Paris, Éditions Historiques Teissèdre, 2000 16 x 24 cm, 173 pp., broché.
Qui a mis le feu à Moscou dans la nuit du 15 au 16 septembre 1812 ? Trois textes ont été réunis pour tenter d'y voir plus clair. Le premier se compose d'extraits des mémoires de la fille aînée du gouverneur de Moscou, publiés à Saint-Pétersbourg en 1912. Le deuxième texte contient la justification du comte Rostopchine qui dément les affirmations des bulletins de la Grande Armée, sans parvenir à démontrer son innocence. Enfin, la correspondance de Rostopchine avec l'empereur Alexandre, du 7 juin au 2 décembre 1812, constitue un document de premier plan sur l'organisation politique de la Russie, l'opinion publique, la vie à Moscou et la valeur symbolique de cette ville aux yeux des Russes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT