (...) Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, A. Hugot, 1842) - G (Eug.), Les Douleurs de Marie (Paris, 1842) - DUPERRET (P.), Mgr le duc d'Orléans (Paris, Brière, s.d.) - BERNARD (P.), Eloge sur la mort de (...) duc d'Orléans (Marseille, Achard, août 1842) - LOIZEROLLES, Daphnis (Paris, Dondey-Dupré, 1842) - LE FLAGUAIS (A.), La Mort du duc d'Orléans (Caen, Hardel, 1842) - MAILLARD (H.), Apothéose du prince royal de France (Paris, 1842) - Michel, Le Cri du Coeur (Paris, Simonet-Delaguette, juillet 1842) - REY (A. de), Ode (Paris, Appert, 1842) - PAILLET, Elégie (Paris, L. Bocquet, 1842) - LAISNE (P.), Le chant de deuil de la France (Paris, Adde, 18412) - BREANT (A.), Evénement du 13 Juillet 1842 - Le Duc d'Orléans (Paris, Rousset, 1842) - CUREZ (L.), A la mémoire de S.A.R. (...) le duc d'Orléans (Paris, Daguin, 15 Juillet 1842) - MARTIN-PASCHOUD (J.), La Mort du duc d'Orléans (Paris, Baudouin, s.d.) - ROLLAND (A.), La Mort du duc d'Orléans (Paris, Tresse, 1842) - SANSON (J.), Le prince royal est mort !!! (Paris, Ledoyer, Juillet 1842) - GRISIER, A la mémoire du duc d'Orléans ! (Paris, 1842) - MULLER (A.), Adieux à son royal élève (Paris, s.d.) - MAUBERT G.), Apologue (Paris, s.d.).
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Orléans 1829 39,6 x 25,3 1 permission de chasse signée par Louis-Philippe d'Orléans, donnant autorisation depuis le 15 septembre 1829 jusqu'au 1er mars 1830, dans la forêt d'Orléans (inspection d'Orléans, département du Loiret). Feuillet double de format: 395mm x 255mm, papier vergé fort). Feuillet à en-tête imprimée aux armes du Duc d'Orléans, avec sa signature manuscrite dans le bas du document. Permis nominatif de Mr Boscheron des Portes, premier avocat général à la Cour Royale d'Orléans, l'autorisant à chasser une fois par semaine, depuis le 15 septembre 1829 jusqu'au 1er mars 1830, accompagné d'une personne, avec chiens courants, dans la forêt d'Orléans, La Garde Neuville, et à tirer le sanglier, le lapin et les oiseaux de passage. Louis-Philippe d'Orléans, Paris 1773 - Claremont 1850, dernier roi à avoir régné en France, entre 1830 à 1848, avec le titre de « roi des Français », il est le fils de Louis-Philippe-Joseph, duc d'Orléans ( '' Philippe Egalité '', 1747-1793 ), duc de Valois, Duc de Chartres en 1785,
Signé par l'auteur
Paris Imprimerie royale 1837 In-4° (258 x 206 mm), XV pp. - [1] p. bl. - 201 pp. - [3] pp. bl. et [1] f. de pl., veau brun à coins, dos lisse orné, plats de papier marbré muticolore avec encadrement d'un filet, gardes et tranches du même (reliure de l'époque)
Exemplaire réimposé in-4 sur grand papier vélin Un des rares exemplaires réimposé in-4° tiré sur papier vélin fort de cette édition privée illustrée d'un très beau portrait tiré sur papier de Chine dessiné par le duc lui-même et gravé par Dupont. Il s'agit d'une nouvelle édition des mémoires du duc de Montpensier (1775-1807) publiées pour la première fois en 1816 sur les presses de l'imprimerie particulière du duc d'Orléans à Twickenham. Les Orléans publièrent au XIXe siècle plusieurs textes à compte d'auteurs qui ne furent pas mis