Chez L'Auteur Paris 1882 In-12 carré ( 195 X 140 mm ) de 43 pages, broché sous couverture parcheminée imprimée, rempliée. Amusantes vignettes dans le texte de NADAR. EDITION ORIGINALE au tirage limité à 475 exemplaires numérotés et signés par NADAR, celui-ci un des 300 sur papier du Pays-Bas ( N°370 ). Petits manques à la couverture, rousseurs passim, bon exemplaire.
, , 1870 ca. 2 tirages photographiques (14,5 x 11,7 cm), non signés, sur papier albuminé, montées sur carton fort.
Deux grandes figures de l'aérostation réunis sur ces deux épreuves. Gaspard-Félix Tournachon, dit Nadar (1820-1910) fit sa première ascension en ballon en 1857 et plus tard ses premières photos aériennes avec un des membres de la célèbre famille de l'aéronaute Godard qui avait repris l’entreprise des Grands Ateliers Aérostatiques de Vaugirard ; Fanny Godard (1839-1880), une des premières femmes aéronautes, a assumé une part prépondérante dans le succès de l'entreprise familiale pilotant ou construisant des ballons.Légende manuscrite à l'encre noir en pied du carton. Fine craquelure sur le portrait de Nadar.
1888 chez Maurice Dreyfous Editeur . typographie Lahure. à Paris. s.d. ( 1888 ? ) contenant 198 pages ; Un volume in 12 . 1/2 toile percaline marron époque. dos lisse orné de trois double filets dorés et d'un fleuron doré au centre. titre doré. plats papier marbré époque; Envoi autographe de l'auteur: " à Jules Chancel. sympathie. Nadar. Marseille , aout 97. " rousseurs. état d'usage à la reliure. Sinon exemplaire agréable. 24 nouvelles suivies de la conclusion de l'auteur sous le titre " halte ".Exemplaire dédicacé par Nadar.( l' Edition originale est parue en 1877 chez G. Decaux.)
PROMOTION FIN D'ANNNE 20% de remise sur le prix marqué. frais de ports en sus.
[Paris], Alphonse Lemerre, 1894 in-12 carré*, [2] ff. n. ch., 28 pp., [2] ff. n. ch., broché sous couverture rempliée.
Unique édition. Il s'agit d'une pièce de vers, incluant des mots de parler tourangeau (d'où le glossaire final de Renaut, né à La Haye-Descartes), adressée à un ami curé de Chaillé à l'occasion de la mort d'une servante. Le nom de l'auteur ("le plus ignoré des auteurs" comme feint Nadar dans sa préface) fait d'abord penser à une forgerie : mais l'introduction explique cependant qu'il "dirigeait avec sa digne soeur, vers 1835-38, dans les hauteurs de la rue de Clichy, un très modeste pensionnat de jeunes gens qui suivait les cours du Collège Bourbon, lycée Condorcet aujourd'hui". Félix Tournachon, plus tard universellement connu comme Nadar (1820-1910), aurait été accueilli comme pensionnaire dans cet établissement, et très bien traité par le frère et la soeur en dépit d'un caractère difficile et de ses tendances à l'indiscipline.Envoi autographe de Nadar à M. Blandier, en date de novembre 1894. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
photographie portrait originale. Nadar rue d'Anjou St Honoré N° 31. Hôtel privé.
PROMOTION FIN D'ANNNE 20% de remise sur le prix marqué. frais de ports en sus.
Nadar, Paris 1856, 6,5x10,5cm, une feuille.
