Laffont Robert 1966 1966. Jean-Paul Ollivier: Le temps des filles/ Robert Laffont 1966 . Jean-Paul Ollivier: Le temps des filles/ Robert Laffont 1966
Très bon état
Le Livre de Poche 2006 2006. Mikaël Ollivier - L'inhumaine nuit des nuits / Le Livre de Poche 2006
Bon état
Garnier Frères 1903 1903. Emile Ollivier - L'Empire Libéral: études récits souvenirs/ Garnier Frères 1903
Le Livre de Poche 2004 2004. Mikaël Ollivier - Trois souris aveugles / Le Livre de Poche 2004
Bon état
Sans date. Rouge et Or/ Jean Ollivier: L'Aventure Viking . état correct
Etat correct
Paris, Librairie internationale A. Lacroix, Verboeckhoven et Cie., 1869. Petit in-8 de 483 pp., demi-percaline rouge, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin vert (reliure de l'époque).
Dixième édition augmentée de la lettre du Pape à l'archevêque de Paris. Avocat, Emile Ollivier (1825-1913), fut élu député en 1857. Fondateur du Tiers parti en 1863, il prit position contre la politique de Rouher. Après la démission de ce dernier (1869), il fut chargé par Napoléon III de former un nouveau ministère (janvier 1870) et fut nommé lui-même ministre de la Justice et des Cultes. Quelques rousseurs.
Paris, Librairie internationale A. Lacroix, Verboeckhoven et Cie, 1869. Petit in-8 de 463 pp., demi-chagrin brun, dos à nerfs (reliure de l'époque).
Édition originale. Avocat, Emile Ollivier (1825-1913), fut élu député en 1857. Fondateur du Tiers parti en 1863, il prit position contre la politique de Rouher. Après la démission de ce dernier (1869), il fut chargé par Napoléon III de former un nouveau ministère (janvier 1870) et fut nommé lui-même ministre de la Justice et des Cultes. Bon exemplaire.
P., Garnier, 1989, in-8°, 342 pp, bibliographie des oeuvres d'Emile Ollivier, broché, couv. illustrée, bon état
Libéral modéré, Émile Ollivier, le fameux homme d'État, publie un grand ouvrage 1789 et 1889 qui est un autre bilan « nuancé ». Il fait l'éloge des modérés de l'époque, des gens de bon sens qu'on n'a pas écoutés. Les jacobins sont dépeints comme cruels, incapables, véreux. Ollivier admire l'œuvre de Napoléon et lui reproche seulement son abdication de 1815. L'œuvre de la Révolution est grande et elle ne s'arrête pas en 1800 : elle se poursuit et toute réforme à venir doit se rattacher à son inspiration. Le tri se fait sur un modèle « classique ». Il y a des « vérités admirables », ce qui exonère la Révolution ; il y eût aussi des « actes blâmables et odieux ». « La mode est de médire de la Révolution », constate-t-il. Lui prétend n'en pas médire, mais sauver ce qui peut être sauvé ; le livre est construit en trois parties : le Drame (avec ses excès et ses crimes), l'Œuvre (positive et admirable), la Révolution depuis 1815 (elle n'a cessé de s'approfondir, tout retour en arrière serait vain). Cette démarche lui permet d'être critique des républicains au pouvoir : ils sont en train de dégrader et d'avilir la République, le gouvernement est justement méprisé, la Haute Cour, instituée contre Boulanger, est une imposture vaudevillesque. Une dernière partie, « Des Réformes », nous offre la clé idéologique d'E. Ollivier : 1789 au fond a ouvert le règne de la bourgeoisie (nommée par lui celui de l'« Égalité »). Il suffit de suivre cette ligne-là. Il faut rapporter toutes les lois anticléricales, facteurs de désordre. Quant à la « question sociale », elle se résoudra par l'égalité juridique. Ce républicain se dit enfin assez favorable à... un monarque héréditaire qui mettrait de « la stabilité » dans l'État sans exercer de pouvoir réel. Émile Ollivier est un bel exemple de républicain de droite métamorphosant les Principes de 1789 en facteurs de conservatisme. Il déteste chez les radicaux leur goût du désordre, des excès. (Marc Angenot) — "Voici un curieux texte écrit par le malheureux ministre du printemps de l'Empire libéral. Il lui restera fidèle malgré le désastre de Sedan, ce qui le conduit à une vision très personnelle du bilan de ce premier centenaire de la Révolution, à laquelle seuls les Bonapartistes seraient restés fidèles ! Dans cette ligne on ne s'étonne plus de voir le 2 décembre devenir un "coup du Droit" qui rétablit le suffrage universel et le peuple dans son pouvoir constituant. Les Actes constitutionnels de l'Empire sont bien sûr analysés avec sympathie, décrits dans leur évolution "libérale" et sociale, évolution malheureusement interrompue par la hargne des "Jacobins" (au premier rang duquel se situe Jules Favre, qui refuse de reconnaître en 1864 le mérite de la loi sur les coalitions rapportée par Emile Ollivier avant d'être le chef de ce Gouvernement de la Défense Nationale qui a usurpé un pouvoir légitimé par le plébiscite de 1870 !). Rien d'étonnant à ce qu'en 1889 leur pouvoir (jamais soumis à la sanction populaire) leur ait été contesté par Boulanger. Mais, toujours égaux à eux-mêmes, les "Jacobins" de 1889, qui campent dans les mots de la Révolution en violant ses principes, ont avec la "Haute Cour" simplement réinventé le Tribunal Révolutionnaire ! L'excès du propos ne doit cacher ni la lucidité de certaines analyses (les abus de l'exclusivisme parlementaire) ni l'intérêt psychologique de sa peinture du "jacobin" où M. Agulhon reconnaît l'absolutisme du "militant", qu'il soit stalinien ou ultra de quelque autre cause que ce soit..." (Revue française de science politique, 1989)
P., Publications de la Sorbonne, 1985, gr. in-8, br., couv. à rabats, 364 pp., tableau généalogique, planches hors-texte, index, chronologie, bibliographie. (DT36)
Études réunies par Anne Troisier de Diaz, publiées lors de la célébration du 150ème anniversaire de la naissance d'Émile Ollivier. Préface : Bergson, réédition du Discours de réception à l'Académie française sur Émile Ollivier. Émile Ollivier et la IIème République. Le rapporteur de la loi des coalitions. Décentralisation sous la IIème République. La Constitution de 1870 et la candidature Hohenzollern. Sa correspondance avec le prince Napoléon, etc. Émile Ollivier (1825-1913) homme politique français, avocat, l'un des cinq députés républicains élus en 1857 fut réélu en 1863, se rapprocha de l'Empereur, prit la responsabilité de la guerre de 1870. Il est l'auteur notamment de L'Empire libéral 1894-1902 et d'un Journal. Série France XIX - XX - 21 - Université de Paris I - Panthéon-Sorbonne.
Diaz Paris impr. Chantenay Broché D'occasion bon état 01/01/1965 189 pages
OLLIVIER Emile ( Marseille 1825 - St Gervais les Bains 1913), Homme politique, avocat et essayiste.
Reference : 11721
Léon Lavedan est "tombé" sur des lettres d'Emile Ollivier adressé à l"'avocat Lecour, le premier avocat marseillais, de plus un homme éminent …. Il a laissé un fils indigne… C'est sans doute des mains d'héritiers encore plus indignes que lui, que les lettres sont tombées dans la rue dans la rue où vous les avez ramassées.". Puis E. Ollivier regrette de ne pouvoir consacrer plus de temps au Correspondant "qui m'a été si hospitalier à mes plus mauvais jours, mais je suis resté inébranlablement pour les nationalités et le très distingué M. Lagorce n'entend pas qu'on s'en vante…“. "Il y aurait bien à dire dans le Correspondant il n'y a pas eu seulement Falloux et Montalembert,il y aussi Lacordaire, Ozanam et ceux-la n'étaient pas anti-italiens. D'ailleurs n'est-ce pas la théorie des nationalités qui est aujourd'hui notre titre à revendiquer l'Alsace? ". 4 pages in-12 sur papier bleuté, enveloppe jointe.
Emile Ollivier fut élu député de Paris en 1857, et élu à l'Académie française en 1870. C'est sous son Ministère que la troupe est envoyée contre les grévistes du Creusot, causant des morts, et que sont arrêtés les principaux dirigeants de la section française de l'Internationale des travailleurs. Léon Lavedan (Vouvray 1826 - Paris 1912), journaliste, fonda le "Moniteur du Loiret", avec l'appui de Mgr Dupanloup. Lavedan était un conservateur affirmé, proche des courants monarchiste et catholique, il fut Préfet de 1871-1874, nommé ensuite directeur adjoint à la BNF. Il collabora au "Figaro" sous le pseudonyme de Philippe de Grandlieu et fut rédacteur au Correspondant. Il est le père d'Henri Lavedan. (CLGR4)
S.l.n.d. 1900 1 vol. relié in-8, bradel pleine percaline bronze, pièce de titre de maroquin bordeaux (Petitot). Article de presse fractionné en 10 coupures contrecollées sur des feuillets blancs. Après la chute de son ministère, Emile Ollivier s'exile en Italie et écrit ces 3 lettres juste après la proclamation de la Troisième République. Exemplaire bien établi, dans une élégante percaline avec un ex-libris gravé. Très bonne condition.
LAROUSSE 2016 384 pages 19 5x23 6x3 8cm. 2016. Broché. 384 pages.
Très bon état
CASTERMAN 1995 216 pages 11 8x2 2x16 6cm. 1995. Relié. 216 pages.
Bon état
Seuil, Le temps qui court, 1970, 188 p., illustrations, poche, traces d'usage,initiales en première page, état correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
NiL Editions 2013 360 pages 13x2 7x20 4cm. 2013. Broché. 360 pages.
Bon état - . quelques marques plis de stockage sur couverture et coins coins cornés sur couverture mais du reste en bon état - envoi rapide et soigné dans enveloppe à bulles depuis france
Editions de'Aujourd'hui, Les introuvables, 1987, 213 pp., broché, couverture tachée, état correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Collectif Stone Barry Ollivier Bernard
Reference : 500092671
(2015)
ISBN : 9782081370500
FLAMMARION 2015 960 pages 16 5x22 1x5 8cm. 2015. Broché. 960 pages.
Très bon état