1965 Toulouse : Musée des Augustins, 1965. 1 vol., In-8, broché (71 p.-[32] p. de planches) : ill. en noir, couv. ill. en coul. ; 21 x 27 cm. Exposition, Musée des Augustins, [Toulouse,] 22 juin-15 septembre. Catalogue rédigé par M. Denis Milhau
bon état
Paris : Éditions d'Art SOMOGY / Toulouse : Musée des Augustins, 1996. Sous jaquette couleur, reliure noire 29x25,5cm à titrage doré, 215 pages illustrées en noir et couleur, notes, bibliographie, textes de Catherine Bourdieu, Pascal Julien, Jean Penent, Fabienne Sartre, Jean-Pierre Suzzoni et Stéphanie Trouvé.
Exposition organisée par la Ville de Toulouse, le Musée des Augustins et le Musée Paul Dupuy (14 décembre 1996 - 31 mars 1997). Dans un contexte politique et social marqué par les réformes religieuses, les crises économiques et les mutations intellectuelles, Toulouse et sa région voient se développer une remarquable école de sculpture. Des artistes célèbres comme Gervais Drouet (qui introduit l'art baroque à Toulouse) ou Marc Arcis, dans la seconde moitié du siècle, donneront à l'école toulousaine, à la faveur des grands chantiers décoratifs, religieux ou laïcs, un éclat exceptionnel dans la France du Grand Siècle.
Toulouse, 1971 128 p., 50 planches noir et blanc, broché. 21 x 27
Occasion
Catalogue exposition, musée des Augustins, Toulouse, 4 octobre 2014 - 4 janvier 2015.
Reference : 18672
<p>Benjamin-Constant (1845-1902), acteur majeur de la peinture orientaliste sous la IIIe République en France, est ici étudié pour la première fois. Le souvenir de ses voyages en Espagne et au Maroc marque son style de vie : son atelier ostentatoire est rempli d'objets hispano-mauresques. Dans la lignée d'un Delacroix qu'il admire, ce brillant coloriste se rapproche de l'orientalisme d'Henri Regnault, Mariano Fortuny, Georges Clairin et Jean-Paul Laurens notamment, peintres dont les oeuvres sont ici mises en relation. S'emparant des stéréotypes d'un Orient colonial en suspens, Benjamin-Constant associe des odalisques nonchalantes à des Maures farouches dans le cadre de compositions gigantesques, précisément architecturées. Sa peinture d'histoire, d'inspiration byzantine ou biblique, complète sa veine orientaliste. Ses tableaux saisissants mettent en valeur des qualités chromatiques qu'il exprime avec une palette scintillante. Benjamin-Constant s'affiche comme l'un des grands peintres de décors de son temps à l'Opéra-Comique de Paris, à la gare d'Orsay, à l'Hôtel de Ville de Paris et au Capitole de Toulouse... Il développe l'art du portrait mondain auprès d'une clientèle de riches commanditaires. Ses activités comme portraitiste la reine Victoria et professeur à l'Académie Julian où il a de nombreux élèves étrangers, lui procurent une gloire internationale, notamment en Angleterre, aux Etats-Unis et au Canada. Superbement illustrée, cette première monographie sur Benjamin-Constant réunit une équipe internationale d'experts chevronnés qui examinent, à la lumière de recherches inédites, la biographie d'un artiste célèbre et méconnu dans son atelier et au Salon, depuis l'Académie des beaux-arts jusqu'aux cercles de collectionneurs étrangers. Surtout, les mirages et les mensonges d'un Orient phantasmé sont étudiés à la lumière des recherches d'historiens contemporains et revisités par le regard d'artistes féministes d'aujourd'hui.</p> Paris, 2014 Hazan 400 p., illustrations couleur, cartonnage éditeur. 30 x 32
Neuf
2. Toulouse, Musée des Augustins, 1982, in-4°, 90 pp, ills. en couleurs, broché, couverture souple d'origine.
Toulouse, Congrès national des sociétés savantes de France, 1971. Grand in-8 broché de 128 p. + 50 p. de planches en noir in fine. Très bon état général.
Toulouse, Musée des Augustins, 1975, in-4°, 95 pp + 27 planches noir/blanc. Broché, couverture souple d'origine.