Georg Editeur à Genève Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1984 Book condition, Etat : Très Bon relié, cartonnage éditeur, pleine toile imprimée marron, titre doré, illustrée d'une gravure de machine grand In-8 1 vol. - 234 pages
quelques planches et figures dans le texte en noir, dont quelques fac-similés 1ere édition, 1984 "Contents, Chapitres : 1. Introduction : Les travaux de Nollet - Les travaux de Jallabert - Les travaux de Franklin - 2. Le paratonnerre : Analogie de la foudre et de l'électricité - Réception des vues de franklin en Europe - L'expérience du cerf-volant - L'idée du paratonnerre - Installation des paratonnerres - 3. Jallabert et l'électrothérapie : Premiers travaux avant le paralytique de Jallabert - Premières expériences - Travaux de Nollet - Procédé - Résultats de ces expériences - Travaux de Jallabert - Effets physiologiques notés par Jallabert - Le paralytique de Jallabert - Méthode utilisée - 4. La correspondance : Les deux savants - Leur correspondance - Notation - Index des lettres - Références - Index des noms de personnes - Jean Antoine Nollet, connu surtout sous le nom de labbé Nollet, né à Pimprez le 19 décembre 1700 et mort à Paris le 24 avril 1770, est un physicien français. Il fut associé aux travaux de Du Fay et de Réaumur. Nollet a beaucoup contribué à répandre en France le goût et l'étude de la physique par des expositions claires et attrayantes. Il s'était surtout occupé de l'électricité : il conçut les premiers électroscopes, fit connaître en France la bouteille de Leyde, dont il réalisa une version « sèche », et pressentit dans les feux de Saint-Elme et la foudre l'action de l'électricité. - Jean Jallabert, né à Genève le 26 juillet 1712 et mort dans la même ville le 9 avril 1768, est un mathématicien, physicien et politicien genevois. - Durant sa carrière scientifique Jallabert s'intéresse particulièrement à l'électricité et à ses effets thérapeutiques, sujets sur lesquels il entretient une correspondance avec l'abbé Nollet et avec le médecin montpelliérain Sauvages de la Croix. Dans ses Expériences sur l'électricité (1748) il expose une théorie opératoire de l'électricité fondée sur l'idée d'un fluide unique, à la manière de Nollet. Jallabert est par ailleurs l'un des premiers, un siècle avant Duchenne, à étudier les contractions musculaires sous l'effet de l'électricité et à en déduire les actions physiologiques des muscles sur les segments articulés des membres. La guérison à l'aide d'un générateur d'électricité statique d'un patient de 52 ans ayant un bras paralysé lui assure une certaine célébrité ; mais les espoirs placés en l'électrothérapie sont vite déçus. (source : Wikipedia)" bel exemplaire, frais et propre
Chez P.E.G. Durand, Neveu, Libraire rue Saint Jacques à Paris, M. DCC. LXX Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1770 Book condition, Etat : Moyen broché, sous couverture d'attente bleue fort In-8 1 vol. - 507 pages
20 planches hors-texte dépliantes, gravures d'expériences (complet, elles sont toutes en bon état, complètes et sans déchirures, la planche 14 est montée à l'envers) 1ere édition, 1770 "Contents, Chapitres : Jean Antoine Nollet, connu surtout sous le nom de l'abbé Nollet, né à Pimprez le 19 décembre 1700 et mort à Paris le 24 avril 1770, est un physicien français. Il fut associé aux travaux de Du Fay et de Réaumur. Nollet a beaucoup contribué à répandre en France le goût et l'étude de la physique par des expositions claires et attrayantes. Il s'était surtout occupé de l'électricité : il conçut les premiers électroscopes, fit connaître en France la bouteille de Leyde, dont il réalisa une version « sèche », et pressentit dans les feux de Saint-Elme et la foudre l'action de l'électricité. - L'abbé Nollet publie encore en 1770 L'Art des expériences, trois volumes qui constituent sa dernière uvre, dans laquelle il décrit avec précision et minutie la façon de fabriquer les instruments. Il vulgarise le travail du bois, des métaux, du verre, décrivant les outils nécessaires, la manière de s'en servir, donnant les moyens de préparer les couleurs, les vernis, les ornements. Avec sa méthode admirable, qui est de ne rien laisser dans le vague et de n'oublier aucune opération qui pourrait embarrasser l'amateur, il est ainsi considéré comme un précurseur de l'enseignement technique, en ce XVIIIe siècle qui a été celui des bons ouvriers. Mort le 24 avril 1770 à 70 ans, il aura pour successeur au collège de Navarre Mathurin Jacques Brisson, neveu de la belle-sur de Réaumur, dont il sera le démonstrateur. Excellent pédagogue, Brisson héritera en outre des appareils de Nollet, qu'il revendra à Boulogne en 1792 ; le cabinet sera saisi à la Révolution et sera transporté en 1799 au Conservatoire national des arts et métiers, où il s'y trouve encore, à côté de celui de Jacques Charles (une autre partie de la collection d'instruments de démonstration de l'abbé Nollet se trouve dans les collections du Musée Stewart, à Montréal, Canada). (source : Wikipedia) " exemplaire broché sous couverture d'attente bleue et muette, le brochage est solide et compact, mais la couverture d'attente est un peu défraichie avec un manque au coin inférieur droit du plat supérieur, petites déchiures éparses et légères petites taches, intérieur assez frais et propre, sans marques de provenance, petit manque au coin inférieur de la page de faux-titre, quelques coins de pages cornés, texte assez frais et propre, hormis quelques rousseurs éparses et discrètes, une rousseur plus accentuée sur une page, papier légèrement bruni, très légère mouillure claire sur le haut des dernières pages de la table des matières, cela reste un bon exemplaire de lecture, bien complet des 20 planches hors-texte qui sont toutes en bon état, ensemble compact, idéal pour une nouvelle reliure avec les deux petits orphelins que doivent être les tomes 1 et 2, absents ici. Il s'agit du 3eme et dernier volume du dernier livre de l'abbé Nollet, publié en 1770, l'année de son décès.
Paris, Durand, 1771-77. 6 vol. in-8° ( 167 x 100 mm.), 1 portrait frontispice et 116 planches dépliantes h.t. gravées sur cuivre représentant les instruments et appareils de physique utilisés par l'abbé Nollet lors de ses leçons publiques. Plein veau d'époque, dos à nerfs ornés, titres de maroquin rouge. Défauts d'usage et petits manques de cuir, coiffes fatiguées. Bel exemplaire, en reliure d'époque, du plus célèbre des ouvrages de vulgarisation scientifique du XVIIIème siècle (1ere édition : 1743). Érudit et artisan de talent, Nollet travaille avec du Fay et Réaumur comme constructeur d'instruments. C'est également un excellent orateur et vulgarisateur. Ces dons, joints aux instruments scientifiques qu'il a à sa disposition, l'encouragent à se lancer dans la carrière de conférencier. Il donne la première de ses "causeries expérimentales" en 1735. Le succès est immense et la popularité de Nollet va grandissant. Il est sollicité à Turin, Bordeaux, Reims ; les commandes d'instruments sont de plus en plus nombreuses ; Voltaire lui demande en 1738 un cabinet d'instruments d'une valeur de 10 000 livres. Sa position sociale et financière est assurée ; son prestige se trouve renforcé par son élection à l'Académie des sciences en 1739. Nollet est d’abord un vulgarisateur qui a brillamment illustré une approche de la communication scientifique où l'expérimentation et la démonstration jouent un rôle essentiel. Bel exemplaire, très frais. 6 vols. 8vo. 1 frontispiece portrait, 116 engraved folding plates depicting Nollet's instruments. Contemporary full calf. The most famous scientific work for the general public of 18th century. Nollet (1700-1770) was a popularizer who brightly illustrated a new approach of scientific communication based on experiment and demonstration. In the present work, the illustration shows his style as a scientific instrument maker.
Paris Durand, Neveu 1771 6 in-12 plein-veau 6 volumes, reliure plein veau havane moucheté in-douze (binding full calfskin duodecimo)(17 x 10,5 cm), dos 5 nerfs (spine with raised bands) - entre-nerfs à fleuron au fer évidé (floweret with hollowed out blocking stamp), pièce de titre à filets sur fond rouge (label of title with gilt line), titre et tomaison frappés or, roulettes or en place des nerfs, filet or sur les coupes, toutes tranches lisses rouges (red edges), marque-page en tissu (bookmark in tissue), gardes peignées, Complet du frontispice gravé sur bois en noir + 116 planches dépliantes hors-texte gravées sur bois en noir (Tome 1 : 1 frontispice + 19 planches, Tome 2 : 20 planches, Tome 3 : 18 planches, Tome 4 : 15 planches, Tome 5 : 24 planches, Tome 6 : 20 planches), (1) f., ciij-379 pages - vi-488 pages - iv-514 pages - iv-535 pages - iv-592 pages - iv-524 pages, 1771 Paris Chez Durand, Neveu, Libraire Editeur,
Les cours publics de l'abbé Nollet (1700-1770) contribuèrent à populariser et diffuser les découvertes de la physique au milieu du XVIIIe siècle. "With carefully orchestrated demonstrations performed on 350 different instruments, the abbé entertained his enthusiastic auditors as, in the spirit of the Enlightenment, he undertook to dispel their 'vulgar errors, extravagant fears and faith in the marvelous'. These were not mere shows, as one sees from their expanded syllabus, the famous Leçons de physique. The presentations are lively, comprehensive, and up-to-date, with full directions for realizing the effects under study and excellent illustrations of apparatus" (DSB). Cet ouvrage célèbre, publié originellement à partir de 1743, connut un grand succès et de nombreuses rééditions. L'illustration, à la fois précise et suggestive, montre les opérations et les nombreux instruments décrits dans le texte. Le frontispice, qui représente l'abbé Nollet exécutant une expérience en présence d'un public de qualité, est l'un des premiers documents iconographiques consacrant la science comme objet de culture et de sociabilité mondaine. Jean Antoine Nollet, dit l'abbé Nollet, né à Pimprez dans le Noyonnais le 19 décembre 1700 et mort le 24 avril 1770, est un physicien français. Il fut associé aux travaux de Du Fay et de Réaumur............Frottements d'usage sur les coupes coins et mors, quelques coins légèrement émoussés, petites épidermures, bel ensemble, bel aspect malgré les petits défauts indiqués....en bon état (good condition).
Le superbe exemplaire – en édition originale –relié en maroquin de l’époque aux armes du Comte d’Artois, futur Charles X, alors âgé de 14 ans. Paris, Chez Herissant le fils, 1771. 3 volumes in-12 de: I/ xlvi pp., (1) f. d’errata et d’Avis au relieur, 432 pp.; II/ (2) ff., 531 pp., (1) p. d’errata, 1 planche dépliante hors-texte; III/ (2) ff., 474 pp., (3) ff., 8 planches dépliantes hors-texte. Maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, fleurs-de-lys aux angles, armoiries au centre, dos à nerfs ornés de fleurs-de-lys, pièces de titre et de tomaison de maroquin vert, tranches dorées. Reliure de l’époque. 166 x 95 mm.
Edition originale française très appréciée, ornée de neuf planches gravées repliées. Connu pour ses travaux dechimisteet dephysicien, on attribue à Joseph Priestley la découverte de l’oxygènequ’il a isolé dans son étatgazeux. C’est en 1774 que Priestley produisit pour la première fois de l’oxygène. Cependant, en tant que partisan de la théoriephlogistique, il nomma ce nouveau gaz «air déphlogistiqué», et ne se rendit pas compte de l’importance de sa découverte.Carl Wilhelm Scheele, lui aussi partisan duphlogistique, revendiqua la découverte de l’«oxygène», mais il devait revenir au chimiste françaisAntoine Lavoisier, père de la chimie moderne et démystificateur de la théorie duphlogistique, d’identifier le nouveau gaz par son poids spécifique et de donner à l’oxygène son nom. De son vivant, la réputation scientifique de Priestley résulte de sa «découverte» de l’eau gazeuse, de ses traités sur l’électricitéet de ses études sur les différents «airs» (gaz), le plus connu étant celui qu’il baptise «l’air déphlogistiqué» (oxygène). L’Abbé Nollet est parmi les invités des salons littéraires deSceauxet des fêtes desGrandes Nuits de Sceaux, que donne laduchesse du Maine, dans le cercle desChevaliers de la Mouche à Miel, auchâteau de Sceaux. De 1730 à 1732, il est associé aux recherches dusurintendant du Fay, spécialiste de l’électricité, l’un des deux plus grands électriciens du début duXVIIIesiècle avec l’AnglaisStephen Gray. Prenant connaissance des observations de Maimbray en 1747 - expérience princeps d’électroculture, Nollet, qui étudiait alors la capillarité, se décide à étudier l’effet de l’électricité sur la végétation. Nollet, qui, en outre, avait découvert l’osmoseen 1748, se heurte d’abord àThomas-François Dalibard, puis àBenjamin Franklinsur la théorie de l’électricité et surtout sur la paternité de la découverte de l’origine électrique de la foudre. A partir de 1758, il prend le titre et la fonction de maître de physique desEnfants de France, ce qui a pour effet d’installer définitivement la physique expérimentale à la cour de France. Mort le 24 avril 1770, cette «Histoire de l’électricité» publiée quelques mois après sa mort sera l’une de ses toutes dernières œuvres scientifiques. Très bel exemplaire relié en maroquin de l’époque aux armes de Charles Philippe de France, Comte d’Artois, futur Charles X (1757-1836) (avec son rare premier fer: écartelé de France et d’Artois, portant, aux 2 & 3, d’azur semé de fleurs de lys d’or, au lambel de gueules (Olivier, 2540)), alors âgé de 14 ans. De la bibliothèque A. de Grateloup, avec ex-libris manuscrits en pages de garde.
Chez Durand, Neveu, Libraire, 1771, 6 volumes de 100x170 mm environ, (1) f., ciij-379 pages - vi-488 pages - iv-514 pages - iv-535 pages - iv-592 pages - iv-524 pages, reliure plein veau marbré havane, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés sur pièces de titres fauves, coupes dorées, gardes marbrées, tranches rouges. Complet des 116 planches et frontispice. Ex-libris manuscrit sur chaque garde blanche. Frottements d'usage sur les coupes coins et mors, quelques coins légèrement émoussés, petites épidermures, bel ensemble, bel aspect malgré les petits défauts indiqués.
Jean Antoine Nollet, dit l'abbé Nollet, né à Pimprez dans le Noyonnais le 19 décembre 1700 et mort le 24 avril 1770, est un physicien français. Il fut associé aux travaux de Du Fay et de Réaumur. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
A Paris, chez les Frères Guerin, rue S. Jacques, à S. Thomas d'Aquin, 1769, 1 volume in-12 de 170x95 mm environ, 1 f. blanc, xxxvj-444 pages, 1 f. blanc, plein veau marbré fauve, dos lisse portant titres dorés sur pièce de titre en maroquin brun, orné de motifs feuillage doré, gardes marbrées, tranches rouges. Avec 8 planches dépliantes. Mouillures en fin de volume, petits défauts de marge (petits manques de papier) sans atteinte au texte, bordure brunie sur une planche, cuir épidermé et frotté, sinon bon état.
Jean Antoine Nollet, connu surtout sous le nom de labbé Nollet, né à Pimprez le 19 décembre 1700 et mort à Paris le 24 avril 1770, est un physicien français. Il fut associé aux travaux de Du Fay et de Réaumur. Il s'était surtout occupé de l'électricité : il conçut les premiers électroscopes, fit connaître en France la bouteille de Leyde, dont il réalisa une version « sèche », et pressentit dans les feux de Saint-Elme et la foudre l'action de l'électricité. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Hippolyte-Louis Guérin & Louis-François Delatour, 1764, in-12, 6 vol, 1 front, 115 pl. depl, Basane tabac de l'époque, dos à nerfs et fleuronné, pièces de titre fauve, tomaisons vertes, tranches rouges, Frontispice représentant une démonstration de physique dans un cabinet ; 116 planches dépliantes gravées sur cuivre, représentant les instruments et appareils de physique utilisés par l'abbé Nollet lors de ses leçons publiques. Mélange d'éditions, comme à la plupart des exemplaires : notre ensemble est constitué des troisième (T. V et VI), quatrième (T. IV) et sixième (T. I, II et III) éditions, toutes parues à la date de 1764. Nollet, fut le vulgarisateur scientifique et en électricité le plus célèbre du XVIIIe siècle. Ses leçons publiques étaient les manifestations de ce genre les plus populaires de son époque. Grâce à des démonstrations soigneusement orchestrées avec des centaines d'instruments différents, Nollet parvenait à divertir son auditoire enthousiaste. Il fut le premier, en France, à réaliser des expériences avec la bouteille de Leyde et l'un des premiers à publier la relation existant entre la lumière et les étincelles électriques. À l'instar de son homologue méridional Bertholon, il traita de l'électricité du corps humain dans l'un de ses premiers ouvrages (publié en 1746). Ses théories sur l'électricité furent, dans l'ensemble, en contradiction avec la plupart des physiciens et philosophes de l'époque, dont Benjamin Franklin. Étiquettes ex-libris J[oseph] Laissus (1900-1969), directeur-fondateur de l'École technique supérieure du Laboratoire. Accrocs aux coiffes, coins et coupes usés. Un petit trou de ver traversant les premiers feuillets du T.II DSB, X, p. 145. Wellcome IV, pp. 243. Couverture rigide
Bon 6 vol., 1 front., 115 pl.