dans le commerce, cette publication qui s'inscrit dedans fut probablement ordonnée par Louis-Philippe en mémoire de son frère. Ces mémoires sur la période révolutionnaire, du fils cadet du régicide Philippe-Egalité, sont importants. Ils couvrent la période qui va de 1793, date de l'arrestation du duc pendant la terreur, à son arrivée en 1797 à Philadelphie, soit la seule où les deux frères, qui entretenaient une profonde affection, furent séparés. Le récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des moeurs révolutionnaires et une analyse politique des principaux évènements du temps. Antoine-Philippe d'Orléans (Paris,1775 - Salt Hill,1807), duc de Montpensier, prince du sang français membre de la maison d'Orléans, est adjudant général à l'armée du Var lorsqu'il est arrêté, en même temps que tous les Bourbons, en avril 1793 et incarcéré au fort Saint-Jean à Marseille. Il sera rejoint durant sa longue captivité par le prince de Conti et de la duchesse de Bourbon. Il y contracte la tuberculose qui finira par l'emporter en 1807. Le 13 fructidor an IV (30 août 1796), le Directoire décide enfin son élargissement et ordonne qu'il soit transféré à Philadelphie où le chargé d'affaire de la République française aux États-Unis doit lui verser une pension annuelle de 15 000 francs. Il s'embarque le 5 novembre 1796. C'est alors qu'est conçu son fils naturel, Jean-Antoine-Philippe Dentend (1797-1858), qui deviendra le notaire de la maison d'Orléans (à ce titre, il sera chargé de rédiger l'acte de donation des biens personnels de Louis-Philippe à ses enfants juste avant son accession au trône en 1830). En février 1797, accompagné de son frère puîné le comte de Beaujolais, il rejoint son frère aîné à Philadelphie. La pagination est différente de celle de l'in-8° qui présente 231 pp. Fierro - 1070 ; quelques frottements notamment au dos à l'emplacement du titre ainsi qu'aux coins, petit manque sur le plat supérieur, rares rousseurs plus présentes à quelques feuillets notamment au titre.
In-8 (200 x 125 mm), plein maroquin rouge de l'époque, dos à 5 nerfs rehaussés d'une roulette dorée et orné de caissons cloisonnés et fleuronnés au chiffre de Louis-Philippe d'Orléans, plats encadrés d'une roulette dorée aux fleurs de lys et frappés au centre des armes du même, coupes et coiffes filetées, tranches dorées, roulette intérieure dorée, xxxvj, 631 p., beau titre-frontispice gravé en taille-douce. Paris, d'Houry, 1745.
Très bel exemplaire de dédicace, reliure de maroquin rouge aux armes du duc d'Orléans dédicataire de l'ouvrage.Louis-Philippe d'Orléans (1725-1785), duc de Chartres puis, après 1752, duc d'Orléans, de Valois, de Nemours et de Montpensier, premier prince du sang, était le petit-fils du Régent, le père de Philippe-Égalité et le grand-père du roi Louis-Philippe.Guigard attribue le fer à Philippe-Égalité.(OHR, pl. 2572:1. Guigard, I, 40).Très bel exemplaire.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Paris: Marchand, 1800. In-8, 195 x 127, (2 ff.), frontispice, xxxij-282 pp., (3 ff.). — Demi-veau moucheté, dos lisse orné, tranches rouges (reliure de l’époque).
Édition originale peu courante. Elle est ornée d’un portrait frontispice de Louis Philippe Joseph d’Orléans (1747-1793), dit «Philippe égalité». «Ce recueil, que l’on offre à la méditation du lecteur, n’est ni l’histoire de d’Orléans, ni celle de ce qu’on nomme sa faction; c’est un amas de pièces authentiques qui pourront servir aux contemporains pour fixer leur opinion vacillante sur le caractère et les vices de cet homme…» (Introduction).L’Histoire retiendra de Louis-Philippe d’Orléans le rôle décisif qu’il joua dans la mort de son cousin Louis XVI le condamnant sans appel au gibet par son seul vote. Les lettres qui composent ce recueil furent écrites entre 1787 et 1791 et adressées à des personnalités très diverses: Louis XVI, Marie-Antoinette, Montmorin, Lafayette, sa femme, ses enfants… Elles font notamment référence à son exil à Villers-Cotterêts. Reliure frottée, manques aux coiffes. Premiers feuillets et frontispice fortement brunis. Tache autour du cachet sur le faux-titre.Provenance: cachet humide sur le faux-titre au chiffre IFC non identifié.
LOUIS PHILIPPE D'ORLEANS, PREMIER PRINCE DU SANG, DUC D'ORLEANS, DE VALOIS, DE CHARTRES, DE NEMOURS ET DE MONTPENSIER, COMTE DE VERMANDOIS ET DE SOISSONS
Reference : 21946
(1779)
PARIS 1779 un document, manuscrit à l'encre brune d'une page sur velin parcheminé, format 47,5 centimètres de large par 32,5 centimètres de haut, signature de Louis Philippe d'Orléans en bas au centre avec grand sceau et contre-sceau de cire rouge quasiment complet du Prince [lEmpreinte du Grand Sceau représente le Prince à cheval armé de pied en cap avec la date 1762 et le Contre-Sceau aux Armes du Prince (fleurs de lys)], FAIT A PARIS AU PALAIS ROYAL , LE 1 JUILLET 1779,
Le Secrétaire des commandements, c'est le Premier secrétaire d'un prince de la Maison Royale..(dont l'emploi est de faire ou d'écrire des lettres, des dépêches pour le prince auquel il est attaché). ........BEL ET TRES RARE DOCUMENT.......en bon état (good condition). en trés bon état
Lettre Autographe Signée de Louis-Philippe-Albert d'Orléans (1838-1894), prétendant au trône de France, chef de l'ancienne Maison Royale d'Orléans.LAS datée de Tunbridge Walls (Angleterre), le 23 juillet 1886. Il remercie une amie de sa mère de lui exprimer en termes si sympathiques tout ce que (lui) faisait éprouver la cruelle loi d'exil qui vient de (le) frapper.En effet, après la mort du Comte de Chambord en 1883, la République a eu largement le temps de se renforcer et le prétendant ne parvient pas à prendre le pouvoir. En 1886, le vote d'une nouvelle loi d'exil contraint le Comte de Paris et sa famille à quitter le territoire national. Il continua à essayer d'intervenir dans les affaires de la France, mais mourut pourtant en exil à Stowe House en 1894.2 pages format in-12°(18x12) sous couverture plastique. Très bon état.
Lettre Autographe Signée de Louis-Philippe-Albert d'Orléans (1838-1894), prétendant au trône de France, chef de l'ancienne Maison Royale d'Orléans.2 LAS, l'une datée du 11 février 1877, 3 pages format in-12°(18x12), remerciant chaleureusement une écrivaine des livres, toujours aussi spirituels, qu'(elle) a bien voulu lui adresser; l'autre depuis l'Hôtel de Londres, non datée, 1 page format in-12°, à Madame Bisson. Il lui annonce que sa femme et lui désirent déjeuner avec elle et son mari, bien qu'ayant la veille vu le Louvre, conduit par un de (ses) oncles (Aumale précisément).Sous couverture plastique. Très bon état.
Lettre Autographe Signée de Louis-Philippe-Albert d'Orléans (1838-1894), prétendant au trône de France, chef de l'ancienne Maison Royale d'Orléans.LAS datée du 26 juin 1878. Sur papier à en-tête du château d'Eu. Il exprime sa douleur devant l'état critique de sa Belle soeur la jeune Reine d'Espagne qui est .2 pages format in-12°(18x12) sous couverture plastique. Très bon état.
