P., Garnier, 1989, in-8°, 342 pp, bibliographie des oeuvres d'Emile Ollivier, broché, couv. illustrée, bon état
Libéral modéré, Émile Ollivier, le fameux homme d'État, publie un grand ouvrage 1789 et 1889 qui est un autre bilan « nuancé ». Il fait l'éloge des modérés de l'époque, des gens de bon sens qu'on n'a pas écoutés. Les jacobins sont dépeints comme cruels, incapables, véreux. Ollivier admire l'œuvre de Napoléon et lui reproche seulement son abdication de 1815. L'œuvre de la Révolution est grande et elle ne s'arrête pas en 1800 : elle se poursuit et toute réforme à venir doit se rattacher à son inspiration. Le tri se fait sur un modèle « classique ». Il y a des « vérités admirables », ce qui exonère la Révolution ; il y eût aussi des « actes blâmables et odieux ». « La mode est de médire de la Révolution », constate-t-il. Lui prétend n'en pas médire, mais sauver ce qui peut être sauvé ; le livre est construit en trois parties : le Drame (avec ses excès et ses crimes), l'Œuvre (positive et admirable), la Révolution depuis 1815 (elle n'a cessé de s'approfondir, tout retour en arrière serait vain). Cette démarche lui permet d'être critique des républicains au pouvoir : ils sont en train de dégrader et d'avilir la République, le gouvernement est justement méprisé, la Haute Cour, instituée contre Boulanger, est une imposture vaudevillesque. Une dernière partie, « Des Réformes », nous offre la clé idéologique d'E. Ollivier : 1789 au fond a ouvert le règne de la bourgeoisie (nommée par lui celui de l'« Égalité »). Il suffit de suivre cette ligne-là. Il faut rapporter toutes les lois anticléricales, facteurs de désordre. Quant à la « question sociale », elle se résoudra par l'égalité juridique. Ce républicain se dit enfin assez favorable à... un monarque héréditaire qui mettrait de « la stabilité » dans l'État sans exercer de pouvoir réel. Émile Ollivier est un bel exemple de républicain de droite métamorphosant les Principes de 1789 en facteurs de conservatisme. Il déteste chez les radicaux leur goût du désordre, des excès. (Marc Angenot) — "Voici un curieux texte écrit par le malheureux ministre du printemps de l'Empire libéral. Il lui restera fidèle malgré le désastre de Sedan, ce qui le conduit à une vision très personnelle du bilan de ce premier centenaire de la Révolution, à laquelle seuls les Bonapartistes seraient restés fidèles ! Dans cette ligne on ne s'étonne plus de voir le 2 décembre devenir un "coup du Droit" qui rétablit le suffrage universel et le peuple dans son pouvoir constituant. Les Actes constitutionnels de l'Empire sont bien sûr analysés avec sympathie, décrits dans leur évolution "libérale" et sociale, évolution malheureusement interrompue par la hargne des "Jacobins" (au premier rang duquel se situe Jules Favre, qui refuse de reconnaître en 1864 le mérite de la loi sur les coalitions rapportée par Emile Ollivier avant d'être le chef de ce Gouvernement de la Défense Nationale qui a usurpé un pouvoir légitimé par le plébiscite de 1870 !). Rien d'étonnant à ce qu'en 1889 leur pouvoir (jamais soumis à la sanction populaire) leur ait été contesté par Boulanger. Mais, toujours égaux à eux-mêmes, les "Jacobins" de 1889, qui campent dans les mots de la Révolution en violant ses principes, ont avec la "Haute Cour" simplement réinventé le Tribunal Révolutionnaire ! L'excès du propos ne doit cacher ni la lucidité de certaines analyses (les abus de l'exclusivisme parlementaire) ni l'intérêt psychologique de sa peinture du "jacobin" où M. Agulhon reconnaît l'absolutisme du "militant", qu'il soit stalinien ou ultra de quelque autre cause que ce soit..." (Revue française de science politique, 1989)
S.l.n.d. 1900 1 vol. relié in-8, bradel pleine percaline bronze, pièce de titre de maroquin bordeaux (Petitot). Article de presse fractionné en 10 coupures contrecollées sur des feuillets blancs. Après la chute de son ministère, Emile Ollivier s'exile en Italie et écrit ces 3 lettres juste après la proclamation de la Troisième République. Exemplaire bien établi, dans une élégante percaline avec un ex-libris gravé. Très bonne condition.
OLLIVIER Emile ( Marseille 1825 - St Gervais les Bains 1913), Homme politique, avocat et essayiste.