Photographie originale à l'albumine au format carte de visite. Epreuve sur papier salé. Un des premiers portraits du poète, qui fut un des premiers modèles du photographe. Rare, comme tous les premiers portraits chez Nadar de Vigny. Photographie montée sur carton rigide gris, extraite d'un album photographique d'un collectionneur. A la plume dans la marge basse, Le Cte Alfred de Vigny, et dans la marge droite NADAR en capitales. Un des premiers portraits de Nadar où déjà se dégage son style épuré. "Nadar photographie ses modèles simplement, n'utilisant que la lumière naturelle et zénithale diffusée par les verrières et réfléchie par de grands panneaux mobiles. Les poses à la manière d'Ingres valent surtout pour l'intimité et la complicité qu'il sait créer avec ses sujets. «La photographie est à la portée du premier des imbéciles, elle s'apprend en une heure. Ce qui ne s'apprend pas, c'est le sentiment de la lumière [...]et encore moins l'intelligence morale de votre sujet [...] et la ressemblance intime», dira-t-il. Dans cette période, où le portrait s'industrialise dans un académisme convenu, Nadar supprime les accessoires et décors conventionnels et refuse la retouche, au profit de « l'expression vraie et de cet instant de compréhension qui vous met en contact avec le modèle, qui vous aide à le résumer, vous guide vers ses idées et son caractère»." (Claude Postel : connaissance des arts). L'entreprise Nadar executera des tirages plus tardifs de ce cliché mais celui-ci est bien un cliché de démonstration, non destiné à l'usage. A l'instar de Baudelaire, Vigny déplorait la mode de la photographie et particulièrement celle des portraits, mais il détenait paradoxalement sa propre collection de photos cartes de visite et à la fin de sa vie, il multiplia les séances de poses, d'abord chez Nadar puis chez Le Gray. Il se montre vers 1855 soucieux de son image, celle qui va laisser à la postérité, et ses portraits photographiques doivent traduire le personnage de poète qu'il désire laisser. C'est ainsi qu'on le découvre sur ce portrait dans une attitude de sphynx, assis assez rigidement dans un fauteuil de velours, le regard dirigé vers l'horizon, les bras croisés, la main droite tenant un porte-mine, emblème de sa vocation, la rosette de la légion d'honneur ornant son col. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Nadar & Cie 1864 85 x 68 mm, contre-email en fondant blanc constellé de vert turquoise présentant l'inscription manuscrite sur couverte : « Procédé Lafon de Camarsac / [18]64 / Nadar & Cie / 35 Boult des Capucines / 2040 », encadrement de velours rouge ancien (131 x 99 mm)
Un rare portrait photographique sur émail inédit du grand Nadar La baronne alors âgée de 73 ans, dans l'année même de son décés, vraisemblablement assise dans un fauteuil, pose lascivement, engoncée dans une robe de soie à corset, couverte d'un lourd manteau doublé de fourrure, tête posée sur sa main gauche et regard porté vers l'objectif. « Le mérite des portraits de M. Nadar ne consiste pas seulement dans l'habileté de la pose, qui est tout artistique, il y a là une disposition savante et raisonnée de la lumière, qui atténue ou augmente le jour selon le caractère de la tête et l'instinct de l'opérateur. Nous retrouvons de plus dans le tirage des épreuves une recherche délicate de l'harmonie et des tons légèrement estompés qui adoucissent de leur pénombre les arêtes des contours. » (Henri Tournier, 1859) Le procédé de Lafon de Camarsac consisterait en un positif issu d'un collodion sur plaque de verre que l'on transférait sur une plaque émaillée pour être passée au feu de moufle (petit feu) puis mise en couverte (?) donnant une image devenue inaltérable. Après 1864 et la stabilisation du procédé au charbon de Poitevin, Lafon de Camarsac l'aurait intégré. Une évolution de son procédé introduisit la couleur par l'utilisation de pigments céramiques. Répondant au souci d'intégration de l'image photographique aux arts du feu (céramique, émail, verrerie), en carreaux, en médaillons, l'émail photographique se prêtaient à de multiples usages : portraits miniatures, médaillons, bibelots divers. C'est l'art funéraire qui y a eu le plus massivement recours, avec les portraits de défunts intégrés aux pierres tombales, en particulier dans les pays méditerranéens. La BnF présenterait dans ses collections un peu moins d'une trentaine d'émaux photographiques dont trois de Lafon de Camarsac et huit de Nadar ou de son atelier. Aucun de ces derniers n'est désigné comme d'après le procédé de Lafon de Camarsac. Nadar utilise par contre à plusieurs reprises le « procédé Deroche ». Mathieu-Deroche, son voisin au 39 bd des Capucines, avait obtenu une licence pour utiliser la méthode de Poitevin, l'autre spécialiste de la photographie sur émail, et s'était formé chez Lafon de Camarsac. Malgré nos recherches, nous n'avons pu localiser d'autres émaux selon le procédé Lafont de Camarsac issus de chez Nadar. Blanche-Cécile-Alexandrine-Géraldine van Tengnagell (1791-1864), épousa en 1910 le baron Louis Regnault (1770-1839), intendant des armées du roi de France. Pierre Michel Marie Alcide Lafon de Camarsac (1821-1905) est l'inventeur des émaux photographiques, procédé photographique pour lequel il déposa un brevet en 1854; il obtint la médaille d'or à l'Exposition universelle de 1867. Le rapport de ladite exposition précise qu'à cette date Lafon de Camarsac avait livré plus de 15000 émaux ! (Exposition universelle de Paris en 1867: documents et rapports, Volume 1, p. 428).
