A différents correspondants dont une au directeur des Chemis de fer du Nord.
– « Bien que mon fils, sous le nom de Fortunio, rédige le courrier du journal quotidien le Nord, ses entrées à l’opéra n’ont pas encore été régularisées. Vous qui êtes tout puissant en face de Mélusine, vous serait-il possible de nous accorder trois entrées pour la répétition générale [...] J’ai des relations de société dans la maison que vous habitez, je dois à ce hasard de connaître votre adresse, et j’en profite comme d’une bonne fortune. Si ce que je demande ressemble à une indiscrétion, n’y faites aucun droit ; si c’est possible, mon fils, sa femme et moi, nous irions vous applaudir par anticipation et le compte-rendu du Nord n’en vaudra que mieux." – « Madame Darcy que j’ai connue à l’occasion d’Agrippine, et qui dans ce rôle a fait preuve d’un véritable talent, désire en appeler à votre intervention pour trouver à Paris un emploi de premier rôle. [...] Veuillez l’accueillir avec votre affabilité ordinaire, il doit vous être facile d’aider aux artistes à se placer selon leurs mérites [...] Agrippine a été jouée dix fois en province, ai-je des droits à toucher pour cela et de combien sont-ils ? Voici les noms des villes où ont eu lieu les représentations : Châlons, Macon, St Etienne, Lyon, Bourg, Charolles, Moulins, Nevers, Bourges et Versailles. » – Au directeur des Chemins de fer du Nord. « Vous avez toujours si favorablement accueilli mes rares demandes que je viens vous prier de vouloir bien accorder à mon fils (homme de lettres sous le nom de Fortunio et courriériste du journal Le Nord) un passe de Paris à Bruxelles et retour.