Edition originale de l’un des plus beaux livres de botanique du XVIIIe siècle, illustré de 472 planches à pleine page coloriées à la main de Nicolas-François Regnault (1746-c.1810) et de Geneviève de Nangis Regnault. Paris, chez l’auteur, 1774. 8 volumes in-folio de : I/ (2) ff. dont une page de titre en couleurs et une introduction à la botanique, 3 planches en couleurs numérotées hors texte, 1 deuxième p. de titre calligraphiée à la main à l’encre noire, 60 planches en couleurs, 60 pp., (1) p. de table manuscrite. Soit un total de 63 pl. en couleurs pour le tome 1. II/ (1) f. de titre en couleurs non relié et plié, (1) f. de titre manuscrit, 60 planches en couleurs, 60 pp., (1) p. de table manuscrite ; III/ (1) f. de titre manuscrit, 60 planches en couleurs, 60 pp., (1) p. de table manuscrite ; IV/ (1) f. de titre manuscrit, 60 planches en couleurs, 60 pp., (1) p. de table manuscrite ; V/ (2) ff. dont 1p. de titre en couleurs et 1 deuxième p. de titre calligraphiée à la main à l’encre noire, 55 planches en couleurs, 55 pp., (1) p. de table manuscrite, (1) f. de table ; VI/ (2) ff. dont 1 p. de titre calligraphiée à la main à l’encre noire et 1p. de titre en couleurs, 60 planches en couleurs, 60 pp., (1) p. de table manuscrite ; VII/ (1) p. de titre en couleurs, 60 planches en couleurs, 60 pp., (1) p. de table manuscrite ; VIII/ (2) ff. dont une page de titre en couleurs et un avertissement, 54 planches en couleurs, 54 pp., (1) p. de table manuscrite, (1) p. de table, 12 pp. de table des maladies. Soit un total de 6 titres en couleurs et de 472 planches à pleine page coloriées. Relié en plein vélin vert, petites étiquettes sur la partie centrale des plats portant les numéros de tomes manuscrits à l’encre, dos à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges. Qq. restaurations. Reliure de l’époque. 485 x 360 cm.
Edition originale de l’un des plus beaux livres de botanique du XVIIIe siècle, illustré de 472 planches à pleine page coloriées à la main de Nicolas-François Regnault (1746-c.1810) et de Geneviève de Nangis Regnault. Blunt & Stearn, p.171 ; Johnston 517 ; Dunthorne 256 ; Great Flower Books (1990), p.131 ; Nissen BBI 1600 ; Pritzel 7475 ; Stafleu & Cowan 8810 ; Soultrait, 18th century 118. Blunt écrivait de ce livre : « Perhaps the most impressive French botanical book of the period is Francois Regnault’s La Botanique with nearly five hundred hand-coloured etchings. Many of these plates are the work of Genevieve de Nangis Regnault. The book deals with useful and decorative plants, and the author engagingly described the potato ‘as possibly the only good thing that ever came out of America’». Peintre, dessinateur, et graveur, Nicolas-François Regnault composa La Botanique avec l’aide de sa femme, Geneviève, qui dessina, grava et coloria la très grande majorité des planches. « Mme Regnault pose avec délicatesse les couleurs comme en témoignent les planches consacrées à des fleurs aux fins coloris comme le chèvrefeuille, qui orne aussi la guirlande de la page de titre, ou le laurier-rose » (Pinault Sorensen, Le Livre de botanique, 2008, p.70). « Les planches de cette collection continuent de se distribuer depuis deux ans avec la plus grande exactitude, & à la satisfaction de tous ceux qui veulent prendre une connaissance utile, commode & précise des plantes en usage dans la Médecine & dans les Arts. Les soins que se donnent M. Regnault pour présenter ces plantes avec leurs couleurs, leurs ramifications, leurs développemens ne peuvent que contribuer à nous familiariser avec ces plantes, & à nous les faire reconnaitre au premier aspect. Des notices rédigées avec clarté & puisées dans les meilleures sources accompagnent chaque plante & nous instruisent des qualités physiques que le dessin ou la couleur ne peut rendre, telles que l’odeur, la faveur, les propriétés ou les vertus de la plante. La fidélité avec laquelle M. Regnault s’est acquitté de ses engagemens envers ses premiers souscripteurs, doit lui mériter la confiance du public, & l’accueil le plus favorable pour une collection qui devient de jour en jour plus riche, plus précieuse & plus utile. Il parait tous les mois cinq plantes nouvelles. Le prix de chaque planche est de 1 liv. 4 f. pour les souscripteurs. On peut s’abonner pour une année entière, moyennant 72 liv. aux adresses ci-dessus indiquées ». Outre la liste des plantes à usage médicinal, l’ouvrage répertorie également les plantes destinées à la gastronomie ou à la pratique des arts. Ce travail considérable demanda 12 années de travail au couple pour achever l’ouvrage. L’objectif de ses auteurs était de produire un traité de botanique à usage pratique, d’où l’inclusion d’un « Tableau des maladies » expliquant comment chaque plante devrait être utilisée contre chaque maladie, qu’il s’agisse de la migraine, de l’insomnie, du vertige, de l’apoplexie ou même de l’ivresse. Superbe exemplaire très grand de marges de ce magnifique ouvrage de sciences naturelles, bien complet de ses 472 estampes aquarellées, conservé dans sa reliure uniforme en vélin vert de l’époque.