In-8 (215 x 146 mm), demi-percaline beige à la Bradel de l'époque, pièce de titre de veau brun, (4), xcviii, (2), 458 p., (1) f. de table, portrait-frontispice gravé. Paris Michel Lévy frères 1870
Edition originale posthume publiée sur le manuscrit de l'auteur et présentée par ses deux fils de Louis-Philippe d'Orléans, comte de Paris (1838-1894) et de Robert d'Orléans, duc de Chartres (1840-1910).L'un des sources principales sur la conquête de l'Algérie par l'un de ses principaux protagonistes Ferdinand-Philippe d'Orléans (1810-1842), fils aîné du roi Louis Philippe. Brillant officier, il participa à toutes les batailles de la conquête aux côtés du maréchal Clauzel: Mouzaïa contre Abd El-Kader, bataille de l'Habrah où fut est blessé, Mascara (1835), Tlemcen (1836), Tafna, Constantine, etc., jusqu'aux portes de Fer (1839). (Gay, n°938. Tailliart, n°1941).Sans la carte.Quelques rousseurs et piqûres.Bon exemplaire.
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Bel exemplaire imprimé sur papier de Hollande relié en maroquin rouge aux armes et chiffre couronné du jeune roi Louis XV (1715-1774). Paris, Imprimerie Royale, 1724. In-4 de (2) ff. et 175 pp. Plein maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, armoiries au centre, dos à nerfs fleurdelysé orné du chiffre royal couronné répété cinq fois, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées, découpe réparée sur le titre. Reliure aux armes du roi Louis XV. 252 x 190 mm.
Les règlements de Philippe d’Orléans, Régent du Royaume, sur les haras nationaux édictés entre 1717 et 1719. « Nous avons par nostre Reglement de cejourd’huy, ordonné ce que Nous voulons estre observé à l’avenir pour le service des Haras dans l’estendue de nostre Royaume : Et comme par nos Arrest des 28 octobre 1683 & 21 May 1695 & notre Declaration du 22 Septembre 1709. Nous vous avons particulierement attribué la connoissance & Jurisdiction de tout ce qui concerne les dits Haras & les Privileges des Gardes-Estalons, avec pouvoir de rendre vos Ordonnances, sauf l’appel en nostre Conseil ; Nous désirons que vous donniez la mesme attention à l’execution dudit Reglement. A ces causes, de l’avis de nostre tres cher & tres amé le Duc d’Orleans Regent, de nostre tres cher & tres amé Cousin le Duc de Bourbon, de nostre tres cher & tres amé Oncle le duc du Maine, et de nostre tres cher & tres amé Oncle le Comte de Toulouse, & autres Pairs de France, grands & notables personnages de nostre Royaume, Nous vous mandons & ordonnons de faire garder & observer selon sa forme & teneur ledit Reglement , Ensemble les formules cy-attachées sous le Contre-Scel de nostre Chancellerie ; Et que vous ayez à le faire lire & publier par tout où besoin sera, chacun dans l’estendue de vostre département, sans permettre qu’il y soit contrevenu en quelque sorte & Manière que ce puisse estre, nonobstant tous autres Arrest, Ordonnances & Reglements à ce contraires. Voulons qu’aux copies dudit Reglement, des dites formules & des presentes deuëment collationnées par l’un de nos amez & seaux Conseillers-Secretaires, soy soit ajoutée comme à l’Original ; Car tel est nostre plaisir. Donné à Paris le vingt-deuxième jour de Fevrier mil sept cens dix-sept, Et de nostre Regne le fecond. Signé Louis. Et plus bas, Par le Roy, le Duc d’Orléans Régent présent. Phelypeaux ». « Le 28 octobre 1683 fut publié l’arrêt du Conseil concernant le rétablissement des Haras du royaume. Nous avons vu qu’un arrêt avait été rendu à ce sujet dix-huit ans auparavant, pendant l’administration de Colbert : celui de 1683 eut donc pour objet de donner une nouvelle vigueur à son aîné. A partir de ce moment, l’administration des Haras du royaume est constituée, et les règlements, les instructions se succèdent. En 1717, l’Imprimerie royale en publiait un recueil de 154 pages in-4, suivi, à sept ans de distance, par un ‘Règlement du roy’ sur le même sujet, en 175 pages. » (F. Michel, Du passé et de l’avenir des haras). « Ce fut en 1717 que le gouvernement, effrayé de la dégénérescence toujours croissante de l’espèce chevaline en France, de la pénurie de chevaux qui existait dans ce royaume, et de l’énorme somme sortie pour les remontes faites à l’étranger en 1688 et 1700, crut devoir aviser aux moyens d’augmenter et d’améliorer les chevaux français. Un règlement concernant l’administration des haras du royaume dut arrêté, un système régulier mis en vigueur et suivi avec quelques modifications jusqu’à la révolution de 1789. » Bel exemplaire imprimé sur papier de Hollande relié en maroquin rouge aux armes et chiffre couronné du jeune roi Louis XV (1715-1774).
Duc d'Orléans ...//... Ferdinand-Philippe d'Orléans (1810-1842).
Reference : 10644
(1892)
Paris, Calmann Lévy, 1892, 1 volume, grand in-8 (30 cm), relié, XXIII-484 p.. Seconde édition (la première en 1890, même éditeur, in-8, non illustrée). 250 gravures sur bois dont de nombreuses en hors texte à pleine page, index biographique et deux grandes cartes dépliantes en fin de volume. Reliure éditeur, pleine toile bleu ciel à décor polychrome et titre doré sur le premier plat et au dos, cavalier doré au centre du second plat, tranches dorées, plats biseautés. Petits frottements aux coins, un feuillet très légèrement décalé.
Fernidand-Philippe d'Orléans était le fils aîné du roi Louis-Philippe Ier. /// Mascara et les Portes de Fer sont situés en Algérie. /// Il ne sera pas fait de photos supplémentaires afin d'éviter les accidents de manipulation, l'intérieur de l'ouvrage étant en parfait état. Très bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
PHILIPE D’ORLÉANS (Louis Philippe Robert, duc d’Orléans) explorateur et chasseur français, prétendant orléaniste au trône de France à la mort de son père, en 1894, sous le nom de Philippe VIII jusqu’en 1926. (1869-1926)
Reference : 97C25
Portrait lithographique portant cette rare dédicace à Auguste Escoffier (1846-1935) qui fut un chef cuisinier-restaurateur et auteur culinaire français, qui dirigea en 1890 les cuisines de l’hôtel Savoy de Londres. Dans un encadrement d’origine. « À Monsieur Escoffier Philippe duc d’Orléans Londres 1893 ». (format de l’image 35 x 22 cm),
Paris Baudouin frères 1824 1 vol. relié in-8, demi-chagrin havane, dos à nerfs, 304 pp. (nombreuses rousseurs, quelques feuillets salis, manque angulaire à la page de faux-titre). 3e édition revue et corrigée, ornée en frontispice d'un portrait de l'auteur exécuté par lui-même. Louis-Antoine-Philippe d'Orléans, duc de Montpensier (1775-1807) servit au grade d'officier dans l'armée de Dumouriez. Impliqué par le décret rendu contre tous les Bourbons, il fut arrêté et emprisonné à Marseille puis à Paris. Libéré en 1797, il passa en Amérique puis vécut avec son frère le comte de Beaujolais en Grande-Bretagne où la tuberculose l'emporta à 32 ans. Bon exemplaire, dans une reliure postérieure.