--Rare très grand format avec bel envoi autographe signé de Nadar--NADAR (Félix Tournachon, dit).
Reference : 13779
Photographie originale d'un format exceptionnellement grand (44 x 35 cm), sur papier albuminé avec importants rehauts de gouache marron dans les cheveux, la robe, les chaussures et dans le décor, contrecollée sur carton, papier bleu collé au verso.Tirage viré au sépia, taches de gouache sur le visage de l'enfant, traces de montage ancien au verso
Envoi autographe signé et daté de Nadar à l'encre rouge en bas à gauche : "A mon cher et bon ami Alfred Verin (ou Perin ?), Nadar, Paris 1877". La célèbre signature de Nadar est ici particulièrement graphique.
Paris chez l'auteur 1882 Deux uvres réunies en une seule dans une reliure non signée. Signé et numéroté par Nadar. Demi-cuir vert foncé avec planches marbrées. Titres et décorations dorés au dos. La reliure est en bon état, propre, avec seulement quelques frottements. Le premier ouvrage, "Dicts & Faicts", est l'un des 475 exemplaires imprimés. Bien que le colophon indique que chaque exemplaire est signé et numéroté par l'auteur, cet exemplaire n'est PAS signé. (Le deuxième ouvrage l'est !). Ouvrage orné d'illustrations de l'auteur. 43 pages. Bon état de conservation. Le second ouvrage, "La passion... de... Gambetta" est également un des 475. Notre exemplaire est l'un des 300 sur Hollande et est signé par Nadar. 46 pages. L'ouvrage est également propre et bien rangé. Les papiers de fin ont un peu d'usure sur les bords, mais dans l'ensemble c'est un très bel exemplaire. 190 x 135 mm (7œ x 5Œ pouces).
Two works bound as one together in an unsigned binding. Signed and numbered by Nadar. Half dark green leather with marbled boards. Gilt titles and decoration to the spine. The binding is in good, clean condition, with a little rubbing only. The first work, "Dicts & Faicts" is one of 475 copies printed. Despite the colophon stating that each copy is signed and numbered by the author - this copy is NOT signed. (The second work is!). Work decorated with illustrations by the author. 43 pages. Good clean condition. The second work, "La passion... de... Gambetta" is also one of 475. Our copy is one of the 300 on Hollande and is signed by Nadar. 46 pages. Also clean and tidy throughout. The end papers have a touch of edge wear to them, but overall a very nice copy. 190 by 135mm (7œ by 5Œ inches). .
Paris, E. Dentu, 1864 in-12, [7] ff. n. ch. (faux-titre et titre, dédicace, introduction), XX pp., pp. 21-439, demi-chagrin marine, dos à nerfs orné de pointillés, filets et caissons dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Des usures aux nerfs, mais bon exemplaire.
Edition originale (l'ouvrage fut réédité en 1865), laquelle n'est pas illustrée à la différence de la seconde. C'est en 1863 que Nadar, passionné d'aérostation depuis 1858, fonda avec Gabrielle de La Landelle la Société d'encouragement de la navigation aérienne au moyen du plus lourd que l'air, et qu'il lança la construction d'un immense ballon, bien nommé "Le Géant" (haut de 40 mètres, il pouvait contenir 6000 m3 de gaz). Le 4 octobre 1863, le premier vol du Géant eut lieu à Paris avec 13 personnes à bord dont Jules Verne (qui s'était déjà inspiré de Nadar pour écrire Cinq semaines en ballon, paru en 1863), mais également plusieurs invités. Le ballon perdit rapidement de la hauteur et atterrit à Meaux, à moins de 100 kilomètres de Paris. Nadar recommença l'expérience le 18 octobre avec son épouse. Dans les environs de Hanovre, le ballon atterrit durement et fut entraîné sur 16 kilomètres. Le récit de cette catastrophe par Nadar, repris par la presse dans toute l'Europe, assura la célébrité de l'engin. D'autres ascensions eurent lieu (Amsterdam et Bruxelles en septembre 1864), mais sans le succès public escompté. Nadar dut donc arrêter l'aventure du Géant par manque d'argent.Tissandier, p. 30. Brockett 8972 (pour la seconde édition). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Nadar, Paris 1878, 6x10,5cm, une photographie.