La Haye, Jean Neaulme, 1747, in-8, XVI-183 pp, 4 pl. depl, Broché, couverture d'attente de l'époque, Seconde édition de cet ouvrage paru pour la première fois en 1746. Exemplaire bien complet des quatre planches gravées sur cuivre, signalées dans l'Avis au relieur, représentant les expériences menées par Nollet (1700-1770). L'auteur y observe, pour la première fois, que les corps pointus électrisés émettent des jets de lumière, moins puissants que ceux venant de corps contondants. Il y constate également que le verre et d'autres matériaux non conducteurs sont plus fortement excités dans l'air que dans le vide (Mottelay). Nollet, fut le vulgarisateur scientifique et en électricité le plus célèbre du XVIIIe s. Ses leçons publiques étaient les manifestations de ce genre les plus populaires de son époque. Grâce à des démonstrations soigneusement orchestrées avec des centaines d'instruments différents, Nollet parvenait à divertir son auditoire enthousiaste. Il fut le premier, en France, à réaliser des expériences avec la bouteille de Leyde et l'un des premiers à publier la relation existant entre la lumière et les étincelles électriques. À l'instar de son homologue méridional Bertholon, il traita de l'électricité du corps humain dans l'un de ses premiers ouvrages (publié en 1746). Ses théories sur l'électricité furent, dans l'ensemble, en contradiction avec la plupart des physiciens et philosophes de l'époque, dont Benjamin Franklin. Édition non citée par Mottelay, Wheeler Gift et dans The Bakken. Dos cassé, couverture détachées. En l'état. Couverture rigide
Bon XVI-183 pp., 4 pl. depl.
A Paris, chez Durand, Neveu, Libraire, 1784, 3 volumes in-12 de 175x100 mm environ, T. I : xxiv-508 pages avec 13 planches hors-texte - T. II : 552 pages avec 23 planches hors-texte - T. III : 528 pages avec 20 planches hors-texte. Complet des 56 planches hors-texte. Plein veau marbré fauve, dos à nerfs portant titres et tomaisons dorés, filet doré sur les coupes, tranches rouges, gardes marbrées. 3 coiffes abimées, un accroc sur le dernier plat et le dos du tome I, quelques rousseurs, bordures de la planche 9 du tome II fendillées.
Jean Antoine Nollet, dit l'abbé Nollet, né à Pimprez dans le Noyonnais le 19 décembre 1700 et mort le 24 avril 1770, est un physicien français. Il fut associé aux travaux de Du Fay et de Réaumur. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Chez H.L. Guérin et L.F. Delatour à Paris, M.DCC.LXIV Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1764 Book condition, Etat : Bon relié, plein veau d'époque, dos lisse, pièce de titres au dos, dos ornés de motifs dorés In-8 1 vol. - 297 pages
1 planche en frontispice et 4 planches dépliantes hors-texte (complet des 5 planches) 4eme édition, 1764 Contents, Chapitres : Avis du librarie, épitre au Dauphin, préface, avis au relieur, xxiv, Texte, 273 pages, extraits des registes de l'Académie Royale, iii - Instructions touchant les instruments propres aux expériences de l'électricité et de la manière de s'en servir - Exposition méthodique des principaux phénomènes électriques pour servir à la recherche des causes - Conjectures tirées de l'expérience sur les causes de l'électricité - Examen de quelques phénomènes électriques publiés en Italie (Gio Francesco Pivati et Giuseppe Veratti) - Avertissement touchant les critiques de cet ouvrage - Jean Antoine Nollet, connu surtout sous le nom de l'abbé Nollet, né à Pimprez le 19 décembre 1700 et mort à Paris le 24 avril 1770, est un physicien français. Il fut associé aux travaux de Du Fay et de Réaumur. Nollet a beaucoup contribué à répandre en France le goût et l'étude de la physique par des expositions claires et attrayantes. Il s'était surtout occupé de l'électricité : il conçut les premiers électroscopes, fit connaître en France la bouteille de Leyde, dont il réalisa une version « sèche », et pressentit dans les feux de Saint-Elme et la foudre l'action de l'électricité. reliure d'époque plein veau en bon état, mais avec de légères déchirures aux extrémités du mors du plat supérieur, légers manques aux coiffes sans gravité, coin supérieur droit à peine émoussé, la reliure reste en bon état général, intérieur frais et propre, signature ancienne à l'intérieur du plat supérieur, intérieur sinon très propre, papier à peine jauni, quelques rousseurs très discrètes, cela reste un bon exemplaire, bien complet des 5 planches hors-texte
Académie Royale des Sciences - M. de Thury - Charles Marie de la Condamine - M. de La Lalande, Lalande - M. Delisle - Alexis Claude Clairaut - Abbé Nollet - M. Montet
Reference : 101184
(1761)
Chez J. Schreuder à Amsterdam , Académie Royale des Sciences Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1761 Book condition, Etat : Bon relié, plein veau d'époque à 5 faux-nerfs, pièce de titre et de tomaison, caissons ornés In-8 1 vol. - 400 pages
3 planches dépliantes hors-texte, 2 tableaux dépliants 1ere édition, édition originale, 1761 Contents, Chapitres : Paginé 521 à 920 - 1. M. de Thury : Remarques sur la conjonction de Venus avec le Soleil, qui doit arriver le 6 juin de l'année prochaine 1761 (pages 521 à 535, 24 pages) - 2. M. Charles Marie de la Condamine : Extrait d'un journal de voyage en Italie (pages 536 à 660, 124 pages - 3. M. de La Lalande, Lalande : Mémoire sur les équations séculaires et sur les moyens mouvements du Soleil, de la Lune, de Saturne, de Jupiter et de Mars avec les observations de Tycho Brahé faites sur Mars en 1593, tirées des manuscrits de cet auteur (pages 661 à 801, 140 pages, 1 planche dépliante, 2 tableaux dépliants) - 4. M. Delisle : Nouvelles théories des éclipses sujettes aux parallaxes, appliquée à la grande éclipse de Soleil qu'on observa le 25 juillet 1748 (pages 801 à 842, 40 pages) - 5. M. de La Lande : Examen des erreurs que l'on peut commettre dans la mesure des hauteurs méridiennes, sur des hauteurs correspondantes, avec les tables de correction qui en résultent (pages 842 à 852, 10 pages, 2 planches dépliantes, 2 tableaux dépliants) - 6. M. Alexis Claude Clairaut : Second mémoire sur les moyens de perfectionner les lunettes d'approche par l'usage d'objets composés de plusieurs matières différemment réfringentes (pages 853 à 896, 43 pages) - 7. Abbé Nollet : Nouvelles expériences faites avec les rayons solaires rassemblés tant par réflexion que par réfraction (pages 896 à 901, 5 pages) - 8. M. Montet : Mémoire sur le sel lixiviel de tamaris, dans lequel on prouve que ce sel est un sel de glauber parfait et sur l'emploi que l'on fait dans les fabriques de salpêtre des cendres de tamaris et sur le sel du Garou (pages 902 à 920, 18 pages) - Charles Marie de La Condamine, né le 27 janvier 1701 à Paris et mort le 4 février 1774 à Paris, est un explorateur et un scientifique français, astronome et encyclopédiste du xviiie siècle. Il est célèbre pour avoir mené, de 1735 à 1743, une expédition géodésique française en Équateur qui a mesuré trois degrés du méridien afin de déterminer la figure de la Terre (...). La Condamine quitte Paris pour l'Italie le 28 décembre 1754. Le 7 janvier il voit le Rhône couvert de glaces près de Lyon, d'où il s'embarque pour Avignon. Il visite le pont du Gard et la Maison Carrée de Nîmes, et Montpellier sous la neige. Il fait la connaissance de la margravine Wilhelmine de Bayreuth, sur du grand Frédéric, qui passe l'hiver à Avignon. À Gènes on lui montre un vase précieux, le Sacro Catino, venant de la reine de Saba, qui passe pour être en émeraude. La Condamine estime qu'il est en verre coloré. Dans le golfe de la Spécie il voit une source d'eau douce bouillonnante au milieu de la mer. Il passe par l'ancienne ville de La Luna, détruite par les Sarrazins, et par Livourne. Il est à Pise pour l'éclipse de Lune du 27 mars 1755 et il y mesure à treize pieds de Paris, soit à un peu plus de quatre de nos mètres, le défaut d'aplomb de la tour de Pise. Il séjourne à Florence, où il est logé au palais Corsini au bord de l'Arno. Il visite toutes les beautés de la ville des Médicis et s'intéresse à la restauration de la méridienne de la cathédrale Santa Maria del Fiore par l'astronome Leonardo Ximenes. Il s'agit d'une ouverture circulaire sur le dôme de la cathédrale, qui donne une image du Soleil sur la ligne méridienne tracée par une bande de marbre du pavement, et sert à déterminer les points solsticiaux et les variations de l'écliptique. À Rome, La Condamine loge chez son ami Étienne François de Choiseul dans l'ancienne ambassade de France (le palais Cesarini, qui sera détruit sous Mussolini pour mettre au jour des ruines magnifiques du forum antique de Pompée). Il veut retrouver la mesure exacte du pied romain, en mesurant des monuments antiques comme la colonne Trajane ou le Panthéon de Rome. Il visite Naples et le tombeau de Virgile sur la colline du Pausilippe en compagnie de la margrave de Bayreuth. Il monte au sommet du Vésuve et visite les ruines antiques souterraines d'Herculanum, qui venaient d'être découvertes. Il termine son tour d'Italie par Bologne, Modène, Parme, Mantoue, Venise, Padoue, Milan et Turin. À son retour il publie un mémoire sur ses nombreuses observations géographiques et scientifiques. (source : Wikipedia) - Joseph Jérôme Lefrançois de Lalande (également connu comme Jérôme Lalande, et orthographié « De La Lande », parfois « Le Français de la Lande »), né à Bourg-en-Bresse le 11 juillet 1732 et mort à Paris (Seine) le 4 avril 1807, est un astronome français. - Alexis Claude Clairaut, né le 13 mai 1713 à Paris où il est mort le 17 mai 1765, est un mathématicien français. - Jean Antoine Nollet, connu surtout sous le nom de labbé Nollet, né à Pimprez le 19 décembre 1700 et mort à Paris le 24 avril 1770, est un physicien français. Il fut associé aux travaux de Du Fay et de Réaumur. (source : Wikipedia) bon exemplaire, le dos est un peu frotté à la coiffe supérieure et sur le haut des mors sans gravité, reliure d'époque sinon en très bon état, intérieur frais et propre, papier un peu jauni, quelques rousseurs discretes, bien complet des 3 planches hors-texte et des deux tableaux dépliants
à Paris, chez les frères Guérin 1746 In-16 17 x 9,5 cm. Reliure de l’époque veau havane marbré, dos à nerfs encadrés de fers dorés, XX-227 pp., frontispice gravé par R. Brunet l'Art des expériences, d'après une œuvre de N. Lesueur. 4 planches repliées contenant 14 figures, bandeau, lettrines, culs-de-lampe, table des matières. Petit accroc en pied de dos.
édition originale. Jean Antoine Nollet (1700-1770), dit l’abbé Nollet, contribua à répandre en France le goût et l’étude de la physique, notamment des premiers travaux sur l’électricité. Maître de physique et d’histoire naturelle des enfants du roi Louis XV, il était bon théoricien, excellent orateur et grand vulgarisateur.. Bon état d’occasion
, VAI : VLAAMS ARCHITECTUUR INSTITUUT, 2008 Paperback, 80 pagina's, met illustraties. ISBN 9789080778788.
This series of publications is intended to provide a platform for good quality innovative work by young architects, urban designers and researchers in Flanders. The fourth issue is dedicated to the own home of the architects Tomas Nollet and Hilde Huyghe. Through a sequence of drawings this publication seeks to unravel the process from concept to realisation and scrutinizes the reciprocity between abstraction and reality. William Mann explores in his contribution some of the connections between the house and other projects by these architects, as such the key position of this home becomes readable.nnDe architectuurgeschiedenis is rijk aan voorbeelden van woningen die architecten voor zichzelf ontwierpen. De rijwoning van Tomas Nollet en Hilde Huyghe, die recent werd gerealiseerd in de periferie rond Brugge en het centrale onderwerp vormt van deze publicatie, getuigt zowel van de keuzes die het ontwerpersduo als bewoners maakte als van de ontwerptaal die zij als architecten gedurende de voorbije tien jaar ontwikkelden. In de publicatie wordt het proces tussen concept en realisatie geanalyseerd en wordt de wisselwerking tussen abstractie en realiteit - een notie die de architecten dierbaar is - onderzocht. De sequens aan beelden illustreert een vorm van langzaam of geduldig ontwerpen, een ontwerphouding eigen aan Nollet en Huyghe. William Mann licht in zijn bijdrage een aantal verbanden toe tussen de eigen woning en andere projecten van de architecten, zo wordt de sleutelrol van de woning in het oeuvre zichtbaar.
"NOLLET, (JEAN ANTOINE). - THE THEORY OF THE ""DOUBLE FLUX"" IN ELECTRICITY.
Reference : 44319
(1753)
Paris, Freres Guerin, 1753. Small 8vo. Cont. full mottled calf. Top of spine with wear. Raised bands, richly gilt spine. Some wear to titlelabels. Small tear to hinges at upper compartment (hinges not loosening).. Spine a little rubbed. Small loss of leather at at lower right corner of frontcover. XXIII,444 pp. and 8 large folded engraved plates (showing apparatus and experiments with electricity). Internally clean, printed on good paper. From the library of le Comte de Caumia Baillenx, ""en son Chateau d'Andrain"" and with his mongram, blindtooled on both covers.
In this work Nollet, the discoverer of the theory of double flux, describes, among other experiments, the famous experiments with the Leyden jar. ""The author lay down a theory, according to which the cause of electrical phenomena is the effluence and affluence of a subtile fluid which is everywhere present. Some interesting experiments are described with vacuum tubes also on the influence of electric charges on the growth of plants."" (Wheeler, 355, but not listing this edition). - Poggendorff II:296.""Nollet's system (effluence and affluence) was much superior to earlier theories of double flux. such as Moliere's or Hauksbee's. A cheif difficulty with them (as with the theory of pulsating atmospheres) had been to explain why attraction occurs first.follwed by contact and then repulsion. Nollet answered that the effluent and affluent flows differ not only in direction, but in velocity and spatial distribution as well.The effluent stream consists of many jets, each of which spreads out into a cone with apex at one of the scattered exit pores. The affluent current, being a hodgepodge of differently directed effluent streams, is approximately isotropic.""(Heilbron, p. 284)
1749 1749 Paris. Frères Guerin. 1749. 1 volume in-12, plein veau marbré, dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin rouge. Restauration discrète aux mors et à la coiffe inférieure. XXXVI pp. ; 444 pp.
Edition originale illustrée de 8 planches dépliantes gravées.Nollet commença à étudier l’électricité vers 1745, et fut considéré quelques années plus tard comme “the chief of the European electricians” (D.S.B. X, 146). Nollet décrit dans cet ouvrage plusieurs expériences effectuées sur l'homme (dont des paralytiques) et divers animaux: pigeons, bruants, chats... par électrisation directe ou en les plaçant plus ou moins loin d'un corps électrique. Ex libris manuscrit de Louis-Henry-Georges Aubert du Petit-Thouars (1724-1794), ingénieur, qui fut lieutenant et commandant des ville et château de Saumur à partir de 1754. DSB X, 146. Petite mouillure sur la première garde.
Paris -in-8 1770 in-12 plein-veau 3 volumes, reliure plein veau havane raciné in-douze (binding full calfskin in-12), RELIURE DE L'EPOQUE, dos à nerfs (spine with raised bands), titre frappé "or", pièce de titre sur fond bordeaux avec un filet "or" en encadrement, tomaison frappée "or" avec une roulette "or" de part et d'autre dans un encadrement d'un filet "or", roulette "or" en place des nerfs avec un filet à froid de part et d'autre des nerfs, entre-nerfs a fleuron "or" dans un encadrement d'un filet "or" avec rinceaux "or" aux angles, roulette large "or" en pied, coins émoussés, toutes tranches lisses rouges, Ouvrage richement illustré avec 56 planches dépliantes hors-texte en noir, (xxiv-509-(1) pages et 13 planches dépliantes) + ( (4)-552 pages et 23 planches dépliantes) + ( (2)-524-(4)-10 pages et 20 planches dépliantes), 1770 Paris P.E.G. Durand, neveu Editeur,
EDITION ORIGINALE........ Il s'agit du dernier ouvrage de l'Abbé Nollet paru l'année de sa mort et le complément indispensable à ses Leçons de physique expérimentale dont le dernier et sixième volume avait paru en 1767. Dans le présent ouvrage, Nollet explique comment construire les principaux instruments scientifiques indispensable à un cabinet de physique. Il détaille le choix et le traitement de matériaux de base dans le tome 1 (le travail du bois et des différents métaux) et donne la composition et la préparation des "drogues simples et composées" nécessaires aux expériences de chimie mais également des explications sur l'utilisation des vernis et dorures diverses que l'on peut appliquer sur les instruments en bois ou métal. Dans les tomes 2 et 3, il décrit en détails la fabrication de chaque instrument scientifique, leçon par leçons, suivant le plan de ses Leçons de physique. Ainsi, l'on apprend à construire et manipuler chacun des centaines d'instruments décrit dans ses expériences. ........TRES BEAUX EXEMPLAIRES........RARETE....EN TRES BON ETAT (VERY GOOD CONDITION). en trés bon état
DELISLE - COURTIVRON (le Marquis) - MORAND - NOLLET - DE LA CAILLE (l'Abbé) - ARCY, le chevalier d' - BOUGUER - MALOUIN - DE VAUCANSON - HERISSANT - GUETTARD - CASSINI DE THURY & MARALDI - LE MONNIER (médecin) - DU HAMEL - MACQUER - DE FOUCHY - DE LA SONE - FERREIN - DE LA MURE.
Reference : 110028
A Paris de l'Imprimerie Royale, 1753, 1 volume in-4 de 260x195 mm environ, 1f.blanc, 4 ff. (titre avec vignette, table, errata), 192-560 pages ,1f.blanc, reliure plein veau marbré fauve d'époque, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés, pièce de titre en maroquin bordeaux, caissons à fleurons et feuillages dorés aux entre-nerfs, double filet doré sur les coupes, tranches rouges, gardes marbrées. Contient de nombreuses figures dans le texte et 18 planches dépliantes hors-texte (numérotées de 1 à 17 avec une planche 13 et une 13*). Frottements, petites épidermures et craquelures sur le cuir, des pages brunies et petites mouillures dans la marge interne, tampons sur les gardes, sinon bon état.
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À Paris, chez Durand, 1745-1764, in-12, 6 volumes, veau marbré de l'époque, dos à nerfs et fleuronnés, filet à froid en encadrement des plats, tranches rouges, Frontispice représentant une démonstration de physique dans un cabinet ; 116 planches dépliantes gravées sur cuivre, représentant les instruments et appareils de physique utilisés par l'abbé Nollet lors de ses leçons publiques. Mélange d'éditions, comme à la plupart des exemplaires rencontrés. Nollet, fut le vulgarisateur scientifique et en électricité le plus célèbre du XVIIIe siècle. Ses leçons publiques étaient les manifestations de ce genre les plus populaires de son époque. Grâce à des démonstrations soigneusement orchestrées avec des centaines d'instruments différents, Nollet parvenait à divertir son auditoire enthousiaste. Il fut le premier, en France, à réaliser des expériences avec la bouteille de Leyde et l'un des premiers à publier la relation existant entre la lumière et les étincelles électriques. À l'instar de son homologue du méridional Bertholon, il traita de l'électricité du corps humain dans l'un de ses premiers ouvrages (publié en 1746). Ses théories sur l'électricité furent, dans l'ensemble, en contradiction avec la plupart des physiciens et philosophes de l'époque, dont Benjamin Franklin. Étiquette ex-libris d'Albert Nachet, fameux fabricant de microscopes. Bel exemplaire, de provenance intéressante ; notons une légère différence de fers dans la décoration des dos des volumes. DSB, X, p. 145. Couverture rigide
Bon 6 volumes
Paris, chez H. L. Gurin & L. F. Delatour, 1754. xxiv (faux-titre, titre, ptre, prface et avis au relieur), 273, [iii, privilge] pp. 12mo (9,5 x 16.5 cm.). Finely bound in contemporary chestnut marbled calf, spine with 5 raised band, in compartment richly gilt tooled with ornamentaL & floral decorations, gilt lettered on red morocco label, gilt ruler along the edges of sides, edges red. - [Reliure de lpoque en basane marbre de couleur fauve dos nerfs orn de caissons et de fleurons dors, pice de titre en maroquin grenat, filet dencadrement froid sur les plats, tranches rouges]. With an engraved frontispiece by R. Brunet after N. le Sueur and 4 folded engraved plates in very sharp impression.
Last edition of this classic work on electricity, this 1754 imprint is particularly rare. A very fine and attractive copy from a precious provenance; the library of Marie-Caroline de Bourbon Sicile, duchesse de Berry (1798-1870) with her bookplate from the Chteau de Rosny, La solitude . Cat. Wheeler Gift 329a. " Nollet immediately became the chief of the European electricians, but by 1752 he was under attack by Franklinists led by Buffon: he replied in 'Lettres sur l'clectricit (1753 ) , capitalizing on Franklin's occasional obscurities and imprecisions, and his argument stimulated the evolution of classical electrostatics. Another achievement was the discovery and clear explanation of osmotic pressure (1848) " (DSB).
1764 Paris. Frères Guérin. 1753. 1 volume in-12, plein veau tacheté, dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin rouge. [1] f. ; XXIII pp. ; [1] p. ; 276 pp.
Seconde édition illustrée d'un frontispice par Le Sueur et de 4 planches dépliantes. L'abbé Nollet fut maître de physique de M. le Dauphin et professeur royal de physique expérimentale. Excellent pédagogue, il contribua à répandre les expériences touchant à la physique et à l'électricité : "il est ainsi considéré comme un précurseur de l'enseignement technique". Quérard VI, 444. Reliure légèrement frottée.
Chez P.E.G. Durand, à Paris 1770, 9x16cm, 3 volumes reliés.
Edition originale, illustrée de 56 planches dépliantes d'instruments scientifiques. Reliures en plein veau marbré brun, dos à cinq nerfs richementornés de roulettes et petits fers, contreplats et gardes de papier marbré, roulettedorée sur les coupes, tranches rouges, reliures de l'époque. Mors fendillés, coiffes et coinslégèrement frottés. Un important complément auxLeçons de physique expérimentalepar l'un des plus grands vulgarisateursscientifiques du siècle des Lumières. L'ouvrage, paru l'année de la mort de l'abbé Nollet, détaille la constructiond'une multitude d'instruments enbois, métal et verre pour lapréparations d'expériences de physique - notamment d'électricité - et chimie, attestantd'un intérêt public pour la science et ses conquêtes en cette deuxième partie du XVIIIèmesiècle. "Aussi Nollet voulut il, dans ce nouvel ouvrage, non seulement donner une théorie détaillée des instruments et de leurs usages, mais encore indiquer la manière de les construire, de choisir les matériaux les plus propres à leur construction, de préparer enfin toutes les pièces qui doivent y entrer, de façon à obtenir par le moyen le plus simple les résultats les plus précis et les plus satisfaisants." (Victor Lecot) - Photos sur www.Edition-originale.com -
TV. sur la lumière. Table ( extraits) des directions que suit la lumière dans ses mouvements - de la lumière décomposée ou de la nature des couleurs - sur la vision et les instruments d'optique - Invention des lunettes - Chambre noire..etc Jean Antoine Nollet (1700-1770) était un physicien expérimental membre éminent de l'Académie des sciences de Paris. Nollet a consacré beaucoup de temps sur l'électricité et est devenu l'une des autorités de son temps. Il conçu les premiers électromètres (1747). En 1745, il a développé une théorie de l'attraction et de répulsion électrique qui suppose l'existence d'un flux continu de matière électrique entre les organes chargés. Afin de démontrer que l'électricité se déplace à grande vitesse sur une grande distance, il réalisa l'une des expériences les plus impressionnante de l'époque. En présence du roi, il fit relié par un câble 180 gardes royaux qui formaient une ligne de plus d'un kilomètre. Il leur appliqua une décharge à l'aide d'une bouteille de Leyde (ancêtre du condensateur). Les gardes sautèrent et se contournèrent simultanément. reliure pleine basane époque, fendillement des mors et reliure avec accrocs, le tout restant solide, frais, tranche rouge, 17 x 10 cm, 592pp. Complet de ses 23 planches dépliantes à Paris, Hippolite Louis Guerin, 1755 ref/25
In Venezia presso Giambatista Pasquali 1750 In-16°, pp. 334, (2), al frontespizio marca tipografica con Minerva che regge un libro. Motto: La felicita delle lettere, 8 tavole rip. incise in rame , legatura in p.pergamena con titolo in poro su tassello al dorso. Scritte di appartenenza anticamente cancellate al frontespizio e alla prima carta bianca. Prima edizione italiana NOLLET , Jean Antoine Abate e fisico, nato a Pimprez il 17 novembre 1700, morto nel 1770. Figlio di poveri contadini, fu dapprima diacono a Noyon, ma poi, dedicatosi alla fisica, entrò nel laboratorio di Réaumur, e fece una serie di ricerche sul potere elettrico delle punte, sul comportamento del fluido elettrico nei tubi, sull'accelerazione dell'evaporazione nei fluidi elettrizzati, ecc. Nel 1734 fu fatto membro della Royal Society di Londra, nel 1735 inaugurò a Parigi un corso libero di fisica sperimentale, e nel 1736 il cardinale Fleury creò per lui una cattedra. Nel 1739 entrò all'Académie des sciences, insegnò poi a Torino e a Bordeaux, al Collège de Navarre, e nel 1757 fu nominato "maître de physique et d'histoire naturelle des Enfants de France" cioè dei principi reali. Il N. avrebbe introdotto in Francia la fisica sperimentale: l'onore in verità sembra spettare a P. Polinière: ma il N. per il primo abbracciò l'insieme della nuova scienza che arricchì di scoperte notevoli, come quella dell'endosmosi. Notevole è anche la sua teoria del fluido elettrico. Bibl.: Grandjean de Fouchy, Éloge, in Mém. de l'Ac. des sc. hist., 1770; M. Gliozzi, Deux théoriciens de l'électricité, in Archeion, genn. 1934.
À Paris, chez les Frères Guérin, 1749, in-12, XXXVI-444 pp, 8 pl. depl. gravées sur cuivre, veau marbré de l'époque, dos à nerfs et fleuronné, Première édition, rare. Nollet fut le vulgarisateur scientifique le plus célèbre du XVIIIe siècle. Ses leçons publiques comptaient parmi les plus populaires de son époque. Grâce à des démonstrations soigneusement orchestrées avec des centaines d'instruments différents, Nollet parvenait à divertir son auditoire enthousiaste. Il fut le premier, en France, à réaliser des expériences avec la bouteille de Leyde et l'un des premiers à publier la relation existant entre la lumière et les étincelles électriques. À l'instar de son homologue du méridional Bertholon, il traita de l'électricité du corps humain dans l'un de ses premiers ouvrages (publié en 1746). Ses théories sur l'électricité furent, dans l'ensemble, en contradiction avec la plupart des physiciens et philosophes de l'époque, dont Benjamin Franklin. Étiquette ex-libris de la bibliothèque Eugène Pougnet à Landroff en Lorraine ; Joseph Eugène Pougnet (1847-1892), élève à Polytechnique et à l'École des Mines, était ingénieur dans l'entreprise de construction familiale créée par son père, Maximilien Pougnet. Il est le créateur des hauts-fourneaux à Maizières-les-Metz. Il siégea de janvier 1874 à janvier 1877 au Reichstag. Tampon annulé de l'Institut catholique de Paris. Bon exemplaire. Wheeler Gift 355; Poggendorff II-296. Couverture rigide
Bon XXXVI-444 pp., 8 pl. depl.