A Paris, chez Jean-Baptiste Coignard, Imprimeur du Roy Et chez De Bure, l'aîné, Libraire, Quay des Augustins, 1746, 2 parties reliées en 1 volume in-4 de 260x200x30 mm environ, 1f.blanc, xxj-1f.(privilège, fautes à corriger)-220-188 pages, 1f.blanc, pleine basane marbrée fauve, dos à nerfs portant titres dorés sur pièce de titre en maroquin bordeaux, orné de caissons à fleurons et motifs dorés, coupes dorées, tranches rouges. Avec un tableau dépliant dans la première partie. Cuir épidermé, coiffes ébréchées, coins dénudés, quelques rousseurs et pages brunies. Edition originale.
Nicolas-François Dupré de Saint-Maur, né en 1695 à Paris où il est mort le 30 novembre 1774, est un économiste et statisticien français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Lyon, chez Perisse Frères, Libraires, 1817, 1 volume in-12 de 172x105 mm environ, 1f. blanc, 3 ff. (faux-titre, titre, avertissement), 312 pages, 2 ff. (table, errata), 1 f. blanc, demi basane havane, titres dorés sur dos lisse, tranches finement mouchetées. Notes sur les pages de garde et p. 18, un tampon sur la page de titre, quelques rousseurs, taches sur le premier contreplat et la première garde, couverture frottée avec début de fente sur les mors.
Nicolas-François Cochard (1763-1834). Avocat - Conseiller de préfecture, chargé des archives départementales - Membre de l'Académie royale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Payot, 2007. In-8 broché, couverture photographique. Illustré de quelques photographies hors-texte. Epuisé dans ce format.
"Nicolas Bouvier (1929-1998) : écrivain-voyageur ? Sans doute, mais d'abord écrivain tout court, et puis aussi Genevois, poète, photographe... A seize ans, celui qui s'emploiera à " raconter le voyage pour apprendre à écrire " sait qu'il veut sillonner le monde et inventer un art de la vie. Il part sur la route de l'Orient, d'abord en auto avec un ami jusqu'à Ceylan, puis seul jusqu'au Japon. Quand il rentre à Genève pour se marier et fonder une famille, il a quasiment dans sa besace la matière des trois livres qui font sa réputation aujourd'hui : L'Usage du monde, Chronique japonaise, Le Poisson-Scorpion. Il lui faudra du temps pour les écrire, il lui faudra voyager encore à travers le monde, et aussi voyager dans sa mémoire. Ce portrait se fonde sur des documents inédits : la correspondance de l'écrivain (notamment avec le peintre Thierry Vernet, son meilleur ami), ses feuilles de route et ses carnets. François Laut, qui l'a connu, a également interrogé ses proches. C'est donc un Nicolas Bouvier intime qu'il nous raconte, introspectif, souvent déprimé, toujours ironique, pleinement artiste. On suit le Genevois dans les voyages qu'il n'a pas racontés et dans ce qu'il a tu ou écarté des voyages qu'il a racontés. On le voit batailler en poète avec l'écriture et ses démons intimes ; on le voit vivre, aimer, souffrir en consumant son existence."
Paris Chez les Marchands de Nouveautés 1786 in 8 (18,5x12) 1 fascicule broché, couverture muette de papier marbré ancien, 35 pages. Nicolas François Guillard (pseudonyme: Pierre Guillard), 1752-1814. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon
Paris Imprimerie J. G. Dentu 1820 in 8 (20,5x13,5) 1 volume relié demi basane verte de l'époque, dos lisse orné de filets dorés, 409 pages, petite auréole claire sur la marge externe des 3 premiers feuillets. Nicolas François de Bellart, Procureur-Général près la Cour des pairs, défenseur de Louis Pierre Louvel, ouvrier sellier bonapartiste, assassin du duc de Berry en 1820. Rare. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Reliure
Paris, J.-L.-J. Brière [Imprimerie de Decourchant], février 1827 - janvier 1828 6 vol. in-8, demi-veau fauve, dos à nerfs ornés de filets, guirlandes et fleurons dorés (reliure de l'époque). Manques de cuir aux coiffes, charnières frottées ou fendues, interversion de tomaisons sur tous les volumes (I = 4 ; II = 5 : III = 6 ; IV = 1 ; V = 2 ; VI = 3).
Unique édition collective, procurée par André Bergeron d'Anguy (1761-1839), beau-frère de l'auteur, et enrichie d'une notice sur la vie de l'auteur, par Jean-Baptiste-Louis-Joseph Billecoq (1765-1829), à la fin du volume VI. Nicolas-François Bellart (1761-1826) fut une figure à la fois politique et judiciaire de la Restauration : non seulement, en tant que président, du Conseil général, du département de la Seine, il fut l'inspirateur de la Proclamation du 1er avril 1814., appelant à désobéir à Napoléon Ier et demandant le rétablissement du gouvernement monarchique en la personne de Louis XVIII, mais il fut nommé Procureur général à la Cour d'appel de Paris lors de la Seconde Restauration et il mit en accusation le Maréchal Ney.Les pièces concernant l'affaire du maréchal Ney figurent au début du volume IV.I.-III. Mémoires et plaidoyers : XII pp., 465 pp., un f. n. ch. de table ; [2] ff. n. ch., 489 pp., un f. n. ch. de table ; [2] ff. n. ch., 536 pp., un f. n. ch. de table. Manque le portrait au premier volume. - IV. Réquisitoires et mélanges politiques : [2] ff. n. ch., 464 pp., [2] ff. n. ch. - V. Mercuriales et discours de rentrée. Actes d'accusation : [2] ff. n. ch., 378 pp., 2 pp. - VI. Correspondance administrative. Notice : [2] ff. n. ch., 192 pp., [2] ff. n. ch., 150 pp., un f. n. ch. de table, 2 pp.Quérard I, 261.Exemplaire de Michel-Marie de Pomereu (1860-1937), député puis sénateur de la Seine-Inférieure, avec vignette ex-libris contrecollée sur les premières gardes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
In-folio (326 x 256 mm), plein vélin teinté vert de l'époque, dos lisse, pièce de titre de maroquin bordeaux, (1) f. de titre, (1) f. de 'catalogue de musique Deslauriers', 211 p. entièrement gravées. Paris, Deslauriers, s.d. [1779].
Edition originale partagée avec le "Bureau du Journal de Musique" de cet opéra en quatre actes que Gluck composa sur un livret de Nicolas-François Guillard, représenté pour la première fois à l'Académie Royale de Musique le 18 mai 1779.Les répétitions de l'opéra de Gluck furent suivies avec passion. Le jour de la première, le 18 mai 1779, Marie-Antoinette vint en personne à l'Opéra où elle fut reçue selon le cérémonial ancien, précédée jusqu'à sa loge par les directeurs de l'Opéra porteurs de flambeaux.Le livret de Guillard est inspiré de "LIphigénie en Tauride" de Claude Guimond de La Touche, librement repris d'Euripide.(Fétis, 2682. Hopkinson, Bibliography of the Works of Gluck, 46A(a). RISM A/I/3 G2816).Exemplaire de "prix de chant", offert en 1812, comportant cette mention sur la pièce de titre de maroquin.Exemplaire bien relié en vélin teinté vert de l'époque, légèrement débroché, quelques rousseurs.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
1762 1762 Paris. Chez Nyon, Didot le jeune, Saugrain. 1762. 1 volume in-12, veau tacheté de l’époque, dos à nerfs orné, pièce de titre rouge, charnières légèrement frottées.XXXVII pp. ; [3] pp. ; 389 pp. ; [3] pp.
Edition originale. L’ouvrage contient de nombreuses données chiffrées montrant les rapports entre les salaires, en particulier des ouvriers, avec le prix des grains et les autres denrées essentielles. Il se veut aussi un essai d’histoire monétaire depuis Charlemagne jusqu’au règne de Louis XV. Dupré de Saint-Maur, trésorier de France au Bureau de la généralité de Paris et conseiller du roi, de l’Académie française, fut un économiste et statisticien renommé.Une note à l’encre de main ancienne au premier contreplat.INED, 1644.
1 L.A.S. de 4 pages, datée de Besançon, le 22 floréal an XI [ 12 mai 1803 ] "Monsieur, Lorsque je vous ai présenté une pétition pour admettre au Lycée Fortuné Michaud mon petit neveu, j'ignorais que le Général Michaud eut déjà obtenu du Ministre un arrêté en faveur de César Michaud son frère cadet et je n'aurais pas omis de vous en parler vu le petit nombre de places destinées au département du Doubs ; cependant, comme l'éducation du puiné presse plus que celle du cadet, s'il y avait quelque moyen de faire passer d'abord le plus agé, je vous prie de l'indiquer à M. Michaud qui aura l'honneur de vous présenter les deux fils et vous jugerez de ce qui convient le mieux, sauf à revenir à la suite pour le cadet lorsqu'il sera d'un age plus formé pour profiter de l'instruction du Lycée. Si le Père était en état de payer la pension de l'un, je lui dirais de le faire, mais les pertes qu'il a faites l'ont obligé de vendre la maison à Pontarlier et de se retirer à la campagne et s'il est possible de faire quelque chose d'extraordinaire cela ne tirera pas à conséquence, vu les services du Général Michaud et ceux du général Michaud [d'arcan ? ] qui n'a pas jouï longtemps de la place de Sénateur" [ Droz évoque sur une page le rétablissement de l'Académie, les remarques du Préfet à ce propos, il évoque M. LeFevre ] "Ayant été pendant 40 ans a portée de reconnaître l'utilité du premier établissement, je mourrai content dès que l'on aura repris le continuation du Recueil des Monumens de notre histoire, que j'avais proposé avant que M. Bertin s'en occupe pour la France entière et que j'avais bien avancé sous ses auspices" [... ] "j'espère que nous n'oterez point ce terme de féodalité de votre Dictionnaire quand il ne restera quand il ne restera qu'un tribut rendu au génie aux talens ou a la beauté. Je suis avec respect, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur".
Intéressant L.A.S. attribuable au juriste et érudit Nicolas Droz (né à Pontarlier en 1735, mort à Saint-Claude en 1805), dans laquelle il parle du Général Michaud, mais aussi du rétablissement prochain de l'Académie ("des sciences, belles-lettres et arts de Besançon et de Franche-Comté"), qui sera effectif l'année suivante, en 1804. Nicolas Droz avait été nommé en 1771 secrétaire perpétuel de l'ancienne Académie, supprimée en 1793. Il était l'oncle du savant Joseph Droz.
Mollien accuse réception de la lettre de Courtin (en date du 5 juillet) mais ne peut donner suite à sa demande dune importante réduction dimpôtsen faveur du Sieur Asselin. Il ne lui a pas été possible …dadmettre un aussi fort atermoiement parcequil entraînerait de trop longs délais. Tout ce que jai pu faire par égard pour votre recommandation a été de restreindre à 15,000 F. les payements à faire par le Sr Asselin au 1er Janvier de chaque année…Fait comte dEmpire en 1808, Nicolas Mollien est destitué de son poste dans ladministration des Domaines et de lEnregistrement sous la Terreur. Il quitte la France pour lAngleterre où il étudie les institutions financières britanniques. Il est nommé Ministre du Trésor en 1806 et gagne la confiance de lEmpereur. Il devient son conseiller financier privé.
Paris, et Bruxelles : de May, 1815 In-8, (2)-57 pages. Broché, couverture muette d'origine.
Edition originale. Membre du conseil général de la Seine, Bellart fut le rédacteur de la proclamation du 1er avril 1814 qui appelait à désobéir à Napoléon Ier et à rétablir le gouvernement monarchique. Aussi, pendant les Cent Jours, l'une des premières mesures prises par Napoléon fut de proscrire Bellart, qui s'exila en Angleterre. Pendant ce séjour, il composa son Essai sur la légitimié des rois qui défend la cause royale. Ce n'est ni un pamphlet ni une oeuvre philosophique, mais plutôt une mise au point pragmatique.Cf. Jean-Pierre Brancourt , "Représentation et légitimité dans l’œuvre de Nicolas Bellart", Le concept de représentation dans la pensée politique, Presses universitaires d’Aix-Marseille, 2003, pp. 45-51)
Vesuntione, Typis J. F. Couché, 1788. Un fort vol. au format in-4 (243 x 188 mm) de 1 f. n.fol., iii - 442 pp., 1 f. n.fol. et xxiv pp. Reliure de l'époque de demi-basane mouchetée blonde, dos à nerfs orné de filets gras à froid, jeu de petits filets verticaux dorés sur les nerfs, caissons et caissons dentelés d'encadrement dorés, pièce de titre de maroquin ébène, titre doré, tranches mouchetées.
Edition originale rare. Impression bisontine. Tome second seul (sur 2). ''On peut regarder ce Traité comme un excellent commentaire des principales sentences d'Hippocrate''. (in Quérard). ''Nicolas Rougnon de Magny, de Besançon, s'est vu attribuer la première description, avant Heberden, de l'angine de poitrine''. (in Les Médecins célèbres). Les Médecins célèbres, p. 318 - Quérard VIII, La France littéraire, p. 182. Angles élimés. Quelques frottements épars affectant la reliure. Bonne condition intérieure.
Lausanne, Osec, 1975. In-8 carré, broché, photographies de Nicolas Bouvier.
Complet de la carte et de la lettre au lecteur. [11784]
Paris, Imprimerie de H. Fournier, 1845. 4 vol. in-8, 480 pp. + 411 pp. + 516 pp. + 514 pp., demi-chagrin bleu, dos à nerfs orné de filets à froid (dos ternis, rousseurs).
Deuxième édition en partie originale dont l'originale avait paru à quelques exemplaires seulement et non mis dans le commerce, réservée à son entourage. En 1817, Mollien commence la rédaction de cette autobiographie qui comprend plus que ces souvenirs liés à l'exercice de son ministère. Elle constitue une documentation, certes partiale parfois, essentielle à la compréhension de sa gestion des finances publiques de Louis XVI à la Restauration. En effet, il existe peu de ce type de mémoires chez ses prédécesseurs et ses successeurs, soit qu'ils n'aient pas été publiés ou perdus et l'incendie du ministère en 1871 aggrave ce manque de documentation pour cette époque. Ex-libris héraldique des Harcourt, de la bibliothèque du château de St Eusoge, propriété de la famille. Jean-François Potton, « Mollien, lun des créateurs de la Cour des comptes en 1807 », conférence au Comité dhistoire de la Cour des comptes, 30 mai 2018. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Exemplaire d'une grandeur de marges exceptionnelles, très pur, conservé dans ses élégantes reliures de l'époque. Paris et Amsterdam, 1698. Cinq parties en 2 volumes in-folio: I/ 1 frontispice, (12) ff., 154 pp., (4) pp. de table, 1 frontispice, (4) ff., 1 pl. dépliante, (2) ff. d’errata, 312 pp.; II/ 1 frontispice, (6) ff., pp. 313 à 799, (2) ff. d’errata, rest. en marge latérale de 2 ff. Plein veau brun granité, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs, tranches rouges jaspées, charnières frottées. Reliure de l'époque. 425 x 285 mm.
[video width="1710" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2024/07/BLONDEL1.mp4"][/video] Exemplaire sur grand papier de hollande. Seconde édition originale, « augmentée et corrigée », réimprimée sur la première de 1675-1683. Page de titre imprimée en rouge et noir, 3 frontispices gravés, une planche dépliante, nombreuses illustrations gravées incluant 25 estampes à pleine page avec le verso blanc, 12 en-tête et 4 culs-de-lampe. Blondel naquit en 1617. Il fut employé à plusieurs négociations diplomatiques. Il dit, dans son Cours d'architecture, qu'il voyagea en Égypte, et qu'en 1659, il vint à Constantinople, en qualité d'envoyé extraordinaire du roi de France, au sujet de la détention de l'ambassadeur français. Le succès de cette négociation lui valut un brevet de conseiller d'État, et il fut pour enseigner au dauphin, fils de Louis XIV, les belles-lettres et les mathématiques. Il fut aussi professeur de cette dernière science au collège royal. En 1665, Blondel fit connaître et connut lui-même ses talents pour l'architecture, à l'occasion d'un pont élevé à Saintes, sur la Charente. Il le rétablit, et y plaça un arc de triomphe. En 1669, il fut nommé membre de l'académie des sciences ; et le roi ordonna, par lettres patentes, que les ouvrages publics de la ville de Paris seraient dorénavant exécutés sur les plans tracés par Blondel, qui furent mis en dépôt dans l'hôtel de ville. En 1672, on restaura, sous sa direction, la porte St-Antoine, qui, par des raisons de commodité publique, fut démolie en 1777. En 1674, il exécuta pour la porte St-Bernard le même travail, toujours ingrat, et qui offre souvent plus de difficultés qu'une conception première. Blondel put enfin être lui-même dans la construction de l'arc triomphal de la porte St-Denis. Il s'y attacha moins à la quantité d'ornements qu'à la justesse des proportions. On doit observer que Blondel fut lui-même auteur des inscriptions placées sur les édifices qu'il éleva. Ses talents furent récompensés par la place de directeur et professeur à l'académie d'architecture, établie en 1671, et il rédigea, sous le titre de Cours d'architecture, les leçons qu'il donnait aux élèves. «Cet ouvrage exellent prouve combien Blondel avait étudié son art, et combien il avait su profiter des lumières qu'il avait acquises pendant ses voyages, par l'étude d'un grand nombre de monuments anciens et modernes. On construisit encore, d'après les plans de Blondel, la corderie de Rochefort ». Exemplaire d'une grandeur de marges exceptionnelles, très pur, conservé dans ses élégantes reliures de l'époque. Il provient de la bibliothèque James Moore avec signature autographe.
Paris, Chez Coignard et De Bure, 1746, in-4to, XXI + 3 p. + 220 p. + 1 grand dépl. + 188 p. + 44 ff. manuscrites réflexions sur l’ouvrage reliure en veau d’époque, bords rapés, coins touchés, coiffes touchées, tranches rouges.
Édition originale de cet ouvrage important, étudiant les variations des différentes monnaies européennes entre 1202 et 1746. Très intéressant en ce qui concerne l'histoire monétaire au Moyen Age et au XVI ème siècle, cet ouvrage a été une des lectures économiques de François Quesnay (J.-C. Perrot, Une histoire intellectuelle de l'économie politique, pp. 218-220) : Dupré de Saint-Maur est l'un des premiers économistes qui ait su amorcer d'autres formes de calculs déduits d'observations concrètes. Kress 4804; Einaudi 1687. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
1 volume in-4° relié plein veau marron, dos à nerfs décoré, pièce de titre de maroquin rouge, frottement sur les coupes sans trop de gravité, coiffe supérieure un peu abîmée sans arrcahement, deux coins émoussés. XXI + 1 f. + 220 p. + 188 p. Bel état.
Phone number : 06.31.29.75.65
Paris, Guillaumin, 1898 3 vol. in-8, tableaux dépliants, broché.
Nouvelle édition, avec une importante introduction par Charles Gomel, spécialiste de l'histoire économique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Fournier, 1845 4 vol. in-8, demi-chagrin brun, dos à nerfs, filets dorés (reliure de l'époque).
"Mémoires rédigés à partir de 1817 pour se justifier (cf. l'introduction de la deuxième partie). Tableau de la situation financière de la France à l'avènement de Bonaparte, entretiens et correspondance avec Napoléon, principes financiers suivis par le ministre, étude des budgets, effets du système continental, financement des guerres, attitude de l'opinion devant les impôts, toutes ces questions sont abordées. L'ouvrage s'achève sur la situation de la caisse générale du Trésor impérial et la réfutation des "prétendues malversations du gouvernement impérial dénoncées en juillet 1814". Remarquables mémoires dont la consultation est indispensable pour l'histoire intérieure de l'Empire." (Tulard).Fermier-général à la veille de la Révolution, Mollien renoue avec sa carrière de fonctionnaire des finances sous le Consulat pour rapidement prendre la tête de ce ministère. Son action y fut capitale, créant notamment la Cour des Comptes (1807).Ses mémoires, souvent techniques, toujours soucieux de précision sont de tout premier ordre.Bon exemplaire offert M. Ducrey A mon ami Mr Faré, conseiller d'Etat, Directeur Général des Forêts. Souvenir reconnaissant et affectueux.Il a été écrit en dessous : Cet exemplaire a été donné par Madame la Comtesse Mollien, à mon oncle, Mr Lafaurie, Conseiller maître à la Cour des Comptes.Tulard, 1034. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
Paris, Fournier, 1845 4 vol. in-8, demi-basane aubergine, dos lisse orné (reliure de l'époque). Dos passé, coins usés, coiffe supérieure du tome 1 usée. Rousseurs.
"Mémoires rédigés à partir de 1817 pour se justifier (cf. l'introduction de la deuxième partie). Tableau de la situation financière de la France à l'avènement de Bonaparte, entretiens et correspondance avec Napoléon, principes financiers suivis par le ministre, étude des budgets, effets du système continental, financement des guerres, attitude de l'opinion devant les impôts, toutes ces questions sont abordées. L'ouvrage s'achève sur la situation de la caisse générale du Trésor impérial et la réfutation des "prétendues malversations du gouvernement impérial dénoncées en juillet 1814". Remarquables mémoires dont la consultation est indispensable pour l'histoire intérieure de l'Empire." (Tulard).Fermier-général à la veille de la Révolution, Mollien renoue avec sa carrière de fonctionnaire des finances sous le Consulat pour rapidement prendre la tête de ce ministère. Son action y fut capitale, créant notamment la Cour des Comptes (1807).Ses mémoires, souvent techniques, toujours soucieux de précision sont de tout premier ordre.Tulard, 1034. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Guillaumin, 1898 3 vol. in-8, XIX-561 pp., 611 pp. et 485 pp., 9 tableaux dépl., qqs tableaux in-t., demi-chagrin noir, dos à nerfs (rel. postérieure). Bon exemplaire.
Nouvelle édition, avec une importante introduction par Charles Gomel, spécialiste de l'histoire économique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Fournier, 1845 4 vol. in-8, env. 480 pp. par vol., 9 tableaux dépl. (budget des années 1806 à 1813 et situation du Trésor), demi-veau fauve, dos ornés à nerfs soulignés d'un double filet doré, palettes etfilets dorés, petits fleurons à froid, pièces de titre et de tomaison de maroquin vert (rel. de l'époque). Dos un peu frottés (coiffes parfois plus marquées), discrètes griffures, rousseurs, néanmoins exemplaire convenable.
"Mémoires rédigés à partir de 1817 pour se justifier (cf. l'introduction de la deuxième partie). Tableau de la situation financière de la France à l'avènement de Bonaparte, entretiens et correspondance avec Napoléon, principes financiers suivis par le ministre, étude des budgets, effets du système continental, financement des guerres, attitude de l'opinion devant les impôts, toutes ces questions sont abordées. L'ouvrage s'achève sur la situation de la caisse générale du Trésor impérial et la réfutation des "prétendues malversations du gouvernement impérial dénoncées en juillet 1814". Remarquables mémoires dont la consultation est indispensable pour l'histoire intérieure de l'Empire" (Tulard).Fermier-général à la veille de la Révolution, Mollien renoue avec sa carrière de fonctionnaire des finances sous le Consulat pour rapidement prendre la tête de ce ministère. Son action y fut capitale, créant notamment la Cour des Comptes (1807).Ses mémoires, souvent techniques, toujours soucieux de précision, sont de tout premier ordre.Tulard, 1034. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Guillaumin, 1898 3 vol. in-8, tableaux dépliants, broché. Dos fragiles (tomes 2 et 3), couv. remontée et contrecollée au tome 1.
Nouvelle édition, avec une importante introduction par Charles Gomel, spécialiste de l'histoire économique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT