Genève, Paris, Munich, Nagel, 1978. 17 x 24, 189 pp., 43 illustrations en couleurs, 73 illustrations en N/B, reliure d'édition + jaquette, sous étui carton gris, très bon état.
Ouvrage complet de sa jaquette en parfait état et de son étui carton.
BURGELIN Olivier et PERROT Philippe, BASSE Marie-Thérèse
Reference : 100.739
ISBN : 2020098075
Evreux, Imprimerie Hérissey, 1987. 16 x 24, 319 pp., 11 illustrations en N/B, broché, bon état.
Paris, La Fontaine de Pierre, 1983. 16 x 23, 279 pp., 10 illustrations, broché, bon état.
Paris, Editions La Découverte, 1992. 11 x 18, 126 pp., 11 graphiques, broché, bon état.
KAËS René, PERROT Jean, HOCHMANN Jacques, et alii
Reference : 44882
ISBN : 204015728X
Paris, Dunod, 1985. 14 x 22, 227 pp., broché, bon état.
Paris, Tardy, 1948 14 x 20, 309 pp., broché, bon état (cachets du Collège jésuite Saint Stanislas à Mons)
Paris, CNRS, 1991. 21 x 30, 123 pages, nombreuses planches et figures en N/B, broché, très bon état.
Paris, CNRS, 1992. 21 x 30, 2 volumes, 172 + 202 pages, nombreuses planches et figures en N/B, broché, très bon état.
Paris, CNRS, 1993. 21 x 30, 181 pages, nombreuses planches et figures en N/B, broché, très bon état.
Paris, France Loisirs, 1994. 23 x 29, 189 pp., très nombreuses illustrations en couleurs et en N/B, cartonnage d'édition + jaquette, très bon état.
Paris, Albin Michel, 1984. 13 x 17, 153 pp., nombreuses illustrations en N/B, broché, bon état.
1840 TURGIS sd,une feuille in folio,bon etat,tirage d'époque, mouillures dans les grandes marges.
1 print : lithograph, b&w ; image and text 18.5 x 23 cm., on sheet 25 x 32.5 cm.Né en 1808, Ferdinand Perrot passa son enfance à Brest et fut ensuite à Paris l'élève de Théodore Gudin, premier peintre officiel de la Marine française.Il effectua de nombreux voyages en Bretagne, Normandie, au nord et dans le midi de la France ainsi qu'en Angleterre et en Italie en 1837.Il reçut début 1840 une invitation du tsar Nicolas 1er à venir à Saint-Pétersbourg pour un travail important.Après son admission à l'académie des beaux arts de Saint-Pétersbourg le 29 septembre 1840, il ne cessa de produire jusqu'à sa mort là-bas en 1841.
1840 TURGIS sd,une feuille in folio,bon etat,tirage d'époque, grandes marges.
1 print : lithograph, b&w ; image and text 18.5 x 23 cm., on sheet 25 x 32.5 cm.
1840 TURGIS sd,une feuille in folio,bon etat,tirage d'époque, grandes marges.
1 print : lithograph, b&w ; image and text 18.5 x 23 cm., on sheet 25 x 32.5 cm.
1840 TURGIS sd,une feuille in folio,bon etat,tirage d'époque, grandes marges.
1 print : lithograph, b&w ; image and text 18.5 x 23 cm., on sheet 25 x 32.5 cm.
Nismes, chez l’auteur, devant la Maison-Carrée, Nismes, chez l’auteur, devant la Maison-Carrée1837 ; in-8, broché, couv. bleue imprimée. 76 pp - 10 planches hors-texte gravées.ÉDITION ORIGINALE. Guide des monuments de Nîmes par l’archéologue Perrot, une curieuse figure née à Alès en 1790. En 1810, il s’était engagé dans la Grande Armée et fut affecté au corps d’Observation d’Italie. C’est au cours des séjours militaires dans l’Italie du Nord que Perrot s’intéressa à l’archéologie “Rien en effet, ne prédisposait le jeune commis-marchand d’Alès à sacrifier la deuxième partie de sa vie à sa passion pour le patrimoine” dit Christian Landes dans l’article qu’il consacre à Perrot dans Mélanges de l’école française de Rome 2006 pp. 35-39. En 1822 le préfet du Gard lui confia la surveillance des fouilles de Nîmes. Il est également nommé concierge de la Maison-Carrée. Sa situation administrative se dégrada quand le directeur du musée de Nîmes l’accusa de confondre ses collections personnelles et le résultat des fouilles. À la suite d’un différend avec l’inspecteur des monuments historiques au sujet d’une inscription sur une frise de la Maison-Carrée il fut révoqué. Il tenta vainement de vendre ses collections à la ville, puis vivotera en faisant commerce d’antiquités “Bonapartiste et authentique grognard, autodidacte et passionné, Jean-François-Aimé Perrot reste une figure incontournable de l’archéologie nimoise” Ch. Landes. Dans ce volume il décrit l’amphithéâtre, la Porte de France, la Maison-Carrée, la Fontaine, les Bains, le Temple de Diane, la Porte d’Auguste, le Pont du Gard, la Tour Magne.
Flammarion, 1998, gr. in-8°, 494 pp, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Les femmes font aujourd'hui du bruit ? C'est en regard du silence dans lequel les a tenues la société depuis des siècles. Silence des exploits guerriers ou techniques, silence des livres et des images, silence surtout du récit historique qu'interroge justement l'historienne. Car derrière les murs des couvents ou des maisons bourgeoises, dans l'intimité de leurs journaux ou dans les confidences distraites du passé, dans les murmures de l'atelier ou du marché, dans les interstices d'un espace public peu à peu investi, les femmes ont agi, vécu, souffert et travaillé à changer leurs destinées. Qui mieux que Michelle Perrot pouvait nous le montrer ? Historienne des grèves ouvrières, du monde du travail et des prisons, Michelle Perrot s'est attachée très tôt à l'histoire des femmes. Elle les a suivies au long du XIXe et du XXe siècles, traquant les silences de l'histoire et les moments où ils se dissipaient. Ce sont quelques-unes de ces étapes que nous restitue ce livre. — "Dans la présentation de ce recueil d’articles, en forme de bilan provisoire d’une œuvre, Michelle Perrot brosse son parcours intellectuel, tout entier tourné vers la volonté de savoir où gisent les raisons dernières des oppressions sociales et sexuelles. Elle rappelle en ouverture que les femmes ont été plus souvent imaginées que décrites ou racontées. C’est pourquoi « faire leur histoire c’est ... inévitablement se heurter à ce bloc de représentations qui les recouvrent et qu’il faut nécessairement analyser, sans savoir comment elles-mêmes les voyaient et les vivaient ». Là réside une grande partie des difficultés de l’histoire des femmes, due autant à la question des sources qu’à la longue indifférence des historiens vis-à-vis de cette question. « Traces », la première partie de l’ouvrage, expose les problèmes posés par la documentation. Tandis que les archives publiques taisent les femmes – le verbe étant l’apanage de ceux qui exercent le pouvoir –, les archives privées sont des trésors pour les historiens. A travers elles, Michelle Perrot a vu « émerger un nouveau et étrange personnage : une femme qui veut être une personne » et s’ouvrir un vaste champ de connaissance. Les figures des trois filles Marx à l’héritage si lourd, celle de Flora Tristan, sensibilisée aux rapports de sexe dans le ménage comme dans la sphère publique et de George Sand, une des femmes les plus politiques de son temps, en sont de beaux exemples. Grâce à ce nouveau regard et à une volonté militante, les femmes sont lentement sorties du silence historique..." (Danièle Voldman, “Travail, genre et sociétés” 1999/1)
Alençon, A. Lepage, Alençon, A. Lepage1880 ; plaquette in-8, demi-percaline grise de l’époque. 48 ppÉDITION ORIGINALE. “Quittant son Paris natal, Perrot raconte sa douloureuse expérience militaire contre les chouans, dans la région de Vire, dans l’Orne, dans la Manche. Son récit ne dépasse pas la fin de 1793.” Fierro. Bibl. des Mémoires sur la Révolution 1151.Perrot est né à Paris vers 1773. Il a laissé un grand nombre de poésies, chansons, comédies, vaudevilles, etc. Après un séjour de près d’un an en Normandie, le bataillon dont il faisait partie a quitté le Havre le 23 thermidor an II. Il fut ensuite envoyé en Suisse et en Italie. Rentré en France, Perrot fut attaché à l’administration des postes. Il est mort en 1853.
Montluçon, Herbin, 1913. in-4 (25,5 x 32,5 cm), 309 pages -1f.- 15 planches. Demi-basane cerise, dos à 5 nerfs, couverture et dos conservés. (Reliure moderne).
Édition originale posthume, publiée par Léonie Duchet, arrière-petite-fille de l'auteur. 15 gravures hors-texte reproduisent des estampes et des documents anciens, dessins in-texte. L'éditeur a apporté un grand soin à cette publication : choix du papier, format, typographie, lettrines et ornements choisis forment un magnifique volume. Le "Perrot de St.-Angel" est un ouvrage essentiel pour l'histoire de Montluçon ainsi que pour l'étude des mouvements économiques en Bourbonnais. Né en 1756, Gilbert-Bon mourut en 1847, à l'âge de 91 ans. Il avait été fonctionnaire de l'Ancien Régime et, pendant la Révolution, il avait joué un rôle important dans la vie municipale de Montluçon. Il apportait donc dans ses études et ses recherches sur l'histoire administrative de sa ville une compétence spéciale, et le temps très long dont il lui fut donné de vivre lui permit de faire une ample moisson de pièces originales et précieuses. Il a ainsi reconstitué les tableaux chronologiques des châtelains d'épée, les lieutenants généraux civils et criminels, présidents, assesseurs, etc. depuis l'origine des charges. De même pour l'hôtel de ville et l'ordre religieux. La période révolutionnaire est évoquée avec autant de curiosité et de détails inédits. Perrot figurait parmi les partisans de Necker. Melle Duchet a enrichi la publication du manuscrit de son ancêtre par quelques pièces totalement inédites telles que l'inventaire des meubles du château de Montluçon en 1518, un Noël en patois, deux textes d'Achille Allier, etc. (Longue notice bibliogr. de M. Dunan in Bull. S.E.B. 1913, pp. 206 et seq. - Malleret p. 51 - Pas dans Saffroy). Tiré seulement à 210 exemplaires, tous sur papier de Hollande, numérotés. - Bel exemplaire, frais.
Montluçon, Herbin, 1913. in-4 (25,5 x 32,5 cm), 309 pages -1f.- 15 planches. Relié demi-chagrin bronze, "pavés sautés" au dos, avec fleurons dorés, couverture et dos conservés. (Reliure moderne).
Édition originale posthume, publiée par Léonie Duchet, arrière-petite-fille de l'auteur. 15 gravures hors-texte reproduisent des estampes et des documents anciens, dessins in-texte. L'éditeur a apporté un grand soin à cette publication : choix du papier, format, typographie, lettrines et ornements choisis forment un magnifique volume. Le "Perrot de St.-Angel" est un ouvrage essentiel pour l'histoire de Montluçon ainsi que pour l'étude des mouvements économiques en Bourbonnais. Né en 1756, Gilbert-Bon mourut en 1847, à l'âge de 91 ans. Il avait été fonctionnaire de l'Ancien Régime et, pendant la Révolution, il avait joué un rôle important dans la vie municipale de Montluçon. Il apportait donc dans ses études et ses recherches sur l'histoire administrative de sa ville une compétence spéciale, et le temps très long dont il lui fut donné de vivre lui permit de faire une ample moisson de pièces originales et précieuses. Il a ainsi reconstitué les tableaux chronologiques des châtelains d'épée, les lieutenants généraux civils et criminels, présidents, assesseurs, etc. depuis l'origine des charges. De même pour l'hôtel de ville et l'ordre religieux. La période révolutionnaire est évoquée avec autant de curiosité et de détails inédits. Perrot figurait parmi les partisans de Necker. Melle Duchet a enrichi la publication du manuscrit de son ancêtre par quelques pièces totalement inédites telles que l'inventaire des meubles du château de Montluçon en 1518, un Noël en patois, deux textes d'Achille Allier, etc. (Longue notice bibliogr. de M. Dunan in Bull. S.E.B. 1913, pp. 206 et seq. - Malleret p. 51 - Pas dans Saffroy). Tiré seulement à 210 exemplaires, tous sur papier de Hollande, numérotés. - Bel exemplaire, frais. Ex-dono à l'encre.
