Paris, Bossange Père, 1833 in-8, 66 pp., broché. Dos abîmé avec manques. Rousseurs.
Mennessier de La Lance, II, 36 : "L'opuscule contient une étude sur la situation des chevaux de selle en France et à l'étranger, une proposition de supprimer l'administration des haras et un plaidoyer en faveur du pur sang et des courses. L'auteur ne faisait d'ailleurs que défendre les principes de la Société d'encouragement à laquelle il appartenait et qui venait de se fonder." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, (Ateliers Lacer Rambault Guiot, 1967).
Réedition à l'identique de l'originale imprimée en 1842, qui compte parmi "Les vingt livres pyrénéistes les plus rares" de Labarère. Réalisée pour les "Bibliophiles de la Montagne", limitée à 150 exemplaires numérotés, celui-ci est le numéro 24. Très recherché et devenu peu commun. Labarère 1079. Les couvertures imprimées bleues, identiques à celle de l'originale ont été conservées. Bon exemplaire, bien relié. /// In-folio de (4), 23, (2) pp., 4 planches h.-t. Demi-basane bleue, titre doré en long, couvertures imprimées conservées. (Reliure de l'époque.) //// /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
Paris, Fournier, 1845. 66 pages. (25x16 Cm). Broché, couverture muette de l'époque. Petits manques angulaires et accrocs. Publié à Paris en 1845 par Fournier, cet ouvrage offre un témoignage précieux sur la campagne de Constantine à travers les yeux de Napoléon-Joseph Ney, Prince de la Moskowa. Fils du Maréchal Ney et filleul de Bonaparte, sa perspective unique sur ces événements historiques se distingue par son héritage et son engagement personnel. Initialement paru dans la Revue des Deux Mondes, ce mémoire se présente comme un document d'époque significatif, permettant de comprendre non seulement les enjeux militaires mais aussi les dynamiques politiques et sociales de la période. Document bien conservé.
[Berlioz] Napoléon-Joseph Ney, prince de la Moskowa (1803-1857), général, homme politique et donc. compositeur.
Reference : 014002
Napoléon-Joseph Ney, prince de la Moskowa (1803-1857), général, homme politique et donc. compositeur. L.A.S., 29 mars 1855, 1p in-8. À une cantatrice : « Madame, Puis-je espérer que vous voudrez bien chanter une partie dans un Salve Regina à 4 voix de Soprano que j'ai composé, et qui a l'honneur d'être admis dans le concert religieux de Berlioz ? J'en serais très reconnaissant ; permettez-moi de vous en offrir mes remerciements d'avance, si, comme je n'en désespère pas, vous êtes assez bienveillante pour ne pas refuser le concours de votre beau talent à un amateur qui vous admire en artiste. ». Ce talent de compositeur du prince semble assez méconnu. Il ne devait pas être sans talent pour participer à ce concert. [109-2]