Association du “Pavillon de la Photographie”, Rouen , 1973 et 1974
Un volume fort in-8° (17, 5 x 24 cm), demi- reliure cuir marron clair à coins, dos à 5 nerfs, avec filets dorés et mentions de l’auteur et du titres dans deux caissons. Ce volume comprend deux textes : le premier compte 190 pages. il concerne des lettres entre Joseph Nicéphore NIÉPCE et son frère Claude qui n’avaient jamais encore été publiées in extenso à la date du présent ouvrage. A cette époque, Claude est à PARIS, tentant d’exploiter son invention (le Pyréolophore, une machine permettant de faire avancer un navire sans voile) tandis que Nicéphore est à CHALON-sur SAONE (Saint-Loup) en train de faire des recherches techniques dans diverses directions. Les lettres de Nicéphores vont apporter la preuve qu’il a découvert la photographie dés 1816. Le deuxième texte, (191 pages), intitulé CORRESPONDANCE 1825-1829, regroupe des lettres échangées entre Nicéphore NIÉPCE et les correspondants suivants: V. CHEVALIER, L.J.M. DAGUERRE, F. LEMAITRE, F. BAUER, E. HOME, T. YOUNG, WATKINS, WHEATSTONE, WOLLASTON.L. Elles sont suivies d’une nomenclature des sources manuscrites établie par Pierre G. HARMANT. La fin de ce volume de CORRESPONDANCE se siue en 1829, l’année de la signature d’un “Traité Provisoire” entre NIÉPCE et DAGUERRE. Le Troisième texte concerne donc la Famille NIÉPCE (46 pages), et se termine par un arbre généalogique dépliant. Le Q 4ème évoque la figure de Louis CHEVALIER, qui eût à collaborer avec Nicéphore NIÉPCE pour la babrication d’objectifs (objectifs achromatiques) et collabora également avec DAGUERRE.Notre volume, dans sa rliure moderne mais classique est en TRES BON ETAT.
Rouen, Association du "Pavillon de la Photographie" du Parc Naturel Régional de Brotonne, 1973, in-8 br., 190 p., tiré à 750 exemplaires, deux cartes, illustrations photos, fac-simile, bon état.
Les lettres de Joseph Nicéphore Niépce à son frère Claude, conservées au Musée Denon de Chalon-sur-Saône présentent un grand intérêt. Elles n'avaient jamais encore été publiées in extenso. Couvrant la période du 1er avril 1816 au 4 septembre 1817 elles exposent, dans ses détails domestiques, la vie d'un gentilhomme bourguignon comme bien d'autres, et apportent les preuves de la découverte de la photographie, que Niépce appelle héliographie, dès 1816.