Photographie originale sur papier albuminé représentant Jules Verne, au format carte de visite, contrecollée sur un carton fort du studio Nadar "51 rue d'Anjou St Honoré". Annotation à la plume au dos, avec les informations publicitaires de l'atelier Nadar. Médaille d'or. Exposition universelle 1878. Tampon bleu ; Editeur J. Kuhn, Paris. Jules Verne rencontre Nadar en 1861 et les deux hommes deviennent amis, l'homme lui laisse une profonde impression et ses aventures l'inspirent pour Cinq semaines en ballon [Nadarse liera avec Jules Vernepour créer une Société d'encouragement du transport en ballon], De la terre à la lune et Autour de la lune. L'auteur le décrit ainsi dans De la terre à la lune : "C'est un homme de 42 ans, grand, mais un peu voûté déjà, comme ces cariatides qui portent des balcons sur leurs épaules. Sa tête forte, véritable hure de lion, secouait par instants une chevelure ardente, qui lui faisait une véritable crinière. Une face courte, large aux tempes, agrémentée d'une moustache hérissée comme les barbes d'un chat et de petits bouquets un peu égarés, un regard myope, complémentaient cette physionomie éminemment féline." Beau portrait de l'écrivain par Nadar où celui-ci apparaît particulièrement chaleureux et bienveillant. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Nadar, Paris 1862, Photographie : 5,1x8,5cm / Carton : 6,3x10,3cm, une photographie.
Rarissime photographie originale représentant Charles Baudelaire sur papier albuminé, tirage d'époque au format carte de visite, contrecollée sur un carton de l'atelier Nadar 35 boulevart (sic) des Capucines?: «?Portrait photographique à nous communiqué par Nadar. Fait le même jour que le précédent, mêmes dimensions avec même costume. Le gilet est toujours déboutonné, mais Baudelaire cache ses mains dans les poches de son pantalon. Vu de face, il paraît plus souffrant et plus triste qu'à la précédente épreuve.?» (Ourousof, 1896) «?Autre carte de visite du même jour que le n°4.1 précédent [...] un tirage d'époque albuminé se trouve dans les collections du Musée d'Orsay (Provenance?: collection Braive puis collection Marie-Thérèse et André Jammes, 1991, acquis par les Musées Nationaux avec le concours du fonds du Patrimoine [...] musée d'Orsay, fiche 39389)?» (S. Plantureux, Charles Baudelaire ou le Rêve d'un curieux). Ce cliché, réalisé en 1862, a été commercialisé entre 1862 et 1871, comme en témoigne l'adresse du photographe au dos du carton. Seules deux poses de Baudelaire semblent avoir été retenues lors de cette séance. «?S'il est permis à la photographie de suppléer l'art dans quelques-unes de ses fonctions, elle l'aura bientôt supplanté ou corrompu tout à fait, grâce à l'alliance naturelle qu'elle trouvera dans la sottise de la multitude?» écrivait Charles Baudelaire dans le Salon de 1859. On ne connaît que quinze portraits photographiques différents de Baudelaire, réalisés entre 1855 et 1866 (trois séances chez Nadar, trois chez Carjat et une chez Neyt), dont il ne subsiste pour certains qu'un seul exemplaire. Baudelaire et Nadar se rencontrèrent en 1843 et leur amitié perdura jusqu'à la mort du poète en 1867. Le photographe réalisa au total sept portraits de son ami entre 1855 et 1862. Les deux hommes, plein d'admiration l'un pour l'autre, se rendirent d'émouvants hommages dans leurs uvres respectives?: Baudelaire dédia «?Le rêve d'un curieux?» (in Les Fleurs du mal) au portraitiste qui lui consacra pour sa part, outre des caricatures et des portraits photographiques, un ouvrage sans fard intitulé Charles Baudelaire intime?: le poète vierge (1911). Rarissime et bel exemplaire de cette photographie peu connue de Baudelaire par le photographe français le plus important du XIXè siècle. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Dessin au fusain et à l'estompe rehaussé de gouache sur papier brun. L'initiale N qui est la signature de Nadar pour ces caricatures, se trouve en bas à gauche mais a étét incluse dans le titre de l'œuvre par Nadar lui-même. Panthéon Nadar 246. Très proche du n° 162 de la vente à Drouot du 3/12/2004. Ne se trouve pas à La B.N. dont on sait qu'elle avait acquis nombre de dessins définitifs ou préparatoires au Panthéon Nadar. Sous chemise fermée. Cette chemise ancienne porte le n° 2 : probablement de la vente du banquier Millaud vers 1865. Très bon Paris 1851/57 19 x 15,5 cm
édition originale
Dessin au fusain et à l'estompe rehaussé de gouache sur papier brun, titré en bas au centre et vernis. Panthéon Nadar 154. Voir le n° 241 de la vente à Drouot du 3/12/2004. Un dessin proche se trouve à La B.N. dont on sait qu'elle avait acquis nombre de dessins définitifs ou préparatoires au Panthéon Nadar. Sous chemise fermée. Cette chemise ancienne porte le n° 14 : probablement de la vente du banquier Millaud vers 1865. Très bon Paris 1851/57 23,2 x 15,5 cm
édition originale
Dessin au fusain et à l'estompe rehaussé de gouache sur papier brun. Panthéon Nadar ?. Voir le n° 55 de la vente à Drouot du 3/12/2004, qui représente son fils Louis (figure au Panthéon Nadar sous le n° 109, ainsi qu'à la BN). Nadar avait-il envisagé de faire figurer le père dans son Panthéon ? Sous chemise fermée. Cette chemise ancienne porte le n° 23 : probablement de la vente du banquier Millaud vers 1865. Très bon Paris 1851/57 23,4 x 15,7 cm
édition originale
Dessin au fusain et à l'estompe rehaussé de gouache sur papier brun, titré en bas au centre. Initiale N pour Nadar en bas à droite. Panthéon Nadar 52. Voir le n° 175 de la vente à Drouot du 3/12/2004. Un dessin proche se trouve à la B.N. dont on sait qu'elle avait acquis nombre de dessins définitifs ou préparatoires au Panthéon Nadar. Sous chemise fermée. Cette chemise ancienne porte le n° 28 : probablement de la vente du banquier Millaud vers 1865. Très bon Paris 1851/57 23,2 x 15,2 cm
édition originale
Dessin au fusain et à l'estompe rehaussé de gouache sur papier brun, titré en bas au centre et signé de l'initiale sur la droite. Panthéon Nadar 215. Voir le n° 75 de la vente à Drouot du 3/12/2004 (5300 €). Un dessin proche se trouve à La B.N. dont on sait qu'elle avait acquis nombre de dessins définitifs ou préparatoires au Panthéon Nadar. Ces trois dessins sont tous signés de Nadar qui semble avoir accordé une grande importance à ce personnage. Sous chemise fermée. Cette chemise ancienne porte le n° 66 : probablement de la vente du banquier Millaud vers 1865. Très bon Paris 1851/57 23,3 x 15 cm
édition originale
Aquarelle, gouache sur papier brun, titré en bas au centr et signé de l'initiale sur la droite. Panthéon Nadar 74. Voir le n° 5 de la vente à Drouot du 3/12/2004. Un dessin proche mais non gouaché, se trouve à La B.N. dont on sait qu'elle avait acquis nombre de dessins définitifs ou préparatoires au Panthéon Nadar. Ces trois dessins sont tous signés de Nadar qui semble avoir accordé une grande importance à ce personnage. Sous chemise fermée. Cette chemise ancienne porte le n° 10 : probablement de la vente du banquier Millaud vers 1865. Très bon Paris 1851/57 24 x 15,8 cm
édition originale
S.l. (Paris), Se treuve chés l'auctheur: Au pourtraict veridique, en la rue dicte d'Anjou Sainct-Honoré, près la chapelle du Roy Louys-leSeizième, s.d. (1882). In-8°, br., couv. impr. en noir et rouge.
EDITION ORIGINALE. Tirage limité à 475 ex., dont 150 h.c., 1 des 300 sur hollande, celui-ci n°40, signature manuscrite de Nadar. Ill. dans le texte de NADAR. L'angle inf. gauche est affecté par une trace d'humidité tout au long de l'ouvrage, dos fendu. R A R E !
Paris, sous les piliers tournants de la vague demeure, sous les arcades de l'Odéon, 1877 in-12, 30 pp., un f. n. ch., broché.
Edition séparée, de quatrième tirage, comportant un avertissement d'Auguste Poulet-Malassis (signé A.P.M.). L'opuscule forme la reprise du texte seul de La Grande symphonie des punaises, bouffonnerie agrémentée, comme il se doit, d'une musique de Offenbach, et qui parut originellement à Bruxelles en 1864 à la fin du Théâtre érotique de la rue de la Santé, en deux volumes.Le chansonnier et journaliste Charles Bataille (1828-1868) eut une carrière brève (il mourut prématurément, atteint de troubles mentaux), mais brillante, et faisait partie des amis de Nadar (il apparaît sur le seul feuillet publié du fameux Panthéon Nadar, réalisé en 1854)."Mesdames - il est juste au moins qu'on vous prévienne - / Farouche à raconter et lamentable à voir, / Le poëme hardi de la gent punaisienne, / Pour les nerfs olfactifs d'une Parisienne, / Exhale des parfums âcres à percevoir."Vicaire VI, 4-5 (pour le premier tirage de 1877). Oberlé, Poulet-Malassis, 979. cf. Gay III, 1203-1204. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Chez l'auctheur: Au pourtraict veridicque en la rue dicte d'Anjou Sainct Honoré sans date 1882 In-12 carré broché, couverture parcheminée rempliée, 43 pp.10 vignettes dans le texte par l'auteur. Couverture un peu poussiéreuse avec un manque en tête et en pied du dos. Rares rousseurs.
Edition originale de cette fantaisie du caricaturiste, photographe, écrivain et aérostier sur Gambetta. “Amy lecteur, si tu es bien advisé et friant de haulte graisse, tu liras ceste chronicque chronicquante dont l'auctheur, sous l'emblesme d'un fol, cele un saige, curieux de sapience et florisseulx de science philosophicale. Ne t'arrestes ny reschignes aux aspretés du languaige anticque comme au pets d'un asne, mais bien chausse tes lunettes sur l'aureille gauche pour ouyr plus clair : romps l'os et trouveras medulle à sugcer. Amen" Tiré à 475 ex. num. & signés, un des 300 sur papier du Pays-Bas avec un bel envoi de Nadar. Bon état d’occasion
Nadar, Paris s.d. (ca 1870), 6,3x10,4cm, une photographie au format carte de visite.
Photographie originale sur papier albuminé, au format carte de visite, contrecollée sur un carton de l'atelier Nadar 35 boulevart (sic) des Capucines. Mentions manuscrites au crayon au dessus du cliché. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Georges Decaux, Paris s.d. (1877), 11,5x18,5cm, relié.
Edition originale. Reliure de l'époqueen demi chagrin vert bouteille, dos à cinq nerfs sertis de fleurons dorés, quelques petites traces de frottements sans gravité sur le dos, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier caillouté, reliure de l'époque. Quelques petites rousseurs sans gravité, une indication manuscrite de rangement de bibliothèque au crayon de papier sur une garde. Envoi autographe daté et signé de Nadar : "A M. Bertrand de main amie. Nadar. Nov". - Photos sur www.Edition-originale.com -
Nadar, Paris s.d. (1856), 6,5x010,2cm, une photographie.
Photographie originale sur papier albuminé représentant Alphonse de Lamartine, au format carte de visite, contrecollée sur un carton du studio Nadar "35 boulevart des Capucines". Ce cliché, réalisé en 1856, a été commercialisé entre 1862 et 1871, comme en témoigne l'adresse du photographe au dos du carton. Annotation à la plume au dos du cliché. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Photographie dite carte de visite ou portrait-carte, épreuve format 88x55mm, montée sur carton d'un format 103x62mm, initiale N. et liseret rouge et au dos mention " NADAR, 35 Boulevard des Capucines ", le cliché est en bon état.
Journaliste et homme de lettres français.Photographie originale vers 1860/1870...