1751 Amsterdam et Leipzig - Arkstée et Merkus - 1751 - 1 volume in4 de 330 pages - Reliure de l'époque, veau marbré, dos à nerfs orné, pièce de titre havane, tranches rouges - Bel et unique exemplaire -
Bien complet des 35 cartes et vues - Exemplaire provenant de la Bibliothèque du Roi Louis Philippe au Palais Royal - (cachet) - On y joint une Lettre Autographe Signée de Louis Philippe d'Orléans à "Mon cher Abbé" - Neuilly le 16 juin 1820 : Il veut lui témoigner combien il est affligé par la "perte cruelle et inattendue" qu'il vient de faire -
P., Imprimerie Royale, 1837, gr. in-8°, xv-231 pp, un autoportrait dessiné par l'auteur et gravé par Dupont tiré sur papier de Chine en frontispice, une notice biographique non signée en tête, reliure demi-veau glacé havane à coins, dos lisse orné en long, pièce de titre chagrin noir, filets dorés sur les plats, tranches jaspées (rel. de l'époque), dos très lég. frotté, un mors fendu, bon état
Ce texte parut pour la première fois sous le titre : « Relation de la captivité de S.A.S. Mgr le duc de Montpensier...» , tiré de l'imprimerie particulière de Twickenham en 1816. Il fut souvent réimprimé par la suite sous ce titre de « Mémoires...». Le frère de Louis-Philippe y raconte en effet ses 43 mois de captivité d'avril 1793 au 5 novembre 1796 dans les prisons de Marseille. « Fils cadet du duc d'Orléans (Philippe Egalité), frère de Louis-Philippe, le duc de Montpensier raconte sa longue captivité à Marseille en compagnie du prince de Conti et de la duchesse de Bourbon. Son récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des mœurs révolutionnaires et une analyse politique des principaux événements du temps. » (Fierro, 1070). Le récit s'achève par l'embarquement pour l'Amérique (novembre 1796). - Cette édition — qui, sortie de l'Imprimerie royale, a un caractère officiel — est d'une typographie soignée et tirée sur grand papier.
Sans Lieu, ni Date (début XIXème) in 8 (23x15) 1 volume reliure plein maroquin rouge de l'époque, dos lisse orné, importantes guirlandes de palmettes dorées sur les plats, et décor à froid, 16 pages, petites rousseurs (Mention manuscrite ancienne au crayon à papier sur la première page de garde: Lecrosnier, 16 juillet 1883). Texte daté: Neuilly, octobre 1822. Louis-Philippe d'Orléans, Roi des français, 1773-1850. Superbe reliure romantique (photographies sur demande)
Très bon Reliure
Palais-Royal [Paris], 21 février 1757 in-4, [2] pp. n. ch., en feuille.
Missive envoyée par le duc d'Orléans, Louis-Philippe "le Gros" (1725-1785) à Daniel-Charles Trudaine (1703-1769), administrateur des Ponts et Chaussées, lui demandant la construction d'un chemin entre Bagnolet et Bondy en passant par Noisy-le-Sec :"(...) un chemin dont la construction me seroit très utile pour aller de Bagnolet à Bondy. Cette traverse est impraticable pendant presque toute l'année, et indépendamment de l'avantage que je tirerois de la construction de ce chemin, il seroit de la plus grande utilité pour les habitans des villages voisins, qui offrent des voitures sur les lieux".Le château de Bagnolet, bien patrimonial des Orléans, était en effet passé de Françoise-marie de Bourbon, duchesse d'Orléans (1677-1749) à son fils Louis, puis à son petit-fils Louis-Philippe en 1752. Ce dernier ne le gardera pas longtemps, puisqu'il le revendit en 1769 pour acquérir le château du Raincy, mais la présente lettre semble attester qu'il s'y rendait assez souvent entre 1752 et la revente.En tant qu'administrateur des ponts et chaussées, Trudaine, économiste éclairé, faisait alors réaliser plusieurs milliers de kilomètres de routes royales (actuelles routes nationales) reliant Paris aux frontières et aux principaux ports de mer. Ce réseau routier était alors considéré comme l'un des meilleurs d'Europe. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT