5 books for « nehme murr lina »Edit

‎FATWAS ET CARICATURES / LA STRATEGIE DE L ISLAMISME‎

‎SALVATOR. 2015. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 222 pages augmentées de nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 297-Islam et religions dérivées‎

‎ Classification Dewey : 297-Islam et religions dérivées‎

‎La Renaissance en question - Le retour des idoles. Des origines à Léonard de Vinci - De Michel-Ange à la Révolution française.‎

‎Beyrouth, Aleph et Taw, éd. chez l'auteur, 1998, EDITION ORIGINALE, fort gd. in-8, cartonnage souple, couv. photos coul. éd., 255 + 336 pp., très nb. reproductions de documents anciens et d'œuvre d'art en noir, annexes, notes, bibliographie, table des matières, Un volumineux ouvrage jetant la lumière sur l’art de la Renaissance et ses multiples implications socioculturelles intitulé Le retour des idoles. Après un survol des «origines, à Léonard de Vinci», voilà un minutieux décryptage de Michel-Ange à la Révolution française où l’auteur tente de «démystifier» l’impact d’une création. Saint Clément d’Alexandrie écrivait au IIIe siècle : «En Égypte, les sanctuaires des temples sont ombragés par des voiles tissés d’or ; mais si vous allez vers le fond de l’édifice et que vous cherchez la statue, un prêtre s’avance d’un air grave, en chantant un hymne en langue égyptienne, et soulève un peu le voile, comme pour vous montrer le dieu. Que voyez-vous alors ? Un crocodile, un serpent indigène, ou quelque autre animal dangereux ; le dieu des égyptiens paraît : c’est une bête vautrée sur un tapis de pourpre». La transformation des personnages douteux en idoles ne vient jamais naturellement : c’est la propagande qui l’impose, donc l’argent. Qui peut avoir eu intérêt à financer la construction des «coûteux temples de la renommée» dans lesquels trônent, depuis leur mort, les nombreux monstres dont va parler ce livre ? Peut-être, en démystifiant ceux-ci, pourrons-nous dévoiler les vrais visages de leurs victimes, non seulement innocentes, mais attachantes. RARE Très bon état ‎

‎Librairie spécialisée en gastronomie , œnologie et tabagie‎

‎Le Liban assassiné. Lettre ouverte à monsieur Sarkozy‎

‎Edition Aleph et Taw, Beyrouth, Liban, 2008, 165 p. ill. n&b, bibliographie. Broché, couverture à rabats, format à l’italienne, 29,5 x 20,9 cm. ‎

‎Couverture légèrement frottée. Bon état intérieur. Envoi autographe signé de l’auteur. ‎

‎Comme un torrent qui gronde‎

‎Ishtar 1987, broché, 210pp - très bon état‎

‎1453 Mahomet II impose le Schisme Orthodoxe ‎

‎François-Xavier de Guibert, 2003, in-8 br. (17 x 24), 269 p., 1ère édition, préface de Patrick de Laubier, nombr. Illustrations en n., couverture à rabats, très bon état. ‎

6 Images

‎"Le différend entre Orthodoxes et Catholiques n'est pas dogmatique. Nous sommes capables de nous unir avec Rome parce que nous sommes fidèles avec entêtement à nos racines." Ainsi parlait, en juin 1983, le patriarche grec-orthodoxe d'Antioche, Ignace IV Hazim, dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Ainsi parlaient aussi les Orthodoxes qui, en 1439, avaient mis fin au schisme après d'interminables palabres avec les Catholiques au concile de Florence. A ce concile, le savant Scholarios les avait appelés à embrasser l'Union des Eglises. Mais quelque temps après son retour à Constantinople, il se retourna et prétendit que les raisons du schisme étaient si graves que le Christ ne voulait pas de l'unité des chrétiens, c'est-à-dire de la seule chose qui pouvait sauver Constantinople de l'invasion turque. Après la chute de Constantinople, Scholarios révéla ses vraies motivations en acceptant la place de patriarche que lui offrait le sultan, ses cadeaux de prix et l'exemption des taxes imposées aux chrétiens. Et il aida les Ottomans à imposer aux Orthodoxes le mythe d'un schisme légal. Du point de vue orthodoxe, un musulman ne peut pas convoquer un concile, ni élire un patriarche, surtout quand il en existe déjà un. Et la décision de cet "antipatriarche" ne vaut certainement pas face à celle d'un concile groupant les chefs des deux Eglises. Le concile de Florence est donc toujours valide du point de vue orthodoxe. L'Histoire se répète, dit-on. C'est flagrant en ce qui concerne la tragique histoire de la chute de Constantinople..." Voir le sommaire sur photos jointes. ‎