Montluçon, Herbin, 1913. in-4 (25,5 x 32,5 cm), 309 pages -1f.- 15 planches. Broché, couverture de papier vélin crème imprimée en rouge et noir.
Édition originale posthume, publiée par Léonie Duchet, arrière-petite-fille de l'auteur. 15 gravures hors-texte reproduisent des estampes et des documents anciens, dessins in-texte. L'éditeur a apporté un grand soin à cette publication : choix du papier, format, typographie, lettrines et ornements choisis forment un magnifique volume. Le "Perrot de St.-Angel" est un ouvrage essentiel pour l'histoire de Montluçon ainsi que pour l'étude des mouvements économiques en Bourbonnais. Né en 1756, Gilbert-Bon mourut en 1847, à l'âge de 91 ans. Il avait été fonctionnaire de l'Ancien Régime et, pendant la Révolution, il avait joué un rôle important dans la vie municipale de Montluçon. Il apportait donc dans ses études et ses recherches sur l'histoire administrative de sa ville une compétence spéciale, et le temps très long dont il lui fut donné de vivre lui permit de faire une ample moisson de pièces originales et précieuses. Il a ainsi reconstitué les tableaux chronologiques des châtelains d'épée, les lieutenants généraux civils et criminels, présidents, assesseurs, etc. depuis l'origine des charges. De même pour l'hôtel de ville et l'ordre religieux. La période révolutionnaire est évoquée avec autant de curiosité et de détails inédits. Perrot figurait parmi les partisans de Necker. Melle Duchet a enrichi la publication du manuscrit de son ancêtre par quelques pièces totalement inédites telles que l'inventaire des meubles du château de Montluçon en 1518, un Noël en patois, deux textes d'Achille Allier, etc. (Longue notice bibliogr. de M. Dunan in Bull. S.E.B. 1913, pp. 206 et seq. - Malleret p. 51 - Pas dans Saffroy). Tiré seulement à 210 exemplaires, tous sur papier de Hollande, numérotés.
Montluçon, Herbin, 1913. in-4 (25,5 x 32,5 cm), 309 pages -1f.- 15 planches. Broché, couverture de papier vélin crème imprimée en rouge et noir.
Édition originale posthume, publiée par Léonie Duchet, arrière-petite-fille de l'auteur. 15 gravures hors-texte reproduisent des estampes et des documents anciens, dessins in-texte. L'éditeur a apporté un grand soin à cette publication : choix du papier, format, typographie, lettrines et ornements choisis forment un magnifique volume. Le "Perrot de St.-Angel" est un ouvrage essentiel pour l'histoire de Montluçon ainsi que pour l'étude des mouvements économiques en Bourbonnais. Né en 1756, Gilbert-Bon mourut en 1847, à l'âge de 91 ans. Il avait été fonctionnaire de l'Ancien Régime et, pendant la Révolution, il avait joué un rôle important dans la vie municipale de Montluçon. Il apportait donc dans ses études et ses recherches sur l'histoire administrative de sa ville une compétence spéciale, et le temps très long dont il lui fut donné de vivre lui permit de faire une ample moisson de pièces originales et précieuses. Il a ainsi reconstitué les tableaux chronologiques des châtelains d'épée, les lieutenants généraux civils et criminels, présidents, assesseurs, etc. depuis l'origine des charges. De même pour l'hôtel de ville et l'ordre religieux. La période révolutionnaire est évoquée avec autant de curiosité et de détails inédits. Perrot figurait parmi les partisans de Necker. Melle Duchet a enrichi la publication du manuscrit de son ancêtre par quelques pièces totalement inédites telles que l'inventaire des meubles du château de Montluçon en 1518, un Noël en patois, deux textes d'Achille Allier, etc. (Longue notice bibliogr. de M. Dunan in Bull. S.E.B. 1913, pp. 206 et seq. - Malleret p. 51 - Pas dans Saffroy). Tiré seulement à 210 exemplaires, tous sur papier de Hollande, numérotés. - Une fenêtre a été découpée au rasoir feuillet 269-270, endommageant les quatre feuillets précédent. Texte complété par une photocopie. Brochage fragile, dos frotté et légèrement gauchi.
Jean PERROT, dir., Gabriel MANESSY, éd., Albert VALDMAN, éd. - PERROT (Jean)
Reference : 49869
(1981)
ISBN : 2222017203
éditions du CNRS, coll. « Les Langues dans le Monde ancien et moderne » 1981 2 volumes, in-4, reliure de l’éditeur toile marron, 691 pp. - Portfolio à rabats, 11 cartes en couleurs. Excellent état. - Edité par Gabriel MANESSY - Edité par Albert VALDMAN
Dans le domaine linguistique, la première publication de ce genre date de 1924, voici que le CNRS entame, sous la direction de Jean Perrot, une entreprise semblable dont la première livraison, volumineuse, concerne l’Afrique subsaharienne, les pidgins et les créoles. Bon état d’occasion
RORET]. CONSTANT-VIGUIER (Stév.-F.), LANGLOIS-LONGUEVILLE (F.P.), PERROT (A.M.).
Reference : 97784
(1836)
Paris Librairie encyclopédique de Roret, coll. "Manuels-Roret" 1836 1 vol. relié fort vol. in-16, relié demi-basane tabac, dos lisse orné filets et fleurons à froid, XVI + 366 pp., 2 planches dépliantes dont 1 coloriée (dos un peu frotté, mors fendillés en pied). 3e édition revue et augmentée. [Relié à la suite : ] PERROT (A.-M.). Manuel du coloriste... Paris, Roret, 1834, XLVI + VII + 199 pp., 2 planches dépliantes dont 1 coloriée. Nouvelle édition revue et augmentée par E. Blanchard.
Paris, Victor Perrot, 1913. 1 vol. in-4. Demi-chagrin vert à coins, dos à nerfs, titre doré, tête dorée, couvertures conservées. Dos uniformément passé.
Avec un envoi de l’éditeur sur la page de titre. Petit tirage portant la justification suivante : “Tiré à “nombre” pour mes amis”.Bien complet des 5 planches hors-texte ainsi que du fac-similé et enrichi en outre de 7 photographies certaines légendées au stylo violet : il s’agit des pages de titre : - des Pastorales de Longus traduction complète par P-L Courier, exemplaire de la Bibliothèque de Tours, ainsi que des - Oeuvres de P-L Courier, précédées de sa vie, par Armand Carrel. Viennent ensuite des photos du chemin de Veretz-Chavonnière (où P-L Courier habitait), la statue de l’auteur à Saint-Gatien, à Tours ainsi que sa statue à l’Hôtel de ville, les photos reprennent enfin certaines illustrations de l’ouvrage : sont photographiés le cénotaphe dressé dans la forêt de Larcay, ainsi que les tombes de Courier et de son frère.Concernant le texte, la première partie correspond à une conférence faite à la Société archéologique “Le Vieux Papier” le mardi 25 février 1913 par Victor Perrot, la seconde partie réunit des extraits des Oeuvres complètes de P-L Courier par Victor Perrot.Avec le cachet “Geprüft und freigegeben Garnison-Kommando Friedberg (Hessen)”.