Reference : 11721
Léon Lavedan est "tombé" sur des lettres d'Emile Ollivier adressé à l"'avocat Lecour, le premier avocat marseillais, de plus un homme éminent …. Il a laissé un fils indigne… C'est sans doute des mains d'héritiers encore plus indignes que lui, que les lettres sont tombées dans la rue dans la rue où vous les avez ramassées.". Puis E. Ollivier regrette de ne pouvoir consacrer plus de temps au Correspondant "qui m'a été si hospitalier à mes plus mauvais jours, mais je suis resté inébranlablement pour les nationalités et le très distingué M. Lagorce n'entend pas qu'on s'en vante…“. "Il y aurait bien à dire dans le Correspondant il n'y a pas eu seulement Falloux et Montalembert,il y aussi Lacordaire, Ozanam et ceux-la n'étaient pas anti-italiens. D'ailleurs n'est-ce pas la théorie des nationalités qui est aujourd'hui notre titre à revendiquer l'Alsace? ". 4 pages in-12 sur papier bleuté, enveloppe jointe.
Emile Ollivier fut élu député de Paris en 1857, et élu à l'Académie française en 1870. C'est sous son Ministère que la troupe est envoyée contre les grévistes du Creusot, causant des morts, et que sont arrêtés les principaux dirigeants de la section française de l'Internationale des travailleurs. Léon Lavedan (Vouvray 1826 - Paris 1912), journaliste, fonda le "Moniteur du Loiret", avec l'appui de Mgr Dupanloup. Lavedan était un conservateur affirmé, proche des courants monarchiste et catholique, il fut Préfet de 1871-1874, nommé ensuite directeur adjoint à la BNF. Il collabora au "Figaro" sous le pseudonyme de Philippe de Grandlieu et fut rédacteur au Correspondant. Il est le père d'Henri Lavedan. (CLGR4)
LACROIX/VERBOECKHOVEN 1869-
IN12 1/2 chagrin- dos orné-483p.-leg.rousseurs éparses
En renvoyant le dossier Brunel, Ollivier précise la manière dont il a classé les notes selon quil les estimait bonnes ou mauvaises. …Quand je les ai trouvées trop obscures ou trop longues, je les ai refaites…Quelques notes sont jointes au verso, vraisemblablement de la main de lavocat (sans doute Liouville).
P., L'Harmattan, 1995, in-8, br., 156 pp. (S5B60)
Émile Ollivier (1825-1910) homme politique français, avocat, l'un des cinq députés républicains élus en 1857 fut réélu en 1863, se rapprocha de l'Empereur, prit la responsabilité de la guerre de 1870. Il est l'auteur notamment de L'Empire libéral et d'un Journal 1894-1902. Préface de Maurice Agulhon et Postface de William Smith. Collection Les Introuvables.
OLLIVIER Emile - (Photo de la 2e collection Félix Potin) Photo Reutlinger.
Reference : 50788
(1900)
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Marseille en 1825. Photo Reutlinger. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
OLLIVIER Emile - (Photo de la 2e collection Félix Potin) Photo Reutlinger.
Reference : 51942
(1900)
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Marseille en 1825. Photo Reutlinger. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
OLLIVIER Emile - (Photo de la 2e collection Félix Potin) Photo Reutlinger.
Reference : 51680
(1900)
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Marseille en 1825. Photo Reutlinger. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
Paris, Librairie internationale, A. Lacroix, Verboekhoven et Cie, 1869 in-12, 232 pp., demi-chagrin brun, dos à nerfs (rel. de l'époque). Dos et mors frottés. Rares rouss.
Avocat, Émile Ollivier (1825-1913), fut élu député en 1857. Fondateur du "Tiers parti" en 1863, il prit position contre la politique de Rouher. Après la démission de ce dernier (1869), il fut chargé par Napoléon III de former un nouveau ministère (janvier 1870) et fut nommé lui-même ministre de la Justice et des Cultes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Librairie internationale, A. Lacroix, Verboekhoven et cie, 1869 in-12, 232 pp., broché.
Avocat, Emile Ollivier (1825-1913), fut élu député en 1857. Fondateur du "Tiers parti" en 1863, il prit position contre la politique de Rouher. Après la démission de ce dernier (1869), il fut chargé par Napoléon III de former un nouveau ministère (janvier 1870) et fut nommé lui-même ministre de la Justice et des Cultes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Librairie internationale, A. Lacroix, Verboekhoven et Cie, 1869 in-12, 232 pp., demi-chagrin vert, dos à nerfs orné (rel. de l'époque). Rares rouss.
Avocat, Émile Ollivier (1825-1913), fut élu député en 1857. Fondateur du "Tiers parti" en 1863, il prit position contre la politique de Rouher. Après la démission de ce dernier (1869), il fut chargé par Napoléon III de former un nouveau ministère (janvier 1870) et fut nommé lui-même ministre de la Justice et des Cultes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Librairie internationale, A. Lacroix, Verboekhoven et Cie, 1869 in-12, 483 pp., broché. Rousseurs.
Avocat, Émile Ollivier (1825-1913), fut élu député en 1857. Fondateur du "Tiers parti" en 1863, il prit position contre la politique de Rouher. Après la démission de ce dernier (1869), il fut chargé par Napoléon III de former un nouveau ministère (janvier 1870) et fut nommé lui-même ministre de la Justice et des Cultes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Librairie internationale, A. Lacroix, Verboekhoven et Cie, 1869 in-12, 232 pp., demi-percaline verte (rel. de l'époque). Taches aux premières pages, qqs rousseurs.
Avocat, Émile Ollivier (1825-1913), fut élu député en 1857. Fondateur du "Tiers parti" en 1863, il prit position contre la politique de Rouher. Après la démission de ce dernier (1869), il fut chargé par Napoléon III de former un nouveau ministère (janvier 1870) et fut nommé lui-même ministre de la Justice et des Cultes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Librairie internationale, A. Lacroix, Verboekhoven et Cie, 1869 in-12, 463 pp., demi-chagrin rouge, dos à nerfs orné de filets à froid (reliure de l'époque). Etiquette au dos.
Avocat, Émile Ollivier (1825-1913), fut élu député en 1857. Fondateur du "Tiers parti" en 1863, il prit position contre la politique de Rouher. Après la démission de ce dernier (1869), il fut chargé par Napoléon III de former un nouveau ministère (janvier 1870) et fut nommé lui-même ministre de la Justice et des Cultes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Plan de la Tour (Var), Éd. d'Aujourd'hui, 1987, pet. in-8, br., 213 pp., index. (Z.14)
Suite épistolaire du Journal. Émile Ollivier (1825-1913) homme politique français, avocat, l'un des cinq députés républicains élus en 1857 fut réélu en 1863, se rapprocha de l'Empereur, prit la responsabilité de la guerre de 1870. Il est l'auteur notamment de L'Empire libéral 1894-1902, et d'un Journal. Collection Les Introuvables.
Paris, Garnier frères, 1911. Tome XV seul. 613 pages. (19x12 Cm). Demi-cuir brun. Dos lisse à lettres dorées. Coins et coiffes émoussés. Légers accrocs au cuir. Rares rousseurs. Papier légèrement bruni en tranches. Exemplaire en bon état. Ce volume est le quinzième d'une série de dix-huit volumes publiés de 1895 à 1918. Émile Ollivier fût Chef du Cabinet et Ministre de la Justice sous Napoléon III. Il constitua un gouvernement en associant bonapartistes libéraux et orléanistes ralliés à l'Empire libéral tout en excluant les bonapartistes autoritaires.
1921 Paris, Hachette (Bibliothèque d'Histoire), 1921, petit in 8° broché, 215 pages ; couverture fanée.
Emile Ollivier, l'homme qui déclara la guerre à la Prusse en 1870. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris Bruxelles Leipzig Livourne, Librairie Internationale, A. Lacroix, Verboeckhoven & Cie 1869 In-12 12 x 18,5 cm. Reliure de l’époque demi-chagrin, dos à 5 nerfs, caissons ornés de motifs dorés, 483 pp. Coins de pied légèrement frottés. Exemplaire en bon état. Battu dans la Seine mais élu dans le Var, émile Ollivier fut chargé par Napoléon III, de désigner les personnes pouvant former autour de lui un cabinet homogène représentant fidèlement la majorité du Corps législatif.
Bon état d’occasion
P., Hachette, 1921. In-8, broché, 213 pp., index (Coll. Bibliothèque d’histoire).
Chef du gouvernement en 1870, Emile Ollivier fut contraint à l’exil, en Italie, au lendemain de la déclaration de guerre à la Prusse. Il n’en revint qu’en 1873. Bon état général. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Létat de santé dOllivier (une congestion cérébrale chronique) ne lui a pas permis de terminer létude qui lui a été demandée par Liouville. Il espère donc quelle ne sera pas plaidée le lendemain. …Le dossier est dans larmoire de notre cabinet… ajoute-t-il, en assurant quil sera prêt pour le samedi suivant.
Lhomme politique se réjouit de revoir Liouville le lendemain. Il linforme quil a le dossier Combes, et quil a préparé sa note : …Jai le dossier Combes. Ma note est à peu près finie, mais jai à revoir. Je vais le faire. Je suis revenu malade des vacances, et très découragé de ne pouvoir me débarrasser de cette congestion cérébrale chronique qui mopprime depuis 2 ans…
P., Jérôme Martineau, 1970, in-8°, 244 pp, préface de Pierre Guiral, biblio d'Emile Ollivier, index, broché, couv. à rabats, bon état
Garnier Frères, Paris. 1882. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 71 pages. Annotation sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 262.1-Chefs de l'Eglise
(Rare) Par Emile Ollivier, de l'Académie française. Classification Dewey : 262.1-Chefs de l'Eglise
Paris, Librairie internationale A. Lacroix, Verboeckhoven et Cie., 1869. Petit in-8 de 483 pp., demi-percaline rouge, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin vert (reliure de l'époque).
Dixième édition augmentée de la lettre du Pape à l'archevêque de Paris. Avocat, Emile Ollivier (1825-1913), fut élu député en 1857. Fondateur du Tiers parti en 1863, il prit position contre la politique de Rouher. Après la démission de ce dernier (1869), il fut chargé par Napoléon III de former un nouveau ministère (janvier 1870) et fut nommé lui-même ministre de la Justice et des Cultes. Quelques rousseurs.